Le pervers /Mon wake up call

Ecrit par Hübsch

C'était un samedi matin et le soleil était au zénith. Et comme tous les samedis, le matin c'était la piscine et le soir sortie entre filles. Après s'être relaxes autour de la piscine, j'ai profité pour rendre visite à ma famille. Le soir on s'est retrouvé avec les filles en boite. On aimait aller se défouler après une semaine de travail très chargé. On commanda des mojito et place à la danse. Ça c'était le point fort de Sonia. Elle adorait danser et elle savait s'y prendre. Ce que j'aimais avec les filles c'était qu'on se foutais bien de ce que les gens pouvaient penser de nous. On s'amusait comme des folles et c'est tout ce qui compte. Après s'être épuisé à se balancer sur la piste de danse on finit par s'asseoir dans un coin à notre table. On étaient calé entrain de causer au calme quand le serveur nous apporta une bouteille de champagne qu'on avait pas du tout commandé. Celui ci nous désigna trois gars de l'autre bout de la salle qui nous reluquais. Ils se sont levés et ont rejoint notre table. Les filles avaient déjà fait leur choix et je devais me taper le plus pervers d'entre eux. C'est toujours comme ça quand on sort, on dirait que moi je prends tout ce que je trouve alors que c'est pas le cas. Bon je n'étais pas non plus obligé mais je l'avais jamais fait avec un pervers. Vous connaissez l'expression - c'est les tonneaux vides qui font du bruit -? Et bien voilà. Il fallait que je vérifie. Le gars n'a pas cessé de me dire des trucs cochonnes toute la soirée. Comment il allait me baiser mal, comment j'en demanderai encore, comment je vais aimer. Bref tout le discours des pervers. Les autres gars avaient proposé nous faire sortir le lendemain ce que j'ai refusé. Avec moi c'est une aventure sans lendemain, juste une histoire de sexe et ça allait se terminer ce soir. Tellement j'avais hâte d'en finir. Monsieur pervers s'appelait Fred. On finit la soirée dans son appartement. J'étais venue avec Lili donc  Je n'avais pas besoin de conduire. Je me suis bien soûlée pour me préparer à ce que j'allais faire. Arrivé à son appartement le gars était bel et bien pressé. Il se dépêcha de m'enlever la petite robe que je portais. On se retrouva dans le canapé et il était au dessus de moi. Il me sortait des trucs comme - T'es une petasse toi - -je vais te baiser comme la chienne en chaleur que tu es -.Pour l'encourager je lui disais -oh vas y --je t'attends prends moi comme une chienne-. Et si ses paroles me dérangeait Je n'en avais aucune idée. À chaque homme ses fantasmes dit on ! Sans préliminaires, il enfila un préservatif et me pénétra. Je le voyais donner des coups de reins violents mais je ne ressentais absolument rien. J'etais triplement choqué mais il ne fallait pas qu'il sache. J'ai alors commencé par simuler un orgasme. Ça l'encourageais apparemment. Je l'entendais crier -Tu aimes ça hein, pétasse avoue que tu aimes - -Oh oui bien sûr que j'aime, vas y. -. Vous allez vous demandez pourquoi j'ai encouragé ce fils de pute alors qu'il ne valait pas la peine. Eh bien j'ai appris qu'il ne fallait pas blesser un homme dans son égo. Et puis qui suis je pour lui dire quoi que ce soit. Je laisse ce genre de boulot à sa petite amie. Quelques coups et le gars était KO. Il dormait  déjà.Il a réussi à me dégoûter du sexe. Je me suis juste rhabillé et je suis retournée dans la boîte. J'étais assise au calme après mon expérience désolante de ce soir entrain de boire un verre de whisky quand un gars s'approcha de moi. Il était plutôt mignon.Il me remit une carte de chambre et s'en alla. C'était la cle d'une chambre de l'hôtel Ibis.je ne comprenais pas ce qui se passait. Il devait sûrement se tromper de personne. Je n'eut pas le temps de le lui dire qu'il était