Kigali acte 2
Ecrit par Yayira Bénédicte
Ellia Noba Frederick
Cette fille me provoque, elle me provoque vraiment, je ne sais même pas quoi faire d’elle toujours le chic pour me sortir de mes gonds pourtant je suis quelqu’un de très calme à la base mais non faille qu’elle me provoque. Je la supporte mais elle est juste invivable, comment une femme adulte peut se comporter comme une fille de 16ans, un deux j’appel mes parents un deux j’appel mon frère, non mais c’est quoi ça. J’ai souvent envie de prendre sa tête et de la cogner contre le mur pour qu’elle puisse réfléchis avec son cerveau. On dirait une vraie conne parfois ! Pourtant je sais qu’elle a du potentiel et qu’elle peut faire bien mieux, beaucoup mieux même mais elle ne semble pas s’en rendre compte, a-t-on idée d’être si idiote !
J’essais de me concentrer sur la formation qui a lui en ce moment mais je repense à son corps sous la douche, je revois l’eau coulé sur ses fesse alors qu’elle se baisse pour laver ses pieds. J’avoue qu’elle à un beau corps, que dis-je un superbe corps même mais bon ce n’est pas mon genre de fille. J’aime les femmes travailleuse qui on la tête sur les épaules et mature pas des gamines pourris gâtés
- Y’a-t-il des questions ? demanda le formateur, ceux qui en avais les posaient et on continua la séance.
On fit une pause à midi avant de continuer pour finir à, le mini car qui nous avait déposés ce matin revint nous chercher. Différent pays était représentés, y’a même une ivoirienne Coralie qui me colle un peu mais qui a l’air très sympa, je discute avec les autres parce que ce genre moment me permet d’apprendre énormément surtout qu’ils sont tous dans l’audio-visuel. Je vais vers la chambre dès qu’on arrive, on doit se retrouver en bas à 20h pour diné.
- On se voit tout à l’heure ? demanda Coralie
- Oui oui à tout. dis-je en prenant la direction de l’aile droite alors qu’elle prenait la direction de l’aile gauche où se trouve sa chambre
Je trouvais Ella assise sur le lit entrain de manipuler son téléphone.
- Bonsoir. Dis-je en posant mon cartable et avant de m’asseoir dans le canapé pour enlever mes chaussure
- Bonsoir, bonne arrivée, ça été ? me demanda-t-elle en posant son portable
- Oui. Dis-je surpris qu’elle réponde à ma salutation mais aussi qu’elle me souhaite la bienvenue et me demande si ça été, j’ai raté quelque chose
- Cool, et vous avez fait quoi aujourd’hui ? continua-telle
- Laisse moi deviner, ton frère veut que tu lui fasses un rapport et tu t’es dis le con que je suis vas aller assister à la formation et venir te faire le compte rendu pour que tu le répète à ton frère, c’est ça ?
- Eu pas tout à fait, je veux juste savoir si c’était instructif
- Bah fallait y aller, tu es ici pour ça non ? je me suis lev pour aller à la salle de bain, j’ai besoin d’une douche
Elle est bien quoi celle là, moi je vais aller m’asseoir toute une journée pour alors que madame se prélaxe ici et je vais venir lui faire un compte rendu, comme si je n’avais rien à faire. Si elle veut des infos elle devra se plier à mes conditions. Je pris ma douche et sortir la trouver entrain de tourner en rond dans la chambre
- Je suis désolé pour ce matin commença-t-elle, j’avoue que j’avais l’intention de te retarder pour ce que tu m’as fais hier
- Et qu’est-ce que je t’ai fais ? dis-je en mettant mon pantalon
- Tu as refusé de dormis dans le canapé et après tu as voulu me gifler
- Tu as quel âge Ella ? lui demandais-je en m’asseyant sur le lit
- 28ans bientôt
- Moi j’en ai 32, est-ce que je ressemble à ton enfant ? est-ce que tu pense être toi-même une enfant ? tu voulais que j’aille dormis dans le canapé sérieux ? regarde le canapé et regarde mon corps, je place qu’elle partie dans le canapé ? en fait tu te prends pour qui Ella ? tu penses que tout t’es dû parce tu es une Adéléké ou je ne sais quoi ? désolé de te décevoir mais ni ton nom ni ta beauté ne m’impressionne, je ne suis pas ton larbin pour faire ce que tu veux. Je dormirais dans le lit tout le temps qu’on fera ici et si tu me fais encore le coup de se matin je vais sérieusement te taper.
