
L'origine des problèmes
Ecrit par Lulu-marie
Chapitre 40 : L’origine des problèmes
***Darius***
Non ce n’ai pas vrai ça fait longtemps, mais qu’est ce qui lui est arrivé ? Est-elle malade ? Hortense est une ancienne amie, cela date de plus de vingt ans.
Moi (me rapprochant d’elle) : Hortense c’est bien toi ?
Gémissement
Moi : Hortense tu vas bien, Que fais-tu là ?
Ingrid : Hortense !!!
Elle ne répondait pas, tous ce qu’elle faisait c’est de souffler sur son corps comme ci ça la brulait.
Je l’ai aidé à se relever en la faisant entrer dans la maison
Ingrid : Darius qu’est ce que tu fais ?
Moi : Tu veux que je la laisse au portail ?
Ingrid : Elle n’est pas bien portante
Moi : Raison de plus pour qu’on lui vienne en aide
Ingrid : Je ne suis pas rassurée.
J’ai entrainé Hortense jusqu'à l'interieur en la faisant asseoir sur une chaise sur véranda mais elle s’est levée comme si elle avait le feu aux fesses.
Hortense : Je…Je … je dois sortir d’ici
Moi : Hortense calme toi
Hortense (regardant dans tous les sens) : Je dois sortir
***Ingrid***
Moi : Darius elle veut sortir d’ici
Darius : attends calme toi.
Non mais mon mari m’énerve, la présence de cette femme ici ne me dit rien de bon. Hortense je la connais, Je suis restée dans le même quartier qu’elle. Elle faisait partie de celle là qui était contre mon bonheur à l’époque. Je n'ai jamais compris. Le jour où je me suis mariée elle est arrivée jusque chez moi me dire d’un ton ironique qu’elle me souhaitait bon ménage. Je n’ai pas fait cas de ça. Elle était jalouse de moi clairement et je n’ai jamais su pourquoi. Maintenant que Darius me dit qu’il la connait, ça m’étonne vraiment.
La voir dans cet état me fait de la peine qu’est ce qui lui ai arrivé, Hortense faisait partir de ses dames là qui même étant dans la pauvreté, faisait toujours tous pour soigner leur apparences.
Darius : D’où tu la connais ?
Daph : maman, c’est qui cette femme ?
Charlène est sortie, et s’est arrêté devant nous avec un regard interrogateur
Charlène (s’approchant) : Qu’est ce qui se passe ici ?
Moi : Je n’en sais pas plus que toi Charlène
Hortense : Je dois sortir d’ici sortez moi d’ici
Charlène a tiqué
Moi : Tu comprends quelque chose toi ?
Charlène : Mon Dieu Ingrid, cette voix
Moi : Je crois qu’elle n’est pas normale.
Charlène : non je parle de la voix.
Moi : La voix de qui ?
Darius : Bon okay, dis moi tu veux sortir, viens je te raccompagne
Hortense (se dégageant) : Non je dois parler d’abord
Charlène : Mon Dieu c’est la même voix
Moi : mais de quelle voix ?
Charlène: la même voix dans ce rêve
Daph et moi : Quoi ?
Hortense (hurlant) : ooooh je dois parler ooo
Je crois qu’elle a attiré l’attention, parce que tous les autres qui étaient à l’intérieur sont sortis y compris mon fils.
Charlène : Oui parle, c’est elle, c’est la même voix
Darius : qu’est ce que tu dis Charlène
Hortense : Je dois parler d’abord ooh
Moi (hurlant presque) : mais parle enfin
Darius : on se calme. Hortense tu veux parler de quoi ? Prends place nous t’écoutons
***Hortense***
Je ne me sens pas bien, je ne me sens pas du tout bien. Depuis ce soir où ce qui est arrivé est arrivé, ma vie a dérouté, je ne dors presque plus, tout mon corps me brule et chauffe comme ci je baignais dans le feu. Le féticheur avant de mourir a dit que je devrais tout avouer. Je veux avoir la satisfaction je souffre trop. J’ai passé deux jours à cherché la maison de Darius. Et voilà je l’ai trouvé mais elle est entouré de flamme, ce qui fait en sorte que j’ai encore mal ; plus mal, je brûle. Mon Dieu, ils s’approchent, ces gens, je vois des hommes avec des ailes et des épées, Je dois sortir d’ici, Je crois que je suis la seule à les voir. Ils m’ordonnent de parler. JE DOIS PARLER Avant de m’en aller d’ici.
