ESKYL DIMITRIO

Ecrit par Phénix

*** * FRANCK AZIZA ****

Armelle et moi avons toujours été ensemble. Nous avons grandi dans le même quartier. Nous étions d’abord les meilleurs amis du monde. Puis un soir on s’est embrassé . Nous étions en classe de première. La semaine qui a suivi, je l’ai déviergée. Malgré son mauvais caractère, je l’ai épousée, repoussant les filles de bonne famille qui couraient après moi. Mon père était a deux doigts de me renier car il avait un intercédant avec le père de Armelle. Mais ma mère plus conciliable a joue de son autorité. Et malgré cela, ma femme ne l’a jamais acceptée. Elle ne manque jamais une occasion de lui manquer de respect. Moi-même, parfois, elle lève la main sur moi. Pour ne pas la blesser, je sors et vais me distraire. C’est au cour de d’une de ses sorties que j’ai connu Iris. Elle se faisait agresser au coin d’une rue par des voyous qui voulaient la violer. Je me suis battu pour elle. Et je l’ai ramenée chez elle. Ses parents étaient si contents. Son père m’ a fait asseoir et a demandé à sa femme de me servir à manger,. Je me suis senti chez moi. Des mois après j’ai revu Iris et j’ai commencé à l’inviter à sortir. J’avais l’autorisation de ses parents. Environ trois mois après, je l’ai présentée à mes parents. Ils étaient fous de joie. Iris s’est intégrée dans la famille dès le premier jour. Et depuis, elle ne quitte plus ma mère. Après un an de relation, je l’ai dotée. Même les cinq millions que j’ai débloqué ne valent pas la perle que j’ai. C’est seulement après cela que je l’ai connu intimement. Et à ma plus grande joie, elle était vierge. Aujourd’hui elle est enceinte de six mois. Deux garçons selon les médecins. Je suis tellement heureux. Je cherchais le bon moment pour informer Armelle, vu qu’elle n’avait plus mon temps. Je me sentais délaissé et elle s’en foutait, me traitant de la pire des façons. 

Je sais que je n’aurais pas dû la tromper. Mais je ne le regrette pas. Parce que de toute ma vie, je n’ai jamais rêvé d’avoir deux femmes. Mais je ne supporte plus les bêtises. Si au moins elle voulait faire des efforts. On dirait qu’elle a des conseillers. Chaque fois que je lui fais un reproche, elle semble réceptive, mais quelques heures plus tard elle fait encore pire. Sans compter les bagarres et les scandales dont elle est à l’origine. A cause d’elle tout le monde nous connait dans le quartier. Mes enfants n’ont pas d’amis parce que ma femme s’est battue avec toutes les mères, même celles qui sont réputées pour leur sociabilité. Je suis juste fatigué. Iris par contre est douce et très affective. Quand je me fâche, c’est chez elle que je vais me réfugier. Elle a toujours les mots qu’il faut pour m’apaiser, me faire sentir bien et aimé. Naturellement elle sait que je suis marié et respecte cela. Quand je passe des jours chez elle, parfois elle me renvoie, me demandant d’aller voir mon autre famille. Je lui en sais tellement gré. C’est pour lui dire combien je l’aime que je lui ai acheté cette maison. Ce n’est pas aussi grand que celle que j’habite avec ma petite famille, mais Iris n’aime pas trop l’excessif. La maison contient juste quatre chambre, un petit jardin, une piscine, une cuisine et un grand salon. Chaque chambre a ses toilettes et sa douche. Maman a dit qu’elle ne doit plus faire des travaux difficiles. C’est pourquoi je lui ai pris une cuisinière, une blanchisseuse qui se charge aussi du ménage, un jardinier, un chauffeur et aussi un gardien. Elle a boudé en me disant qu’elle n’avait pas besoin de tout ça. Mais maman l’a grondé gentiment et elle a laissé tomber. Je suis si chanceux d’avoir trouvé une femme aussi bien. Elle a une façon si simple et douce de me faire des reproches. Crier est inutile avec elle. Les rares fois où j’ai crié sur elle, je me suis senti bête juste après, puisqu’elle ne me suivait pas dans mon délire. Elle me regardait tendrement, sourire aux lèvres, attendant que je me calme pour me reprendre.

