La crise de panique
Ecrit par Noeltkn20
La crise de panique.
****KIM PHILLIPS****
Comme convenu il y a quelque heure je m'étais rendue dans ce bar indiqué par Kathleen et je le vois de loin entouré par de nombreuses filles, c'etait une star du pays donc normal qu'il soit aussi entouré.
Je passe plus d'une fois devant lui afin qu'il me remarque mais c'était sans compter qu'il était à fond sur les filles qui l'entourent.
Le dernier passage était décisive donc cette fois je met en avant mes atouts en bombant le torse et en arrangeant ma jupe pour qu'elle soit plus sensuel et comme Kathleen l'avait signifié, il mord à l'ameçon sans que je n'insiste vraiment.
__Hey... Je te connais toi.
Moi(jouant l'etonné): Peut-être une autre personne, moi je ne vous remarque que sur MTV, [regard admirateur] Jolie votre costume et vos cheveux.
__Votre visage me dit quelque chose mais je ne me souviens plus exactement je l'ai vu. J'ai l'impression de vous voir souvent.
Moi(jouant l'etonné): Normal que mon visage vous semble familier. Vous en voyez des tonnes par jours et il se pourrait que vous aillez vu ma petite sœur ou ma mère, en vrai nous nous ressemblons comme deux gouttes d'eau.
Ah oui, Kathleen m'avait dit qu'il ne me reconnaîtra pas vu que nous nous sommes rencontrées qu'une seule fois et que nous n'avions changer que les civilités habituelles, en gros il n'a jamais eu du temps pour sa femme...
__Même si le doute plane toujours, pouvez-vous me dire comment la plus belle demoiselle du snack s'appelle ?
Moi(souriant): Mon nom c'est Maïa, je suis Maïa, enchanté de vous connaître.
__Tu dois sûrement me connaître mais je préfère me représenter une fois de plus... Vous avez devant vous le seul et unique Tom FISHER.
Moi: Presque tous le monde ici aux USA connais votre biographie par cœur, vous n'avez plus besoin de vous présenter.
Tom: Je voulais juste paraître romantique c'est tout. Tu as quelque chose à faire ici ? Je voulais demander si t'es venue accompagnée.
Moi: Je suis venue en ma compagnie, je suis une femme libre.
Tom(sensuellement): Tu veux qu'on finisse la soirée dans mon hôtel privé ?
Moi: J'aimerais bien mais ce ne serait pas aujourd'hui, peut-être demain, après demain ou encore la semaine prochaine mais pour l'instant je suis débordée au boulot, donc je ne peux pas me permettre de passer cette nuit à m'épuiser encore plus.
Tom(me remettant sa carte): Tu m'appelles quand tu seras libre et je me libère aussi.
Moi: Je ne serai en mesure de prendre votre carte parceque je fais partir de la catégorie de femmes les plus égoïstes de New York city,je ne vous appelerai jamais en premier donc la carte devient inutile et ne représente pour moi qu'une feuille. Je prends en considération le fait que vous êtes mariée donc je ne serai pas en mesure de détruire ce beau couple pour une histoire d'un soir.
Tom: J'adore la femme que tu es, je peux déjà m'imaginer faisant plaisir à cette beauté qui se trouve devant moi{Rire} j'aime vraiment ce jeu à laquelle tu joues.
Moi: ton téléphone ?
Il me le remet avec précipitation avant que je ne fasse ce que j'avais à faire pour enfin le lui remettre, il aura très vite de mes nouvelles.
Tom: Je t'écris une fois chez-moi ! Tu l'as enregistrer avec quel nom?
Moi: Je serai en éveil [lui faisant des yeux doux] tu auras la chance de voir ce corps en entier, un avant goût en quelque sorte. Je l'ai enregistré avec mon nom, Maïa.
Il force un baisé que j'esquive, je le dépasse en le laissant en plant puis je me rend au toilette avant d'éclater de rire.
Seul cette conversation que j'avais eu avec lui avait réveiller cette chaudasse que j'étais donc il me fallait que je chope un coup d'un soir.
****TOM FISHER****
Cette femme m'intrigue, je ne sais vraiment pas ce qu'elle a de si particulière mais je n'ai pas pu continuer la fête avec les amis parcequ'elle m'avait laisser en plant et cela ne se produisait que pour une première fois depuis toujours.
