La cinquième dimension temporelle de ces fameuses horloges, car…

Nul ne sait l’heure...2

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Les fils de leurs vies étaient sectionnés par les Heures grecques, filles de Jupiter, leurs jumelles les Parques, filles de la Nuit/ l’Erèbe/ Jupiter et Thémis. 

Du haut de l’Olympe*, veilleuses des destins et des fils du temps, marqué par ces horloges soudainement, brusquement pétrifiées dans leur élan.*

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L’homme avait coutume de dire lors de moments de discussions sur les deuils successifs dans son entourage:

- « nous n’y pouvons rien ».

Mais bien longtemps avant ces nombreux passages de vie à trépas, il avait déclaré et déclare toujours, que :

- « si parmi ces personnes parties, certaines avaient eu des intentions néfastes envers moi, ces mêmes personnes ne pouvaient ’atteindre et passeraient avant moi ».  

Il était reconnu, tel que cela était souvent comté dans la famille, que plusieurs parmi ces personnes mortes à présent, l’avaient elles-mêmes menacé de mort auparavant lors d'une certaine réunion, suite à de graves querelles pour des raisons qui sont inconnues. Mais la jalousie et la convoitise de ces derniers, en étaient la base…

D’ailleurs, comme pour confirmer leurs tords, l'homme avait constaté et fait la remarque que :

 - « la plupart qui m’avaient ainsi menacés de mort, n’était plus de ce monde. Et certains dans le nombre, étaient pourtant plus jeunes que moi »... ©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

Coïncidence ou intention selon les éléments ainsi présentés ?

Il en faisait un constat simple et clair, neutre dans l’énoncé, sans en montrer un sentiment autre que la résignation à l’évolution de la vie. Qu’il ne s’agissait pas là, d’une perte énorme.

Serait-ce en raison de la croyance que : celui qui veut nuire à autrui subit lui-même sa rétribution ? 

Que Nul ne sait le jour ni l’heure, et que la prétention arrogante de ces personnes ne pouvait finir autrement ? 

Ou encore, que « les morts ne sont pas mort » ; ils sont passés dans la pièce à côté ?

Toujours en est-il que les horloges créées par les hommes pour marquer le temps dans leur vie,  finissent par indiquer celui de leurs derniers instants. 

Ironique ?...

Les hommes arrivant au bout de leur temps, dont ils n’ont aucunement la maitrise, 

             vers un monde infini, intemporel, et 

                                 s’éloignant de ce temps artificiel, laissent derrière eux, ces horloges prédéfinie et temporelles... ©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

 « Bizarre, bizarre...

Vous avez dit bizarre ?

Comme c’est bizarre… » Comme le disait à une époque lointaine, le compteur de la radio, Africa n.1

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*Il est noté que seule la référence mythologique grecque et latine de la perception du temps soit faite ici.

 Est-ce à dire que le temps évalué autrement dans d’autres contrées, n’aurait pas de socle légendaire et mythologique ? Non. L’ignorance de ces derniers serait plus à blâmer.

Alternativement, serait-ce que la notion du passage du temps est tout autre sous nos latitudes et sachant que toutes ses multiples dimensions en sont prises en compte autrement, que par un marquage linéaire et fixe ? ©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

Ou encore, serait-ce le fait que le temps est simplement assumé comme un élément a part entière de la Création Eternelle, et qu’Elle Seule, en étant à l’origine, en a la maîtrise ?...

FIN

Par ©Ngengeti ~Alavolee-Onafly