Invitations!

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 26


*Invitations……


MAXIME 


Je suis assis avec les gars de la réunion et ils me fixent comme-ci j’avais  commis un crime. Je leur ai présenté mes excuses mais ils font comme si de rien n’était pourtant j’ai vraiment pris sur moi afin de le faire. 


Le président : (ton bizarre)  et maintenant tous me traite de poulain qui se fait diriger par vous ! (soufflant)


Moi : (hautain) navré mais je n’aime pas lorsque l’on se mêle de mes affaires 


Le président : (me fixant)  eh ben ca alors je devais donc vous regarder vous bagarrez comme des enfants 


L’autre abruti : (avec une vilaine tête) regarde comme tu t’ai jeté sur moi, tu m’as presque casser la mâchoire 


Moi : (regardant les autres)  je me suis excuser pour tout, mais toi tu as mérité ton geste (le fixant) 


Lui : (ahurit)  mériter ? Juste parce que je l’ai invité à prendre un verre ? 


Neslie : (me donnant un de ces regards)  est-ce que tu t’entends parler ? Agresser ton amie juste pour une femme que tu connais à moitié ? 


Moi : (évitant son vilain regard) je t’en prie Neslie, nous tous savons qu’une seule chose nous lie ici soit le pouvoir, donc ne me parle pas comme si j’avais agressé mon frère d’une autre mère. Je m’excuse pour tout mais cette femme est en quelque sorte mon invité et est sous ma protection donc je ne peux que la protéger de tous qui représente une menace.  (énervé) 


Lui : (riant) je pense que tu l’a vu pour plus encore, comme par exemple pour femme. J’espère être invité au mariage (voulant me narguer) 


 Neslie : tu parles, boffff  (s’emportant) 


Moi : (leur demandant)  elle n’est pas venue aujourd’hui ? 


A ce moment on frappa à la porte et on la vit arriver, ah cette femme pouvait faire frissonner n’importe qui. 


J’allais à sa rencontre en lui faisant une bise digne d’un vrai gentleman. 


Elle : bonjour à tous  (sereine) 


Eux : bonjour Mme Nelson (et oui pour eux c’était madame Nelson et je voulais que ça le reste) 


Moi : (inquiet vu son retard)  tu vas bien ? 


Elle : oui Bely  et toi ? (me faisant un petit sourire) 


Moi : (lui souriant)  moi de même mais plus maintenant que tu es là 


Neslie : on peut passer aux choses sérieuses maintenant ?   (me fixant) 


Lui : (la regardant)  vous avez du retard aujourd’hui madame, avez-vous eu du mal à nous retrouver ? 


Elle : (sereine)  non, j’ai reçu un message privé m’indiquant de me pointer qu’à cette heure donc c’est ce que je fis 


Moi : vraiment ?  (Ne comprenant pas) 


Lui : (tout autant surpris que moi)  ah bon ? 


Elle : oui 


Je regardais Neslie et elle affichait une mine du genre « Quoi ? » je compris alors tout ceci. C’était elle j’en suis sûre. 


Moi : (serein mais assez fort pour que les autres entendent)  écoutes moi la prochaine fois que tu reçois ce genre de message tu me contactes à n’importe quel heure je te situerai sur tout 


Le président : (la rassurant) de plus vous êtes maintenant des nôtres donc à chaque réunion vous pouvez venir. Bon on peut commencer je dois faire semblant de diriger un pays moi. (Me fixant) 


Moi : nous sommes prêts 


******


Nous sortions de la réunion et je parlais avec Jokey pour espérer avoir un rendez-vous lorsque Neslie commença 


Elle : (faux sourire) Mme Nelson, vous savez entre nous, membres important nous aimons connaitre chez chacun, et vu que vous semblez en faire partie également nous aimerions si possible connaitre chez vous. 


Jokey : euh,….connaitre chez moi ? (la regardant) 


Elle : bien sûr ou vous ne recevez personne ? (souriant) 


Moi : (la défendant) elle vient juste d’arriver et n’est pas encore bien installer 


Elle : (me fixant) je ne parle de passer toute une journée à papoter avec elle en nous attardant sur certains coins de sa maison juste savoir où elle loge. On lui fait une confiance aveugle pourtant désolé pour mes mots mais personne ne sait plus d’elle. (Avec une fermeté) 


Moi : Neslie, je t’en prie. Ce que nous savons nous convient (ne la comprenant pas) 


Elle : toi peut-être mais nous autre ne savons pas assez (haussant les épaules) 


Moi : Neslie ! 


