Le venin de la jalousie
Ecrit par Shanti
Chapitre 4
*Koro*
Allô !! Man comment va?
Hugo: Bien et toi? Ça fait un bail dis donc
Moi: ah Man on est la. J'étais un peu prit par le boulot mais tu connais.
Hugo: Toujours le boulot, tu ne changeras jamais toi. Il faudrait qu'on se fasse une soirée un de ces quatre
Moi: Mais c'est quand vous voulez je suis assez disponible en ce moment.
Hugo: Ah c cool ça. Mais Man j'ai une question la. Ça va toujours avec ta meuf?
Moi: Pourquoi tu me poses cette question ?
Hugo : C'est parce que j'étais au resto hier avec Stella et on l'y a vu en très bonne compagnie.
Moi: ...
Hugo: Man tu es là?
Moi: Oui oui, comment était-il c'est surement son ami policier
Hugo: Non je l'aurais reconnu, celui-là ne fait pas partie de notre cercle. Il est black, très grand, une carrure de rugbyman, style décontracté, il ne faisait pas du tout flic. Et les regards qu'ils lui lançait n'était pas amical si tu vois ce que je veux dire.
Moi: Merci Man, il faut que je te laisse
Hugo: Tu es sur que tout va bien?
Moi: Oui oui t'inquiète, on s'attrape
Merde, merde, qu'est-ce qu'elle me fait? D'où il sort celui-là?
Elle est à moi putain, elle ne peut pas me faire ça. Non!
J'étais plus serein quand Lili était à la maison mais la je ne maîtrise plus rien.
Je.... j'ai je ne peux pas la perdre, pas comme ça.
******
Il est plus de deux heures du matin, je me tourne et me retourne dans mon lit je n'arrive pas à trouvé le sommeil. Je suis allé à son bureau tout à l'heure à sa descente. J'ai stationné la voiture en face de l'immeuble et ai attendu une quarantaine de minutes avant de la voir sortir en compagnie d'un homme qui correspondait parfaitement à la description d'Hugo. Elle riait aux éclats aux conneries que l'inconnu lui débitait avant de monter dans la BMW qui était stationné juste devant eux. Le mec lui ferme la portière puis contourne la voiture et prend le volant. Mais pourquoi est-ce qu'elle n'a pas prit sa voiture.
D'où il sort celui-là je connais tout ses collègues et lui n'en fait pas partie.
Je ne les ai pas suivi parce qu'Opra aurait à coups sur reconnu la voiture.
Je donne un coup sur le volant qui me fait moi même sursauté, sans m'en rendre compte j'avais tapé sur le klaxon. Je suis rentré les nerfs à vif et depuis je ne pense qu'à elle.
Je ne peux pas rester la à rien faire, il faut que je la vois.
Je me lève enfile une veste et des baskets, je prend mes clefs et roule jusqu'à la maison.
Je sonne comme un fou depuis quelques minutes et n'ai aucune réponse. Mais qu'est-ce qui m'a pris de laissé mes clés. Je voulais qu'elle ne garde aucun espoir que je puisse revenir un jour alors j'ai vidé toutes mes affaires, fait changer mon adresse à la poste et laissé les clefs sur la table. J'ai aussi mis son numéro sur liste noir. Quelques jours plutard j'ai sauté sur l'occasion lorsque ma responsable m'a proposé une mission de 3 mois en Tanzanie plutôt que de rester la à me morfondre. Je sais qu'elle ne méritait pas ça mais c'était la meilleure solution.
Je contourne la maison et passe par le jardin, la baie vitrée à l'arrière n'est jamais fermé à clef, suffit juste de mettre une pression sur les 2 poignées en même temps pour qu'elle cède.
Toutes les lumières sont éteintes. J'avance dans cette demeure qui était autrefois mon havre de paix. Je contourne la cuisine, prend les escaliers et monte dans la chambre mais elle est vide. Mais ou est-ce qu'elle peut-être bon sang. Je dévale les escaliers et fonce dans le séjour.
