Plus Connaissance !

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 25


*Plus Connaissances ! 


NESLIE 


J’entrais rapidement dans la maison de Max toute remontée par sa bêtise d’hier mais plus par les titres d’aujourd’hui. 


Moi : (craint) je peux savoir ce qui t’a pris au juste ? 


Lui : (gueule de bois) ah salut Neslie 


Moi : tu as vu les titres d’aujourd’hui Max ? (énervée) 


Lui : (se frottant les yeux) que s’est-il passé au juste et pourquoi tu cri ainsi ? 


Moi : (m’emportant) tu as injurié le président et tous les titres d’aujourd’hui sont juste scandaleux. 


Lui : (prenant les journaux) ah oui…. (Voulant se justifier) mais il n’avait qu’à ne pas toucher Jokey 


Moi : (lui arrachant le journal)  non mais tu es fou ? Faire tout ce stupide tapage pour une simple femme (criant) 


Lui : (se levant) regarde la bien et tu verras qu’elle n’est pas aussi simple que cela 


Moi : et cette femme causera ta perte crois-moi (le fixant) 


Lui : (semblant réfléchir)  …….


Moi : (le fixant toujours)  tu ne me crois pas ? 


Lui : c’est toi qui veux ma perte Neslie !  (Me regardant étrangement) 


Moi : et pourquoi je voudrais cela ? (ahurie) 


Lui : je ne sais pas, par jalousie peut-etre….je me rappelle avoir bu un verre  qui venait de toi, peut-être m’a tu fais un mauvais coup (toujours le même regard) 


Moi : (n’en revenant pas)  non mais tu divague ou quoi ?  Tu as juste trop bu à force de relooker cette soi-disant milliardaire 


Lui : (s’emportant) laisse là en dehors de tout ça…..Neslie tu as voulu me salir, pour quelle raison je l’ignore, mais compte sur moi pour bien le découvrir (ton menaçant) 


Moi : tu me menaces ? (ahurie) 


Lui : (haussant les épaules)  prends cela comme tu veux 


Elle : M. ? 


Moi : quoi ? (énervée) 


Elle : (tout doucement)  il y’a une femme, une certaine Madame Nelson au portail elle désire vous voir 


Lui : (ordonnant)  faite là vite rentrer, faites vite (allant vers la salle de bains) 


Moi : (n’en revenant pas) c’est cela, perds la tête juste pour elle. Nous t’attendons pour plus d’explications et sache comment gérer cette histoire car tout le monde en parle. (Ton autoritaire et menaçant) 


Lui : (souriant)  j’ai de la visite Neslie, et je suis convaincue que tu m’aideras vu que c’est toi qui m’as mis dans ce pétrin-là. (Comme une évidence) 


Moi : va au diable Max  (sortant) 


Je partis de sa chambre toute énervée et lançai un bonjour bref à cette milliardaire qui y entrais. Il a même quoi à trembler ainsi devant une femme ? Elle est belle mais reste une femme ordinaire quand même. 


Moi : (lançant un appel) allô, oui c’est Mme Valls à l’appareil……je veux tous les renseignements possibles sur Jokeybed Nelson…..ok je compte sur toi. 


MAXIME 


Je partis la retrouver au salon privé avec ma meilleure mine. 


Moi : Jokeybed ? (tout heureux) 


Elle : ah Bely, comment tu vas aujourd’hui ? (souriant) 


Moi : (lui rendant mon plus beau sourire et lui faisant une bise)  à merveille maintenant que tu es là 


Elle : (sérieuse) vraiment navré pour l’épisode d’hier, j’ai créé assez d’ennuis apparemment 


Moi : (la rassurant)  non rien de tout ceci n’est de ta faute, c’est ce sale pervers qui a fait tout ceci 


Elle : ca été gentil de m’avoir si bien défende (me fixant avec un de ces regards qui pouvait me faire tout lui offrir sur cette terre) 


Moi : (la rassurant) je t’en prie et je pourrai le refaire encore et encore. Car tu mérites cela (souriant) 


Elle : (souriant) c’est adorable….mais si tu veux je peux t’aider afin de régler ce soucis là avec tes amis 


Moi : (serein)  non ne t’en fais même pas je vais régler ca moi-même dans peu de temps 


Elle (me regardant) : sache que je reste disponible pour toi si besoin 


Moi : non ce n’est pas essentiel (souriant) 


Elle : d’accord Bely 


Moi : (voulant que l’on parle seulement de nous deux)  quel honneur que tu me fais aujourd’hui de venir dans mon humble demeure pourrais-je s’il te plait….. (Elle reçut un appel)