Elle : on peut savoir où elle vit par exemple 


Moi : pourquoi faire ? 


Elle : (parlant sans s’arrêter)  pour mieux la connaitre et savoir si elle mérite cette stupide confiance aveugle que tu lui fais 


Moi : Neslie ! 


Elle : (vraiment prête à toujours me répondre)  et aussi tous les pétrins dans lesquels tu t’ai mis et contre t’y mettre encore pour elle 


Moi : ca suffit Neslie ! (ton dur) 


Elle : et moi je soutiens que…..


Jokey : (la coupant et m’attrapant le poignet) Bely, laisse. (Avec une de ces voix)  Ils ont  tous par la voix de Mme Valls parfaitement raison, (lui souriant)  vous me faites entrer dans votre monde et vous boulez bien sûr savoir si je suis digne de confiance. Même si je pense que nul été le cas je ne serai jamais entré ici, mais je vous l’accorde vous devez savoir ou je loge. (Avec un certain calme) 


Moi : mais tu n’es pas obliger (voulant lui prouver qu’elle a le choix) 


Jokey : (me souriant) non ça ira Bely 


Elle : (heureuse)  alors d’accord pour un tout petit partage de café chez vous ? 


Jokey : (se crispant) bien sûr que non, un simple partage de café ne ferait que vous injuriez. (Souriant) Vous êtes des gens puissants alors laissez-moi vous recevoir comme tel, on fera un diner chez moi, dans les jardins de ma résidence et cela sera vraiment très bien emménager pour vous recevoir. 


Elle : ok on accepte même si ce n’est que les jardins (voulant la narguer) 


Jokey : (sereine)  faites-moi confiance je ferai moi-même la mise en place, chez nous vous savez on dit que lorsqu’un étranger nous ouvre sa porte, peu importe ce que l’on ne voit pas. Le plus important reste son geste. (Souriant) 


Moi : tu n’es pas une étrangère (la rassurant) 


Jokey : (me souriant) juste une manière de plus me faire comprendre 


Elle : (faux sourire)  ok demain alors 


Jokey : je vous laisse décider avec le président de la république du jour, (prenant son sac)  mais j‘ai un fils qui va à l’école et donc pour ce genre d’évènement je suis plus apte à être disposer corps et âme les week-ends. Donc j’attends votre retour bien sûr en fonction de la disponibilité de chacun 


Le président : (souriant)  c’est très aimable à vous, j’en parlerai à la première dame et si je ne peux elle viendra me représenter 


Jokey : je vous en prie 


Elle me souriait et j’étais aux anges, j’appréciais cette femme. Elle avait un truc.


JAMILA 


Moi : (énervée)  elle veut venir connaitre chez moi


Lizzie : comment ? 


Moi : oui, elle et toute la bande. Qui est bien sûr mené par elle 


Elle : elle est folle cette femme 


Moi : surement pas, elle n’a rien eu sur moi et veut plus fouiner en venant ici (certaine) 


Elle : non mais pour qui se prend cette femme-là ? (ahurie) 


Moi : (haussant les épaules)  je l’ignore mais je n’ai pas voulu paraitre sournoise et les invités à un diner du genre diner gala le week-end 


Elle : on pourra laisser Ethan à la maison de campagne ? 


Moi : (acquiesçant) oui tu pourras y rester avec lui 


Elle : mais je ne veux te laisser seule avec ces gens 


Moi : (la rassurant)  je n’aurais rien, t’en fais pas. Mais par contre si une chose arrive à l’un d’entre vous je ne me le pardonnerai jamais (la fixant) 


Elle : ça me fait peur çà  (me regardant) 


Moi : (touchant son bras) ne t’en fais pas. Je vais redoubler la sécurité et en plus mettre des caméras qui seront suivis par le détective, il me donnera une oreillette que je pourrai placer en cachette et lorsqu’il remarquera un truc louche je le saurai


Elle : (souriant)  j’aime bien cette procédure par contre 


Moi : (lui rendant son sourire)  moi de même,  au fait dit merci à Franck de ma part s’il te plait. J’ai vu les excuses présentés ce matin 


Elle : (soupirant)  je t’en prie, même si les commentaires n’arrêtent pas et qu’Andy continue à en parler sur le net. 