Maman : (entrant dans la chambre) Où est mon fils ?

Moi : (sourire faible) Je suis là Dida.

Maman : Que fais tu ici ? Tu étais en pleine santé quand tu nos as quitté. Qu’est-ce qui s’est passé ?

Armelle : ( agressive) il a fait un faux pas et il est tombé dans les escaliers.

Moi : Ce n’es rien de grave. Armelle, laisse nous seuls s’il te plait.

Armelle : Mais...

Maman : Tu as laissé les enfants à qui ?

Armelle : Elles sont seules.

Maman : Alors rentre à la maison. Je m’occuperai de mon fils.

Elle nous a regardé sans dire un mot avant de sortir et de s’en aller. Maman a soupiré avant de revenir à moi

- Alors qu’est-ce qui s’est passé ?

- Elle sait tout à propos de Iris.

- Ah bon ? Elle nous facilite la tâche.

- Quand je suis rentré, elle voulait se disputer et moi j’étais fatigué. J’ai voulu partir de la maison. Mais elle m’a frappé et j’ai perdu connaissance.

- Hein ? Et elle ose me dire que tu es tombé ?

- Elle avait juste peur que tu la juges. Au fond, ce n’est pas une si mauvaise femme. Mais j’ai juste atteins mon seuil de résistance. On ne peut plus continuer comme ça. 

- Et que vas-tu faire ?

- Partir de la maison pour un moment, le temps de réfléchir posément. Je ne veux pas lui faire de la peine. Je l’ai vraiment aimé.

- Je le sais.  Je suis de cœur avec toi.

Dès que le médecin a autorise ma sortie, je suis directement allé chez mes parents. J’ai fait un message à Armelle pour lui dire que je ne rentrerai pas avant quelques jours. Elle m’a bien insulté en disant qu’elle regrettait finalement de m’avoir conduit à l’hôpital. Je n’ai rien répondu. Je sais qu’elle est blessée. J’attendrai qu’elle digère la nouvelle pour lui parler.

Franck AZIZA, 45ans, marié à la coutume avec Armelle EGNONKPON, et récemment avec Iris DJIBI.

Papa : mon garçon, je t'avais prévenu non ? Je te l'avais dit que cette femme te tuera un jour.

Moi : Ne parles pas comme ça papa. En même temps je la comprends. Elle se sent trahie.

Papa : je suis d'accord. Mais est-ce une raison valable pour vouloir te tuer ? Imagine que tu t’étais cassé le cou en tombant dans les escaliers. Je serais entrain de pleurer mon enfant et elle serait encore vivante non ?

Moi : Je sais. Mais je ne suis pas mort. Armelle est ce qu'elle est. Je ne la défends pas. Mais je n'aimerais pas qu’on fasse cela à l'une de mes sœurs.

Papa: Donc, tu pardonnes et retournes chez toi ? Un jour c'est ton corps qu'elle nous enverra ici.

Moi : papa s'il te plait…

Maman : Je dis hein Franck, Qu’est-ce que tu cherches à nous dire ? Depuis deux semaines que tu es ici, est-ce qu’on a vu ses pieds ici ? Une femme qui veut de son homme ne se comporte pas comme ça. C'est la future maman qui se gène pour t'amener à manger, pour prendre soin de toi, pour venir chercher tes vêtements sales. Ta soi disant femme est où ? Tu sais que je n'aime pas médire. Je t'ai soutenu quand tu as voulu qu’on aille chez elle pour la marier. Papa m'a boudé pendant des semaines. Aujourd’hui encore il me reproche de t'avoir poussé dans l'erreur. Je veux juste que tu sache que je ne te soutiendrai plus. Depuis qu'elle est entrée dans ta vie, elle n'a rien fait pour se rallier à ta famille. C'est comme si tu étais seul au monde. Même moi, elle l’insulte comme si je suis son enfant. Mais je ne dis rien. Parce que c’est moi-même qui ai cherché. 