Elle : (finissant l’appel) oui je t’écoute Bely 


Moi : je voulais te faire visiter ma maison (lui demandant gentiment) 


Elle : ohh une prochaine fois sans doute, je dois régler une urgence là  (se levant)


Moi : (inquiet) rien de grave j’espère


Elle : (me rassurant)  non juste un petit souci avec la presse qui me juge sans me connaitre 


Moi : (automatiquement) je peux t’aider tu sais, ces journalistes sont des affamés qui raconte n’importe quoi 


Elle : non merci (me faisant une bise sur la joue) je suis ravie de te savoir en forme aujourd’hui. Repose-toi bien


Moi : (souriant et respirant encore son parfum) et moi donc ? Rentre bien surtout et je reste disponible en cas de besoin 


Elle : d’accord 


Elle partit mais je sentie en  moi le besoin de l’aider, je partis donc prendre les journaux que Neslie avait posé au bord de mon lit et les regardait avec attention. 


Je vus que les journalistes m’avaient bien fait ma sauce comme on le dit dans notre jargon. Ils m’ont traité de tout, mais bon mon seul soucis est de prouver à cette femme que je suis un homme pour elle et enfin l’avoir, elle mérite d’être avec un homme comme moi. 


Je vis un article signé A.A qui avait écrit des propos «  le belle milliardaire ou juste la riche assoiffés de biens étrangers »  qui pouvaient inciter des gens à la xénophobie sur elle, juste parce qu’elle avait fait une folie et avait voulu une plage. Non mais pour qui se prend-il cet A.A et pourquoi parler ainsi d’elle. Je dois rencontrer ce minable. Pour qui se prend-t-il ? 


*************


Lui : Monsieur Bely avec tout mon respect je ne peux vous révéler la vraie identité de mes journalistes 


Moi : (raclant ma gorge)  M. Kouakou un petit journaliste à publier de la merde sur cette bonne femme et ce journaliste est ici je veux juste m’entretenir avec lui. (Serein) 


Lui : (me fixant)  mais pour quelles raisons, nous avons respecté les conditions 


Puis à ce moment l’autre énergumène que je ne voulais voir s’emmena. 


Andy : ah Franck je voulais te parler de (se stoppant) je vais repasser 


Moi : (jouant au poli) vous pouvez rester vu que votre patron refuse de m’aider. J’aimerais savoir qui est le nullard qui a publier ce torchon. (Lui présentant l’article)  Vu que ce n’est nullement un article. 


Franck : tu peux partir Andy (comme une supplication) 


Andy : (me regardant dans les yeux)  c’est moi et ceci n’est rien de tout ce que vous insinuiez mais ça ne me surprend pas car vous êtes tous sauf un intello en journalisme 


Franck : Andy je t’en prie 


Moi : (riant) si ce torchon c’est de l’intelligence eh bien dites-moi afin que je demande à ce que l’école de journalisme que vous avez fait vous restitue tout votre argent (le fixant avec dégout) 


Andy : (souriant) vous vous croyez vraiment pour un homme si important que ça, pas étonnant que vous défendiez cette femme  (avec un de ces tons) 


Moi : (ajustant ma cravate) mais mon cher je suis important, lorsque vous serez à la tête de la pyramide vous comprendrez.  Pour le moment essayez juste de pouvoir être en bas de l’échelle d’abord. (Avec le même regard de dégout)  Et concernant cette femme si vous et votre établissement désirez toujours produire et gardez vos licences, tenez-vous loin et très loin  d’elle (comme une menace) 


Franck : (avec respect) Monsieur Bely avec tout le respect que je vous dois je vous demande prendre la route de mon bureau 


Andy : (se rapprochant de moi) cette femme ne m’intéresse nullement, ce sont ces actes qui m’irritent. (Serein) 


Moi : (sourire mesquin) elle est libre d’acheter ce qu’elle veut.  (Ton autoritaire) Et elle a intérêt à ne pas vous intéressez sinon je me verrai obliger d’employer les grand moyens avec vous vu comment vous aimez mes restes mais celle-là vous ne l’aurez aucunement (le narguant) 


Andy : (tapant sur la table) Jamila n’était pas un reste (fonçant droit sur moi) vous m’entendez ? (hurlant presque) 


Franck : (se mettant entre nous) M. Bely veuillez quitter nos locaux je vous prie  (comme une menace ou un ordre) 


Moi : dites à cet animal que vous retenez de se tenir loi  de Jokeybed  (autoritaire) 


Andy : (yeux rouges de colère) juste parce qu’elle est votre amie intime ? Ou juste parce que vous me le demandez-vous ?


