Ce N'Etait Pas Prévu !

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 37


*Ce N’était Pas Prévu ! 


JULIE


C’est un très beau jour aujourd’hui. Je suis vraiment contente. On vient me dire que je pouvais rentrer chez moi mais avec une interdiction formelle de sortir de la maison ou alors je serais obligé de revenir ici. Je serai donc obliger de rester chez moi avec un bracelet électronique, jusqu’à ce que l’enquête prenne fin. Je suis si heureuse de revoir dehors, mais en même temps j’ai peur des questions et regards des autres, j’aurais du tout balancer mais qu’est-ce qu’Andy pensera de moi après ça ? Et aussi je serais obligé de rester en prison. 


Pourtant Dieu seul sait que c’est un endroit des plus bizarres, j’ai eu de la chance car la dame de ma cellule qui faisait la loi là-bas, m’épargna sous prétexte que j’avais le même prénom que sa fille mais aurais-je cette même chance la prochaine fois ? Dieu m’en préserve de cet endroit pourri. 


Je vais suivre les conseils de l’avocat et la fermer et pour Andy je lui raconterai un truc c’est lui ma priorité le reste peuvent croire ce qu’ils veulent. 


Je vis mon père à la sortie de ma cellule. 


Moi : (coulant des larmes) papa ! 


Lui : (me serrant très fort) ohh Julie, (me regardant) tu vas bien ? 


Moi : (acquiesçant avec des larmes)  ça va, mais ça ira mieux maintenant 


Lui : (me consolant) ne pleure plus nous sommes là 


Moi : (l’embrassant) je sais et ça me fait plaisir, je t’aime 


Lui : moi aussi, (regardant mon pied) tu as leur bracelet électronique ? 


Moi : (lui souriant)  oui, et je sais que tu te poses assez de questions mais je te raconterai tout promis 


Lui : l’important est que tu rentres à la maison. 


Moi : oui j’ai hâte et Andy ? 


Lui : (me souriant) cet homme est vraiment bon et je serai fière de te savoir avec lui à ma mort. Il a toujours tout fait pour que tu sois dans de meilleures conditions, tout en oubliant même sa vie. J’avais peur pour lui, mais son passage à la radio l’autre fois t’a fait rentrer chez toi. Il règle les formalités liées au bracelet vu que c’est chez lui que tu seras 


Moi : (heureuse)  ohhh je suis ravie, merci pour tout 


Lui : (souriant)  attends de le voir pour le remercie et remercie aussi Dieu tu as vraiment eu la perle rare ma fille 


J’eus chaud au cœur, peut-être que cette histoire l’adoucira plus et qu’il ne me laissera pas. Peut-être aussi que cette fichu ghanéenne à vue qu’il était trop présent pour moi et à préférer partir. Pleins de choses se posent actuellement dans ma tête.  J’ai juste envie de le voir et le serrer très fort. Et cette fois ci je ferai tout pour être enceinte, je me traitais à cause des nombreux curetages que j’ai eu à faire jadis, mais ça va mieux. Il faut juste qu’il couche avec moi au bon moment et bingo. 


Moi qui croyais que c’était l’avocat qui  faisait tout ça pour moi, pourtant c’était Andy, si c’était eux je serai toujours enfermée dans cette prison stupide ou même dans les sous-sols de la police. 


Elle : (souriant)  Julie enfin libre ? Félicitations, bonjour M. (avec le même sourire) 


Lui : (sourire) bonjour ma fille


Moi : (forçant un sourire)  merci 


Elle : (à mon oreille en faisant semblant de me faire une bise) sache que nos yeux continue d’être sur toi alors tache de bien la fermé cette fois, au revoir M. (partant) 


Lui : merci et rentrez bien ma fille 


Non mais pour qui elle se prend, venir ici me narguer pourtant après m’avoir fait jurer de ne pas citer de noms ils m’ont tous oublier à mon sort. 


Moi : (énervée) sache bien qu’un jour (la fixant oubliant mon père) Neslie tout se saura et tu verras ce que ça fait. Ce que ça fait de tout perdre. 


Elle : (se retournant) commence donc à dire à ton père que tu es en partie responsable de la mort de M. Ehouo, de ton assistante car si tu n’avais défié l’homme marié avec qui tu sortais et n’avais menti sur cette fille elle vivrait toujours (froissant sa mine) et aussi si par jalousie de ce même homme marié si tu avais maitrisé ton langage avec moi, Ehouo vivrait toujours. Profite bien  de ta liberté tant qu’elle dure. 


