Partie 4
Ecrit par Jordan
-
Ken ?
-
Wooooaaa ohoho ! Qu’est ce qui se
passe ici ?
-
Non pas vous allez vous en, je vous en
prie.
Instinctivement
je me suis roulé en boule pour essayer de me cache à sa vue, mais mes mains
était toujours menottée et malgré le duvet elle tirait sur mes poignets.
Comment j’avais pu en arriver là ? Comment allais-je m’en sortir ? Il
avait refermé la porte derrière lui avant de s’asseoir dans d’un des sièges
près de moi.
-
Alors, comme ça je n’ai pas su satisfaire votre
appétit. Qui aurait imaginé que vous étiez une femme insatiable et qui plus est
lesbienne.
-
Ce n’est pas ce que vous pensez allez-vous
en avant qu’elle ne revienne.
-
Je ne compte pas m’en aller après vous
avoir vus ainsi.
-
Vous êtes idiot ou quoi c’est parce qu’elle
nous a surpris et filmer que j’en suis là alors allez-vous en maintenant.
-
Je vois bah au point où on en est autant
en profité jusqu’au bout. Dit-il avec un calme impérial.
-
Vous êtes aussi fou qu’elle.
-
Surement !
Sur
ses mots il se rapprocha de moi, d’un geste lent et ferme il écarta mes jambes.
Pour les maintenir écarter il se servit de son corps il était allongé au-dessus
de moi. Ses lèvres trouvèrent les miennes, son baiser était tout sauf brusque
il était doux et langoureux. Mes jambes s’étaient détendues sous l’effet de
tant de douceur et j’y répondis avec tout autant de douceur en fermant les yeux,
quand il libéra mes lèvres j’avais le souffle court. Ses lèvres se posèrent
avec la même douceur sur mon cou me provoquant une vague de frisons, il me
gratifia de plusieurs baiser langoureux et mouillé. J’eus droit à un suçons à
l’opposé de celui d’Amanda. J’avais toujours les yeux fermés pour gérer mon
envie de le caresser et savourer son traitement.
Sa
main droite remonta très vite le long de mon flan gauche et vint se loger à la
naissance de ma poitrine elle passa d’une épaule à l’autre traçant un parcours
suivi pas ses baiser, il passa ensuite entre mes seins ses lèvres en firent de
même. Comprenant son manège je me concentrais non pas sur sa main, mais sur la
zone désignée par celle-ci résultat le contacte de ses lèvres n’en étaient que
plus savoureux. La volupté de cette caresse me faisait plus gloussé que gémir.
Il fit ensuite une série de cercles concentriques sur mes seins chacun à leur
tour évitant soigneusement mes tétons, j’ai dû l’imploré avant qu’il ne daigne
les léché et les sucé. Sa main glissa en spirale sur mon ventre dessina un
cercle autour de mon nombril tira délicatement sur mes poils pubiens puis fit
le tour de mon intimité toujours suivie de près par ses lèvres les frisons
étaient si intenses que toute mon intimité le réclamait.
Je
mettais cambrer pour avancer mon intimité à l’encontre de sa bouche, mais il se
redressa me laissant sur ma faim. Son regard se posa sur moi il n’avait rien du
fauve affamé d’il y a quelques heures que de la douceur dans ce regard.
-
Vous êtes si belle.
-
Qu’est-ce que vous racontez ? Si
c’est là tout ce que vous comptiez faire je vous prie de partir maintenant.
-
Non ma douce Marlie je n’en ai pas fini
avec vous. Plus tôt dans la soirée nous avons baiser maintenant je vais vous
faire l’amour.
Il
se retrouva au-dessus de moi tout nu en un rien de temps son érection
paraissait plus grande à s’en demander comment avait-il pu s’introduire en moi.
Tenant son érection d’une main il se servit de la pointe comme pour titiller
mon intimité. Il en fit plusieurs tours tout en gardant son regard rivé au
mien. Il la passa ensuite entre les lèvres vaginales je me tortillais tel un
asticot cela avait pour effet de faire entrer le bout de sa verge, mais il la
ressortait immédiatement.
-
Je vous en prie arrêter cette torture.
-
Que voulez-vous que je fasse dite le moi.
-
Je vous veux en moi maintenant. Ma voix
n’était qu’un murmure.
-
Je n’ai pas entendu.
-
Prenez-moi maintenant je veux vous sentir
en moi maintenant. Ma voix était suppliante et tremblante de désire.
-
A vos ordres.
Il
se repositionna l’entrer de mon intimité toute humide et d’un geste atrocement
lent il avançait en comme s’il avait peur d’entrer entièrement n’y tenant plus
j’ai refermé mes jambes autour de sa hanche pour l’aider à s’introduire plus
vite en moi. Ce brusque changement de vitesse me fit gémir à pleine gorge. Il
se retira lentement et moi je l’y ramenais. Le mouvement de vas et vient était à
la fois lent et brusque. Au bout d’un moment il prit entièrement possession de
moi je n’étais plus que gémissement et plaisir. Je le sentais frotter contre
chaque paroi de mon intimité, il durcissait de plus en plus, mais ses coups de
boutoir restaient toujours aussi doux et fiévreux.
Nous
étions sur le point de jouir quand Amanda fit irruption dans la pièce. Il n’en
arrêta pas son mouvement ni ne se retourna pour voir qui était arrivé. Au
contraire comme si cela avait réveillé la bête il se mit à me culbuter avec
plus de vigueur. Je jouis presque en même temps que lui pendant que sa semence
chaude se déversait à l’intérieur de moi j’en oubliais presque la présence
d’Amanda.
-
Hum ! Hum ! Je ne vous dérange
pas j’espère ?
-
Pas le moins du monde ma chère, en vous
attendant je me suis permis d’offrir un nouvel orgasme votre prisonnière.
-
Aussi prétentieux que vos congénères et
dire que je vous estimais un minimum.
-
Vous m’envoyer flatter, si vous me trouvez
prétentieux montrez-moi de quoi vous êtes capable et on laissera cette chère
Marlie décidé ensuite.
-
Certainement.
-
Je ne vous permets pas je ne suis pas
votre esclave sexuel.
Je
n’eus pas le loisir de protester plus longtemps Amanda avait enlevé sa robe.
Elle était presque entièrement nue un spectacle d’une rare beauté. Une femme
magnifique avec des courbes somptueuses surplanté de forme outrageusement
généreuse. Ses cheveux n’étaient plus noués en queue de cheval. Sur ses tétons
on pouvait apercevoir les marques laissées par les pinces à tétons. Ce qui
retint mon attention était ce qu’elle avait à la place de sa petite culotte. Je
le reconnue tout de suite c’est un slip gode michet et à en voir la forme cela
devait être un double. Comme pour répondre à ma question muette :
-
Voici mon petit joujou un slip gode michet
double. Un pour moi et l’autre pour toi.
-
… que dire ? Protesté à ce stade
serait folie et je mentirais en disant que je ne voulais pas tenter
l’expérience…
« A
suivre… »