Moi ….

Maman : Donc, tu as déjà une bonne femme. Elle est gentille, elle est respectueuse. Concentre toi sur elle, laisse celle qui veut te tuer. Je ne te dis pas de l'abandonner. Vous  êtes liés à vie. Prends soin d'elle et des enfants. Mais évite d'aller là-bas. La prochaine fois, elle ne Te ratera pas. 

Papa : En tout cas, j'ai dit pour moi. La seule belle fille que je connais, c'est Iris. Sinon l'autre là, tu sais ce que je pense d'elle.

Moi : Je vais y réfléchir. 

Maman : en tout cas, nous ne voulons pas réclamée la dot. Nous avons pris notre compte dedans. Donc comme c’est seulement la coutume, on peut rompre facilement. Pour Iris, pense déjà au mariage civil.

Moi : ahah ? Mais vous étés comment même ? Pourquoi vous me mettez la pression ?

Papa : C’est pour que tu fasses bien les choses avec notre belle-fille. 

Moi : je suis votre fils !

Maman : elle est ma fille. Alors souffre qu'on te mette la pression.

Moi : pardon, j'ai compris. Je vais y réfléchir.

Papa : s’il faut te trainer devant le maire, je le ferai. Il n'est pas question que tu fasse n’importe quoi avec elle. Une femme de valeur, mérite un traitement de valeur.

Je me suis levé sans rien ajouté. A cette allure, on allait pas finir. J'ai pris ma voiture et je suis partie chez ma femme.

Dès que je suis entré, elle s'est levé pour m’accueillir, sourire aux lèvres. Elle est tellement belle avec son gros ventre.

- Enfin mon mari daigne rentrer.

- Je t’ai manqué ?

- (l’embrassant à pleine bouche) tu ne me suffit jamais chéri.

- Ah bon ? 

- Oui chéri. Viens t'asseoir. Ta journée a été ? 

- (M' asseillant et la prenant sur mes genoux) oui. Avec tes beaux-parents qui me faisaient le bruit.

- Laisse mes parents tranquille. S'ils t'ont fait le bruit, c'est sûrement parce que tu as fait une bêtise non ? Sinon, ils sont trop doux

- Wep, c'est ça ! Maintenant tu voles toute ma famille.

- Bien fait pour toi. (Touchant mon bandages) alors, CZ mal de tête ?

- Ça va chérie. Tu as quoi à manger ?

- j'ai de la pâte et de la sauce légume avec tout ce que tu ailes dedans.

- Oooorrrrr et tu attends même quoi pour me servir ?

- Tu viens d’arriver babe. Tu vas d'abord te doucher, et on pourra passer à table. OK ?

Je me suis exécuté sans rien dire. J'ai glissé sous l'eau en fermant les yeux d'aise. Ça fait du bien d’être chez soi. Je me suis évadé jusqu’à ce que je sente ses droits sur mon torse entrain de pincer mes tétons. J'ai soupiré en la laissant continuer. Ses baisers dans mon dos me donnaient pleins de frisson dans le bas ventre. Rires, big Franck était dressé comme un câble. Elle m'a caressé, partout, me malaxant les couilles et le sexe. Je me suis retourné et ai pris ses lèvres. On s'est embrassé comme deux affamés. Ma main s'est perdue dans sa cave chaude. Elle s'est adossée me donnant libre accès. Je me suis abaissé. J'ai mis un de ses pieds sur mon épaule et j’ai laissé ma langue aller foutre le bordel là-bas. Elle hurlait en me maintenant la tête. Des que je l'ai senti partir, je l'ai retourné et l'ai pénétré tendrement

- Oh babe ! 