déjà parti. Je ne savais pas quoi faire. De toutes les façons je n'avais rien à perdre ma soirée était déjà gâchée. Je pris mon sac et sorti de la boîte en direction de l'hôtel. Arrivee devant la chambre je pensais à faire demi tour. Mon cerveau me disais, il était encore temps de changer d'avis. Mais non, il fallait que je sois curieuse. Je rentrai dans la chambre et là je vis l'homme de tout à l'heure. Je voulais lui expliquer qu'il s'était trompé de personne mais il était totalement nu. Il me fit signe de rentrer et me demanda de m'occuper de lui. Je m'agenouilla et lui offrit une fellation. Avec sa main il imposa à ma tête la cadence. Il se retira de ma bouche et éjacula dans toute la pièce. Je n'eus pas le temps d'en placer une qu'il me souleva, déchira mon slip et me pénétra. Il me baisa violemment. J'avais mal et je le suppliais d'arrêter mais il ne m'ecoutais pas. Les larmes commençaient par couler de mes yeux mais je savais que je ne pouvais m'en prendre qu'à moi même. Après s'être retirer de moi, il me prit par l'arrière et me sodomisa.je poussai un cri de cabri blessé. Tellement j'avais mal. J'avais tellement mal. Quand il eût fini d'accomplir sa sale besogne il sortit de la chambre. Je n'avais plus la force de me lever. Alors je suis restée là, recroquevillée sur moi même. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps et je me suis endormie. À mon réveil je ne voulais qu'une chose renter chez moi. Heureusement qu'on était dimanche et que je ne devais pas aller au boulot. Je remis de l'ordre dans mes cheveux, jeta mon slip déchiré à la poubelle et remis ma robe de la veille. Sur le chevet de la table se trouvait un bout de papier avec une note qui disait -Merci pour vos services. Voici votre argent -. De l'argent il y en avait beaucoup. Cet homme m'avait pris pour une pute.Moi Jennie, une pute.Qu'est ce que mes parents auraient dit s'ils me voyaient présentement. Ils auraient sûrement honte de ce que je suis devenue. Je voulais répondre à cet homme et lui écrire que je n'étais pas une pute mais à quoi cela aurait il servi. Quelle fille censée aurait suivi un parfait inconnu dans sa chambre d'hôtel. Je n'étais pas mieux qu'une pute. Je sortit juste de cette chambre d'hôtel sans toucher à cet argent sale et prit un taxi pour me rendre chez moi. Une fois sous la douche, je me sentais sale, souillée, violée. Mais à qui allait je le dire. On allait sûrement pas me croire. De plus j'ai consenti quand je suis rentrée dans cette chambre, quand je lui ai donné une fellation, quand je me suis laissée à lui. Je me suis sentie tellement mal, une pute c'est ce que je suis. Je n'ai rien d'une femme respectable je ne suis qu'une petasse. Mais il fallait que j'arrête ces expériences et que je prenne ma vie en main. J'aurais pu tomber dans les mains d'un ritualiste. Il faut vraiment que j'arrête. Je me suis frotté autant que je pouvais mais la saleté que je ressentais c'était dans l'âme. Je ne peux en parler à personne. Ils se moqueront de moi, à croire que quelque chose comme ça ait pu m'arriver à moi. Je vais juste le prendre comme une expérience qui a mal tourné et reprendre ma vie en main. Prendre ma retraite comme on le dit. Il est peut être temps de dire au revoir à cette partie de moi. D'ailleurs le cahier que j'utilisais comme journal était arrivé à la dernière page. C'était peut être un signe que je devais laisser cette vie derrière moi. 

Pseudo :Mr pervers 

Caractéristiques : Frimeur, nulle au lit. 

Après cette dernière expérience il fallait que je cache ce journal où jamais personne ne le trouvera. 

NB:S'il vous plaît les amis surtout n'oubliez pas de likez, de commenter et d'inviter vos amis aussi à lire.Restez scotché pour les autres aventures de Jennie.


Mademoiselle la pute