Moi : sérieux ?  (Ahurie) 


Elle : (continuant)  oui Franck dit qu’il le boude même, il t’en veut vraiment pour cette plage, pourquoi y est-il si attaché ? 


Moi : elle représente assez dans notre histoire (je lui expliquais un peu) et maintenant je refuse de la partager avec lui (sereine) 


Elle : elle compte vraiment cette plage mais tu es sure que ce n’est pas la peur qu’il y emmène une autre fille qui t’a fait l’acheter  (me demandant) 


Moi : pas le moins du monde. (Me levant) 


Elle : ok 


Moi : (pensant à un truc)  je sais ce que je vais faire, je fais les inviter lui et Franck ici aussi pour pouvoir enfin arrêter cette histoire de plage 


Elle : vraiment ?  (Ahurie) 


Moi : c’est la presse qui me dénigre alors j’invite la presse. (Lui faisant un clin d’œil) 


Elle : ok j’en parlerai à Franck  (souriant) 


Moi : (certaine)  d’accord je vais de ce pas allé inviter ce cher Andy en personne


Elle : il nous faudra des cartes d’invitations alors. N’importe qui ne peut entrer chez nous ainsi tu le sais (me le rappelant) 


Moi : (acquiesçant) tout à fait d’accord 


********


Moi : je désirerai voir M. Assi, s’il vous plait


Elle : ok je vous annonce, de la part ? (polie) 


Moi : de madame Nelson, je vous en prie 


Elle : ok 


Elle lança l’appel et parla brièvement avec lui.


Elle : (mine triste) désolé madame, M. ne peut vous recevoir 


Moi : oh mais pourquoi cela ? (ahurie) 


Elle : il dit ne pas avoir rendez-vous avec vous, je peux prendre un message ? 


Moi : non merci ça ira (souriant) 


Cette entreprise avait bien changé, maintenant avant même de pouvoir accéder aux journalistes ou présentateurs il fallait d’abord passer à la réception. Mais cela ne fait guère mal, c’est bien une entreprise qui améliore ces services. Ce qui me met en rogne c’est le fait qu’Andy est pu se permettre de ne pas me recevoir. 


ANDY 


Moi : (voulant partir) c’est juste pour cela que vous m’avez demandez de venir ? 


Elle : oui, je croyais que vous étiez en guerre (souriant) 


Moi : je suis un journaliste qui est pour la vérité et la justice. Je ne suis en guerre contre personne, alors si c’est cela qui vous a motiver à venir me parler vous vous êtes trompée de personne madame  (me levant) 


Elle : (sereine)  je reste disponible si vous changez d’avis 


Je sortis de ce restaurant dépassée par cette femme nommée Neslie Valls, me faire appel afin que je cherche des vilains secrets dans le placard de cette méchante milliardaire. Non ce n’est pas mon job cela, ma seule priorité est qu’elle quitte sur la plage de ma Jaja. 


Déjà que Franck m’a laisser tomber en lui présentant des excuses, faudrait pas que je parte créer autre chose encore et qu’il ne se contrôle plus et me crie dessus. 


Cette journée est vraiment la plus bizarre de la semaine, ma dispute avec Franck d’abord, la visite surprise de cette méchante milliardaire et maintenant cette Neslie Valls qui me demande un service hors du commun. 


J’ai besoin de me ressourcer et une seule chose peut m’y aider un tour sur la tombe de Jamila et un tour à la plage, histoire de tout oublier. 


Qui sait peut-être qu’elle n’a pas encore interdit l’accès à cette plage là. 


********


Elle : (derrière moi)  je vois que vous ne respectez rien 


Moi : (me retournant)  et je vois que vous m’espionner 


Elle : vous êtes sur ma plage je vous signale  (regard dur) 


Moi : madame cette plage n’appartient à personne (la fixant) 


Elle : alors pourquoi en faites-vous une affaire personnelle ? 


