Fin.
Ecrit par Jordan
… que dire ?
Protesté à ce stade serait folie et je mentirais en disant que je ne voulais
pas tenter l’expérience…
Elle fit tourner l’un des boutons de la télécommande
qu’elle tenait dans ses mains et un vrombissement annonçait que les deux godes
étaient en marchent, il fut accompagné par un gémissement étouffée par Amanda.
Elle s’avança en titubant presque. Une fois à ma hauteur elle se laissa tombé
entre mes jambes occupant la place de Ken qui était retourné s’asseoir dans
l’un des sièges et nous observait.
-
Vu que tu viens de jouir je vais profiter
de la sensibilité de ton corps.
-
Vas-y me fait pas attendre plus longtemps.
Dis-je en me mordant la lèvre inférieure ce qui la fit sourire.
Elle
ne se fit pas prier, empoignant le gode michet qui m’était destiné elle le posa
sur mon clitoris, les vibrations se firent ressentir aussitôt dans tout mon
corps m’arrachant un gémissement. Elle avait raison avec tous mes orgasmes de
la soirée mon corps était devenu hyper sensible. Faisant le tour de mon
intimité elle me torturait agréablement en se tortillant elle-même sous l’effet
du vibro qu’elle avait en elle ; enfin elle me pénétra d’un trait la
sensation était encore plus intense tout mon corps était en phase avec le sien.
Je me tortillais sous elle et elle sur moi la sensation était inédite et plus
Amanda se tortillait plus le gode s’enfonçait en moi, j’étais transporté, je
planais. Me disant qu’il ne pouvait y avoir meilleure sensation, quand soudain
je sentis les vibrations devenir encore plus intense. La réaction d’Amanda fut
la même elle laissa échapper un gémissement aigu.
-
Que faites-vous ? Poser ça tout de
sui…te je ne vous…permet…pas. Parvint-elle à articuler tellement le plaisir
embuait ses pensées.
Avec
quelques difficultés je suis parvenu à me pencher assez pour voir que Ken
tenait la télécommande qu’Amanda avait laissée tomber et s’amusait à faire
varier l’intensité des vibrations. Il tourna brusquement le bouton au max ce
qui me fit revenir à mes sensations je me mordais la lèvre inférieure pour ne
pas hurler de plaisir Amanda elle avait enfoui sa tête entre mes seins pour
étouffer les siens. Il fit ainsi varier l’intensité des vibrations jusqu’à nous
faire jouir toutes les deux. Perdu dans les profondeurs du plaisir j’essayai de
retrouver mes esprits quand j’aperçus Ken qui se tenait près de moi. Il
s’abaissa pour me libérer de mes menottes il a surement trouvé les clés dans
les poches d’Amanda. Cette dernière était encore trop embrumée par les Affres
du plaisir pour se rendre compte de ce qui se passait.
-
Qu’allez-vous faire maintenant ?
-
Quitter cette pièce et laisser nous je
m’occupe d’elle.
-
Oh qu’allez-vous lui faire ? Attendre
quel recouvre ses esprits et lui demander d’effacer la vidéo ? Et faire
comme si de rien était ?
-
Exactement, maintenant retourner dans
votre chambre.
-
Alala ma petite Marlie je te pensais plus
lubrique. Elle t’a baisé n’as-tu pas envie de lui rendre la pareille ?
Tien regarde.
Très
rapidement avant qu’Amanda ne puisse réagir il l’avait menotté les mains dans
le dos et lui retirais le slip gode avant de me le tendre. Elle me regardant
avec un regard plein de défis comme si je n’oserais jamais le faire. Ken me le
souleva de force et me le mit je n’opposais aucune résistance apparente, mais
ma raison et mes envies se faisaient une guerre dans ma tête. Les vibrations me
firent revenir à moi et le désir repris possession de moi me coupant
instantanément les jambes.
-
Ma petite Marlie à toi de décider. Regarde
comme elle te défit du regard.
-
Non, elle a raison je ne peux pas non.
-
Bien sûr que tu peux et tu vas le faire
regarde comment on fait.
Il
se glissa derrière Amanda qui tenta de lui échapper en vain quand il parvint à
l’immobiliser, il lui donna une claque sur chaque fesse. Celle-ci poussa un
gémissement encore plus aigu que celui quel avait lâché en jouissant un peu
plus tôt. Et avant qu’elle ne puisse protester il la pénétra d’une traite resta
ainsi sans bouger et lui mit une nouvelle claque avant de l’agripper par les
hanches et débuter un mouvement de va et vient lent. A en voir le visage
d’Amanda qui était désormais sa soumise il devait être des plus agréables
encore plus que le jouet qui vibre actuellement en moi.