- J’ai dis que j’étais désolé non, pourquoi tu en profite pour m’insulter ? je sais que je ne suis personne et que sans le nom de ma famille je ne suis rien, depuis l’école primaire on e répète ça que sans le nom de mes parents je suis nulle et je ne vaux rien ça je le sais, tu ne m’apprends rien. Dit-elle on dirait quelqu’un qui veut pleurer
- Tu es vraiment idiote toi, bien sure que tu vaux quelque chose, tu vaux bien plus que tu en as conscience et c’est ce qui m’énerve le plus, tu as du talent, tu es doué dans ce que tu fais mais tu es trop occupé à fait la peste ou la petite fille pourrie gâtée que tu gaspille ton potentiel
- Arrête ton baratin, même ma famille dit tout le temps que sans ce nom je ne suis rien, mes amies aussi pareil alors ne viens par dire que j’ai du talent c’est faux, je ne vaux rien et je ne vaudrais sûrement jamais rien. Dit-elle en essuyant ses larmes.
Là je compris qu’elle avait un vrai problème, un problème de complexe d’infériorité qui s’assimile facilement à un complexe de supériorité, elle pense qu’elle n’est rien sans le nom de son père ou la réputation de son frère !
- Ecoute je ne dis rien pour te baratiné, je n’ai aucun intérêt à le fait d’ailleurs, je dis juste la vérité, une vérité que tu es trop bornée pour voir
- Anyway ! dit-elle en se reprenant. C’est vrai que mon frère m’a demandé de lui faire un compte rendu de la formation et il va m’appeler tout à l’heure pour l’avoir, j’aimerais stp que tu me fasses le compte rendu, stp, il menace de me renvoyer
- Je le ferais à deux conditions
- Lesquelles ?
- Que tu sois plus courtoise et polie avec tout le monde, en commença par moi, tu ne me respecte pas du tout. laisse un peu tes manières de princesse pendant un mois tu vas arrêter de faire la peste, ensuite tu vas assister à toute le reste de la formation et participer à toute les activités jusqu’à la fin
- Tout ça ? demanda-t-elle comme si c’était la mère à boire
- Je ne demande rien de compliqué, tu es ici pour la formation alors pourquoi tu dis tout ça ?
- Pour la formation je suis d’accord, mais je ne suis pas obligé de faire amie-amie avec les autres, toi encore je peux essayer mais le reste non je ne peux pas
- Je ne te demande pas de faire amie-amie avec qui que ce soit mais juste d’être courtoise, répondre par exemple quand on te salue, saluer quand tu viens trouver les gens, t’excuser quand tu es en retard, ça s’appel le savoir vivre mademoiselle
- Regardez qui parle de savoir vivre, hummmm
- Et tu sous entends quoi par là ?
- Rien du tout, alors tu m’aide ou pas. Demanda-t-elle
- Je t’ai déjà donné mes conditions. Dis-je alors que son téléphone sonnait
- Ok, je suis d’accord dit-elle en coupant l’appel
- J’ai ta parole ?
- Oui tu as à ma parole, promis ! un Adéléké respect toujours a parole
- Faut toujours que tu ramène ton nom là
- Qu’est-ce que tu veux c’est mon identité
- Non justement, un nom de famille ne fais pas de toi qui tu es, tu te serais appelé Gbogboka Georgette Rigobertine que tu serais toi
- Gagagagaga c’est qu’elle nom ça ? gagagga Gbogbo quoi ? Georgette Rigobertine, tu as foutaise quoi, j’ai une tête à m’appeler comme ça ? demanda-telle en riant, c’est la première fois que je la vois rire, genre un vrai ris sincère, et franchement elle est encore plus belle quand elle rit
- Quoi ? ce sont de jolis prénoms
- Pardon laisse ça. fais-moi le briefing avant que mon frère ne rappelle.