Moi qui pensais qu’elle se contenterait juste de rire ou sourire vu que nous sommes encore devant le poste de police, mais non, elle m’avait eu. Elle avait trop parlé. C’était trop, mon père avait entendu tout ceci. 


Andy : (derrière moi) dis-moi qu’elle ment Julie. 


Moi : (le voyant)  oh Andy


Andy : (avec impatience)  toi avec Maxime ? Et pour cela deux innocents sont morts ? 


Moi : (me justifiant)  ca ce n’est pas passer ainsi 


Andy : mieux on en parlera à la maison, j’ai trop lutté pour que tu sortes faudrait pas y retourner sitôt 


Papa : (me regardant dépassé)  mon fils dépose moi chez moi 


Moi : (le touchant)  mais papa…


Papa : (me giflant) plus jamais tu ne m’appelle ainsi (tout rouge de colère) 


Andy : (l’attrapant)  papa, allons tous chez moi et on l’écoutera. Promis après je vous dépose 


Papa : (nous dépassant)  je vous attends à la voiture 


Non j’avais tout gâché. 


JAMILA 


Moi : donc comme cela on me quitte ? 


Lizzie : (m’embrassant) juste pour 1 mois 


Moi : (souriant) je sais, mais tu vas me manquer, en plus Ethan part aussi 


Lizzie : il veut profiter de ces vacances


Moi : (soupirant)  oui mais il ne veut pas que j’épouse Bely et c’est pour cela qu’il part 


Lizzie : (touchant ma main)  et il n’a pas tort mais ce sont les vacances, il veut revoir ces amis du Ghana, laisse le partir souffler un peu. Il sera avec des gens de confiance que je connais fort bien. 


Moi : oui je sias, mais si ce n’était que pour cela. Mon fils me quitte car il ne veut assister au mariage si jamais celui-ci a lieu. (Triste)  J’aurais voulu partir avec lui mais j’ai trop de trucs à faire ici, je dois réfléchir assez si je ne veux pas que ce mariage voit le jour. 


Lizzie : (me regardant)  tu as toujours le choix Jokey 


Moi : (remuant ma tête) je ne l’ai plus, au fond je peux partir et le laisser souffrir seule, mais j’ai besoin de savoir que j’ai retrouvé cette carte, j’en ai besoin Lizzie.  


Lizzie : je te comprends mais tu n’es pas obliger de l’épouser 


Moi : (lui demandant)  mais que ferais-je ? 


Lizzie : (souriant)  tu es remplie de stratégie et d’imaginations tu trouveras bien cela. Je te fais confiance


Moi : votre vol est prêt


Lizzie : apparemment oui, ne l’épouse pas s’il te plait. (Me regardant)  Et prends biens soin de toi et Andy 


Moi : (souriant) ok promis je réfléchirai 


Lui : (venant vers moi) tu vas me manquer maman, (triste)  promis je saute dans le jet si je vois que tu me manque trop 


Moi : (faisant tout pour ne pas pleurer) et je t’attendrais, je t’aime Ethan 


Lui : je t’aime aussi maman, prends soin de toi et je t’en prie ne te marie pas. (Mine triste) 


Moi : (triste qu’il parte en partie de ma faute et en plus sans moi. Dieu seul sait le  nombre de recommandations que j’avais donné au personnel. Je le serrais plus fort)  je t’aime fort 


Franck : et moi donc personne ne m’aime ? 


Moi : (allant lui faire la bise) mais bien sûr que si, je t’aime aussi prend bien soin de vous 


Franck : (souriant)  lui t’en fais pas 


Moi : (les regardant les deux)  et je veux être tata


Elle : (ahurie)  déjà ? 


Moi : oui 


Franck : (souriant)  elle a raison 


On éclata tous de rire et je les laissais partir. Ils allaient me manquer, mais je suis soulagée qu’ils partent car je ne sais plus comment cette histoire va se passer ? Je ne veux pas épouser Maxime, je ne peux pas. Cette nuit j’irai sur la tombe de Marysa, la voir et être plus proche d’elle.  Lui parler et aussi réfléchir à toutes les possibilités sauf ce fichu mariage. 


Je me réveillai ce matin en pleine forme et j’appelai tous mes gardes et le détective. J’avais mal de prendre une telle décision, mais je ne pense pas trouver mieux. 