Ingrid : tu veux parler on t’écoute
Cette dame : Surtout je veux écouter sa voix
Moi (difficilement)
+++ flash-back +++
DES ANNÉES EN ARRIERE
Jeune belle, je suis tombée sous le charme de cet homme, Darius il s’appelle. Je l'ai rencontré au petit marché où je vendais des mangues à l'époque. Mes parents n'étaient pas aisé et j'avais été renvoyée de l'école à plusieurs reprises pour faute de non payement. Comme l'école n'était pas non plus faite pour moi, j'ai abandonné à mi chemin. Et j'ai continué dans le commerce. Darius est un bel homme avec de beaux yeux, je fais tout pour qu’il me regarde. Il ne me calcule pas, je l’ai courtisé à l'époque il fréquentait régulièrement le marché mais il n’a pas voulu de moi, quelque année plus tard, je l’ai perdu de vu, je me suis mariée et j’ai eu un garçon, par la suite je me suis installée avec mon ivrogne de mari dans un quartier reculé. Un jour, je suis tombée sur Darius dans ce quartier, je l‘ai abordé, il a eu du mal à me reconnaitre, mais moi je l’ai facilement reconnu, même s’il a un peu changé, il a prit du poids. Son visage était le même et ses yeux. Par-dessus tout il sentait l’argent, le luxe.
Plus tard je su qu’il venait voir Ingrid une voisine du quartier. Pourquoi Ingrid et pas moi ? Qu’est ce qu'elle a de plus que moi, elle est aussi pauvre que moi. Qu’est ce que Ingrid a et moi Hortense je n’ai pas merde. J’ai interpellé Darius, je l’ai relancé mais sa réaction était catégorique, il m’a prit comme une amie. M’arrêter à une simple amitié alors que j'en voulais plus. Il s’est marié à Ingrid, elle m’a volé ma place, la place que j’ai voulu pendant des années et elle vient me l’arracher aussi facilement. Je devrais aussi lui tapé à l’endroit ou ça fait mal. En cherchant comment me venger, je suis tombée sur ce féticheur puissant, à l’époque, il n’était pas si vieux, et les gens de la localité vantaient ses exploits, alors je me suis référée à lui, je voulais à tout prix faire payer à Ingrid, je voulais les briser, briser ce qu’il y a entre eux et détourner le regard de Darius, mais nous n’avons pas réussir. Le couple était solide m’a dit le féticheur on ne pouvait pas l’atteindre alors j’ai choisit sa fille elle était une cible parfaite.
Comme Ingrid avait ses parents dans le quartier, je prenais par là pour avoir des nouvelles, j’avais une oreille bien tendue. Sa fille était brillante et intelligente, pourquoi ne pas lui arraché simplement son étoile, c’est ce que j’ai fait. Je pouvais la percevoir de loin, surtout quand elle était épanouie je ressentais ce signal.
Peu de temps après mon mari mourru j’ai dû retourner au village chez mes parents avec mon fils parce que je n’avais pas les moyens pour payer le loyer. Chemin faisant, je perdis ensuite mon fils, c’était douloureux pour moi mon seul fils ; ils m’ont renvoyés de mon village en me traitant de sorcière. Ma mère a eu une crise ce jour là et s’en est allée également. Puisque c’était elle seule qui me restait, j’ai quitté et je suis allée me refugier dans le village voisin du féticheur.
Je n’avais plus rien à perdre, ma mission maintenant est de détruire Ingrid, puisqu’elle est la cause de tout ce qui m’arrive. Et c’est ainsi qu’une nuit, nous avons perçu la grossesse de sa fille. Cette nuit, nous l’avons saisit, ça s’est passé dans une grande forêt. Le féticheur l’avait attaché à un arbre et moi je devrais tourner autour d’elle et lui frappé sur le ventre jusqu’à ce qu’elle perde l’enfant. Je l’ai tellement frappé avec le bâton que m’avait remit le féticheur, et je lui ai arraché la grossesse avec mes mains.