- Tu as donné ta parole Ella
- Oui je sais, et je vais la tenir
- Tu as intérêt sinon je vais demander à tout le monde de t’appeler Gbogboca Georgette Rigobertine
- Je te tus si tu ose I swear. Affirma-t-elle
Je lui fis le résumé de ce que nous avons faire aujourd’hui et quand son frère l’appela elle alla au balcon discuter avec lui. Il est déjà bientôt 20h alors que je voulais me reposer un peu avant le diner, mais elle m’a fait parler jusqu’à voici je n’ai pas pu dormir. Elle revint une demi heure plus tard, moi j’étais déjà prêt pour allé diner donc je la laissais à l’intérieur pour qu’elle s’apprête
- Tâche de ne pas trop te fais désiré stp.
- Ok patron. Dit-elle en sortant ses vêtements de l’armoire qui se trouvait dans la chambre
Elle a même eu le temps de ranger ses effets apparemment, normal puisse qu’elle est resté ici toute la journée. J’espère vraiment qu’elle va faire des efforts.
Ella Ifunanya Adéléké
Je crois que je vais me la jouer moins princesse le reste de la semaine comme il a dit mis qu’il ne compte pas sur moi pour tenir un mois, non qu’il oublie ça même. Depuis deux jours maintenant j’essaie d’être courtoise comme il me la demandé, mais franchement c’est difficile, souvent j’ai envie de donner une réponse cinglante à certaine personne mais il me regarde méchamment et je me ravise, sur à cette Caroly ou je ne sais pas quoi là qui le suis comme un petit toutou toujours à vouloir attiré son attention sur elle, elle lui trouve quoi même je ne sais pas. C’est vrai que quand tu regarde de plus près il n’est pas mal, surtout avec quand il tient ses locks sur sa nuque mais à part ça il n’a rien de spéciale même.
- Reste concentrer me chuchota-t-il
- Je suis concentré. Murmurais-je à mon tour
Après la formation on rentrait à la villa ou on prenait la douche chacun à son tour avant de se reposer un peu avant le diner. J’ai eu l’occasion de goûter à certaine spécialité rwandais tel que l’isombe un plat de feuille de manioc mélangé à l’aubergine, le musokoro et aussi l’ugali, j’ai aussi goûté à la cuisine Kenyane sur l’insistance de Frederick et j’avoue que j’ai aimé, j’ai beaucoup aimé même et mon ventre n’a pas mal réagit donc je me suis lancé dans la découverte de d’autre plat.
La formation c’est terminé hier, aujourd’hui nous somme sensé allé faire un peu de tourisme et je suis impatiente. Je mets un jeans déchiré au niveau de la cuisse, un croc-top et de sneakers, je m’assure que j’ai bien chargé mon téléphone, je suis entrain de mettre ce dont j’aurais besoin dans mon sac quand Frederick sort de la salle de bain, vêtu d’un Jean noir, un polo blanc et des baskets, avec un chapeau qu’il sort de je ne sais où. Il n’est pas mal en tout cas, bon je dis ça pour l’autre là hein. On monta tous dans le bus mais cette fille à tout fait pour se retrouver assise à côté de lui avec des Fredy à tout bout de champs
- Oh Fredy regarde comme c’est beau ! dit-elle en lui montrant un immeuble sans grand intérêt
Lui aussi se contentait de hocher la tête. Le guide nous à donné le programme de la journée, nous avons commencé par le Mémorial de Gisoszi, c’est une sorte de musée qui raconte l’histoire du génocide rwandais, nous avons visité le Camp Kigali Mémorial, un camp militaire, je prenais plein de photo que je compte poster sur mon compte Instagram, nous somme passé par le marché de Kimironko ou y’avais pleins de belle choses en rapport avec la culture Rwandaise, je me pris quelque petit truc, ce que mon budget me permettais de m’offrir en tout cas. La journée fut vraiment belle entre découverte et apprentissage, d’habitude quand je vais dans un pays seule les magasins m’intéresse mais là j’apprends un tas de truc pour ma culture personnel.
Je me dépêche d’aller dans la chambre quand on arrive, j’ai une envie pressante. J’enlève mon pantalon mes chaussure et j’entre dans la salle de bain, j’enlève complètement mon dessous et je me mettre à l’aise, ouf ça soulage de se libérer
- Fhummm , c’est ta merde qui sent comme ça Ella ?