Moi : parce que j’y tiens à cause d’une personne particulière pour moi  (la fixant toujours) 


Elle : (froissant son visage)  alors offrez-lui autre chose 


Moi : (énervé)  tout n’est pas comme dans votre monde ou on offre tout et on a la personne que l’on veut. Cette personne est essentielle et n’a pas besoin d’autre chose,  nous avons besoin de cette plage nous deux 


Elle : (autoritaire)  et vous ne l’aurez jamais 


Moi : (automatiquement)  pourquoi parce que votre petit-ami est Maxime Bely et qu’il tuerait même pour vous ? 


Elle : (me regardez comme dépassée)  vous racontez d’énormes salades vous savez 


Moi : (souriant nerveusement) si c’était une autre personne je lui aurais dit de faire attention à ces gens,  mais vous vous semblez comme eux donc c’est votre affaire (haussant les épaules) 


Elle : (s’emportant)  ne me jugez pas car bous ne me connaissez pas et aussi  parce que depuis fort longtemps les jugements des personnes qui semblent tout savoir comme vous ne me font ni chaud ni froid. 


Moi : (la fixant) et dire que je vous est pris pour elle 


Elle : qui ? 


Moi : (froid)  une personne que vous ne méritez même pas de connaitre 


Elle : si je suis si méchante que ça pourquoi rester là à me parler. Évitez-moi 


Moi : (ton dur)  je suis ici car je suis sur un domaine public et ce n’est pas parce que vous êtes la nouvelle distraction de M. Bely que…


Elle : (me giflant)  ne vous amusez à me parler de la sorte vous ne me connaissez pas 


Moi : (touchant ma joue) et dire que les avis des gens ne vous font absolument rien, écoutez chère dame je vous évite assez la preuve est que je ne vous est pas reçu aujourd’hui à mon lieu de travail. Mais tant que cette plage restera la sienne vous continuerez à me voir (serein) 

 

Elle : (sereine)  et vous écouter moi très bien, j’étais juste passé à votre service  pour vous inviter chez moi ce Week-end afin d’être à votre merci et répondre à toutes vos questions si vous le souhaiter. J’organise un diner et tous les grands du pays y seront donc je vous laisse voir. Mais pour ce qui concerne cette plage je vous demande de l’effacer de votre mémoire, car rien ni personne ne me la reprendra (certaine) 


Moi : quand ? 


Elle : quoi ? 


Moi : ce diner 


Elle : ce week-end, précisément  le samedi (me fixant) 


Moi : j’y réfléchirais (détournant mon regard) 


Elle : ok trouvez donc un moyen de me répondre au plus vite, car on a beau se jouer les plus déterminés mais n’entre pas chez moi qui veut (sereine) 


Moi : j’en tiens compte 


Elle : je l’espère bien. 


Je retournais chez moi en pensant à cette femme, elle me rappelait tant Jaja de visage, car Jaja était bien plus en forme qu’elle et n’avais pas cette audace et assurance en parlant. Elle m’a même giflé, mais bon je l’ai un peu cherché, en même temps elle s’attend à quoi de cet homme ?  Il va la sauter de toutes les manières possibles et l’oublier. Bofff je m’en fous royalement. 


Moi : Julie ? (inquiet) 


Elle : (essuyant ces larmes) oui chéri 


Moi : (inquiet) pourquoi pleures tu ? Tu as mal quelque part ? 


Elle : non, non


Moi : quelqu’un va mal ? 


Elle : non tout va bien 


Moi : dis-moi donc ce qu’il y’a Julie ? 


Elle : (s’agenouillant) Andy si je t’ai fait un truc mauvais ou si mes parents t’ont stressé sans que je ne le sache excuse moi (pleurant)


Moi : (la soulevant) mais de quoi tu parles ? 


Elle : (voix tremblante)  je suis désolée si j’ai eu à te vexer, mais j’ai l’impression que tu ne me supporte plus. Tu es tout le temps perdu dans tes pensées (pleurant)  et aussi tu ne fais que m’éviter comme un grand frère qui fuit son adorable petite sœur, pourtant tout allait si bien. 


Moi : (essuyant ces larmes) Julie je suis vraiment navré, viens là, allez chut, ne pleure plus. C’est juste que j’ai eu assez de soucis avec mon travail, mais rien de tout ceci n’est contre toi, au contraire tu m’aides et je suis désolé de ne pas t’avoir accordé tout le temps que tu mérites. 