Moi : merci d’être venus je vous est convoqué car j’ai une mission pour vous 


Eux : d’accord madame 


Moi : M. le détective je veux que vous suiviez cette femme et que vous fassiez signe à mes hommes si elle est dans un endroit calme et un peu sécurisé. Puis vous enlevez là et emmenez là dans un endroit secret. Et je vous rejoindrai. 


Eux : c’est compris madame 


Moi : (les fixant)  usez d’assez de stratégies car elle est très forte et maline. Je compte sur vous. Aussi j’ai une seconde mission pour vous…..


Cette décision que j’ai trouvé. 


********


Moi : (allant vers elle)  laissez nous


Elle : (souriant)  Jokeybed vous me kidnappez ? 


Moi : (la fixant)  ça n’a rien d’un kidnapping, juste un petit enlèvement 


Elle : (l’air sereine)  humm et puis-je savoir le pourquoi ? 


Moi : (autoritaire)  tout d’abord c’est moi qui pose les questions ici 


Elle : (me montrant son poignet)  vous pouvez m’enlevez ces menottes, ils ont été obligé de me piquer pour m’endormir avant de m’enlever (riant)


Moi : parce que vous êtes une vrai gangster 


Elle : (riant) s’il vous plait enlevez moi mes menottes et on parlera de femmes à femmes. (Sereine)  Je ne vous ferai rien, vous avez des gardes postés partout 


Moi : (j’enlevai ces menottes) 


Elle : merci,  alors quoi ? (me fixant)  Vous boulez quoi de moi ? (riant nerveusement) Que je disparaisse de votre vie avec Maxime ? (sourire malicieux)  J’avais même décidé de le faire pour vous faciliter la vie. 


Moi : (souriant)  au contraire je veux que vous reveniez dans sa vie 


Elle : (ahurie)  pourquoi ? Il vous soule déjà ? 


Moi : (sereine)  j’ai besoin d’une preuve et vous seule pouvez me la donnez 


Elle : (me fixant)  laquelle ? 


Moi : (soutenant son regard)  la carte mémoire qui prouve que vous avez falsifié les élections présidentielles 


Elle : (air surpris)  je le savais vous êtes une espionne 


Moi : (autoritaire)  ce n’est pas votre affaire je veux cette carte et vous me la donnerez 


Elle : et pourquoi vais-je aider une personne par qui tous mes malheurs ont commencé, et lui remettre un truc qui m’incrimine aussi ? 


Moi : (lui répondant sereinement)  parce que je pourrai vous laissez partir ou alors demande à ce que l’on diminue votre peine je peux tout faire mais je veux cette carte 


Elle : (automatiquement)  et pourquoi ? 


Moi : (évitant son regard) ça ne vous regarde pas 


Elle : à moins que ? 


Moi : (automatiquement) que ? 


Elle : (raclant la gorge)  vous n’êtes pas espionne, (remuant sa tête)  j’ai travaillez au service secret et lorsque l’on veut quelque chose, on l’obtient car on a tous les accessoires avec nous. Vous êtes une simple personne venue se venger de Maxime, il vous a fait quoi ? (croisant ces pieds) 


Moi : (autoritaire)  je répète, c’est moi qui pose les questions ici 


Un petit temps s’est écouler et personne n’osait parlait. Je la regardais et elle aussi. 


Elle : (décroissant ces pieds et me fixant)  je peux fumer ? 


Moi : on n’a pas encore fini 


Elle : (continuant)  mais la cigarette m’aide à mieux réfléchir 


Moi : (automatiquement)  et moi  je ne supporte pas l’odeur, alors c’est non 


Elle : non… (Mettant sa main sur sa bouche) 


Moi : (la regardant)  quoi ? 


Elle : (développant)  vous ne supportez pas l’odeur et êtes venue vous vengez de Maxime vous-même sans ordre de quelqu’un 


Moi : (ne voyant pas le lien avec ce que je lui demandais)  y’a-t-il un souci ? 


Elle : (hésitant un peu)  vous ne pouvez-être que…..que…que  Jamila Oulai ? N’est-ce pas ? 


Moi : (gardant mon même calme)  je la croyais enterrer celle-là ? 


Elle : (se levant) on ne l’a jamais retrouvé mais on a préféré la déclaré morte, (reprenant)  enfin il a préféré la déclarer morte. 


Moi : (souriant voyant son trouble)  faut croire que les morts ressuscitent 


Elle : (troublée) Seigneur moi qui vous prenais pour une sainte et une poule mouillée 


Moi : (la fixant toujours)  faut croire que la mort forge 


Elle : (me regardant de haut en bas)  mais vous avez tellement changé comment est-ce possible ? 