Après cet épisode j'ai renoué un autre lien avec le féticheur, à chaque fois je me rends chez le féticheur c’est un peu compliqué parce qu’il y a toujours cette force qui nous bloque mais on arrive toujours à mettre la main sur elle même si ce n'était pas comme on le voulait.
C’est ainsi que ce jour, ce fameux jour, je me suis rendu chez le féticheur pour en finir avec la fille d’Ingrid parce que son bonheur était trop. Je ne voulais pas la voir heureuse c'était ma manière à moi de faire payer à Ingrid ce qu'elle m'a fait. Et à Darius aussi de m'avoir rejeter. Et voilà le résultat sur moi.
+++Fin du flash-back +++
Ils avaient tous les mains sur la bouche, les mains sur la tête. Darius s’est levé de sa chaise.
Darius : Hortense ?
Darius, n’a pas changé toujours aussi séduisant, bel homme, même s’il a prit un coup de vieillesse, il est cet homme dont je suis tombée amoureuse au premier regard.
Ingrid (en larmes): Comment as-tu pu été méchante, qu’est ce que je t’ai fait, qu’est ce que ma famille t’a fait (se jetant sur moi) comment as-tu pu, je ne t’ai rien prit.
Darius : Ingrid laisse la
Je viens de parler et pourtant je n’ai pas trouvé satisfaction, Ces personnes étranges se sont mis à me fouetté. Je criais de toutes mes forces, les coups de fouets s’ajoutaient à ma douleur.
***Ingrid***
Ce n’est pas possible, Mon Dieu ce n’est juste pas possible, comment est ce possible d’ailleurs, Je ne savais pas qu’Hortense, était une amie de mon mari et qu’elle m’en voulait depuis tout ce temps pour une histoire aussi absurde et pire ma fille en a payer les frais, Je suis bouleversée. Non comment est ce possible ?
***Darius***
Je n’arrive pas à croire tout ce que je viens d’entendre. Je suis restée sans voix à la fin de son discours. Comment est ce possible, je n’arrive même pas à comprendre qu'Hortense soit à l’origine de la perte de grossesse de ma fille. Comme quoi l’ennemie n’est jamais loin.
***Charlène***
C’était elle, mon Dieu c’est cette femme. J’ai reconnu aussitôt sa voix. Et elle vient de raconter exactement ce que j’ai perçu dans ces rêves, le même scénario. Je ne me suis pas trompée. J’ai fait le premier rêve trois jours après Daphnée perdait sa grossesse. Si j'avais fait plus attention,, peut être on aurait pu épargner cela avec la prière et jamais ma fieulle n’aurait subit ça. C’est après tout cela que j’ai parlé du rêve à Ingrid. Pourquoi et comment l’Homme peut être mauvais à ce point. Finalement c’est elle qui me fait de la peine.
***Aldrich***
Moi je ne me retrouve pas du tout dans ce qui se passe ici, Si je comprends quelque chose, c’est que Daphnée a perdue une grossesse par le passé et cette femme est responsable. Non je ne comprends pas encore.
***Daphnée***
Elle (hurlant) : AIIE ÇA FAIT MAL ? JE DOIS SORTIR D’ICI.
Elle s’est levée en courant et elle est sortie de la maison en criant. Personne ne l'a arrêté, personne ne l’a suivit d’ailleurs. Elle a reconnu le chemin de sortir. Je me suis assisse lourdement sur la chaise. Personne ne parlait, seuls les reniflements de maman se faisaient entendre. Tout ceci me laisse sans voix. Qu’est ce que j’ai fait à cette dame, mais c’est une histoire que je peine à croire. Après toutes ses années, découvrir que ma souffrance était l’œuvre d’une personne humaine ouvre à nouveau la brèche. Cette partie que j’ai enfouie au fond de moi refait surface. J’ai mal de savoir qu’à cause de cette femme que je ne connaissais même pas, j’ai perdu mon bébé, mon enfant, est-ce une fille ou un garçon je ne le saurai jamais. Elle me l’a arraché de sang froid. Cette femme est l’origine de mes problèmes. Et je comprends tout maintenant, c’est Dieu qui m’a conduite là-bas vers le pasteur ce soir là, c’est Dieu qui m’a délivré et c’est Dieu qui a permis tout ceci. Il ne se passe jamais rien au hasard. Je croise le regard de mon mari sur moi, je lui dois des explications.