- C'est ça que tu voulais non ?

- Oh oui. Je t'en prie fais moi du bien.

- Mais est-ce que je t'ai même jamais fait du mal

- Hum, oui ! (Moi accélérant) oh babe, tu vas me rendre.folle ! oHhhhhh oui ! Oh chéri, chéri ! Mon amour, oh oui. J’adore ce que tu me fais la ! C’est troooooop bon ! Oui oooo, aaahhhh, hullmm, ooooh !!!! Oui, oh !!!!

- Eh, les domestiques vont t'entendre !

- m'en fous. Je suis mariée. Pardon hum, fais moi seulement. Hum, oooo

J'ai accéléré en malaxant sa grosse poitrine et caressant son ventre. Je l'embrassais dans le cou et ses gémissements mélangé au bruit de mon pubis sur ses feqses étaient juste de ouf ! Je me suis vidé en elle avant de la retourner et de la prendre dans mes bras. Nous avons finir par prendre cette douche avant d'aller dîner en amoureux, posés devant la télé.

*** IRIS DJBI ****

Je suis tranquillement assise dans les bras de mon mari. J'ai le sourire aux lèvres après notre moment sous la douche. Ce gars, je l'ai dans la peau. Il a tout fait bien pour moi. Ce soir là quand on s'est vu pour la première fois, je rentrais de mon cours d’informatique quand deux gars m'ont coincée contre un mur dans un coin obscur.

Gars : eh poulette, tu vas où comme ça ? Ehhh Bill, regarde un peu le pare choc là (touchant mes seins) je lui ai donné une gifle qu'il m'a aussitôt rendue mais avec plus d’intensité. Meq oreilles ont fait viiiiiiinnnn ! 

Gars : ah, tu fais la saints ? Je vais aujourd’hui te montrer la vie. Touche un peu mon zob. (Prenant ma main et le posant sur son sexe, il était énorme) tu sens comme je vais te mettre bien ? 

Moi je priais seulement sans rien dire. Mon cœur dansait le ndombolo dans ma poitrine tellement j'avais peur. Son second s'est mis a mis peloter les fesses. Repoussais sa mains et il revenait a la charge en disant qu’il aimait bien les femmes de caractères. A un moment donné je me suis mise a hurler au secours voyant qu’ils voulaient vraiment me violer. J'en ai pris des gifles je vous dis. Je n'y croyais plus lorsque j'ai entendu quelqu'un derrière

Voix d'homme : Vous  êtes sérieux que vous voulez lui faire ça ? Moi à votre place, je ne le ferai pas.

Ils se sont retourné vers lui en sortant chacun son couteau. J’avais élément peur. Je me suis seulement fermé les yeux pour ne pas voir comment ils allaient lui ouvrir le ventre. J'ai gardé les yeux fermés jusqu’à ce qu’il touche mon bras en disant :

Voix : ils sont partis. C’est fini.

Je me suis jetée à son cou en pleurant. 

Lui : eh, tout vas bien ! Où vis tu ? Je te dépose OK ?

J'ai fait oui de la tête. Il m'a pros dans sa voiture et je lui ai indiqué le chemin. Mon père l'a tout de suite adopté. Il ont parlé toute la soirée comme de vieux copain. Des mois plus tard, on s’est recroisé sur mon lieu de travail et il Paris mon numéro. Depuis le départ, je savais qu'il était marié. Il ne me l'a pas caché. Il m'a juste dit qu’il eut de moi sincèrement parce que j'ai ce qu’il veut chez une femme, ce qu’il ne retrouve plus dans sa femme.

Lui : je te mentirais si je disais que je quitterai ma femme pour toi. Mais j’ai assez de place dans mon cœur pour toi. Si tu m'acceptes, tu verras que je suis un homme de parole. Tu auras ta maison, elle a la sienne. Il n'y aura pas de soucis. Elle ne viendra pas t’emmerder, j’y veillerai. Je sais que tu ne le feras pas toi. Alors je te laisse réfléchir.

