VENGEANCE VS AMOUR : page 19

*Encore Une Autre Partie De Moi.

JAMILA 

Lui : (jouissant) ahhh Luvie (me serrant très très fort) 

Moi : (l’embrassant) alors tu as aimé ? 

Lui : (souriant)  oui bien sûr, j’adore lorsque ma femme se lâche ainsi pendant l’amour. Tu es parfaite 

Moi : et moi j’adore te faire plaisir et adore aussi mon nouveau corps. (Lui rendant son sourire) 

Lui : (me regardant d’en haut en bas)  oui tu es superbe même si tu l’as toujours été 

Moi : merci chéri 

Il me fixait étrangement 

Moi : alors dis-moi ? 

Lui : je t’aime 

Moi : merci (riant) 

Lui : (se rapprochant)  tu sais ma Luvie,  la vengeance est une bonne chose. Nous qui ne l’avons pas encore fait le pensons. Mais ma femme adorée, (me caressant la main)  sache que parfois la vengeance demande des prix et des sacrifices très couteux. Pourras-tu le supporter ? Certes ces gens t’ont rendu assez méchante, mais au fond de toi ma Luvie tu n’es pas méchante. Donc parfois je me demande si cette vengeance t’aidera vraiment ou te feras plus de mal. (Mine inquiète) 

Moi : t’en fais pas rien ne m’arrivera. (L’embrassant) 

Lui : je t’aime tant que je t’aurais donné même ma vie et serait même prêt à faire une bonne raclée à cet imbécile de Maxime mais c’est ton combat et ta vengeance et aussi tu en as envie dont je dois rester en dehors

Moi : oui, je dois la mener seule et moi-même, cette vengeance !

Lui : j’adore ce prof de psychologie, il t’aide à avoir plus confiance en toi 

Moi : et à m’imper aussi, mais tout ceci c’est grâce à toi mon chéri 

Lui : je t’aime tellement 

Moi : si on pouvait savoir comment tu m’aimais ? (souriant) 

Je partis me doucher et je reviens. Je l’aurais bien fait avec Majid mais il est si faible donc je lui fais sa toilette spéciale en le faisant asseoir sur la cuvette de WC. La fraicheur ne favorise en rien sa santé, c’est pire car il a plus mal aux os. 

En partant vers la douche il me fit arrêter vers la fenêtre de la chambre, ou on pouvait voir le jardin de cette maison. 

Moi : quoi mon chéri tu te sens mal ? (inquiète) 

Lu : non, (souriant)  vois-tu cette averse qui tombe ? 

Moi : oui oui (regardant par la fenêtre) 

Lui : peux-tu en compter les gouttes ? 

Moi : personne ne peut chéri, elles sont nombreuses et tombes partout à la fois dans différents endroits 

Lui : (souriant)  c’est pareil avec ce que je ressens pour toi 

Moi : (émue) je t’aime aussi mon amour

*****

Moi : (ne comprenant pas) comment cela je dois aller aux USA ? 

Lizzie : c’est pour une réunion avec tous nos partenaires 

Moi : mais Majid est convalescent, il ne se porte pas bien 

Lui : c’est moi qui est voulu cela Luvie

Moi : mais pourquoi ? (le regardant dépassée) 

Lui : tu dois connaitre tous et te montrer à eux. Alors il faut que tu partes 

Moi : comment feras tu sans moi ? (inquiète) 

Elle : je resterai ici jusqu’à ton retour ma belle sœur 

Moi : hum Majid je n’aime pas trop cette idée 

Lui : (souriant)  Luvie fais-moi confiance, tu as besoin de participer à ce genre de réunion tu verras c’est tout sauf ennuyant 

Elle : t’en fait pas je serai là (me souriant) 

Moi : d’accord (triste) 

*****

Mon séjour ici se passe bien, vu que je comprends l’anglais il n’y a pas de soucis je m’adapte bien. J’assiste à toutes les réunions y participe et apparemment je satisfais les autres partenaires. 

Je rentre me couchée après avoir fait des courses pour tous. Je lance l’appel pour parler à Majid 

Moi : hey chéri ? 

Lui : (gémissant) humm

Moi : (prise de peur) Majid ? 

Lui : hum oui Luvie 

Moi : ça ne va pas (inquiète) 

Lui : non t’en fais pas je dormais même 

Moi : (respirant un grand coup) ouff j’ai eu peur allez je vais te laisser dodo 

Lui : non on peut parler  (voix rassurante) 

Moi : non retourne dodo mon amour

Lui : arrête de me parler comme si j’allais mourir si je causais avec ma femme que j’aime tant 

Moi : ne parle plus de morts Majid !

