(COUCOU CHER LECTEURS, BON DEBUT DE SEMAINE, COMME VOUS L'AVEZ SUREMENT CONSTATE LE WEEKEND EST UNE PERIODE OFF POUR MOI. JE SUIS DESOLE DE VOUS AVOIR FAIT PATIENTE. VOS SUGGESTIONS SONT LES BIENVENUES)

          Vous vous demandez surement comment j’ai rencontré Georges, je ne sais vraiment pas quel circonstance nous a rapproché l’un a l’autre mais nous sommes ensemble depuis 1 an déjà.

         Bon vous savez que le hasard n’existe pas nor, donc je suis sûre que c’est le Père la en haut qui nous met à l’épreuve. Le jour de notre rencontre j’étais à l’agence de Central Voyage en train d’acheter mon ticket de bus pour retourner à douala. J’effectuais ce mercredi une mission express a Yaoundé, avec toute la fatigue des monter descendre j’étais fatiguée au point de ne pas me rendre compte que j’ai fait tombe mon ticket quand je gardais ma carte nationale d’identité. Je me suis rendue par la suite dans restaurant prendre mon dîner puisque j’étais sûre d’arriver à douala dans la nuit. Le départ était prévu à 17h, j’avais alors tout mon temps. Mon repas engloutit je suis retournée a l’agence attendre l’heure de l’embarquement.

16h30: "les passagers en destination de la ville de douala sont priés de se rapprocher du bus immatricule Dla 2548)"

          Devant la porte du bus, j’ouvre mon sac à main pour sortir le ticket mais je ne trouve pas. Me souvenant avoir récupère au guichet, je fouille à nouveau mon sac mais, (mais où est-ce que j’ai foutu ce billet). Je fais savoir au contrôleur que je ne retrouve pas mon ticket avant de revenir sur mes pas pour vérifier s’il n’est pas tombe (heureusement que le restaurant n’est pas loin), dommage, mais toujours rien. Dépassée par la situation je me rends donc au guichet en parler à la jeune dame qui m’a servie…

Moi : excusez-moi madame

La dame : oui, que puis-je faire pour vous ?

Moi : s’il vous plait j’ai perdu mon ticket de bus tout a l’heure, j’ai déjà fouille partout mais je ne le retrouve pas.

La dame : et que voulez-vous que je fasse ?

Moi : j’aimerais savoir si avec la souche c’est possible de me faire entrer dans le bus pu bien il va falloir que je paye à nouveau le ticket ?

La dame : vous payez un autre ticket

Je me rends donc sur les bancs ou j’avais laisse mes affaires, essayant de me remémorer ou est-ce que j’ai bien pu faire tombe le ticket. Sur le chemin retour du guichet, un monsieur m’interpelle :

Mr : c’est ça que vous cherchez ?

Moi : (le regardant toute surprise) euhhh, oui. Ou l’avez-vous trouvez ? Il me regarde sans rien dire en tendant le ticket que je prends tout doucement sans omettre de vérifier qu’il s’agit bien de mon nom écrit dessus. Merci de l’avoir trouvé.

Mr : ok

Il ne dit rien d’autre, il est bizarre celui-là. Bref, je le laisse la et prends la direction du bus.

          J’ai finalement pris ma place dans le bus après que le monsieur est ignoré mes messages. Place que j’ai eue du mal à trouver vue que j’ai trainée dehors à cause de la perte de mon ticket. Maintenant j’ai le choix entre deux sièges, l’un au milieu de deux personnes déjà installées et de l’autre deux place mais avec déjà le siège près de la fenêtre occupe. Moi qui aime m'assoir exactement à cet endroit lors de mes voyages pour mieux admirer la nature. Mais bon ca m’apprendra à être plus prudente les prochaine fois. (Si seulement je pouvais jeter ce ticket par la fenêtre, les gens aiment trop consigner les places et sortir) J'avais envie de dormir grave, le gros plat de Ndolé plantain que j’avais mangé prenait le contrôle de mon être tout entier. Dès que je me suis bien installée, je ne demandais qu'au chauffeur de prendre la route et se me bercer avec les chansons qu'eux seuls savent souvent animer le voyage.