Moi : (ignorant sa question) je ne suis pas là pour parler de moi. Je ne vous ai pas enlevez pour parler de moi mais de cette carte, (énervée)  à cause de laquelle vous avez tué ma sœur et les autres 


Elle : (me fixant) un coup de votre mari ou ex-mari, (haussant les épaules)   je n’y suis pour rien 


Moi : (automatiquement)  si, vous en êtes pour assez et vous allez m’aidez


Elle : (riant)  vous ne l’avez pas retrouvé vous-même? Et voir qu’il vous à devancer en vous demandant de l’épouser vous a fait regrettez et vouloir abandonner mais cette (me fixant) vengeance que vous voulez faire doit se faire donc (claquant des doigts)  retour à la femme que vous détester le plus au monde, celle-là même qui vous a fait (levant ces doigts fins à tour de rôle)  sentir grosse bête et inutile. Que vous avez réussi à narguer mais que vous n’avez pas pu totalement berner. Cette femme qui tient encore une partie du cœur de votre mari, ex-mari et futur mari 


Moi : (souriant) vous croyez que tout ce que vous faisiez avec lui m’atteignait ? (sereinement) Non, il y’a longtemps que j’ai cessé de l’aimer 


Elle : (continuant) j’aurais dû me taper Andy donc, votre amant de journaliste, (souriant) pauvre Julie elle avait raison, mais ne vous reconnaissait pas. Au moins lui si je l’avais taper et vous avait envoyer le film de moi tenant sa bite dans ma bouche , le faisant hurler de plaisir et oublier même que vous existiez, me baisant avec toute la fougue qu’il n’a jamais mis sur vous je vous aurait fait mal et mieux j’aurais vite (souriant) su que vous étiez Jamila. Car j’imagine que votre cœur se bat contre votre vengeance. Ca se sent. (Me fixant avec son même sourire) 


Moi : (cachant ma mauvaise humeur)  vous dites n’importe quoi 


Elle : (acquiesçant)  on verra bien car à ma sortie d’ici, ou de prison. Je ferai tout pour avoir cet homme, toutes les femmes de Max l’ont gouté, et deux même se battent dessus.  Vous croyez que sa bite à quel gout ? (souriant) café noir comme Maxime, ou au lait blanc mais pas du lait 100% comme mon mari,  j’en suis sure. Peut-être un mélange de café au lait bien chaud, que je me ferai un plaisir de savourer pendant que vous serez occupée à expliquer votre vraie identité au monde. (Riant) 


 

Je me levai et alla la gifler avec une telle force, qu’elle failli tomber, elle voulut me redonner ma gifle mais je saisi son bras et frappa avec force dans son ventre. Elle tomba, je la regardais et d’un coup de pieds elle me fit tomber, j’étais à terre et elle venait sur moi mais je la poussa avec mes deux pieds. Puis les gardes arrivaient et me soulevèrent et l’attrapèrent.


Elle : (riant nerveusement et crachant) ça doit vraiment chauffer dans votre cœur, j’imagine le duel la vengeance vs l’amour. Vous voulez venger votre sœur et les autres mais vous tenez à ce beau journaliste. 


Moi : (criant)  vous allez la fermer et m’écouter. Je veux cette carte aujourd’hui, alors j’ignore comment mais vous irez la chercher car je suis sure que vous savez ou elle est. 


Elle : (souriant)  oh que oui je sais mais je n’irai pas la cherchez pour vous. (Riant) Tuer moi en même temps, je ne trahirais point Maxime pour vous. 


Moi : (demandant aux gardes de me lâcher)  vous allez le faire car votre mari est en voyage, vous n’avez plus de gardes et tous mes hommes sont poster de façon très stratégiques à chaque recoin de votre maison vous savez pourquoi ? Et bien c’est pour pourvoir avoir un œil sur votre enfant dans chaque coin  de la maison 


Son visage se décomposa et je claquai mes doigts puis on m’apporta une tablette ou on pouvait voir à chaque coin la petite avait comme un point rouge sur la tête ou une autre partie de son corps.  


