Elle glissa sa main dans ma culotte,caressa mon petit bonhomme avec délicatesse tout en remontant jusqu’à ma poitrine. Elle se pencha sur mon torse et avec sa langue, je la regardai parcourir ma poitrine et l’abdomen comme un bébé qui n’avait pas tété il y ‘a un mois.

Je n’avais jamais eu autant de plaisir. Même avec mon ex on se la jouait à la rapidos. Les mots me fuyaient ; ma bouche eut l’air cadenassé de plaisir et mon cerveau complètement bousillé. Je la regardai tout en admirant ses différentes manières de faire.

Un adage africain dit que si tu fais l’amour à une femme d’une autre nationalité, fais le bien parce-que tu représentes tout une nation. Dans mon cas, ce ne fut pas une nation mais plutôt mon nom et ma personnalité. Alors j’ai décidé de lui donner beaucoup plus de plaisir.

Je pris le dessus, et avec ma main, je caressai le bout de ses jolis seins doucement en remplaçant ma main par mes dents ; et comme un mouvement de rotation, je fis tourner légèrement le bout de ses nichons.Ses gémissements se firent entendre. Elle me passa par-dessus ses mains et m’ enleva la culotte. J’en fis de même pour elle. Je glissai ma main gauche vers sa surface de réparation (cries…) passant dans ses jolis gazons bien taillés. Je caressai son point G .Eeeeh ouais on dirait qu’elle est plus sensible que moi. Elle me dit :

T’arrêtes pas mon chou !!!!!j’aime…

• Et qui a dit que je voulais m’arrêter? (Sourires…) j’en veux plus aussi….T’es prêt pour la seconde Battle ?
• T’as plus besoin de demander coco. Fais de moi ce que tu veux, amène moi où tu veux, fais moi planer.

Elle reprit le haut, attrapa mon petit bonhomme, le branla à plusieurs reprises et ensuite le mis tout doucement…Après ce fut les mouvements de vas et viens.Le ciel n’était plus loin.

Cela prit à peu près deux heures.Nous prîmes ensemble une bonne douche, je lui fis des omelettes et elle s’endormit. Je la laissai dans la chambre et je m’installai au salon.

On sonna à la porte ; je me demandai qui pourrait bien sonner ce dimanche matin!en plus je n’avais aucun rendez-vous. Je n’ouvris pas tout de suite. Je vérifiai d’abord si Soraya était toujours endormie et c’était le cas. J’enfilai mon débardeur et je me dirigeai vers la porte. L’alarme sonna de nouveau. J’ouvris et à ma grande surprise, qui voilà ! Aline…

(Je l’ai connu il y’a à peu près un mois. C’était la sœur à un pot. Elle est mignonne mais coriace. Il y’a eu un temps, j’avais des sentiments pour elle mais quand je les lui annonçai, elle me fit comprendre qu’elle n’avait pas du tout envie d’avoir une relation amoureuse ce que je digérai très mal. Avec le temps,je réussis à faire taire mes sentiments. Ce qui m’étonna c’est qu’on était devenus de bons amis et de temps en temps elle me rend visite.

• Bonjour mon ange ! me lança t- elle.
• Avec un air surpris je lui répondis : Aline ?qu’est ce que tu fais ici ?
• Quoi ! T’es pas content de me voir ?..Je faisais un jogging avec des amies et comme on est passé par là, j’ai voulu te dire bonjour. T’as pas l’air content de me voir, où bien ça te dérange que je passe te saluer un dimanche ?
• Euuuuh! non pas du tout juste que ce n’est pas dans tes habitudes de débarquer à l’improviste.
• Oui c’était pas prévu. Je te l’ai déjà dis. Pourquoi tu me laisse pas entrer ?j’aimerais me reposer un peu. En plus j’ai soif. T’as pas un truc pour me rafraichir ?
• Hum au fait je crois pas que ça soit possible. J’ai une visite actuellement donc tu vois que je ne peux pas te laisser entrer !!
• Une visite à cette heure là ?il n’est que 09h.J’en crois pas. Dis plutôt que t’as passé la nuit avec une meuf et qu’elle n’est pas encore partie.
• Et si c’était le cas ? C’est juste une amie qui m’a rendue visite.
• C’est pas la question que je t’ai posé…Arrête d’être pathétique. Laisse moi étancher ma soif et après je partirai. Comme ça tu auras tout le temps avec ta copine.
• Humm d’accord tu peux entrer. Je t’apporte de l’eau.
• Okay merci.

