Les Adéléké
Ecrit par Yayira Bénédicte
Assandy Éloïse Natasha épse
Adéléké
5 ans plus tard
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Babe les gens nous attendent. Dis-je alors
qu’il était déjà en moi
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Shuuut, savoure Ololufê. Dit-il en me
pénétrant jusqu’à la garde avant de ressortir
-
Oh…prends-moi…babe. Dis-je en cambrant pour
mieux le recevoir.
C’était trop bon, je ne pensais même plus au fait que je ne
voulais pas que ma robe se froisse, je savourais juste la bite de mon homme
dans ma cave.
-
Tu es trop bonne babe. Dit-il en râlant alors
que je twerkais sur son engin
-
Plus vite babe, plus viiitttte. Dis-je alors
qu’il avait diminué la cadence
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Comme ça ? dit-il en allant plus vite et
agrippant mes hanches de ses deux mains
-
Oh oui…. Dis-je en envoyant mes fesses vers
lui, j’utilisais ensuite mes deux mains pour bien ouvrir les fesses, il adore
ça.
-
Holly shit… jura-t-il alors que mon vagin se
contractait autour de son engin alors que j’atteignais l’orgasme
Il ne tarda pas à se déversé en moi, on resta quelques secondes
silencieux, collé l’un à l’autre. Il se dégagea ensuite et on alla se nettoyer
dans la salle de bain de son bureau.
-
Regarde dans quel état tu as mis ma robe babe,
faut que je me change maintenant. Dis-je sur un ton de reproche
-
Désolé Ololufê, j’avais trop envie de te
prendre dans cette robe. Dit-il en me faisant un bisou dans le cou
-
Je monte me changer. Dis-je en sortant de la
sale de bain
Nous avions organisé une petite réception pour célébré nos 5ans de
mariage, une petite soirée avec les amis et la famille et voilà que juste deux
heures après le début de la soirée me voici qui dois aller me changer parce que
monsieur mon mari voulais un coup rapide, lol !
5 ans, des choses se sont passées en 5ans ! Je vais commencer
par où ? D’abord j’ai mis au mon un garçon Yoann Oluwashé Adéléké qui à
4ans, le portrait craché de son père, un vrai casse tout ! C’est Bryan qui
était super content lorsque qu’on nous a révélé que j’attendais un garçon, il a
dit qu’il allait avoir son petit frère à lui et qu’il ne serait plus le seul
garçon au milieu de 3 fille quand papa voyage. Ensuite j’ai mis au monde Edna
Ifunanya , Emeraude Tiwalade et Eliam Olomidé Adéléké, des triplets de 1an 3
mois, nos derniers même si leur père me faire genre ils sont pas les derniers.
On a déjà 7 enfant, je ne sais pas ce qu’il veut de plus, 4 filles trois
garçon, n’est-ce pas que c’est suffisant ? En tout cas j’ai mis un
stérilet que je m’assure de changer à temps.
Mes deux dernières grossesse ont été merveilleuses, Femi était là
à chaque étape, il refusait même de voyager pour ne pas me laisser seule, ne
parlons même pas du travail, pendant la grossesse de Yoann il ne voulait pas
que je travail, j’ai du boudé pendant près de deux semaines pour qu’il cède. La
grossesse de Yoann ne m’a pas fatigué comme celle des triplets donc j’ai
travaillé jusqu’au jour de mon accouchement. Je me souviens que j’ai perdu les
eaux en pleins émission, quand Laetitia est allé le dire à Alexandre qui était
dans son bureau, il est arrivé au studio comme un fou, mais j’ai fais ma têtue,
j’ai refusé de partir sans avoir terminé l’émission, il m’a regardé comme s’il
voulait e giflé alors que les autres retenaient leur souffle. J’ai quand même
terminé l’émission avant d’aller à l’hôpital, je suis même passé à la maison me
doucher et prendre ma valise, mon mari lui était dans tout ses états, pourtant
je lui ai expliqué que les contractions étaient très espacé. C’est seulement 4
heures après que j’ai mis Yoann au monde ! Il était beau comme tout, son
père à pleuré comme un gamin, après je me suis bien foutue de sa gueule.
La grossesse des triplets par contre c’était autre chose, je me
sentais au bout de ma vie tellement j’étais fatiguée, j’ai arrêté de travailler
à 7 mois, j’ai pris 30 kilos, je ne ressemblais à rien, je détestais mon corps
comme pas possible, je ne voulais même pas que Femi me touche. J’ai accouché
par césarienne à 8mois 1 semaine, ils sont resté sous couveuse deux semaines.
J’ai perdu mes kilos au fur et à mesure et grâce à mon mari j’ai appris à aimer
mon corps à nouveau.
Mon mari, un homme avec grand H, oui ! il n’est pas parfait,
c’st un gros jaloux, il aime tout contrôler, il aime, il aime avoir le dernier
mots en bon homme africain, il est très strict avec Aurélie parfois qui est en
pleine crise d’adolescence, il est parfois difficile à vivre quand il est dans
ses mauvais jour mais si je devais l’épouser encore et encore et encore je le
feras sans me poser la moindre question, cet homme me comble dans tout les sens
du terme.