Elle : (hurlant)  VOUS ETES UNE PETASSE ! MA FILLE N’A RIEN AVOIR DEDANS 


Moi : (reprenant avec un mauvais air) tout comme ma sœur, son fiancé, la servante et mon bébé qui n’a pas supporter ma chute. Alors c’est vous qui voyez soit vous acceptez et on garde un œil très concentré sur votre fille au cas où vous changerez d’avis ou alors on la tue maintenant si vous voulez. (Parlant dans l’oreillette) agent vous êtes prêt ? (juste pour l’effrayer) 


Elle : (criant)  ca va j’accepte, (me fixant nerveusement)  ne touchez pas à ma fille 


Moi : (autoritaire) ça dépendra de vous, je veux cette carte 


Elle : (sereine)  je sais où elle est et je l’aurais 


Moi : (soufflant de joie dans mon cœur) ok, vous allez choisir dans ce magasin (lui montrant des vêtements sur la tablette) tout ce que vous voulez portez pour ce soir et on vous l’apportera. Le détective ici présent vous donnera cet appareil à mettre dans l’oreille, c’est très fin et il se colle direct sur l’oreille personne ne le remarquera mais c’est mieux de relâchez vos cheveux. Pour plus de sécurité (la regardant) vous pouvez aussi commandez à manger et à boire bien sûr. 


Elle : (me regardant avec sourire)  vous aurait pu travaillez au service secret


Moi : (haussant les épaules) ça ne m’enchante guerre et (le regardant) vous vous pourrez avoir la médaille de la meilleure mère. Vous sauvez votre enfant 


Elle : (soutenant mon regard)  je le fait pour ma fille, mais aussi pour vous perdre tout ceci et perdre son identité c’est dure et tout ceci par notre faute. 


Moi : (automatiquement car je n’y croyais pas)  ou alors juste pour que votre mari est une bonne image de vous, vous êtes en mauvais terme actuellement si je ne me trompe.  


Elle : (remuant la tête)  non juste pour vous et ma fille. C’est ma dernière raison sur cette terre car son père m’a demander le divorce (baissant la tête)  et me déteste même. 


Moi : (ahurie) oh 


Elle : (relevant la tête et affichant un petit sourire mais je pouvais voir sa peine dans ces yeux)  les conséquences du pouvoir 


**********


Je suis vraiment apeurée. Je ne voulais pas utiliser une enfant innocente pour aboutir à ma vengeance mais je suis obligé de le faire, c’est ma seule option, je ne peux épouser Maxime, je le déteste pour tous ces morts mais plus parce que j’aime Andy, de tout mon cœur. 


Je sors de ma maison et fais faire un tour à la plage l’eau m’aide à me détente. J’arrive et je le vois assis là. 


Lui : (me voyant)  oh je  vais partir si tu le veux 


Moi : (m’asseyant)  pourquoi ? (regardant l’eau)  Elle nous appartient à nous deux 


Lui : merci 


Moi : je t’en prie. Un souci ?


Lui : (soufflant) Julie n’était pas le petit ange que je pensais, elle à participer aux meurtres dont elle a été accusée et par sa faute des innocents est morte. (Remuant la tête) Je suis vraiment dépassée. 


Moi : (dépassée) oh désolé 


Lui : (continuant) en plus elle couchait avec ton mari. (Me regardant) Pas que ça me fasse mal, mais je la prenais pour un ange et maintenant en dirait une autre personne.  Je ne vis  même plus chez moi, je préfère la laisser y vivre seule.  


Moi : c’est maintenant que tu sais pour Maxime ? 


Lui : oui, tu le savais ? 


Elle : elle sortait avec lui depuis que je m’appelais encore Jamila, j’étais encore marié à Bely d’ailleurs


Lui : et tu ne me l’as jamais dit ? 


Moi : (haussant les épaules)  je n’ai jamais pensé que vous seriez ensemble et même si c’était à elle de le dire. 


Lui : (me souriant)  tu es une bonne personne jaja 


Moi : (lui rendant son sourire)  merci Didi


Lui : (s’approchant un peu plus de moi)  tu me manques 


Moi : (mettant mon front contre le tien, je pouvais rester ainsi toute la soirée)  moi aussi 


Lui : tu sors, tu es bien mise et bien parfumer ? 


Moi : (retirant mon front et soufflant) hum je vais écouter Neslie et mon mari 


Lui : comment ???


Moi : (lui expliquant)  au fait Neslie est un peu comme mon espionne ce soir, elle ira voir Maxime et sera charger de retrouver la carte, elle sait où elle est 


Lui : (dépassé)  et comment as-tu réussi à la convaincre ? 


Moi : je lui est révélé la vérité sur mon identité 


Lui : et elle a eu pitié ? 


Moi : (respirant un grand coup)  j’ai aussi mis sa fille sur surveillance, donc si elle ne fait pas ce que je veux on dit (baissant la tête)  adieu à la petite 


Lui : (reculant avec des yeux pleins de surprise)  tu as vraiment fait cela ? 