J'ai demandé conseil à maman et elle m'a dit d’accepter parce que cet homme est sérieux sinon il m'aurait caché son statut, où il m'aurait promis des choses qu’il ne fera jamais. Je suis heureuse d'avoir accepté. Il est juste comme il faut. C'est un grand enfant. Il a besoin de tellement d’amour et d'attention et je le lui donne comme je peux. Vous me traitez de briseuse ? Je ne me vois pas comme telle. Je suis juste celle qui lui redonne le sourire quand sa femme lui charge les tonnes de problèmes . parfois même, il vient me trouver en pleine nuit après une dispute d’où il en avec un œil au cocard où une bosse au fronde, ou la lèvre fendillée. Je ne dis rien. Je le récupère, le soigne et je le met bien. Chez moi, il ne trouve que la paix et c'est ce que je prie de toujours lui donner. C'est mon homme. Je respecte son mariage même si je crains pour sa vie. Sa mère craint comme moi aussi. Mais nous prions chaque fois pour lui. Elle m'a adoptée comme sa fille et j'en suis heureuse. Je n'ai jamais demandé mieux que de m'entendre avec ma belle famille.

Moi, c'est Iris DJIBI, 25ans, marié coutumièrement à mon bébé Franck, le chouchou, le tout mignon. Je suis raide dingue de mon homme et j'attends des jumeaux. Je suis sur mon petit nuage. 

****** Quelques part dans un quartier délabré de Cotonou ******

Ils étaient cinq au total dont quatre au style louche, jeans déchirés, montre en or aux poignets, boucles aux oreilles. Ils étaient cinq et le cinquième était trop bien habillé pour être de ce milieu. Ils étaient cinq, et il y avait là une jeune fille d'environ vingt ans qui tirait nerveusement sur sa cigarette improvisée. Elle avait le regard froid, mort, les cheveux coupés, une culottes qui lui arrivais a peine sous les fesses. Dans l'une de ses poches, elle avait une arme dont la crosse pointait fièrement. Elle fixait l'homme qui n’était du milieu avec insistance. Elle l'avait écouté parler et exposer son problème, en disant tout ce qu'il avait sur le cœur. Un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres.

Elle : (dévisageant l'homme bien habillé ) Approche !

Il la regarda sans comprendre comment il pouvait encore avancer.

Elle : j'ai dit avance !

L'homme fit quelques pas vers elle en la fixant bien droit dans les yeux.

Elle : Tu es prêt à en payer le prix ?

l'homme : Oui, pourvu que je sois satisfait

Elle : tu le seras coco. Tu as ma parole.

L’homme : OK. Alors tu veux combien ?

Elle : (sourire en coin) : deux balles

L’homme : une

Elle : 1 et demi et on n'en parle plus. 

Ils se sont serrés les mains en se jaugeant du regard.

Elle : Alors avant de partir, je te donne un truc pour la route.

Sans plus, elle se retourna et baissa sa culotte en se cambrant.

Elle : Tu as cinq minutes pour me faire jouir, où je te casse la gueule.

Apeuré, il a retiré son pantalon de luxe et son boxer mais en voyant son sexe flasque il se découragea. Comment donner du plaisir avec un sexe qui ne pointé pas ? 

Elle : plus que quatre

Alors il s’agenouilla et se mit a faire le plus pénible des cunnilingus qu'il ait fait de toute sa vie. Et pour cause, le sexe se la dame ne sentait pas vraiment la rose. Elle s’était le pipi, le sperme, la moisissure. Mais il fallait s'appliquer. Elle grognait comme une truie en bougeant son sexe presque flétrie sur la bouche de l'homme qui n'avait autre choix que d'avaler le liquide dégoûtant qui sortait d'elle. Il s'appliqua tellement bien qu'au bout des cinq minutes, elle hurla de plaisir avant de s’écarter et de remettre sa culotte. L’homme se releva, dégoûté mais obligé de sourire comme un homme heureux.