- Merde ! qu’est-ce que tu fais ici ? dis-je en sursautant
- J’avais envie de pissé. Dit-il en entrant dans la douche
- Tu ne pouvais pas frapper avant d’entrée ? dis-je gêné
- Je ne savais pas que tu étais ici. Ça fait la princesse pourtant ça chie aussi. Dit-il en riant
- Dégage Fred ! dis-je en prenant mon visage entre mes mains
- Gagagagaga vraiment ça sent trop mauvais. Dit-il en sortant
J’étais vraiment gêné, avec sa bouche là je sais qu’il va passé son temps à parler de ça. Nous somme inviter à diner dans la demeure du ministre de la communication et de l’audio-visuel de Rwanda, moi qui pensais dormir comme un loir dès qu’on allait rentrée de notre visite touristique me voici entrain de m’habiller pour la soirée après avoir pris une douche, Frederick m’a remplacé dans la douche. Je mis une robe de couleur mauve, très près du corps qui s’arrêtais à mais genoux, je me maquillais, je mis mes sandales à talon de chez Dior, je mis quelque goûte de scandale, mon eau de parfum, j’étais entrain de regarder mon reflet dans le miroir quand je le vit derrière moi, torse nue entrain de sourire
- Quoi. Demandais-je en me retournant
- A te voir comme ça on n’imagine pas ce que tu es capable de sortir de ce petit ventre là
- C’est bon maintenant, tout le monde fait ses besoins, à ça ne se fait pas d’importuner une demoiselle comme ça, tu n’es pas du tout un gentleman du tout !
- Arrête de vouloir renverser la situation mademoiselle. Dit-il en commençant s’habiller
Je le gérais plus même, j’allais au balcon snaper un peu.
- On y va ? demanda-t-il
Je me retournais pour le trouver calé à l porte la main droite dans sa poche. Il portait un costume bleu avec une chemise orange en dessous, il avait une certaine allure, et sentais bon comme à son habitude.
- Quoi ? pourquoi tu me regarde comme ça ? demanda-t-il
- Je te regarde comment ? pardon viens on se fait un selfie
- Toi et tes histoires de photos
On prit quelque photo avant de descendre. On était apparemment les derniers à descendre. Sa chérie Carole ou je ne sais plus quoi là vint le complimenter comme quoi il est tout beau, il retourna le compliment aussi. Moi je ne vois pas en quoi elle est belle hein, elle portait une robe noir avec un décolleté plongeant, sans aucune classe selon moi en tout cas. Au lieu du mini bus, c’est plutôt une limousine qui vint nous chercher.
- Arrête de boire autant chuchota. Frederick
- Qu’est-ce que tu appel autant ? c’est juste mon troisième. Dis-je en portant le verre à ma bouche
- Ella !
- Occupe toi de ta chérie là pardon laisse moi tranquille. Dis-je en me levant pour aller danser.
La soirée était intéressante, l’alcool aidant je m’amusait un peu. On resta jusqu’à 00h avant de rentrer. Notre vol est prévu pour 17h, on a donc le temps de se reposer avant de rentrer chez nous. Je riais déjà assez quand on arriva à la villa. Frederick m’aidait à monter les escaliers alors que sa copine là lui demandait s’il allait redescendre, il a dit que oui, et dans ma tête je riais encore plus. Il croit que je vais le laisser redescendre pour de vrai ? ok
- Tu ouvres ma fermeture éclaire stp ? dis-je en dandinant sur les talons.
- Je t’ai dis d’arrêter le vin mais comme tu est Ella et que tu n’écoute personne voici dans quel état tu es.
- Arrête faire ton rabat-joie. Dis-je en me couchant sur le lit.
Il enleva sa veste, et ses souliers, sauta quelque bouton de sa chemise avant de s’abaisser pour enlever mes chaussures. Je ne sais pas si c’est l’alcool mais sa main sur mes pieds me fit quelque chose. Il me demanda de me redresser pour qu’il m’aide à ouvrir ma fermeture ce que je fis, j’enlevais totalement ma robe sous ses yeux qui n’exprimas rien
- Tu fais quoi comme ça ? me demanda-t-il sur un ton calme
- Je me déshabille, ça ne se voit pas ?