Moi : (automatiquement)  c’était ma seule et dernière chance 


Lui : (soufflant) tu es devenue quoi ? (passant une main sur sa tête et haussant un peu le ton) tu es devenue quoi ? 


Moi : (me justifiant) je devais trouver un moyen de prendre cette carte


Lui : (s’emportant)  en mettant une petite fille sur surveillance avec des armes pointées sur elle ? 


Moi : (m’expliquant)  ils sont à des endroits stratégiques, ils ne tireront pas c’est juste pour faire peur à sa mère.  Et en plus sans ca Neslie n’aurait pas dit oui 


Lui : (criant)  ce sont des armes pointées directement sur une pauvre petite fille, putain Jamila, (me fixant)  tu aurais pu tout laisser tomber 


Moi : (criant)  et renoncer à ma vengeance ?  


Lui : (remuant sa tête)  hum moi j’aurais choisi l’amour (me regardant)  Jamila 


Elle : (ne comprenant pas)  l’amour ? 


Lui : tu dis que ton cœur balance entre ta vengeance et ton amour pour moi. Moi j’aurais choisi l’amour, mais ça c’est moi (me regardant avec une mine déçue) 


Elle : (le regardant avec des yeux rouges)  et tu crois que je choisi quoi en ne me mariant pas à lui et faisant tout ceci ?  


Lui : (serein)  tu choisi les deux, et on sait tous qu’il n’y a  pas deux capitaines dans un bateau donc tu fais passer un avant l’autre en te consolant que tu le fais pour l’autre mais c’est faux


Moi : (avec des larmes qui menaçaient de couler)  Andy ? 


Lui : (détournant son regard)  adieu Jaja 


Moi : (voix tremblante)  mais…


Lui : (autoritaire)  s’il te plait va-t’en ou c’est moi qui part 


Moi : (partant avec une douleur au cœur)  au revoir 


Lui : en regardant cet enfant, rappelle-toi de ton fils s’il te plait


 Moi : (me retournant)  je ne suis pas une meurtrière


Lui : (me regardant)  c’est ça le problème, (et enlevant son regard sur moi pour le mettre sur l’eau de mer) je ne sais plus qui tu es.  


Je ne voulais pas mais c’était ma dernière carte, je ne pouvais pas partir avec lui et tout abandonner je n’aurais jamais été en paix. Si Neslie fait tout comme prévu, ce cauchemar prendra vite fin. Je me retournai et quitta la maison de la plage en le laissant seule. 


******


Moi : arrêtez de surveiller la petite ! 


Le détective : mais ce n’est pas encore fini 


Moi : (autoritaire)  elle est dans la chambre en train de s’envoyer en l’air avec maxime donc elle le fera, arrêtez toute surveillance sur l’enfant 


Lui : ok 


Elle : (dans l’oreillette) ohh zut !


Moi : (dans l’oreillette) un souci ? 


Elle : non, je voulais juste boucler la chambre afin qu’il ne me trouve pas s’il se réveille


Moi : une chambre ? 


Elle : oui, la carte est dans un tiroiR d’une des chambres précisément celle dans laquelle il me logeait quand vous viviez encore ensemble. 


Je n’y avais même pas pensé. 


Moi : (stressée) ok fais vite alors 


Elle : (craint presque)  merde ! Il a mis un coffre-fort avec une combinaison que je n’ai pas 


Moi : comment ? 


Elle : je ne savais pas qu’il y’avait une combinaison 


Moi : (énervée)  arrête cela Neslie


Elle : (criant un peu)  je jure, tu crois que je mettrai la vie de ma fille ne danger ? Je ne savais pas pour le coffre ni pour la combinaison


Moi : essaie ces chiffres préférés 


Elle : c’est ce que je fais 


Je flippais et j’avais mal à la tête, oui trop mal. Mon cœur battait, je me sentais mal. 


Elle : non ! 


Moi : (ayant peur)  tu as trouvé ? NESLIE ? Tu m’entends ? 


Elle : Maxime ! 


Moi : (Maxime l’avait vu, non)  arrêtez tout, (criant) arrêtez tout !