Lui : d’accord à condition que tu me raconte ta journée

Moi : d’accord (souriant et lui racontant ma journée) 

Lui : je suis fière de toi (on le sentait vraiment dans sa voix) 

Moi : merci chéri 

Lui : après demain je ferai tout pour aller t’attendre à l’aéroport avec une feuille blanche ou j’écrirais « Luvie »

Moi : (riant) et je sauterais de joie et d’amour sur toi. Je t’aime mon chou mais pour le faire il faut que tu reposes bien 

Lui : d’accord Luvie, je t’embrasse, rêve de nous deux au bout du monde 

Moi : promis. (Souriant) 

Je passai les deux autres jours aussi pareils. Le jour du départ je fis ma valise tout en étant pressé de revoir mon mari, ma belle-sœur, mon fils et tout le reste. Ils m’ont vraiment manqués mais ils ont eu raison cette tournée a été bénéfique pour moi, j’ai assez appris. 

Moi : (décrochant) salut ma belle-sœur, je pensais justement à toi….oui et toi ?? 

ANDY 

Je la regardais me faire toutes les choses possibles pour que je puisse avoir une érection mais rien. Je ne sais pas pourquoi mais je n’arrive pas à avoir une érection depuis le départ de Jamila, certes je l’ai quand je pense à elle ou rêve d’elle mais je ne l’ai pas lorsque je veux coucher avec Julie. Depuis près d’un an et c’est toujours pareil. Oui je l’ai autorisé à rentrer dans ma vie car elle se donnait assez de mal et peine pour moi en plus j’étais seul, il y’a encore assez de limites que nous avons mais bon ça va. 

Elle : ce n’est pas grave, tu n’es juste pas près  (me souriant) 

Moi : (la faisant coucher et l’embrassant) on va essayer une autre méthode 

Je la caressais et lui titillais les seins jusqu’à ce qu’elle soit toute trempée et là je mis en elle 1, puis 2 et 3 doigts, à sa demande et je commençais à lui faire l’amour avec mes doigts. Elle gémissait, hurlai et criait et après plusieurs minutes d’intenses doigtés elle succomba et jouissait en me remerciant. 

Je la regardais fermer un peu les yeux comme pour reprendre son souffle et partit me doucher pendant qu’elle refaisait le lit. Une fois sous la douche je me mis à penser à Jamila et je commençais à sentir mon sexe se lever, Seigneur je n’ai pas envie de faire l’amour à Julie tout en pensant à Jamila, ce serai salir sa mémoire. Je restai ainsi sur l’eau et imaginai la fois ou de sa bouche elle avait réussir à me faire jouir d’une manière vraiment particulière, j’y pensais et en me caressant et  je jouis. Seigneur !!!!Je l’ai vraiment dans la peau cette fille. 

Moi : (allant me couchée) bonne nuit Julie 

Elle : merci chéri je t’aime beaucoup, et ne t’en fais pas tu réussiras à me faire plaisir même sans sexe alors prend ton temps n’y pense pas trop. (M’embrassant) dors bien. 

Cette fille m’aime vraiment. 

JAMILA 

C’est comme si j’avais couru un marathon pourtant le chauffeur et les gardes sont bels et bien venus me prendre à l’aéroport. Mais  j’étais vraiment perturber, entendre Lizzie me dire que mon mari était à l’hôpital dans un état critique me fit peur. 

Depuis près de deux heures je suis là avec Lizzie et Ethan en salle d’attente. 

Elle : tu devrais aller te rafraichir, rentre je suis là 

Moi : jamais (ton dur) 

Elle : mais….

Moi : (la coupant)  n’insiste pas Lizzie j’ai dit jamais. Je ne laisserai plus mon mari 

Elle ne m’avait rien fait je sais et se souciait juste de moi mais je ne voulais plus jamais laisser mon Majid à quelqu’un. 

Elle : je suis désolé tout semblait allée bien pourtant (triste) 

Moi : (allant vers elle)  désolé je ne t’accuse pas, désolé. C’est juste que je ne veux plus le laisser, plus du tout. 

Elle : je comprends 

Lui : (triste) maman papa va partir ? 

Moi : (le regardant) ne dis pas  ça Ethan 

Lui : (continuant) c’est qu’il m’a parlé de sa maladie et m’a dit qu’à chaque moment il peut partir mais tu seras là avec tata Lizzie (regardant Lizzie) 

Elle : mon chou écoutes on ne sait pas mais à tout moment il peut partir (Ethan ferma les yeux) le plus important est que tu saches que toujours il sera avec toi et nous aussi (lui souriant) 

Je voulus parler mais je n’avais pas de mots et en plus Lizzie parlait tout le temps. 

Elle : famille de M.NELSON ?

