Épisode 26
Ecrit par Mona Lys
Chap 26 : L’amour d'une mère
…..Sandra….
Kim et de Jacques affiche une expression de surprise et c’est tout à fait compréhensible moi-même j’ai été très surprise en apprenant qu'il était mon fils.
Jacques : Ma mère ? N’importe quoi ? C’est pas parce qu’elle est vielle qu’elle est ma mère. Ma mère est morte après m’avoir abandonné quand je suis né et c’est pour cela que je n’ai jamais bénéficié de l’amour d’une mère, d’une femme. Toutes celles que j'ai rencontré n'en voulais qu'à mon argent mais Kim était différente, elle ne me demandais jamais rien. (Pleurant) J’avais peur qu'elle m’abandonne aussi un jour c'est pourquoi j'ai voulu qu'elle ai peur de moi comme ça elle n'aurait pas le courage de me quitter, et vous vous voulez me l'arracher ? (Serrant le couteau sous la gorge de Kim) Non je refuse !
Moi (pleurant) : Non mon chéri je suis ta mère et je suis bel et bien vivante. On nous a séparés à ta naissance me faisant croire que tu étais mort. Il n’y a que récemment que j’ai appris la vérité et je suis là pour te donner tout l’amour que tu n’as pas reçu d’une mère. Laisse-nous une chance de nous connaître stp !
Jacques (s’énervant) : Non tu n’es pas ma mère ! Tu dis ça pour que je laisse Kim partir.
PR : Non Jacques c’est la vérité. On t’expliquera tout quand tu seras plus calme mais c’est ta mère.
Moi : Regarde cette tache (dévoilant une tache sur mon épaule), c’est ma tâche de naissance. Celle de Émile ton père se trouvait sur son dos et elle avait la forme d’une lune alors tu dois avoir sur toi l’une de nos 2 taches.
Jacques devient silencieux d’un coup puis baisse légèrement la tête vers son épaule droite et des larmes commencent à remplir ses yeux mais il tenait toujours Kim qui attrapait son bras avec lequel il l’a tenait le couteau sous sa gorge.
Moi (faisant sortir un carnet) : Regarde c'est ton certificat de décès (j'ouvre le carnet et le met devant son visage), il est marqué j’ai accouché d'un enfant mort-né.
Jacques (haussant la voix) : Non c’est pas possible tu ne peux pas être ma mère.
Moi (pleurant) : Si je le suis. On m’a dit que tu étais mort je te le jure, jamais je ne t’aurai abandonné. (Elle s’approche lentement) Crois-moi stp !
Dès qu’elle fait à peine 2 pas que Jacques recule précipitamment Kim toujours sous son emprise, il enlève le couteau sous la gorge de Kim pour la pointer vers moi et Mickael me saisi immédiatement pour me faire reculer et il s’avance vers Jacques comme pour le défier. Kim se met à supplier Mickael en pleurant.
Kim : Mickael stp ne fais pas de bêtise ! Ne t’approche pas ! (À Jacques) Stp Jacques laisse nous t’aider ! Tu en as besoin, tu n'es pas dans ton état normal.
Jacques (remettant le couteau sur Kim) : Ferme là salope ! Tout ça est de ta faute ! Si tu seulement tu m’avais aimé je n’aurai pas fait tout ça !
Mickael (s’énervant) : Et ce n’est pas en commettant l’irréparable que tu vas résoudre tous tes problèmes espèce d’imbécile. On peut comprendre que tu aies beaucoup souffert de l’absence d’une figure maternelle mais maintenant tu as la chance d’en avoir avec Sandra ta mère donc ne gâche pas tout bordel !
Jacques (à Mickael) : Vous comprenez que j'ai beaucoup souffert de l’absence de ma mère ? (Rire sans joie) Que connais-tu toi de l’abandon ? Tu viens d'une famille royale, ton père, ta mère et ta sœur ont toujours été là pour toi, même quand tu avais quitté le palais ils continuaient de penser à toi. Tu as rencontré Kim qui t'aime comme une folle, qui t’a donné un fils et qui en attend un autre de toi. (Haussant le ton) Donc dis-moi ce que tu y connais au sentiment de rejet ?
Mickael (surpris) : Kim tu es enceinte ?
Elle fait oui de la tête les yeux remplis de larmes.
PR (compatissant) : Jacques, fiston, je suis désolé que ma femme et moi n'ayons pas pu comblé ce vide en toi et pardonne nous de t’avoir menti mais maintenant tu as la possibilité de tout reprendre avec ta vrai mère donc libère Kim, stp !
Il ne dit rien et laisse ses larmes couler sur ses joues. Il a l’air affaibli et désemparé. J’essaye donc de le raisonner pendant qu’il est submergé par ses émotions.
Moi (m’avançant très lentement) : Jacques, mon chéri, écoute-moi ! On ne te condamne pas tu sais et on ne te déteste pas non plus. Ecoutes, tu ne peux pas obliger Kim à t’aimer tout en étant conscient qu’elle aime un autre. Ce serait la faire souffrir et te faire souffrir aussi.
Pendant que j’avance vers lui, il recule aussi mais je continues sur ma lancé et essaie de toucher sa sensibilité.
Moi (pleurant) : Tu sais, moi, malgré le fait que je ne t’avais jamais vu, je t’aimais énormément et lorsqu’on m’a appris que tu étais mort, snif j’étais anéanti. (Tendrement) Jacques je te promets sur ma vie que si tu acceptes de laisser Kim, je serai toujours là pour toi (il s’arrête), je t’aiderais à te reconstruire (Je m’approche doucement de lui) et je peux t’assurer que tu ne manqueras plus d’amour. (Je pose délicatement ma main sur le couteau) Mon chéri stp laisse la partir retrouver son fils. (Je lui prends le couteau) Tu sais ce que ça fait de vivre sans sa mère, (je détache doucement sa main de Kim) et tu ne voudrais pas qu’un autre vive la même chose (Je libère Kim) surtout pas un enfant innocent ? En plus elle en attend un 2e. (Je pose délicatement mes mains sur ses joues) Jacques, (pleurant) mon bébé laisse-moi t’aider ! Laisse-moi t’aimer !
Il me regarde les yeux remplis de larmes puis d'un coup se laisse tomber à mes genoux en pleurant. Je m’abaisse pour le prend dans mes bras puis tous 2 on se met à pleurer sous le regard des autres.
Moi (toujours entrelacés) : Je ne t’abandonnerai plus jamais mon amour, laisse-moi une chance de t’aimer !
Il ne dit rien mais pleure de plus belle en me serrant. Je pense que son silence et ses larmes veulent dire qu’il accepte mon aide. Je suis heureuse d’avoir retrouvé mon fils et plus rien ne nous séparera maintenant.