Je rejoins mon domicile conjugal et je retrouve ma femme assise dans le noir m'attendant comme toujours avant de s'endormir, j'eus peur vu le regard assassin qu'elle me lançait qui ne présageait rien de bon d'ailleurs.
Kathleen (ton sec): Où étais-tu ?
Moi(gêné): Avec des potes, j'étais invitée à une fête.
Kathleen: Pourquoi ne m'as tu pas invité ? Suis-je si moche que ça ?
Moi: Euh... Non... Tu es là plus belle mais je croyais que tu étais occupée.
Kathleen : Tu étais avec quelle fille ?
Voilà une question inhabituelle qu'elle ne posait presque jamais, j'étais étonnée de la façon dont les questions fusaient de part et d'autre donc je n'eus d'autre choix que de lui dire la vérité car je n'aimais pas lui faire du mal.
Bien que je sois cet homme infidèle et un machos, et occasionnellement une brute, j'aimais ma femme et je ne ferai rien qui lui portera atteinte à elle ou à nos gosses.
Moi(intrigué); J'étais avec une fille que tu ne connais pas.
Elle se lève et s'avance jusqu'à ce qu'elle soit devant moi. Sans même m'y attendre je reçois une gifle foudroyante qui me fit perdre la tête. C'etait une première fois depuis notre mariage qu'elle me levait la main dessus.
Elle s'indigne pendant que je continue toujours de me demander ce qui avait changé et plus tard elle me fixe durement une fois de plus avant de prendre la route pour la chambre conjugal.
Je reste planter surplace une demi-heure en essayant de me réveiller de ce rêve mais c'était sans compter que tout ceci n'était que pure réalité.
Le déplacement à été difficile mais je fais l'effort de rejoindre la chambre d'amis vu qu'elle était fâchée avant de me coucher en étant intrigué d'abord par cette fille si mystérieuse qu'elle était et enfin à ce changement brusque de comportement de ma femme.
En cogitant je me souviens de la dernière phrase de ma conversation avec Maïa puis je ressens l'envie de lui envoyer une vidéo hyper coquine, ce que je fais d'ailleurs.
La vidéo avait duré plus d'une dizaine de minutes. Dans cette vidéo, je me masturbais, je faisais des choses obscènes jamais faite auparavant avant de l'envoyer à ce numéro enregistrer au nom de Maïa, il fallait que je lui montre que j'en avais dans les tripes. Je prends mon temps mais je finis finalement par appuyer sur la touche "envoyé" en espérant une réponse.
Quinze minutes plus tard j'avais obtenu une réponse, celle que je ne pouvais m'imaginer, je venais d'envoyer la vidéo à ma mère.
{Bonjour mon fils, c'est ton père. Je ne sais pas ce qui t'a pris mais tu viens d'envoyer une vidéo à ta mère, une vidéo indigne, une vidéo qui ne reflète pas l'éducation que nous t'avons inculquer, une vidéo qui montre comment tu vis dans ton monde de débauche. Ta mère l'a regardé et se trouve actuellement à l'hôpital. Je te prends pour responsable de ce malaise et pour cela je ne veux plus jamais te revoir} Avait-il écrit.
Je voulus corriger mon erreur mais mon père m'avait bloqué, je commençais à parler toute seule pendant toute la nuit au point de crier.
De quoi me rendre fou!!!
****BRETT MCALLISTER****
Trouvé le sommeil cette fois fut difficile même après ce moment passé virtuellement avec Cassy, je culpabilise car bien qu'elle ait ses comportements si bizarre, désagréable et parfois infantile qu'elles étaient, je savais qu'elle était une bonne personne et par dessus tout une femme exceptionnelle mais au lieu de ça je la trompait.
Je tourne et retourne sur moi-même sans que le sommeil ne vienne, je ferme fortement les yeux mais rien ne se fit.
Au bout de 5min, je me lève puis je me rend en cuisine pour me prendre des somnifères. Je faisais un maximum d'attention mais malgré cela je ne pus m'empêcher de faire du bruit, je venais de casser un verre d'eau en voulant la posée.
Je nettoie le sol puis je me retrouve dans la chambre que j'occupais mais toujours pas de sommeil, je ressentais cet mal à chaque fois que je changeais de lit.
Je réussis quand-même à me laisser emporter par un semblant de sommeil quand la sonnerie d'une sirène d'ambulance retentit dans le jardin, j'accourt pour ouvrir la porte en espérant qu'il ait tromper de domicile.