Elle
n’a pas tenu bien longtemps avant de se laisser emporter par le plaisir il ne
bougeait plus depuis un moment et elle bougeait ses hanches toute seule, elle
le suppliait presque avec ses gémissements. Pendant que lui jouait avec la
télécommande me faisant perdre tout contrôle de moi quand il la mit au max avant
de s’occuper de sa soumise et de la pénétrer plus énergiquement tous en
pelotant sa poitrine. Et la fit jouir très vite je ne tardais d’ailleurs pas à
jouir une nouvelle fois. Cette soirée avait tourné en véritable orgie et il
avait raison j’avais envie de baiser Amanda.
Une
fois de retour à moi je m’approchais d’Amanda qui avait été libéré de ses
menottes, son corps était encore en proie aux Affres de la jouissance, mais
elle rampa dans ma direction a genou l’une face à l’autre nous nous prime dans
les bras l’une de l’autre, la chaleur de nos corps témoignait de notre quête
ardente d’un ultime orgasme.
Mes mains glissèrent le long de son dos pour
venir agripper ses fesses, tout en les caressant je me plaçais au-dessus
d’elle. Nos lèvres se cherchèrent et s’étreignirent dans un baiser langoureux
et plein de fougue. Le gode externe était posé contre son intimité et vibrait
contre ma zone pubienne. Elle gémissait contre mes lèvres pendant que d’une
main je tirais sur ses tétons. Quand je
me suis enfin écarté d’elle nous étions toutes deux haletantes, je lui ai rendu
son suçon en plein milieu du coup avant de lui mordre le lobe de l’oreille. Je
recouvrais lentement tous son corps de baiser et de suçons. Je lui ai même
prodiguée un cunnilingus. Tout ceci un peu à la hâte, car je n’avais qu’une
envie c’est de la pénétrer et découvrir cette sensation de domination qu’elle
aime tant.
Quand
j’en eu assez de la torturer, j’eux un regard vers Ken qui observait
attentivement la scène la télécommande prête à l’emploi. Il augmenta légèrement
l’intensité et ceux au fur et à mesure que le gode disparaissait dans
l’intimité d’Amanda qui se cambrait pour mieux savourer cette sensation. La
sensation de plein pouvoir était grisante je jouais avec mes hanches j’allais
et venait en elle et les variations contrôlées par Ken m’enivrai me faisait
planer de plus en plus. Et l’entendre haleter dans mon dos était aussi agréable
que d’entendre Amanda gémir sous moi.
Il se rapprocha de moi, me prit par les
seins, les caressait en tirant sur les pointes tandis que ses lèvres couvraient
mon cou mes tempes mes épaules et mon dos de brulant baiser, il murmurait à mon
oreille.
-
Oui bébé comme ça, oui contrôle le
mouvement soit ferme en entrant et lente en sortant voilà comme ça.
Je
suivais le rythme de sa voix instinctivement mon corps n’était que sensation et
pur plaisir. De ses doigts agiles il défit la sangle du slip et retira
lentement le gode qui se trouvait à l’intérieur de moi et avant même que je ne
m’en rende compte il me remplissait déjà. Le gode externe était toujours noué à
mes hanches donc chacun de ses cous de hanche me faisait pénétrer plus
énergiquement dans l’antre de la pauvre Amanda, elle était au bord du gouffre.
Il nous culbuta ainsi un bon moment allant tantôt lentement tantôt plus vite. Il
jouait avec mes seins puis m’intima de faire de même avec ceux d’Amanda. En me
penchant sur elle je lui livrais mon cul qui reçut plusieurs claques que je
ressentis jusque dans mon intimité. Il finit par pousser un gémissement rauque
annonçant qu’il avait joui ensuite ce fut le tour d’Amanda puis le mien. Nous
nous étions effondrés sur le sol épuisé par nos efforts de la soirée et
pleinement assouvis.
Ainsi
prit fin notre nuit de débauche et de luxure. Comment la nuit avait pris fin
j’en ai aucun souvenir. Ce dont je me souviens c’est que les jours qui précédèrent
le départ de Ken de l’hôpital furent une vraie bataille entre Amanda et moi
pour savoir laquelle aurait le droit de s’approprier Ken, mais nous finissions
toujours par en profiter toutes les deux. Aujourd’hui nous habitons tous les
trois dans le même appartement. Je vous laisse imaginer à quoi nous occupons
nos soirées. Sur ce je vous laisse
je dois réclamer ma dose d’orgasme quotidienne.
« Fin. »