Moi : (sortant) disant juste parce que bientôt elle pourrait s’appeler Mme Bely 


Puis je partis. 


JULIE 


Moi : eh coucou bébé  (toute heureuse) 


Lui : salut Julie ça va ? 


Moi : ça irait mieux si tu m’embrasse (souriant) 


Puis il vient m’embrasser sur mon front


Lui : je pars me doucher 


Mais qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi Andy recommence à être distant, je ne comprends pas cette histoire-là. Moi qui étais de plus en plus confiante face à ce nouveau chapitre qui s’ouvrait pour nous deux et bien me voilà à revenir en arrière. 


Je vais faire la table et monte l’appeler.  Je l’entendis parler au téléphone et je me mis à l’écouter : 


« Lui : elle veut me rencontrer ?....quand ? Demain ? Ok ça marche ! »


Je redescendis rapidement lorsque je le vis se lever et aborda une bonne mine ! 


Lui : tu as préparé un truc ? (me regardant) 


Moi : oui ton mets préféré (souriant) 


Lui : (me remerciant du regard)  merci Julie tu es si bien 


Moi : je t’en prie mon cœur  (lui rendant le sourire) 


Un reportage passa au journal et on parlait de Max qui avait agressé un ancien ambassadeur, puis on nomma aussi cette femme, cette belle milliardaire là !


Moi : décidemment cette femme fait parler d’elle (voulant emmener un sujet de discussion vu le froid qu’il y avait) 


Lui : apparemment ! (sa mine avait changé automatiquement) 


Moi : espérons que ce ne soit qu’en bien (souriant) 


Lui : hum qui sait ? (haussant les épaules) 


Moi : (inquiète)  tu m’as l’air tendu mon amour 


Lui : (ne me regardant même pas) la fatigue Julie 


Moi : massage ? (petite voix sensuelle) 


Lui : (automatiquement) non plutôt une bonne nuit de sommeil 


Humm quelque chose le troublait, mais quoi et en plus qui était cette femme au téléphone. 


FRANCK 


Je sortis cette nuit dans l’espoir de penser à autre chose, vu tout ce qui s’est passé aujourd’hui entre Andy et cet homme juste à cause de cette milliardaire. 


Je ne comprends moi-même pas Andy, pourquoi chercher des noises à cette femme ? Elle a voulu une plage, elle est libre de s’en offrir une, pourquoi en faire de ca une histoire et un drame ? Tout le monde en parle de façon bizarre ! Je n’aime pas cette idée-là, je ne l’aime pas du tout. On parle d’elle en mal sur les réseaux sociaux pourtant nous ne la connaissons même pas !


J’arrivais à KFC et je partis passer ma commande quand juste à côté de moi j’entendis 


Lui : tata on peut s’asseoir s’il te plait ? (poliment) 


Elle : (belle voix) oui on prend la commande de ta maman d’abord 


Puis je me retournais pour regarder et je vis cette belle demoiselle des jardins de l’hôtel Ivoire 


Moi : (souriant) waho quel surprise (voulant lui tendre la main) 


Elle : (m’évitant) qui ne peut qu’être désagréable pour moi 


Moi : mais pourquoi ? (ahuri) 


Elle : Ethan va m’attendre dans la voiture s’il te plait (parlant au petit) 


Lui : ok tata 


Puis il partit. 


Moi : je priais pour vous revoir (heureux) 


Elle : (me lorgnant presque)  je vois cela 


Moi : vous semblez me reprocher un truc ? (inquiet face à sa mine serrée) 


Elle : Dieu merci vous l’avez vite découvert car je déteste faire semblant  (me fixant) 


Moi : que vous ai-je fait, s’il vous plait ? 


Elle : (sereine)  j’ai toujours pris les journalistes pour des menteurs et des gros stratèges mais vous je ne vous pensais même pas journaliste et je ne savais même pas que vous pourriez écrire de tels atrocités (crispant sa mine)  sur un membre de famille. Ou c’était juste une stratégie pour me revoir ? 


Me rappelant de son lien d’amitié avec l’autre, oh non elles sont sœurs ? Merde !


Moi :   (air désolé) oh non écoutez ce n’est pas ce que vous croyez, ce n’est pas moi qui est écrit cela 


Elle : (me fixant) mais c’est bien vous le patron non ? 


Moi : oui mais…..


Elle : (me coupant et prenant sa commande) alors on n’a plus rien à se dire 


Puis elle partit sans me regarder et là je laissais ma commande et là poursuivre 


Moi : belle demoiselle du jardin ? (derrière elle)


Elle : (s’arrêtant) quoi ? 


