UNE PAUSE ATYPIQUE

Ecrit par belleetrebelle

          Apres mon échange avec Diane Je guettes encore ma montre, 10h45. Wehhh ! Midi arrive aussi vite norr, y a même quoi ?« tu croyais qu’il était quelle heure ? Pardon concentres-toi sur le travail du client ». C’est mon subconscient qui veut m’influencer.  J’aime mon travail, ce qui est une bonne chose, le cas contraire allait vraiment me tuer avant le temps vue que ce travail peut te donner les crises cardiaques. Tu te rends compte que parfois vous avez travaillez sur un gros projet toute la semaine mais le client vient vous raconter des histoires comme quoi le travail a été bâclé et ne vous paye pas la somme convenu au moment de la livraison. Mais bon. En tout cas je me donne encore 5 ans dans ce métier car je dois ouvrir ma propre boite et faire comme mon boss, il m’est impossible de tenir avec la pression que nous avons souvent ici, mais l’avantage aussi est que nous sommes bien paye, surtout quand nous avons affaire a des clients américains au canadiens. Par contre avec les indiens ca toujours été la catastrophe. Ils ne sont jamais satisfaits, ce qui a conduit le boss a ne meme plus gérer leur marche.  

          Finalement je me suis concentrée jusqu’à oublier finalement que l’heure de la pause arrivait déjà. La dame qui nous fait souvent à manger passait déjà les commande quand j’ai regardé mon téléphone à nouveau. Ehhhhhh, le père la m’avait appele fatigue. Je relance l’appel……….., il veut alors decrocher. J’essaye a nouveau, toujours rien. J’ai commence a range mes affaires pour sortir.

Le telephone sonne….

Moi : oui chou

Georges :depuis que j’appelle madame

Moi : j’etais concentree, sorry.

Georges : tu es devenue le lait pour etre concentree ? je suis  en bas, viens on va.

Moi : d’accord, donne-moi  quelques secondes et je suis la.

…………….

Moi : monsieur m’amene ou ce midi ?

Georges : chez vous madame

Moi : cesse de m’appeler madame alors, je ne suis pas encore madame

Georges : une grande femme comme toi, est ce que tout le monde est comme toi ?

Moi : comme moi comment ?

Georges : tout le monde n’a pas demi-bâton (demi-million) comme salaire.

Moi : ah, comme ça le statut se justifie maintenant avec le salaire ? Vraiment eh, comment était ton RDV ?

Georges : très bien ma petite femme, nous nous verrons encore dans 2 jours pour que je lui présente un devis.

Moi : cool dans ce cas. Sérieux c’est vraiment à la maison que tu m’amenés ? J’ai très faim moi, et puis y a rien à manger là-bas.

Georges : tu as faim alors que tu as mangé ce matin ?

Moi : je dois bien prendre mes trois repas par jour pour bien grandir, si toi tu as déjà tout grandir laisse l’enfant aussi atteindre ton niveau.

Georges : rires, qui est l’enfant ici ? Pardon ne me fait pas rire…

Moi : ok, ça va alors, je parle plus. Je reprends à 14h dans tous les cas

Georges : ne t’inquiète pas nous ressortirons aussitôt

          Une fois chez moi, mon homme n’a même pas referme la porte derrière lui que ses mains se baladaient déjà sur moi, regardez-moi la magie. Je ne demandais qu’un bon repas ce midi, voilà que c’est moi qui sers d’appât.

Vous ne voulez sûrement pas lire ce genre de détails, le genre de chose qui se passe quand deux personnes qui ont faim décident de se bouffer. Mais je vais quand même écrire ca plus bas pour les curieuses.

Georges : belle demoiselle vous me devez (son regard sur moi brillait comme le diamant, a l’heure si je ne peux même pas protester mais j’essaye quand même. D’ailleurs je me demande si vous aussi cédez souvent facilement…)

Moi : je ne te dois rien, pardon laisses-moi me faire un petit truc à manger

Georges : pas avant d’avoir satisfait votre homme. Laisses-moi te donner de la vraie bouffe ma belle.

Moi : donc c’était ça ton plan (aie, mes lèvres), doucement alors je ne vais pas fuir.

Georges : dis-le a une autre personne je te connais très bien ma Jolie, le coup que tu m’as fait le matin, il est temps de payer ta dette.

(Le corps de cette fille me met hors de moi, à chaque fois que je la vois mon cœur bas à une vitesse pas possible. Je revois ma femme dans sa vingtaine) vient la, (dit-il en me tournant sur-moi). Laisses-moi t’admirer

Moi : tu ne te fatigue pas ? Je profite pour lui faire une dance très séductrice, ce qui a le don de réveiller en lui toute les tensions. Il n’a même pas attendu que je sois toute nue pour me sauter dessus. Il sait si bien s’occuper de mon corps. Nous entrons dans la danse des corps et nous nous évadons jusqu’à l’extase.

Ding dong….

(On sonne à ma porte, moi qui suis encore dans les vagues)

Georges : va alors voir qui cogne

Je sors de la chambre après avoir enfiler ma culotte et un gros pull-over et me dirige vers le salon. A travers l’œil du bœuf je vois un homme tenant un carton en main. Quand j’ouvre finalement la porte je me rends compte qu’il s’agit du livreur qui nous ramenait à manger.

Livreur : boujour madame, votre commande ndole+plantain mur +salade de fruits.

Moi : merci Monsieur, la facture a déjà été regle ?

Livreur : oui déjà, bon appetit

Moi : merci, aurevoir.

          Il a pense a tout celui-la. Pendant qu’il se repose je dresse la tabe. Mon salon n’est pas tres grand, mais il ya assez de place pour disposer tout ce dont j ;ai besoin. La chambre, la cuisine et un salon c’est tout ceux donc j’ai besoin pour l’instant. Tout est prêt il est temps de passer a table. En arrivant dans la chambre je le trouve assoupi surement fatiguee apres cette parade olympique. Le repas se passe bien cest sur ces pieds que j’ai voulue prendre mon repas. J’avais déjà la boule au ventre rien qu’en pensant au boulot. Mais bon… rattrapage le soir. J’ai tres vite pris ma toilette avant de le reveiller

Moi : tu pourras me raccompagner au boulot ?

Georges : je ne pense pas que ce soit possible (sous la menace de mon regard) je dois voir un client à 14h30 à l’autre bout de la ville donc si je te ramené je vais sûrement arrivée en retard à notre RDV.

Moi : je n’ai pas demande à être amené loin de mon lieu de service à ce que je sache.

Georges : dépêches-toi juste de manger pour ns pas être en retard, je t’aurais raccompagne si je pouvais, d’accord ? Dis-moi plutôt merci de t’avoir fait déstresser un peu. (Je lui colle un smack sur la bouche et me lève de ses pieds), mais tu n’as pas fini de manger.

Je ne réponds même pas, je ne veux pas de débat la dessus car si je lui dis que je suis pleine il va commencer avec la discussion.

Moi : merci pour le repas mon chéri. On se voit le soir, prends soin de toi.

Georges : toi également, je t’aime.

Moi : aimes-ta femme

Ces quelques jours ont été agréables. La séparation n’est pas toujours facile entre nous mais c’est la vie

   

          Vous vous demandez surement comment j’ai rencontré Georges, je ne sais vraiment pas quel circonstance nous a rapproché l’un a l’autre mais nous sommes ensemble depuis 6 mois déjà.

Maitresse un jour, m...