-
On te cherche partout en bas et toi tu es ici
entrain de rêvasser, fait Ifunanya calé dans l’embrasure de la porte
-
Et de quel droit tu te permets de rentré dans
ma chambre ? lui demandais-je, en prenant ma pochette
-
Tu as vu mes pieds dans ta chambre ? ton
mari m’envoie te chercher madame la diva. Dit-elle en me lorgnant
-
Toi tu ne va jamais changer, je ne sais même
pas ce qu’un homme comme Frederick t trouve
-
La même chose qu’un homme comme Alex te
trouve. Dit-elle en s’en allant
Oui elle et moi on ne s’entend toujours pas et je me suis fait à
l’idée, elle est parfaitement gaga de mes enfants, et elle s’entend super bien avec chacun d’eux,
surtout avec son homonyme c’st l’amour fou mais elle et moi on se lance des pic
chaque fois qu’on se voit. Ce n’est plus aussi violent qu’au début mais c’est
là quand même. Elle est marié à Frederick depuis 3 ans, ils on un garçon de 2
ans, Matéo Oluwafemi Ellia, il est trop mignon, je l’appel affectueusement mon
mari parce qu’il a le même nom que mon mari, il passe le plus clair de son
temps ici à jouer avec les triplets.
Je descends gracieusement les escaliers aux bas des quels mon mari
m’attend, je porte à présent une longue robe rouge bustier dont la fente
s’élève jusqu’à mes cuisse, je viens prendre le bras de mon mari et nous
sortons retrouver nos invité
-
Tu es magnifique, me susurre-t-il
-
Ne pense même pas m’enlever cette robe avant
la fin de cette soirée. Dis-je alors qu’on allait prendre place avec nos amis,
les enfants étaient avec les nounous. Entre adultes nous étions tous assis
autour d’une grande table. Anastasie qui était presqu’à terme de sa troisième
grossesse évitait de trop se déplacer, elle dit qu’elle se sent lourde. Elle à accouché de son fils Daniel et une
semaine après j’ai mis Yoann au monde, un an après elle était enceinte de Shadrack,
on s’est bien moqué d’elle les filles et moi parce que Daniel avait juste neuf
mois et elle était enceinte, on la chahutait du genre elle et le pasto ne
dormais pas la nuit. Là maintenant elle attend son troisième, une fille pour sa
plus grande joie. Son mari est à ses petits soins, j’ai l’impression que si ça
ne tenait qu’à lui elle serait couchée au lieu d’être là et je le comprends.
-
Ça va ? demandais-je à Ana en
m’approchant d’elle
-
Oui c’est ta nièce qui ne fait que me donner
des coups, tu sais que dès qu’elle entend la musique elle se met à dansé.
Dit-elle en souriant
-
Celle là humm, le pasto aura chaud avec elle.
Dis-je en riant
Mel me regarda bizarrement, avant de me chuchoter que je sentais
le sexe, je lui tapais l’épaule et elle éclata de rire. On n’est devenu bonne
amies Mel, Anni, Anna et moi, se sont des personnes franche qui n’hésite pas à
te dire quand tu fais quelque chose qu’elle n’apprécie pas. Plus d’une fois on
c’est confié les une aux autres que se soit par rapport à quelque chose qu’on
vivait avec nos enfants ou avec nos maris, se sont des personnes très discrète
et altruiste. Aujourd’hui je les considère comme les sœurs que la vie m’a données.
Parce que ma sœur biologique je n’ai jamais compris la haine qu’elle m’a
toujours vouez, en parlant d‘elle, son mari à réussi à s’évader, elle à
certainement attendu qu’il revienne mais en vain. Elle a commencé à délirer ce
qui lui a valu d’être interner dans un asile psychiatrique mis Alexandre à tenu
que se soit hors du pays ne faut pas qu’elle décide de s’évader un jour et de
venir s’en prendre à notre famille, elle est donc en Alaska, et il paye pour
son internement.
Maman s’en ai longtemps voulu parce qu’elle dit c’est sa faute si
Hélène est devenu ce qu’elle est et qu’elle est sûrement une mauvaise mère,
mais on lui a fait comprendre qu’on accouche d’un enfant mais pas forcement de
son cœur et que souvent malgré toute la bonne volonté tu ne peux rien faire.
Alexandre lui paye le billet une fois par an pour qu’elle aille visiter sa
fille.