Elle :  Tu peux y aller coco. J'attends le fric ici demain à la même heure. Ton travail sera fait après demain dans la soirée.

Il est parti sans regarder derrière, dégoûté pour de bon avec cet arrière goût du sexe de la dame dans la bouche.

La dame une fois qu'il a disparu

Elle : Je ne veux pas de bavure vous autres. Je veux un travail impeccable, sans trace. Si vous voulez le fric, faites le boulot.

****†************



**** KELLY ****

Je suis sur mon nuage. Et pour cause, la veille de mon départ de Soweto, Gaëlle est venue me voir à mon hôtel. Je n'ai pas voulu tirer sur ses motivations mais elle m'a confirmé que cette grossesse était de moi. Et Hans (sourire) s'est bien moqué de moi quand je suis allé chez eux, pour me présenter à ses parents. 

Ce matin là, j’étais entrain de faire mes valises quand on a frappé à la porte. Je n'attendais personne. Alors je suis allé voir. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir Yaelle là sur le pas de ma porte. Je l'ai détaillée su regard. Awwuuuu ! Elle portait une belle robe blanche qui la moulait et lui arrivait jusqu’au genoux. Ses cheveux étaient tenus en un chignon négligé et son ventre pointait. Je la regardais et m’imaginais en train de lui enlever cette robe et de plonger en elle.

Elle : Le spectacle te plait ?

Moi : (l'air idiot) euh… 

Elle : (taquin) Bonsoir Yaelle

Moi : bonsoir Gaëlle. Waooh ! Pour une surprise !

- Tu me laisses à l’entrée ?

- ( me poussant sur le côté) Non, bien sûr. Entre je t'en prie chérie.

- Chérie de quoi, pardon, mouf

- Ahahah, donc les sud africaine aussi savent dire mouf ? Je ne connais ça que chez les camerounais.

- Yinyinyin yinyinyin ! Villageois

- Merci ma belle citadine.

Sans gène elle se colla à moi, prenant tendrement mes lèvres. Surpris, je la laissai faire quelques instant avant de la repousser doucement

- C'est quoi le plan ? Je te rappelle que tu es enceinte d'un autre.

- Et alors ! Je veux profiter de toi. Qui sait si je te reverrai encore ?

- Tu es folle alliée

- Wep, de toi toujours. Ferme là et embrasse moi avant que je ne change d'avis.

Est-ce que j'avais même le choix. Tout mon corps me trahissait déjà et inutile se parler de « Kelly Kelly » Il manquait de peu qu'il déchire mon pantalon. Nous avons fait l'amour. Comme si c’était a première fois. Elle était toujours aussi étroite. Je lui ai mangé le minou et elle a eu deux orgasme dévastatrice. Quand j'ai plongé en elle, elle m'a regardé droit dans les yeux en souriant. Ce qu'elle m'a dit alors m'a déconnecté. Direct j'ai perdu mon érection en me levant d'un bon. Je suis même tombé, puisque je n'avais pas complètement enlevé mon pantalon. Elle était là, couchée sur mon lit, dans ma chambre d’hôtel entrain de rire aux éclats. Moi j'essayais de comprendre ce qu’elle venait d'insinuer. 

- Tu peux répéter ?

- Oooor Kelly tu déranges. Viens ici terminer ce que tu as commencer.

- Répète s’il te plait.

- ( droit dans les yeux, sourire aux lèvres) Je suis enceinte de toi

- Quoi ? Tu joues là !

- (Me regardant en souriant)

- Combien de mois ?

- Bientôt le cinquième

- Non !

- Si !

- Non !

- Si !

- Non !!!!! Yaelle !!! Mon amour, ma chérie. 