À peine j'ouvre la porte qu'ils me dépassent pour se rendre dans ma chambre, celui dans laquelle ma femme était couchée.
Je les suivis en ayant la peur de ma vie...
J'entre à peine dans la chambre que je vois ma femme étalée au sol en étant inerte, elle ne bougeait pas, ne parlait pas et avait par la même occasion perdue connaissance, elle s'était évanouie, c'etait courant chez elle vu la facon dont ses crises de panique se faisaient de façon répétitive.
Les ambulanciers lui font les premiers soins pendant que je ne cessait de me rappeler à moi-même le mauvais mari que j'étais, je culpabilisais au point où nos enfants étaient venues me retrouver au séjour.
Les regardés dans les yeux et les dis que j'étais la cause du malaise de leur mère était la chose la plus difficile que j'avais eu à faire durant mon existence. Elles ne m'avaient pas prise pour l'auteur du malaise mais au lieu de ça m'avait encourager.
Maya: Papa, arrete de pleurer, nous sommes là...
Je n'avais pas remarqué que des larmes s'échappaient de mes paupières...
Maty: maman est la femme la plus forte du monde et tu le sais très bien, lève-toi et reviens avec maman !
Je les serres fortement contre moi avant d'essayer mes larmes, ceux que j'avais laissé imbibé mon visage.
Moi: Je vais vous ramener votre maman. Dis-je en me levant.
Elles acquiescent en esquissant chacune un sourit quoique forcé.
Je les dépose chez la voisine avant de me rendre au centre hospitalier où je passe la nuit en priant tout les saints qui puisse exister.
➰➰➰
__Monsieur... monsieur.
Moi(me réveillant): Quoi?
Elle avait le visage mouiller telle une personne qui venait de pleurer, j'eus la plus grande peur de ma vie...
Moi(scandilisant): Non...non...non... Ne me dites pas qu'elle est morte, je ne me le pardonnerai jamais si c'est le cas.
Elle me fixe plus d'une dizaine de minutes avant de sourire...
__Gardez votre calme, elle vient à peine de se réveiller et demande à vous voir. Suivez-moi !
Je me lève en courant presque, je la suis en exprimant ma joie tout en faisant apparaître mes dents blanchâtres au point où tous me regardaient dans l'hôpital. Que ce soit infirmière, docteur,ou encore patient ne faisait que se demander pourquoi je souriais ainsi ...
La porte s'ouvre finalement sur une Britney neutre, elle ne ressemblait à rien mais était si beau et très coquine, je reste au pas de la porte sans pouvoir vraiment formulé une phrase ou un texte digne du nom mais au lieu de cela je commence par chanté une chanson qu'elle aimait tant, notre chanson à nous deux qui retraçait notre parcours et nos difficultés, cette même chanson qui nous réconfortait quand nous étions désespérée au point d'abandonner.
Elle fond en larmes pendant que je l'approche et m'agenouille.
Moi(pleurant): je suis désolée chérie, tout ça c'est de ma faute. Je n'aurai jamais dû te parler ainsi , je suis un mari indigne. Je suis un mari qui n'assume pas et qui...
Britney : j'ai aussi ma part de responsabilité dans cette affaire, je n'ai aussi pas été une bonne femme et une mère digne.
Moi: tu sais, notre ancienne famille me manque.
Britney : Moi aussi mais en parlant de cela, j'aimerais que nous renouvelons notre vœu de mariage, ça va faire quelque temps que nous sommes mariées.
Moi: 13ans, je l'avais même oublié.
Britney : Tout comme moi. Nous sommes devenus des personnes âgées et mâture et point d'oublier ce qui faisait de nous ce couple que nous étions depuis le primaire. Tu as été mon meilleure amie avant d'être ma femme et je ne sais pas si je supporterai le fait que nous soyons un jour séparer.
Moi(la coupant): Nous n'allons jamais nous séparés et tu as ma parole. Je vais être l'homme le plus cool que tu n'es jamais eu auparavant. Notre famille me manque aussi.
Au même moment les amies de cette dernière fut leur entré, de quoi mettre fin à ce moment de dialogue plus jamais eu depuis longtemps.
Moi: Les filles je vais alors me préparer pour le boulot, prenez soin de ma reine[lui faisant un bisou].
Je les fausses compagnie pour plus tard me retrouver au boulot en ayant les pensées rivé vers l'hôpital.