Lui : (essayant de me calmez)  calmez-vous madame, elle doit jouer le jeu 


Moi : me calmez ?  Il l’a attrapé, elle est en danger 


Lui : (serein)  c’est un dure elle pourra s’en sortir 


Moi : (soufflant)  j’ai peur pour elle


Lui : (me rassurant)  tout ira bien 


NESLIE 


J’avais bien fait l’amour avec lui et il était K.O., j’avais pris le soin de marcher sur la pointe de mes pieds pour qu’il ne se réveille pas, je me disais que je n’aurais qu’à prendre la carte, la mettre dans mon sac et sortir la donner mais non il y’avait une combinaison avec un coffre et le temps de trouver la bonne combinaison. Il m’a trouvé. 


Lui : (me fixant)  tu fous quoi ? 


Moi : (souriant)  Maxime tu es debout ? 


Lui : (me fixant)  tout ceci n’était donc qu’un plan ? 


Moi : (gardant mon calme)  non écoutes j’ai besoin de cette clé 


Lui : (automatiquement)  pour me vendre à la police ? 


Moi : (continuant avec ma mine sérieuse) je suis aussi responsable, je veux juste la garder pour être sûr que tu ne me trahiras pas 


Lui : (criant) menteuse ! Tu veux me livrer par jalousie et t’en aller avec ta famille 


Moi : (ahurie)  que fais-tu ? 


Lui : qui t’a envoyer ? (pointant une  arme sortit du tiroir sur moi) 


Moi : (criant)  tu es fou ! Je veux cette carte alors donne-moi le code et je sors 


Lui : (remuant la tête et maintenant l’arme sur moi)  non, tant que toi tu vivras tu seras toujours dans ma vie à vouloir me détruire et me ruiner.  (Criant) Tu n’en a pas marre ?  


Moi : (sereine)  je pars et je veux m’en aller avec cette carte 


Lui : sors d’ici, (semblant réfléchir)  ou attends faudrait que je te blesse pour montrer aux autres que je peux être dur aussi 


Moi : (reculant allant vers le balcon) arrête ça ! 


Lui : (avançant vers moi)  ils verront que si toi j’arrive à te faire mal c’est que ce n’est pas eux que j’épargnerais 


Moi : (remuant la tête)  c’est faux tu m’aimes et en peux rien me faire 


Lui : hum tu me tentes ? 


A ce moment je limais entre ces jambes et il laissait tomber l’arme. Je pouvais fuir aller m’habiller et fuir, mais je voulais prendre l’arme qui était tombé assez loin et fuir avec ou le menacer de mettre la combinaison. J’ai fait les services secrets et je sais où tirer pour faire peur sans faire mal. Je dois avoir cette carte, pour moi et ma fille. 


Lui : (criant)  tu es folle 


Il saisit mon pied et je tombai, il vient sur moi et me gifla je le mordus et il tomba, je me levai pour partir mais il tapa avec son pied dans mon dos puis m’attira à lui. Je me débattais jusqu’à être en haut de lui.


Lui : (me serrant)  tu veux mourir ? Va-t’en et j’oublie tout 


Moi : (serrant son cou) donne-moi la combinaison 


Puis il me repoussa violemment avec toute sa force, étant au balcon, et à l’étage, je tombais en bas. 


Lui : (hurlant)  NESLIE !!!!!!!!!!!


JAMILA


Moi : (criant)  il l’a tuée c’est cela ? Il l’a tuée ? 


Lui : (calmement)  nous n’avons pas entendu de coups de feu 


Moi : (voulant sortir de la camionnette qui était un peu loin de la maison)  je vais aller voir 


Lui : (m’attrapant le bras)  non madame ils sauront tout 


Moi : (énervée)  je m’en fiche c’est une mère


Il condamna les portes. 


Moi : (criant)  putain !  Laissez-moi sortir. 


Lui : non calmez-vous. J’ai appelé la police et une ambulance en me faisant passer pour un voisin qui a entendu des cris effrayants. (Voulant me rassurer)  Ils viendront et tout ira bien 


Moi : (tremblant) oh seigneur ! 


NESLIE


Lui : (me remuant)  Neslie, Neslie, (touchant mon visage, j’étais tombée sur mon dos)  je t’en prie ma précieuse tiens bon 


Moi : (difficilement) M…A….X


Lui : (saisissant ma main)  je suis là, je suis désolé (se mettant sur moi) pardonne moi (tremblant) mais ne meurt  pas, (Je sentis comme une larme touchée ma joue vu que j’avais fermé les yeux, tant la douleur était présente je n’arrivais même pas à bouger)   tiens la combinaison c’est le 


Eux : (le coupant)  police ne bougez plus 


Lui : c’est le 121008


Je n’entendais rien, je n’entendais pas ce qu’il disait ça sonnait petit dans mon oreille, je le sentais juste pleurer, me serrer,  et je vis la police le prendre lorsque j’arrivais à ouvrir les yeux, et aussi une ambulance arriver pour moi surement. Je fermais les yeux. 