Elle : je veux juste continuer à faire partie de ta vie  (me serrant plus fort) 


Moi : (l’enlaçant et lui caressant le dos)  et en quelque sorte tu fais partie de ma vie 


Elle : (me regardant)  alors pourquoi tu ne m’emmène plus partout avec toi et aussi la voir ? C’est à cause de la date d’anniversaire de sa mort qui approche ? Je veux comprendre (se remettant dans mes bras) 


Moi : (ne sachant quoi dire)  tu fais tant d’efforts pour moi, je suis vraiment navrée de tout ceci. Ecoutes moi le samedi tu te feras toute coquette car je t’emmène à un diner gala, j’y serai pour le travail mais je veux que tu viennes aussi 


Elle : vraiment ? (souriant) 


Moi : oui  (lui rendant son sourire) 


Elle : merci chéri  (m’embrassant) 


Il ne me reste plus qu’à trouver l’dresse de cette femme et y inscrire le nom de Julie sur les invitations aussi.  J’espère que ça pourra se faire. 


JAMILA 


C’est le grand soir et je suis sereine et tranquille. Tout le monde est là et tout se passe bien, les journalistes sont dans un autre coin et nous à l’ opposé d’eux. Mon jardin est grand donc je peux tout me permettre. 


J’allais donc au centre du jardin et me mis dans une position qui faisait face à tous et je commençais : 


« Bonsoir à tous, je vous remercie d’être venue à mon humble demeure et j’espère de tout cœur que si tout au moins une chose a pu vous plaire ici. Je me représente donc pour ceux qui ne me connaissent pas assez je suis Mme Jokeybed Dominic epse Neslson. Je suis Ghanéenne. Je suis pour tous une femme d’affaires puissante qui adorent faire croitre son chiffre d’affaires mais en même temps quel chef d’entreprise n’aimerait pas cela (riant avec certains). 


Pour d’autres je suis la gentille femme d’affaires venue ici pour connaitre ce beau pays et y investir une partie de mon argent, pour certains je reste la méchante femme d’affaires prête à tout pour avoir ce qu’elle désire. Et je comprends et accepte tout cela car je ne vous ai pas donné l’occasion de me connaitre. Je veux juste que vous retenez en plus de ce que vous savez déjà que la femme veuve et mère que je suis n’ai en aucun cas venu ici dans le but d’enfreindre des règles. Je ne peux le faire chez moi donc pourquoi commencerais-je ici ? 


J’ai avec moi ici aujourd’hui le ministre de la construction et du logement et aussi le propriétaire de la plage qui a fait naitre certaines rumeurs à mon sujet, afin que vous puissiez tous, surtout mes chers journalistes à qui j’ai donné du fil à retordre cette semaine avec cette histoire, vous pouvez donc les approcher et leur demander plus ample information concernant l’achat que j’ai effectué. Aussi je reste moi-même disponible pour toutes vos questions, et sachez une chose ma venue dans ce pays n’est pas  dans le but de vous privez de vos bien, non mais y participer. Voilà pourquoi j’ai moi-même demander au ministre de la construction le permis ou les permis nécessaires afin de créer des centres d’attractions équipés au sein de chaque commune pour permettre à tous de vous relaxer et vous divertir. Je vous remercie encore et tout en restant présente pour vous je vous souhaite une agréable soirée. » 


A ma grande surprise les gens se levaient et m’acclamait. Andy restait  serein mais n’avait plus cette mine boudeuse, normal il est venu accompagner là.  Je parlais avec les membres de mon clan qui me félicitait lorsque je reçus une alerte dans mon oreillette. Je compris que quelqu’un faisait un mauvais truc. Je partis donc vers le bureau ou on m’avait indiqué que la personne s’y trouvait lorsque 


Lui : Jokey ? 


Moi : oui Bely 


Lui : ou vas-tu ? 


Moi : (souriant)  prendre une nouvelle bouteille pour vous


Lui : je peux t’accompagner ? (souriant) 


Moi : d’accord


Nous partions, et Bely n’arrêtait de magnifier ma beauté et mon intelligence. On approcha du bureau et je fis introduire la clé mais la porte était déjà toute ouverte et on entra. 


Lui : il y’a un souci ? (voyant que ma mine avait changé) 


Moi : je croyais avoir fermé le bureau à clés


Lui : tu as du oublier  (me rassurant) 


Moi : oui allons, rentrons donc 


Je pris donc la bouteille en prenant mon temps juste pour savoir où était cette personne et le signal dans mon oreillette me dit qu’elle était derrière le rideau. 