C'est du Opra tout craché, une fois endormi on pourrait la cambrioler qu'elle ne s'en rendrait même pas compte. Elle est là, emmitouflée dans sa couverture, elle est tellement belle. Je reste là debout à la fixer pendant de longues minutes avant de m'approcher tout doucement.
Je m'accroupi et lui caresse lentement le visage elle frémit, je l'embrasse sur chaque paupières, son nez et ses joues avant de poser mes lèvres sur sa bouche. Mon Dieu ce qu'elle m'a manqué. Tous ces mois loin d'elle ont été une vraie torture. J'enfoui mon visage dans son coup et respire son odeur. Petit à petit elle se réveille je lis la surprise dans son regard avant de voir des larmes y briller.
Opra: Comment ?? C'est toi mon amour je ne rêve pas ?
Moi: Tu ne rêves pas je suis la.
Opra: (s'entend les larmes arrivé) Oh merci mon Dieu
Moi: Ne pleure pas s'il te plaît.
Opra: Je... j'ai cru mourir sans toi.. pourquoi ? Qu'est-ce que tu fais ici en pleine nuit?
Moi: (posant un doigt sur sa bouche) Chut ne dis plus rien, je suis désolé ma vie, je suis la.
Je la sert très fort dans mes bras, elle essaie de me repoussé.
Mes mains de part et d'autre de son visage, je l'embrasse un moment avant qu'elle n'y réponde, merci mon Dieu. Elle met ses bras autour de mon coup et je la soulève telle une plume jusqu'à notre chambre. Je la pose délicatement sur le lit et allume la petite lampe de chevet. Elle ne porte comme à son habitude q'un petit shorty pour dormir, et celui-ci est mon préféré il est rouge et tout en soie avec de la dentelle et des noeuds de chaque côté. Elle s'y sent plus à l'aise qu'avec une nuisette et moi j'ai tout l'espace dont j'ai besoin pour promener mes mains sur ses jolies fesses et ma meilleure amie alors ça me va. D'autant plus qu'elle ne porte jamais rien en haut ce qui me laisse accès à sa jolie poitrine. Ses seins sont d'une beauté surnaturelle, même s'ils ne tiennent plus aussi bien à cause de leurs poids (elle fait un 90 E) ils sont ronds et ferme comme je les aimes. Je ne peux qu'être en admiration devant leurs beauté.
J'en prends un dans chaque main et les soupesses puis je me met à les caresser très lentement. Je fais des mouvements circulaires en les pressant de temps à autre.
Elle se retient et essaie de me repousser mais je ne veux pas me détacher d'elle. Je prends un sein dans ma bouche et tête comme un petit bébé, pendant que l'autre main fait des cercles autour du téton de sa jumelle, ses seins sont son talon d'Achille je connais son corps par cœur, elle se mord la lèvre inférieure et rejette la tête en arrière. Apres avoir bien tété je passe à la jumelle que je lèche de partout avant de l'engloutir à son tour dans ma bouche. Elle n'est plus que gémissements, elle m'attrape la nuque et écrase mon visage contre sa poitrine. Toujours avec la jumelle dans ma bouche, je vais à la recherche de ma meilleure amie, celle qui n'a connu que moi jusqu'ici, rien que d'imaginer que quelqu'un d'autre puisse y avoir accès, non, je chasse très vite cette image de mon esprit et me reconcentre sur ma meilleure amie. Elle est comme à son habitude toute douce sans aucun poils, je la caresse d'abord avant de mettre un doigt et de faire des petits mouvements de va et vient, une fois qu'elle a prit le rythme un deuxième doigt rejoint très vite le premier et tous deux continuent leur petite danse. Je retire ma bouche de la jumelle qui est aussitôt remplacé par ma main et avec ma bouche je lèche et parcours tout son corps de baisers mouillés. Le goût de sa peau est exquis, je lui retire son shorty avec mes dents et retire mon marcel avant de parcourir ma meilleure amie avec ma langue, elle essaie de se retirer mais je l'agrippe fermement. Elle dit souvent que c'est humiliant pour un homme de faire cela mais moi je ne trouve pas, pourquoi les femmes doivent s'abaisser pour nous faire des féllations et en retour ce serait ingrat pour un homme que lui donner ce même plaisir, c'est absurde, moi j'adore la boire. Je la lape et la lèche elle se met à tortiller sur le lit lorsque je la sens venir je me débarrasse de mon bas de pyjama et me repositionne au dessus d'elle.