Il dit rien et entra dans la salle de bain. Sa main sur mes pieds avait réveillé quelque chose en moi et là j’ai envie de sexe, ça fait des mois que je suis en jachère. J’enlevais mon dessous et ma perruque avant de rentrer dans la salle de bain, il était dans la cabine entrain de se rincer, me faisant ainsi dos. J’entrais et collais ma poitrine sur son dos et passait ma mains sur son tors
- Ella. Murmura-t-il sans se retourner
- Frederick. Dis-je sur le même ton
- Tu es consciente de ce que tu fais ? dit-il en se retournant pour me regarder
- Parfaitement. Dis-je en soutenant son regard
On s’observa quelque seconde avant qu’il me soulève brusquement et me colle à la cabine avant de commencer à m’embrasser. Un bais plein de désir au quel je répondais comme si ma vie en dépendait. Il introduit ses doigts dans ma moiteur doucement, il ressortait pour venir titiller mon clitoris avant de me pénétrer de nouveau avec ses doigts. La cabine était remplie de mes gémissements. Je m’accrochais encore plus à son coup quand il me pénétra, je sentais sa verge me pénétré centimètre par centimètre, c’est lui qui est gros ou c’est moi qui suis trop serré ? Quelle importance ? Pensais-je alors qu’il commençait à se mouvoir plus vigoureusement.
-
Oh
fuck! Yes! Oh gosh…!
Comment ne pas crier alors que c’était bon! Je m’agrippais à lui en jetant ma tête en arrière. Il me tenait la hanche et le haut du dos alors que j’avais les jambes bien enroulé à ses hanches. Il me posa au bout d’un moment, me colla la baie vitrée de la douche, souleva une de mes jambes de sa main tandis que l’autre main me giflait les seins. Il malmenait vraiment ma poitrine, il laissa ensuite ma poitrine pour mon clitoris alors que je me sentais déjà venir
- Ohh Fred… oh gosh… Fred! criais-je en jouissant
Il m’embrassa pour me calmer, en bougeant doucement en moi, ma poitrine collée sur son torse et lui se mouvant en moi doucement. J’avais envie de m’arracher la tête. Il me baisa encore jusqu’à ce qu’il se retire pour jouir sur ma cuisse. Je reste contre lui quelques minutes analysant la bêtise que je viens de faire, coucher sans préservatif alors que je ne connais même pas son statut sérologique ou s’il a une IST ou une MST. On se rinçait et sortie de la douche ensemble sans que personne ne dis rien, je mis juste ma nuisette sans dessous et je me couchais, j’étais trop fatiguée pour avoir des pensées cohérente, je m’en dormir très rapidement.
J’ondulais le bassin alors que je sentais qu’on m’aspirait le clitoris, je pris mes mains pour mieux appuyer la provenance de cette sensation. J’ouvris les yeux lorsque mes mains se posais sur ses locks alors qu’une d ses mains remontais vers mon sein. Quelques minutes plus tard J’étais à quatre patte sur le sol alors qu’il était entrain de mon chevaucher, j’étais sur le point de jouir une second fois lorsqu’on se mit à taper à la porte
- Fredy tu es là? C’était la voix de cette Carine ou quoi là
Lui au lieu de répondre accélérait les coups, alors que moi j’ai envie de jouir. J’essayais de me lever mais il me donna une claque sur les fesses et maintenait fermement ma hanche, j’avais l’impression qu’il voulait simplement me bousiller l’utérus tant je le sentais dans mon bas ventre. Je jouis en mordant dans le coussin qui se trouvais pas loin de moi, il se retira une nouvelle fois, je sentis son liquide chaud sur mes fesses alors que l’autre là était encore entrain de taper la porte, elle est même normal ? Je me couchais direct sur le ventre, il alla prendre du kleenex pour venir me nettoyer.
On descendit après pour le déjeuner d’au revoir avec les autres avant de prendre nos valises pour rentrer. On n’a pas parlé, on a rien dit, chacun était silencieux de la villa à l’aéroport, jusque dans l’avion. Je posais juste ma tête sur son épaule pour dormir, je suis épuisée, on ne m’a jamais autant fais de bien sexuellement ! je ne sais pas comment notre relation sera quand on sera à baby et je n’ai pas envie d’y penser d’ailleurs, ce qui se passe à Kigali reste à Kigali !