Je lui cherchai un verre d’eau dans la cuisine. Elle s’assit sur le bord du canapé juste là ou j’étais assis. Après avoir fini de boire, elle me dit :

• Tu sais toi et moi devons parler. Fais moi signe si t’ es dispo ce soir. Comme actuellement tu es occupé, je n’aimerais pas te déranger.
• Qu’y a-t-il ?c’est urgent ? Pour ce soir, je ne suis pas tout à fait sûr mais je te ferai signe.

En ce moment, Soraya sortit de la chambre à moitié nue. Elle fut très surprise en voyant Aline. Je fis les présentations puis Aline s’en alla.

Après son départ :

• J’espère que ton amie n’est pas vexée en me voyant ici
• Non bb je ne crois pas. T’inquiètes pas pour elle.
• OK si tu le dis sinon je n’aimerais pas créer des problèmes.
• Je t’assure qu’il n’y a aucun problème. Dis moi tu as aimé passer du temps avec moi ?
• J’ai plutôt adoré. S’il est à refaire, je le ferai. Je ne regrette pas de t’avoir rencontré. Bon maintenant je dois partir Sinon Tatiana (ma tante) sera inquiète.
• Okay alors on se reverra quand ?
• Je sais pas trop. On garde le contact. (En train de s’habiller) Aide-moi à faire sortir la voiture s’il te plaît.

Je me dirigeai vers le garage ; je fis sortir la voiture, On se dit au revoir et elle démarra. Je la regardai s’éloigner de moi jusqu’à ce qu’elle ne disparaisse complètement. A ma grande surprise, Aline n’était pas partie. Tout ce temps elle attendait derrière une baraque devant près de chez moi. Elle vint à ma rencontre.

• Elle est canon et en plus riche. T’as gagné le gros lot…..
• T’es toujours là ?je te croyais partie ? Qu’est ce qui se passe ?pourquoi t’es pas partie ?c’est mon amie.
• Une amie Verdo ? Arrête de mentir! Une amie qui sort à moitié nue de ta chambre et qui a passé la nuit chez toi ?
• Laisse tomber d’accord ? Dis moi de quoi voulais-tu me parler ?
• T’as couché avec elle n’est ce pas ?
• Aline arrête s’il te plaît…Ce n’est pas comme on sortait ensemble toi et moi.why tu veux tout savoir?Dis moi plutôt ce dont tu voulais me parler.
• si si ça l’est pour moi, je suis finalement tombé amoureuse de toi. J’en suis sur et certaine. C’est ce que je voulais te dire.
• Quoi ? C’est vrai ce que tu affirmes ?ne restons pas dehors ici. On va en parler à l’intérieur, rentrons.

A l’intérieur

• Aline s’il te plait dis moi que c’est pas vrai ce que tu dis !!!Tu m’avais pourtant bien dis que t’étais pas prête pour une relation et qu’en plus ça pouvait pas coller entre nous deux. Maintenant tu viens me dire le contraire ?ça fait plus de six mois cette histoire! j’ai finalement oublié. Tu pouvais pas savoir ce que j’ai enduré.
• Su désolé….J’étais pas sûr de mes sentiments. Et en plus t’avais pas l’étoffe d’un gars cool. Mais avec le temps je me suis rendu compte que c’est plutôt le contraire. J’espère que c’est pas trop tard.
• Sincèrement j’en sais rien. J’ai plus les mêmes sentiments pour toi depuis que tu as préféré qu’on soit amis.
• C’est normal mais on pourrait recommencer à Zéro. Je me fiche que tu ais couché avec cette meuf ou pas. Dis-moi juste qu’on peut se donner une chance.
• Je ne sais pas Aline. A vrai dire j’en suis pas sûr.
• Ah bon t’es pas sûr ?ou c’est à cause d’elle que tu ne l’es pas?
• Je te rappelle que c’est toi qui a dis que ça pouvait pas coller entre nous et que tu préfères qu’on soit des amis.
• Tu ne comprends rien du tout. Je voulais être juste sûre avant d’accepter. Si je me sentais pas bien avec toi pourquoi viendrais-je souvent ici ? t’es tellement aveugle toi.
• Comment allais-je savoir ?si tu me répétais tout le temps que nous sommes des amis ?
• Eh bien fallait insister si c’était vraiment important pour toi. Tu ne m’as toujours pas dis si vous avez couché ensemble.
• Tu venais à peine de dire que tu t’en fichais et tu reposes la même question ? laisse moi réfléchir s’il te plaît.
• T’inquiète j’ai déjà la réponse. Je m’en vais. T’es pas celui que je croyais.
• Non Aline attends s’il te plaît. On va en parler stp !!
• Parler de quoi ?lâches moi. Ne me touche pas.

A suivre

Koffi Olivier HONSOU

Copyright mai 2018.