Puis bêtement je me suis mis a pleurer en évacuant toute la peine que j'ai ressenti depuis que je suis arrivé, ma peur de la perdre, ma jalousie dans le restaurant ce jour là. Elle me tenait tranquillement dans ses bras, émue. J'ai pleuré un bon coup. Avant de me mettre à l'embrasser . Je lui ai fait l'amour comme jamais je ne l'ai fait à une femme. J’étais si heureux. Elle attendait mes bébés ! Que demander de plus. J'avais enfin une bonne nouvelle. Après l'amour, nous sommes restes au lit. Elle m'a raconté tout ce qui s'est passé depuis mon départ. J’étais tellement sous le choc. Je n'en revenais pas. Depuis le temps que je voulais un enfant ! Et là d'un coup, j'en aurai deux. Nous avons passé le temps à rire joyeusement et à planifier notre vie à deux. Je lui ai promis de revenir le plus vite possible mais avant je voulais rencontrer ses parents. Elle m'a promis de me prévenir de la disponibilité de sa mère. Je l'ai raccompagné tard dans la soirée. Le lendemain vers seize heures j’étais assis dans leur immense salon, comme un enfant puni, tellement stressé. J’étais n dance de sa mère et ses frères. Je connaissais déjà Hans. Mais ce soir il ne souriait plus comme la dernière fois. Il était trop sérieux même. Yaelle était assise en face de moi, le sourire aux lèvres. Elle se moquait de moi et cela me réconfortait.

Mum : Sois le bienvenu mon fils

Moi : merci madame.

Mum : maman Lucia serai mieux

Moi : ( souriant bêtement) OK maman Lucia.

Mum : Alors c'est quoi le but de ta visite ? 

Moi : Merci maman Lucia. Je vous présente mes excuses pour le temps que ça m'a pris pour venir vous voir. Je suis Kelly MINANOU. Je suis béninois et musicien. Je suis le petit ami de Yaelle. Si je ne suis pas venu plus tôt, c'est parce que je ne savais rien de son état. Mais sachez que je suis très heureux de savoir que nous allons avoir des bébés.

Mum : c'est comme ça qu’on fait chez vois ?

Moi : (perdu) faire quoi ?

Mum : On engrosse l'enfant des gens comme ça, on disparaît pour réapparaître des mois plus tard ?

Moi : Je demande pardon. Je suis sûr que mes parents auraient honte de moi. Je suis vraiment désolé. Sachez que je veux faire du sérieux avec votre fille.

Mum : célibataire ?

Moi : non. Je suis encore marié. Mais plus pour longtemps

Mum : Donc , c’est à cause d'elle que vous divorcée ?

Moi : Jamais de la vie. Je divorce parce que je ne trouve plus mon compte dans ce mariage. Le plus important madame, c'est que je vais divorcer. Et quand ce sera le cas, je viendrai avec mes parents pour honorer votre fille comme il se doit. Vous avez ma parole.

Hans : Tu as plutôt intérêt parce que crois moi, je ne te raterai pas si jamais tu oses lui faire du mal.

Frère : Bien dit Hans. Ne crois pas qu'elle n'a pas de parents. Nous sommes ses frères et si jamais tu lui fait quelque chose, tu nous aura sur ton chemin.

Moi : Je vous promet de prendre soin d'elle. Pardon pour la manière dont les choses se sont passé.

Ils m'ont encore titillé pensant des minutes avant que leur petit frère Chelsy ne décide que ça pouvait cessé. Il m'a carrément kidnappé, me posant plein de questions sur les JUMPERS, sur Ana aussi. Ensuite, j’ai amené ma femme au restaurant et nous avons passé la nuit ensemble. Le lendemain, j’ai pris l'avion pour rentrer chez moi. Depuis, on n’arrête pas de s'appeler et de s’écrire.

Elle me manque énormément ma femme. Surtout quand je vois la conne de Frédérique jouer les grandes dames. Elle m'a fait rire quand elle s'est mise a me parler , oh chéri, nous avons un problème,. Que j'ai quel problème avec elle ? Elle utilise mon argent pour faire ses bêtises avec. J'ai tout coupé surtout que ses derniers temps, elle s'est mise en tête de me vider le compte. Je ne la calcule même plus. Chacun se gère dans la maison. De toute façon depuis un moment je ne la vois plus dans la maison. Après son altercation avec Anaïs (rires), je crois qu’elle a finalement honte de se présenter devant moi. Elle est assez intelligente pour savoir que je suis déjà au courant de son aventure avec Cécil. 

