Kigali acte 1
Ecrit par Yayira Bénédicte
Ella Ifunanya Adéléké
Je suis à l’aéroport avec l’autre là, on part pour le Kigali ce soir. On est assis dans le hall et chacun est entrain de manipuler son portable. Toute la semaine il est passé me chercher et me déposer à cause de la grève des, mais notre relation est toujours celle de chient et chat, je n’arrive pas à le blairer et apparemment lui aussi ce qui est parfait. Par contre il me rend accro à la mal bouffe, chaque soir il achète de la bouffe en rentrant dans des coins malfamé et il en achète toujours pour moi même quand je refuse, mais j’avoue que j’ai apprécié chacun des plats mais il n’a pas besoin de le savoir, le lendemain quand je il me demande si j’ai aimé je dis j’ai mis le plat à la poubelle, il dit juste Ok, mais le soir il m’en achète encore, on dirait je lui ai dit que je suis affamé.
On a déjà fait faire enregistré nos bagages donc on attend que notre vol soit annoncé, lui il avait juste une petite valise, moi j’en avais deux grande, il m’a demandé si je ne comptais plus revenir, je lui ai répondu que ça n’était pas ses oignons. Je n’ai même pas pris grande chose en plus, juste quelques tenues avec les sacs et les chaussures à sortir sans oublier quelques perruques et mes produits de beauté. Je ne vais tout de même pas allé représenter the Gist en étant mal fagoté, on n’aurait aucune crédibilité. Le vol est finalement annoncé, je sors mon passeport de mon sac et on se dirige vers le control.
On arrive à Kigali après, 5h de vol. Je souffre pour tiré mes deux valise alors que monsieur lui tir sa petite valise sans même me proposer son aide, je vous dis que ce type est un con, un vrai de chez vrai, aucune galanterie dans son corps. Heureusement que je finis par me faire aider pas l’un de ceux qui pousse les chariots. Je vois un type arrêté avec le nom de l’autre là sur une pancarte, oui je n’arrive pas à dire son nom, il est et restera l’autre. Il s’avance vers le type qui le souhaite la bienvenue et semble surpris que nous soyons deux, il dit qu’on lui à juste demandé de récupéré Monsieur Ellia Frederick à l’aéroport sans lui précisé qu’il serait accompagné.
Quand on arrive dans la villa où nous devrions loger certaine personne sont déjà là entrain de se relaxer au bord de la piscine, celui qui nous a conduit ici nous conduit vers un monsieur
- Bienvenue monsieur Ellia, je suis Nawel, pour vous servir, je ne savais pas que vous seriez accompagné. Dit l’homme en question en me regardant avec une tête bizarre
- Comment ça ? il a été pourtant précisé que nous serions deux. Répond l’autre
- Cette précision ne c’est pas faite à notre niveau monsieur, ce programme n’est nullement pour couple alors nous ne s…
- Pour couple ? vous voyez un couple où ? demanda froidement l’autre
- Euh… n’est-ce pas votre compagne ? demanda le Nawel là
- Non, mademoiselle Adéléké est ma collègue non ma compagne et nous somme tout les deux là pour participer à la formation sur l’audio-visuel
- Excusez-moi pour la méprise, monsieur, dame. Mais un problème se pose donc parce que nous n’avons qu’une seule chambre de disponible
- C'est-à-dire ? demanda l’autre là, moi je suivais la conversation sans rien dire
- Vous allez devoir partager la même chambre monsieur, parce que toute les autres sont occupé par les participants, et étant donné que nous ne savions pas que vous serez deux nous n’avons pas pu réservé deux chambre
- Vous êtes sérieux là ? vous voulez qu’on partage la même chambre ? il n’y a pas d’hôtel ? demandais-je
- Il y a des hôtels mais cela sera à vos frais, nous offrons l’hébergement à tout nos participant mais seulement au sein de cette villa, donc si vous allé à l’hôtel nous ne somme en rien responsable. Répondit-il
- Ça ne va pas se passer comme ça, j’appel mon frère et vous verrez ! n’importe quoi.
Je pris mon portable et je me mis à l’écart pour appeler mon frère, je l’ai appelé plusieurs fois mais sans réponse. Il est où celui là et puis il ne prend pas mon appel, merde !
- Tu peux arrêter de faire ta gamine ? demanda l’autre derrière moi
- C’est à moi que tu t’adresse ? me retournais-je pour lui demander
- A qui d’autre ? tu viens appeler ton frère que quoi ? tu n sais pas gérer tes problèmes comme une grande ? faut toujours que tu appel ton frère à la rescousse ?