Nous répondons tous en même temps. Mais moi mon cœur battait. 

Elle : il  voudrait parler à sa sœur et son fils 

Lizzie : (air triste) il ne doit pas savoir que tu es là, tu peux partir avec Ethan 

Moi : non allez y si je peux j’irai après vous (stressée) 

Lizzie : ok, merci 

Puis ils partirent. Ils passaient quelques minutes avec lui qui me parurent une éternité, j’avais peur. Je me demandais ce qui se passait et ce qu’il leur disait. Je tremblais même. 

Et là je les vu sortir avec un Ethan en larmes et une Lizzie déboussolé. J’eus peur, mon cœur battait 

Elle : (me regardant) il veut te voir (voix tremblante) 

Je voulus consoler Ethan et réconforter mon fils, mais je devais le voir, je le devais vraiment. 

Je respirais mieux et courus pour partir, en arrivant devant sa porte l’infirmière me dit :

« Faites vite, il ne lui reste pas assez de temps » 

Non pas ça. J’ouvris et je vis Majid avec des fils reliés de partout. Je m’accroupis près de lui et il respira un grand coup : 

Lui : (respirant) humm Luvie (souriant difficilement) 

Moi : Majid ? Tu devais être à l’aéroport à m’attendre et non ici (voix tremblante) 

Lui : (souriant) prends la feuille blanche  sur la table 

Je la pris et y lis « WELCOME LUVIE » 

Lui : je l’ai écrit le jour où j’ai promis venir te chercher et lorsqu’on me transportait aujourd’hui j’ai demandé à Lizzie de me l’apporter coûte que coûte, car j’étais sûr que dès que tu l’apprendrais tu viendrais ici. Désolé que tu me trouves ici  Luvie

Moi : (éclatant) ne me quittes pas Majid tu dois être à mes côtés pour cette vengeance 

Lui : je serais à tes côtés toujours Luvie, (respirant fort)  car ce que je ressens pour toi est immortelle mais malheureusement mon corps lui il l’est. 

Moi : je suis désolé (posant ma tête sur lui) je suis si désolé (coulant tes larmes)

Lui : (caressant ma tête) hey tu n’y es pour rien, ne sois pas désolé. (Je le fixais avec des larmes) tu m’as offert une éternité immesurable alors que je pensais mes jours compter. Luvie tu es entré dans  (essuyant mes larmes) nos vies et les a transformer. Jamais je ne te remercierai assez pour la joie que tu m’as offerte ainsi qu’à mon fils car oui tu es sa mère aussi. (Respirant fort)  Je ne pensais plus vivre et je broyais du noir mais tu es revenue et m’a permis de vivre les meilleurs (coulant une larme) je dis bien les meilleurs moments de ma vie avant que je ne m’éteigne à jamais. Alors ne sois pas désolé 

Moi : (sanglots) Majid je t’aime et toi tu m’as fait comprendre l’importance de s’aimer sois même. Majid (caressant sa tête) je t’aime tant (pleurant) 

Lui : (souriant tant bien que mal et me tenant la main) moi aussi Luvie maintenant je veux que tu prennes et acceptes tout ce que le notaire te dira après mon enterrement 

Moi : (pleurant) non, non ne dis pas ça 

Lui : si acceptes tout et venge-toi.  (Respirant vraiment) Mais venge-toi bien sans détruire ta vie. 

Moi : Majid je t’aime (puis il laissa sa main tombée) Majid ? (pleurant) 

Je compris qu’il était mort, je voulus crier mais rien ne sortait je lui embrassai donc le front et ferma ces yeux en laissant une larme lui tombée sur la joue. Je sortis et sentais qu’une partie de ma vie était resté dans la salle, l’infirmière me regarda et compris. Elle me dit avec la tête baissée et des larmes qu’elle essayait de cacher : 

« Mes  sincères condoléances madame Nelson »

Je voulus lui répondre mais rien ne sortit, je marchai et trouvais Lizzie avec un chapelet et Ethan qui croisait des doigts je le faisais dans mon enfance lorsque je désirais que mes parents oublient une de mes bêtises que moi ou ma sœur avons faite. 

Elle se leva dès qu’elle me vit et dit : 

Elle : (tremblant) c’est finie ? Il est mort ? 

J’hochai la tête avec des larmes, elle mit sa main sur sa bouche comme pour contenir son cri mais cela sortit quand même, elle hurla « NONNNNNN MAJIDD» 

Ethan quant à lui tomba dans ces bras et ils commençaient à pleurer moi je me laissais tomber à même le sol, je dis bien sol dans ce centre de santé en me demandant si je n’étais pas maudite, vu tous ces morts autour de moi. Ah mon Majid ! Mon Majid à moi Luvie partit. 

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