Il est vingt heures quand je quitte la maison.  Je sois me rendre chez Ana pour un dîner. Dans deux jours, c'est l’inauguration de son institut. Il fait dire que cette petite a de la jugeote. Elle ne cessera jamais de l’impressionner. Malgré tout ce qu'elle traverse en ce moment, elle est prête a réaliser ses projets. Le travail qu'elle a abattu est juste énorme pour une si petite femme. Quand on voit l'œuvre t qu’on vient regarder l'auteur, il y a vraiment déphasage. En tout cas je suis fier d’elle. 

J’ai passé une belle soirée. La maman d'Anaïs est un fin gourmet. Elle nous a sorti des mets de son village qui nous a juste laissé sans voix. J’ai mangé jusqu’à n’en plus pouvoir. C’est seulement à ce moment que la maitresse de maison m'a rabroué gentiment en l’interdisant e toucher au dessert. Seigneur, j'avais l'eau à la bouche. J'aurais même pleuré si les gens n’étaient as la. Anaïs s’est bien moqué de moi en me traitant de gourmand. J’étais vanné. Tout ce dont j'avais envie, c’était me retrouver dans mon lit.

J'ai quitté leur maison sur les coups de vingt-trois heures.  Je roulais lentement, vu que le sommeil me titillait. Je n'avais pas envie de faire un accident. 

J'ai vu une forme en travers de la route. Plus j’avançais, mieux je reconnaissais ce qui était couché. C’était une femme dont les vêtement étaient déchiré. Elle semblait ne plus respirer. J'ai freiné juste devant elle, le cœur battant, pourvu qu'elle soit encore en vie. Je suis descendu en me précipitant vers elle. Des que je me suis abaissé pour la retourner, j’ai reçu un coup sur la nuque qui m'a envoyé directement dans les vapes.

***** Quelques part dans Cotonou *****

Ça a été tellement facile de capturer ma proie. Il ne s'est douté de rien. Nous étions déjà la quand il est passé la première fois. Nous avons juste attendu, chacun a son poste. Des que j'ai reçu le feu vert, je me suis allongée en travers de la route. Je l'ai senti arriver, se garer et descendre de la voiture. Ses pas se sont dirigés vers moi. Des qu'il m'a touché BAM ! c’est le coup qu'on lui a mis sur la tête. Il s'est effondré sur moi. Mes éléments sont venus le prendre et nous nous sommes enfoncés dans les broussailles. Nous avons marché durant quelques trente minutes, avant d’arriver dans notre planque. C'est ici que nous faisons tous nos messes basses, qui devraient être liquidé, qui devait être bastionné, qui devait se faire poignarder. C’est mon bizness et je l'aime bien. L’adrénaline qui monte quand tu es sur le point de faire souffrir ta victime, le sentiment de supériorité quand on lit la peur dans leur regard.  Nous ? C’est Josh, Youri, pethshel et moi askyl. Je suis le chef de mon gang. Je sème la terreur sur mon territoire. Tout le monde me connait mais personne ne peut me dénoncer parce qu’ils ont peur des représailles. Ce soir j'ai un contrat de 1.500.000. Et j'ai la victime en face de moi. Il est toujours dans les vapes. J’espère qu’il se réveillera vite parce que je ne veux pas perdre mob temps

Moi c'est Askyl DIMITRI. J'ai juste 22ans. Je suis métisse de père polonais et de mère béninoise. J’ai mal tournée suite au viol dont j'ai été victime. J'en veux a tout le monde. Et tuer ne me fait ni chaud, ni froid.


ENTRE AMOUR ET PASSI...