Cindy : C’est quelle histoire ça
Papa : Retournons à l’intérieur s’il vous plait.
Est ce que quelqu’un avait envie de retourner à l’intérieur ? En tous cas pas moi
Cette femme vient de nous gâcher l’après midi.
Maman : Je n’arrive pas à croire c’est ma faute
Papa (la prenant dans ses bras) : Ne dit pas ça Ingrid, ce n’est pas ta faute.
Maman : C’est de ma faute, c’est à cause de moi.
Papa : Viens tu vas te reposer un peu
Il l’a entrainé dans sa chambre je suppose moi je n’ai pas bougé de la chaise. Aldrich s’est approché de moi en me prenant dans ses bras
Tata Charlène : Daph je dois vous parlez tous deux
Moi : Nous deux ?
Tata Charlène : Oui
Cindy et son mari on voulu nous laissé seuls mais tata leur a dit qu’ils pouvaient rester et écouter ce qu’elle avait à nous dire que c’était valable pour eux aussi.
Elle m’a rappelé son rêve, Ah oui ce fameux rêve. Maintenant je vois clair dans l’histoire, voilà en fait l’origine. Et dire que j’avais banalisé cela. Tata nous invite à plus mettre la prière au centre de nos vies, car Dieu est puissant, Elle nous a donné des versets bibliques et aussi des prières à faire chaque jours.
Après chacun a demandé la route et nous sommes rentrés, Aldrich ne faisait que me demandé si j’allais bien et je répondais oui en souriant. Je vais bien mais je n’arrête pas de penser à cette femme et à tout ce qu’elle a confié. Ceci dit, je pense aussi à Suzanne qui a été capable de faire manger des feuilles à Aldrich, juste pour l’avoir. Ces deux femmes ne sont pas loin l’une de l’autre. Que Dieu leur pardonne.
Quand nous sommes rentrés chez nous, je me suis allongée sur le lit et Aldrich à fait pareil en me faisant face. Je me suis redressée et j’ai commencé depuis le tout début.
[ …]
Moi : Voilà tu connais maintenant mon histoire, mon passé.
Aldr (me prenant dans ses bras) : Je suis désolée, bb, je suis désolée que tu sois passée par là, je suis désolée.
Moi : C’est du passé
Aldr : n’empêche, tu as souffert.
Moi(le regardant) : regarde moi, je vais bien, avant j’aurais éclaté en sanglot mais là je vais bien. Grace à Dieu je vais bien.
Aldr :
Moi (souriant) : La seule chose que tu peux me faire c’est de toujours prendre soins de moi et de toi. Parce que c’est toi qui me donne cette force en partie
Aldr : Je te le promets
Moi : Et on aura nos enfants à nous par la grâce de Dieu
Aldr (bisous) : Oui
Moi : merci d’être là pour moi
Aldr : Et je serai toujours là pour toi. On est soudé comme tes parents. L’ennemie ne pourra pas nous atteindre
Moi : du tout
Aldr : Tu veux qu’on aille faire les cent pas ce soir
Moi (riant) : Non
Aldr (sourire en coin) : sùre ??
Moi (yeux doux) : oui sûre bb. Je veux que tu prennes soins de moi ce soir.
Comme ci c’était ce qu’il attendait, il s’est jeté sur moi avec douceur en m’embrassant lentement d’abord puis brutalement, en moins d’une minute, il ne nous restait plus rien sur le corps. Aldrich a enfoncé un doigt, puis deux dans mon minou en me titillant et en me faisant vibrer de plaisir. Il me caressait les seins sans arrêté son mouvement. Quand je l’ai senti devant mon entré, j’ai soulevé mon bassin pour lui permettre d'avoir un accès facile. C’est tout doucement qu’il s’est glissé en moi en me faisant exploser de plaisir. Il allait et venait en moi si bien que je ne sû combien de fois j’ai jouis et ce combat a duré toute la nuit.
A suivre...
Ps : Désolée pour le silence mes amours, j’ai eu des empêchements mais voilà je suis de retour.