          Quand le chauffeur entre enfin prendre sa place dans le bus je vois derrière lui, le sauveur de mon ticket avancer vers jusqu'à mon siège (Seigneur fait qu’il s’asseye sur de l’autre cote pas ici s’il te plait). J’avais les yeux fermes dans mes prières quand il me cogne le pied et demande à passer. Quand j’ouvre les yeux, je soulevé la tête pour le regarder tellement il est grand. Je fais semblant de ne pas comprendre son geste, tout en gardant bien les yeux fixés sur lui. Finalement il se décide à parler. Ce n’est pas sitôt, j’ai un instant cru qu’il avait perdu sa langue. Je me le pour le laisser passer, à ma grande surprise il me demande de le laisser s’assoir au bout car se longue jambes ne supporteront pas l’autre siège. C’est le cœur plein de joie que je déplace ses choses et m’installe sans laisser toute trace de sentiment apparaitre sur mon visage. Il s’excuse par la suite du dérangement. (Merci Seigneur d’avoir créé les grande personne, enfin je m’assoir ou j’ai désiré)

Morphée n’a pas attendu longtemps pour m’accueillir dans ses bras. J’ai dormi pendant 1h de temps, c’est quand nous sommes arrivés au contrôle de police que mon voisin m’a réveillée. Ma tête qui était posée du cote de la fenêtre s’est réveillée sur l’épaule du voisin. En tout cas j’étais inconsciente, que les policiers vérifient vite les CNI afin que je me rendorme en paix, le sommeil la est très doux.

          Quand nous reprenons la route quelque minutes plus tard, mon sommeil aussi décide de s’en aller, je prends mon téléphone pour mettre la compilation de Sexion d’Assaut (tsuippp, vous êtes allés vous cacher ou aussi?)

Mr : pardon ?

Moi : non, je ne m’adressais pas à vous.

Mr : parce que tu parles déjà seule ?

Moi : oui, c’est interdit dans ce bus ou il y a une loi qui interdit aux gens de parler seul ?

Mr : (il ne dit rien et me regarde, puis fixe devant lui).

Dès que je les retrouve, c’est avec joie que je mets ma musique et regarde les merveilles de Dieu.

          Le voyage se passe sans encombre jusqu’à douala, j’ai hâte de me retrouver dans mon lit et de me coucher. Si seulement demain je pouvais rester à la maison. Chose impossible car le boss attend le compte rendu de sa mission.

Mr : vous allez dans quel quartier ? (moi qui croyait m’être montre suffisamment désagréable pour éviter toute discussion avec lui. Surtout après la honte qu’il m’a foutu a l’agence de douala).

Moi : tradex Borne 10

Mr : cool, donc ton trajet ne sera plus long une fois arrive à Niala. Appelle-moi George.

Moi : ok, moi c’est Jolie

Mr : je sais, j’avais votre ticket.

Moi : ok

Une semaine plus tard…

          Mon train quotidien avait repris son cours, boulot business maison. C’est vendredi soir tous les coups sont permis. Chez moi c’est repos et réseaux sociaux je me connecte à mon compte Facebook pour changer d’air et papoter avec les amis. J’ai eu plein de nouvelle demande d’invitation. Je vérifie qui sont ceux qui me les ont envoyé afin d’éviter les faux profils. Quand nous avons des amis en communs c’est plus facile d’accepter l’invitation de quelqu’un, mais quand tu regardes un profil et que vous êtes «inconnu » même sur les réseaux sociaux autant mieux faire attention. Je poursuis mes vérifications quand je tombe sur une tête que je semble reconnaitre bien que nous n’ayons pas d’amis en commun. Je parcours le profil, il est bien âge (2008) mais pas assez fourni.