Lui : tu cherches un autre truc ? 


Moi : au fait je voulais de montrer un de mes hobbys préférés 


Lui : ah bon ? (heureux) 


Moi : oui j’adore… (Tirant le rideau et criant) Ahhhhh mais que faites-vous ici ? (mine ahurie)  


Lui : NESLIE ?  (Choqué) 


Elle : oui Maxime (quittant derrière le rideau sans son sourire cette fois-ci) 


Lui : je peux savoir ce que tu fais ici ? (regard sévère) 


Elle : je me suis trompée de porte je cherchais les latrines 


Moi : derrière ce rideau ? (étonné par un si mauvais mensonge venant d’elle) 


Elle : (continuant sereinement)  je vous est entendu rentrer alors pour ne pas vous gêner et pour ne pas que vous supposiez un truc j’ai préféré me cacher 


Lui : tu mens, tu es venue espionner ou fouiner (ton dur) 


Elle : (s’emportant)  pour quelle raison ? Et même si je le fais avez-vous vous deux un truc secret à cacher ? 


Moi : (sereine)  personne n’aime que l’on fouille dans sa vie, c’est  comme si vous étiez une espionne et moi un danger. Libre à vous de ne pas me fréquentez si vous me trouvez douteuse mais venir chez moi pour ensuite inspecter mon bureau Mme Valls, je trouve cela un peu irrespectueux.  Mais bon si ça fait partie d’un autre test et bien nous allons ressortir comme si de rien n’était et vous laisser fouiner. (La fixant) 


Lui : (automatiquement) jamais une seule personne doit s’en aller et c’est elle 


Elle : Max ? (ahurie) 


Lui : tu exagère Neslie tu exagère ! 


Elle : désolé Mme Nelson, et au revoir MAX  (sortant) 


Elle partit d’un pas pressé. Je souriais à l’intérieur de moi et abordait une mine froide et dépassé à Maxime qui ne faisait que s’excuser. 


La soirée continua donc sans dame Valls. 


Lui : nous allons partir (derrière moi) 


 

Moi : (me retournant)  merci d’être venus et j’espère vous avoir convaincu ? 


Lui : (serein)  oui un peu, mais on en reparlera dans un cadre plus professionnel.


Moi : je suis donc invitez au bureau ?  (Ahurie) 


Lui : (souriant)  on peut dire cela, passez une belle soirée Mme Nelson et merci encore. 


Moi : vous de même M. Assi 


Sa copine me souriait et je lui rendis un sourire aussi. Je continuai à les regarder bras dessus, bras dessous quand il se retourna et me fixa, on se fixa comme ça encore un peu lorsque sa copine nous surpris et lui demanda si tout allait bien ? 


Faut que je les oublie. 


JULIE


Non mais qui est cette femme ? De toute la soirée Andy ne la quittait des yeux, il la fixait comme s’il l’a connaissais. J’étais toujours obliger de lui parler pour qu’il se souvienne de moi. J’ai trop donné, trop attendu, trop supporter pour qu’une moins que rien de femme ne vienne me l’arracher, même si elle est milliardaire, non je ne l’accepterai pas, je supporte déjà Jamila et maintenant une autre ? Dieu m’en préserve. 


Lui : à demain (bise sur le front) 


Moi : chéri ? 


Lui : oui Julie 


Moi : je veux te demander un service 


Lui : ok demain donc 

 

Moi : (voix suppliante)  non je veux le dire maintenant s’il te plait 


Lui : (se retournant automatiquement) c’est grave ? 


Moi : pas tellement 


Lui : ok vas-y


Moi : (petite voix)  je veux retravailler à l’entreprise avec  toi comme avant 


Lui : (ahurit) l’argent que je donne ne suffit plus ? Tu veux une augmentation ? Tes parents ont besoin d’un truc. ? Tu peux tout me demander tu sais ? (me touchant le bras) 


Moi : (souriant) non tout va bien, juste que j’ai envie de reprendre du service. Aujourd’hui avec tous ces journalistes j’ai eu la nostalgie, je te promets. J’ai envie de m’occuper avec un truc que j’aime et qui me va bien


Lui : sérieux ? 


Moi : oui 


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