- Et c’est ton problème à toi ? ça te regarde à quel niveau ? lui demandais-je en croisant les bras sur ma poitrine
- On est loin d’Abidjan alors pour une fois comporte toi comme la femme que tu es et arrête les enfantillages, quand tu finis je suis dans la chambre, tes valises y sont déjà. C’est celle en haut tout au fond de l’aile droit. Dit-il en s’en allant d’un pas nonchalant
- Tu penses que je vais partager la même chambre que toi ? tu m’as bien regardé ? n’importe quoi !
Il ne me répondit pas et continua son chemin, j’essayais le numéro de mon frère encore et encore mais rien. J’avais la rage comme pas possible, partager la même chambre que ce type, jamais ! Il m’énerve tellement avec son air suffisant qu’il affiche, je ne le supporte vraiment pas. Nous somme arrivés à la villa vers 14h et il est presque 18h mais je suis toujours assise dans le jardin ne sachant pas quoi faire
- Vous allez bien ? me demanda un monsieur en prenant place près de moi, un européen
- Je vais bien. Dis-je sèchement
- Ça fait des heures que je vous vois tourner en rond, je suis Gustave. Dit-il en e tendant la main
- Ella. Dis-je en prenant la main qu’il me tendait.
- C’est quoi le souci ? vous tourner en rond depuis
- Se ne sont pas vos oignons. Dis-je en le fixant
- Oh, excusez moi ; dit-il en se levant
Je restais assise là encore jusqu’à la tombé de la nuit, je finis par me décidé à rentrer. Je montais les escaliers essayant de me souvenir de l’indication de l’autre là. Je le trouvais dans la chambre serviette à la hanche et le torse nue. Il m’ignora et ouvrir sa valise. J’allais prendre place canapé qui se trouvais dans la chambre. C’est une chambre spacieuse, avec un grand lit, et un petit salon, elle est propre et très bien décoré
- La salle de bain se trouve au fond. On est attendu pour diner à 20hpour diné et faire connaissance avec les autres participants. Dit-il en mettant son boxer faisant fit de ma présence
Je ne répondis pas. J’allais vers mes valises posées dans un coin de la chambre, je sortis mes effets de toilettes avant d’aller dans la salle de bain. Heureusement qu’il y avait une baignoire, je e fis coulé un bain, j’ai vraiment besoin de me détendre et ça fait un baille que je n’ai pas pris de bain parce que mon appart ne possède pas de baignoire, juste la cabine de la douche et le WC, ça n’a rien avoir avec se à quoi je suis habitué et avec ça on trouve que je ne fais pas des efforts.
Je me suis en dormis dans le bain sans le savoir, je me rinçais et sortis du bain. Il n’était plus dans la chambre quand je suis rentré, il était déjà 20h moins 5 minutes et en bon ponctuel qu’il est je suppose qu’il est déjà en bas. J’ouvrir ma valise pour choisis ce que j’allais mettre, j’optais pour une robe en wax qui m’arrive aux genoux très près du corps avec des manches de grande mère, j’aimais beaucoup se contraste de modernité et de traditionaliste. Je mis des escarpins vert, je me maquillais légèrement avant de descendre. Tout le monde était déjà attablé, j’allais donc m’asseoir à la seule place disponible avant de lancer un bonsoir, sans m’excuser du retard, je vais m’excusez que quoi ? n
Nous étions une vingtaine à table, il y’avait différent mets de différent pays, moi je pris une salade d’avocat aux crevettes comme plat d’entrée et du riz cantonnait comme plat de résistance je n’avais pas envie d’essayer les plats rwandais pour avoir mal au ventre après. C’était une sorte de buffet où chacun allais se servir avant de venir se rasseoir, un personnel était là pour présenter les plats. Certaine personne remplissais leur assiette comme si elles n’allaient plus manger demain, aucun savoir vivre ! la plupart discutais en mangeant, moi j me concentrais sur mon plat, je ne suis pas venue faire amie-amie avec qui que se soit ici. Après le repas se fut le moment de faires connaissance, chacun se présenta, je fus pareil quand se fus mon tour et je les laissais en bas pour monter. J’avais sommeil et pas le temps pour écouter les conneries, quand je les regards on a rien en commun.
J’étais entrain de passer ma nuisette quand l’autre là est rentré, il n’a même pas frappé avant d’entrée, il est normal même ? Il se dirigea vers la douche après s’être dévêtir. Je me couchais dans le lit après avoir mis mon portable en charge, j’espère qu’il va dormir dans le canapé parce que je ne peux pas dormir sur le même lit que lui. Le sommeil était entrain de m’emporter quand je sentis quelqu’un monter sur le lit
- Qu’est-ce que tu crois faire comme ça ? lui demandais-je en me retournant
- Dormir. Dit-il comme si de rien était
- Dormir où ? avec qui ? demandais-je en m’assaillant sur le lit
- Tu penses que je vais dormir où ? dit-il en se couchant sur le dos
- Tu dors où tu veux mais pas dans ce lit, tu crois que je vais dormir avec toi ?