Moi: Bébé regarde moi
Une fois nos regards l'un dans l'autre je la pénètre centimètre par centimètre chaque rapport sexuel avec elle c'est comme au premier jour tellement elle est étroite, je la trouve encore plus chaude que d'habitude, elle arrive à chaque fois à me faire perdre la tête.
Moi: (grognant) grrr!! Bébé tu es tellement chaude oh ma vie.
Je m'active en elle pendant un bon moment puis je me retire entièrement et la pénètre avec plus de force)
Moi: Il y a quelqu'un d'autre hein, dis-moi est ce que tu vois un autre homme.
Opra: (très étonné) Q... Quoi.... Non... Pourquoi ?
Moi: (de plus en plus fort) Tu es à moi bébé, ne laisse jamais personne te toucher.
Opra : Hum...
Moi : Opra?
Je m'arrête et attend sa réponse
Opra : Hum
Moi ( posant un doigt sur chaque seins) ils sont à moi tu as oublié? Elle secoue la tête. (Je m'enfonce de nouveau en elle et pose un doigt sur ma meilleure amie) elle aussi est à moi (puis agrippant ses fesses) et eux aussi
Opra : Hum... Oui... oui...oui
Je recommence mes va et viens et elle tourne le bassin en soulevant les fesses pour que je m'enfonce en elle le plus loin possible. Oh seigneur qu'est-ce que c'est bon de la retrouver.
Je reprends les jumelles dans ma bouche chacune leurs tours tout en continuant à la culbuter.
Opra : Ahhhhh chérie... continue.. oh oui!!!
Moi: Tu aimes bébé??
Opra: Hum.....oui
Je sens qu'elle veut venir mais elle se retient
Moi: Bébé laisse toi aller, jouie pour moi s'il te plaît. Ne te retiens pas.
Elle me sourie et nous terminons notre danse dans un râle simultané. Toujours en elle je nous fais basculé et me retrouve sur le dos, elle au dessus de moi, elle pose sa tête sur mon torse et je la serre fort contre moi jusqu'à ce qu'elle s'endorme. C'est notre position favorite pour dormir après l'amour. On reste imbriqué l'un dans l'autre comme pour ne faire qu'un.
Je la regarde dormir depuis un bon moment il est déjà 5h du matin. Je ne sais pas quand est-ce que je pourrais la revoir.
Je ne peux pas me permettre de prendre le risque de rester jusqu'au matin, il faut que je parte. Je l'allonge délicatement sur ma gauche et la recouvre avec la couette. Je me rhabille à la hâte avant de sortir de la maison. Je roule jusqu'à mon appartement et prend une douche avant de m'allonger sur mon lit, j'envoie un texto à Opra. C'est en pensant à elle que je plonge dans les bras de morphée.
******
C'est la sonnerie de mon téléphone qui me réveille quelques heures après.
C'est un numéro inconnu
Moi : Oui Allô!
..... : Mais bordel pour qui vous prenez vous? Vous pensiez pouvoir me doublé?
Moi: J'ai fais ce que vous vouliez alors laissez-moi tranquille. Qu'est-ce que vous voulez de plus?
Lui : Vous vous foutez de moi que faisiez vous chez elle cette nuit alors?
Moi : Qui vous a...? Vous me faites suivre mais vous êtes complètement malade.
Lui: Nuance, c'est elle que je surveille pas vous.
Je vous préviens encore un écart, un seul petit contact et je m'occuperai personnellement de vous deux.
Je raccroche sans le laisser finir et éteint mon téléphone. Je ne sais vraiment pas comment je vais pouvoir nous sortir de la.
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