La soirée se passa super bien, nos amis sont resté jusqu’à 23h
avant de s’en allé, heureusement que les enfants sont en vacance. Je m’assurais
que tout le monde était dans sa chambre, dans son lit, pendant que Alexandre
s’assurait que la maison était bien fermé et les caméras branché, les garde
était à leur poste, on alla ensuite dans notre chambre. On prit une douche
avant de venir se coucher
-
Tu as fini par trouver un terrain d’entente
avec ta fille ? lui demandais-je en faisant allusion à Aurélie
-
Non, tu sais qu’elle ne veut en faire qu’à sa
tête, elle veut absolument aller en Portugal pour ses vacances, je n’ai pas dis
non mais qu’elle aille d’abord au Ghana avec Bryan madame refuse, que son frère
se prend trop pour son père
-
Mais elle a dire vouloir améliorer son
portugais non babe ?
-
Oui et je n’en disconviens pas, mais ça ne lui
coûte rien d’aller à Accra fait un mois pour amélioré son Anglais aussi, elle
me dit que si elle doit aller amélioré son anglais faut que se soit à Londres.
Dit-il lasse
-
Mdrrr, n’est-ce pas que c’est la fille de son
père ? tu as mis le gout du luxe dans la bouche des enfants voilà
maintenant
-
Éloïse ne commence pas stp, je lui ai dit que
de toute façon personne n’irai en Europe cette année, on reste tous en Afrique,
elle ira au Mozambique au en Guinée Bissau pour apprendre son portugais là.
-
Hummm, ça c’est entre père et fille oh. Dis-je
lui caressant la poitrine
-
Voici Mila aussi qui est fâché contre moi
parce qu’elle dit que j’ai chassé son petit copain, elle a à peine 7ans et
c’est elle qui me parle de petit copain. Dit-il en levant les yeux au ciel,
j’espère que Edna et Emeraude ne viendront pas en rajouter, le seul qui me
comprends dans cette maison c’est Bryan, Yoann lui ai toujours collé dans tes
jupons
-
C’est à toi qu’il ressemble. Dis-je en riant,
n’est-ce pas que tu étais toujours fourré dans les jupons de ta mère ?
-
Même pas vrai. Dit-il en me caressant les
seins
-
Ne sois pas de mauvaise foi babe, mummy dit
toujours que Yoann se comporte pareil que toi.
Il se pencha pour prendre mon sein dans sa bouche. Il se plaint
comme ça mais il adore ses enfants, lui et Aurélie se dispute beaucoup ses
derniers temps parce madame à un goût prononcé pour le luxe et les trucs de
marques et son père essai de lui faire comprendre qu’il faut apprendre à
apprécié ce qu’on a peu importe le prix et que l’argent n’achète pas tout. Elle
dit elle veut devenir interprète comme tata Mel, c’est vrai qu’elle est très
passionné de langue, à 14 ans elle est en seconde A donc on y travaille, Bryan
quand à lui passe le BAC en candidat cette année, le BAC scientifique, mon fils
dit qu’il veut être pilote et son père est tellement fière qu’il lui passe tout
sans rechigner, il a déjà entamer les démarches pour l’envoyer dans l’école
d’aviation la plus prestigieuse de France. Mila quand à elle est au CE2, elle
donne déjà du fil à retordre à son père, elle dit qu’elle n’aime pas l’école et
qu’elle veut s’arrêter au CM2, après l’entrée en 6ème, Femi a failli
avaler sa nourriture de travers ce jours là, moi j’ai ris fatigué, il n’a
presque pas dormis de la nuit, ça m’amusais de voir comment il s’inquiétait
des paroles d’une enfant de 7ans
seulement, j’ai essayer de lui expliquer que c’était qu’une enfant et qu’elle
ne savait pas c qu’elle disait. Ça lui a prit des jours pour qu’il se détende,
Yoann lui est au CP1 à 4ans, sa maitresse de maternel trouvais qu’il a l’esprit
vif donc qu’il est préférable de le mettre au CP1. Les triplets eux sont
turbulents comme tout. Nous avons adopter Mila et Aurélie, elles portent le patronyme d'Alexandre, même Bryan n'est pas en reste mais lui contrairement aux autres porte toujours le non de famille de son père
-
Tu penses à quoi alors que tu es dans mes
bras. Dit-il en empoignant mes fesses
-
A tes enfants, DIEU nous a vraiment béni babe.
Dis-je alors qu’il insinuait son doigt en moi
-
Effectivement, et cette parole qui dit que
celui qui a trouvé une femme à trouvé le bonheur ne ment pas, tu es me comble de bonheur
Ololufê, tu es l’Ange de ma vie. Dit-il en me pénétrant millimètre par millimètre.
Il me fit l’amour avec douceur en me répétant que j’étais la femme
de sa vie et qu’il m’aime à en mourir. Je lui dis combien je l’aime aussi. je
me suis récemment mise à la prière aussi parce que j’ai compris que si ce n’est
DIEU mes ennemis m’aurais ensevelis depuis. On se coucha l’un dans les bras
l’autre après avoir visité plusieurs les cimes du plaisir. Je ne sais pas de
quoi demain sera fait, je sais que ça ne sera pas toujours rose, que comme ses
5 dernières années il y aura des hauts et des bas mais je suis sûre d’une chose
c’est que malgré les hauts et les bats on s’en sortira toujours ensemble.
FIN