Moi : (me rappelant de ma bêtise) oh vu que je n’ai pas votre nom….


Elle : (me coupant) c’est Lizzie mon nom, Lizzie Nelson 


Moi : oh d’accord. Désolé Lizzie, moi c’est  Franck….


Elle : (me coupant) Franck Kouakou, DG d’une grande entreprise de communication et qui s’amuse à raconter n’importe quoi sur ma belle-sœur (sérieuse) 


Moi : (ahuri)  oh oui, non. Au fait je veux dire que je suis bien Franck Kouakou, DG d’une structure de communication, mais je ne raconte pas n’importe quoi sur n’importe qui. Cet article c’est mon collaborateur et partenaire direct qui l’a fait et c’est un bon journaliste je n’ai donc plus besoin de le surveiller.  (Vraiment désolé) Je vous présente mes sincères excuses et aussi veuillez les transmettre à votre belle sœur 


Elle : et qu’est ce qui me prouve que vous dites vrai ? (sereine) 


Moi : donnez-moi votre contact, s’il vous plait. 


Elle : pardon ? 


Moi : (voulant la convaincre)  oui votre contact afin de vous envoyer un message lorsque j’aurais fait ce que je dois faire 


Elle : ok (souriant un peu) 


Moi : merci infiniment (lui rendant son sourire) 


Elle : j’attends donc (partant) 


Puis elle partit sans attendre son reste. Je vais aller de ce pas rédigé toutes nos excuses à madame Nelson et sa famille. Désolé Andy mais je ne peux te suivre sans savoir le vrai pourquoi de l’affaire. Et cette Lizzie à un de ces trucs que je ne peux expliquer, ça se ressent. 


LIZZIE 


Je rentrais à la maison toute souriante, certes j’étais fâchée pour ce stupide article mais je l’avais revu ce mec-là. Je sais je ne suis plus une petite fille pour rêver de lui et moi mais je l’avais revue et cela me plaisait. Et en plus il regrettait vraiment son acte qu’il avait posé donc je suis heureuse. 


Elle : (me regardant)  oh et que me vaut ce sourire ? 


Moi : rien rien 


Elle : vraiment ? (souriant) 


Ethan : (souriant) tata a parlé avec un charmant tonton tout à l’heure 


Elle : ah bon !  (Enthousiaste) 


Moi : Ethan ! Bon j’ai revu le gars de la dernière fois et il voulait forcement me parler 


Elle : Franck ? 


Moi : oui je sais que c’est idiot de le faire après ce que ce journal t’a fait mais je te jure que …


Elle : (me coupant) mais Lizzie ne t’en fais pas, tu es libre et en  plus Franck est bien je te l’ai dit. Alors t’en fais pas, fais juste attention car les gens  changent souvent mais ne t’en fais pas pour moi (souriant) 


Moi : merci bien je regarde juste le destin me guider il est peut-être marier et père 


Elle : (semblant réfléchir) non je ne pense pas sinon tu l’aurais su je te sais très intelligente 


Moi : (pour la rassurer encore)  en plus il a promis régler l’incident d’aujourd’hui concernant l’article sur toi 


Elle : (ahurie) oh il est gentil,  mais je ne crois pas que ce soit possible je suis sûr que cet article vient d’Andy et il le fait juste parce que je l’empêche d’aller sur cette plage avec sa petite amie. En plus Andy est son collaborateur et associé donc ça sera difficile. Dis-lui de laisser cela s’il ne peut pas s’il te plait. Je ne veux créer des tensions entre eux deux 


Moi : je suis sure que tu ne créeras rien  (confiante) 


Elle : (changeant de sujet)  au fait le détective à appeler il dit que tout est bon et qu’il a su  gérer cela car il savait que ça arriverai  certainement


Moi : (dépassée)  cette méchante femme a donc lancé des enquêtes approfondies sur toi ? 


Elle : oui (sourire) mais ça me ravi car certes le détective a pu bien réagir sur cela pour moi mais aussi car Neslie qui me voyais comme insignifiante commence à vouloir me connaitre car elle me voit comme son adversaire contre Maxime ! (heureuse) 


Moi : (contente pour sa joie)  et ce n’est que le début 


Elle : je l’espère  (me souriant) 


Je partis me changer et je reçus un message :


« Belle fleur du jardin, j’espère que tu es bien rentré toi et le petit. Merci pour la confiance je ferai tout pour respecter ma parole. Franck Kouakou ! » 


Belle fleur ? (sourire) c’est adorable ça. 


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