Moi : (voulant que l’on le laisse)  M….A…..X 


*********


Lui : (me touchant)  Neslie ? 


Moi : (réliée à assez de fils et avec des bandes partout sur ma tête, j’avais un de ces mal)  c…h…..ch…Chéri…


Lui : (serrant ma main)  ma femme, je suis si désolé 


Moi : (difficilement)  et…. (Fermant les yeux) et … n…notre….fille ? 


Lui : elle va bien, lutte pour nous. Je te pardonne, je t’aime. (Comme une faveur qu’il me demandait)  Vis pour nous et nous irons loin tout recommencer, (avec détermination)  je me battrai et userait de toutes mes relations possibles et tu vivras libre. Je suis désolé Neslie 


Moi : (parlant difficilement)  Ch….uttt……prends…..prends……So…..soi…..d……d….d’…..elle….et……de toi……de vous……prends soin de ……de vous 


Lui : (serrant ma main)  je le ferai mais avec toi à mes côtés 


Moi : (respirant un grand coup et ne parlant pas afin de récupérer assez de forces)  J’ai tellement…..tellement tué, que je sens que c’est mon tour…..mon tour… de partir. (Coulant des larmes) parle lui bien (forçant un sourire et respirant un grand coup encore en économisant des forces)  de moi et vivez bien, même si tu te remarie prends soin d’elle comme la prunelle de tes yeux (fermant mes yeux) mais aussi avec……avec…..avec  rigueur pour ne pas qu’elle soit comme…..comme……comme m…..o…..i….moi. (Économisant mes forces en soufflant un grand coup) Je compte sur toi 


Lui : (remuant la tête)  ne dis ça, tu vivras avec nous 


Moi : (mettant un long moment avant de parler) non, je partirai. Je t’aime et pardonne  moi pour tout, (soufflant)  Max…..Maxime, ne porte pas…..ne porte pas  plainte contre lui, laisse le je t’en prie. (Respirant un grand coup encore) Et ne porte plainte contre aucune autre personne, laisse tout cette histoire tomber je t’en prie. 


Lui : (me regardant)  je ferai tout ce que tu voudras mais ne pars pas 


Moi : (toujours difficilement) tiens ma main et promets-moi de le faire puis…….(respirant) puis….puis… embrasse moi


Lui : (me tenant la main) je te le promets, chérie, je t’aime et te le promets.  (M’embrassant sur mon front) 


Moi : (respirant fortement) embrasse-moi…..embrasse-moi…..embrasse-moi  sur lèvres 


Il le fit. 


JAMILA 


J’étais assisse dans la voiture en pensant à elle, priant pour elle, croisant même les doigts pour elle. Le détective était rentré dans l’hôpital, vu que l’on avait suivi l’ambulance pour prendre des nouvelles. 


Moi je m’impatientais en flippant même. J’avais peur. 


Lui : (montant)  hum les nouvelles ne sont pas bonnes  (baissant la tête) 


Moi : (apeurée)  non, elle est tétraplégique ? 


Lui : (remuant la tête)  non 


Moi : (troublée) elle ne parle plus, a perdu la tête 


Lui : non, madame 


Moi : (voix tremblante)  la mémoire alors ? 


Lui : (me regardant)  elle a rendu l’âme, je suis désolé madame 


Moi : OHHH, (serrant le fauteuil dans lequel j’étais assissiez) non ! Pas cela, (hurlant avec des larmes)  NONNNNNNN !!!!


Il voulut me consoler mais je me débattais, je criai et pleurait, j’avais rendu un homme veuf et sa fille d’à peine 5ans orpheline, sans mère. Comment vivra-t-il ? Comment vivra-t-elle ? Comment vivront-ils ? Je suis devenue une meurtrière, son sang est d’une façon ou d’une autre sur mes mains.  


Moi : (le tapant) je vous l’avais dit…..je vous l’avais dit (pleurant) cette mort n’étais pas prévue….ce n’était pas prévu


Lui : (me serrant et voulant me calmer) je suis désolé madame 


Moi : (serrant sa chemise, comme si j’allais la déchirer) je l’ai tuée, j’ai tué Neslie Valls (pleurant et hurlant toute ma peine) 


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VENGEANCE VS AMOUR