- Ecoute barbie, ici ce n’est pas ton royaume alors tes caprices tu attends de les faires quand tu retourne dans ton royaume, moi j’ai sommeil, sur ce bonne nuit. Dit-il en se retournant pour me donner dos
Je le regardais sidéré, attends il est sérieux ? ça ne va pas se passer comme ça, je me mets à taper le lit en parlant qu’il aille dormir dans le canapé ou dans la salle de bain s’il veut mais qu’il libère le lit
- Si tu ne m’arrête pas ces bêtises tout de suite je te giflé. Tonna-t-il en se levant
Cela me calma directe, il se recoucha comme si de rien était alors que j’avais envie de l’étrangler, c’est un chien, un gros imbécile en plus d’être un con, mais il va me le payer, je jure qu’il va me le payer ce cet énergumène ! Je finis par m’endormir après l’avoir bien torturé et tuer plusieurs fois dans ma tête, j’ai fais même ses funérailles aves les gars qui font les vidéos de funérailles sur les réseaux sociaux là. Le lendemain je me suis réveillé avant lui, je le regardais dormis en regardant sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration, son torse était ferme et bien dessiné, mais il avait une vilaine tête de chient vert. Je me levais pour aller dans la salle de bain, je vais le faire chier aujourd’hui. Le bus qui dois nous déposer sur le lieu de la formation vient nous chercher à 8h et sachant qu’il a horreur du retard je vais tout fais pour le retarder aujourd’hui. Je vais bien trainer dans la douche, DIEU merci je me suis réveillé avant lui.
- Tu vas sortir de cette douche ? demanda-t-il pour la quatrième fois
- Tu veux que je sorte alors que je n’ai pas finis ? carrément
Je me douchais en sifflotant quand je me suis senti poussé
- Tu s malade ! criais-je en réalisant qu’il était entré dans la salle de bain mais pire il était dans la cabine avec moi
- Tu crois que j’ai le temps de tes enfantillages ? di-il en commença à se doucher
- Je peux te promettre que tu viens de perdre ton emploi, quand mon frère va apprendre ce que tu viens de faire il va te virer sans préavis
- Mon frère mon frère ! qui es-tu sans ton frère ? qui es-tu sans ton nom mademoiselle Adéléké, rien, rien de chez rien, tu ne vaux même pas un clou alors ne me fais pas chier, va dis au pape si tu veux. Il se doucha t sortir de la douche alors que j’étais choqué, il se prend pour qui pour me parler comme ça ? il se prend pour qui même
Je me rinçais et sortir de la douche. J’avais juste envie de pleurer, je n’irai pas à cette formation, je vais appeler mon frère, je veux rentrer, je ne veux plus rester ici, je préfère rentrer sur Abidjan. Il s’habilla d’un costume trois pièces, mis ses souliers son parfum et prit son cartable avant de sortir de la chambre sans m’adresser la parole. Je vis le bus venir les chercher à travers le balcon. Je descendis prendre mon petit déjeuner après qu’ils soient partir, y’avait un personnel qui s’occupait du petit déjeuner et du diner. Je me couchais ensuite pour dormir, je vais appelez mon frère plus tard. Je fus réveillé par la sonnerie de mon portable, DIEU merci c’était mon frère
- Bonjour Alexandre, depuis hier que je t’appel c’est maintenant tu me rappel ?
- Ella tu es où ? dit-il froidement
- Je suis à la villa où on nous a hébergés
- Et tu fais quoi là-bas ? tu n’es pas sensé être à la formation ?
- Si mais j…
- Ecoute moi bien mademoiselle Adéléké, si tu ne me fais pas un rapport détaillé de la formation d’aujourd’hui ce soir tu te considère comme sans emploi à ton retour et j’ai déjà avertir ton père et ta mère donc n’essais même pas d’aller faire ta victime. Je te rappelle à 18h pour le CR. Dit-il avant de raccrocher
Je vais fais comment maintenant ? Comment faire le CR d’un truc au quel je n’ai pas assisté ! il ne me laisse même pas m’expliquer c’est lui qui se fâche, est-ce ce chien là avait le droit de rentrer dans la douche alors que je me douchais ? Qui fait ce genre de chose ? Bon faut que je trouve une solution, il faut que je trouve le moyens de faire ce CR à mon frère sinon je suis foutue