Mademoiselle Odongo

Ecrit par Boboobg


*Mathieu 

Farah: je sais qui c'etait ! 

Moi : dis le moi et je jure devant tout ce qui m'ai chere que je lui ferai la peau a ce monstre.

Farah : calme toi Mathieu! 

Moi ( en colere): je ne peux pas me calmer. Tu aurai pu mourir.

Farah (voulant s'assoir): si tu te met dans cet etat,je ne dirai rien Mathieu.

Moi (me calmant direct): je suis desolé mon amour. J'ai eu la peur de ma vie.

Farah : je comprends , moi aussi. Mathieu promet moi,promet moi que tu laissera la police se charger de cela.

Moi : tu as failli mourir et avec toi,Naomie et Orelien ! Et tu veux proteger cette personne ?

Farah(me regardant dans les yeux): je ne cherche a proteger personne Mathieu..je ne veux juste pas  que tu fasses quelque chose que tu regrettera. Nos filles ne meritent pas que leur père aille en prison pour avoir tuer un homme ! 

Moi : Donc il s'agit d'un homme ? Qui Farah! 

Farah(croisant ses bras autour de sa poitrine avant de faire une grimace de douleur ): je ne parlerai de cela qu'avec un policier.

Moi (haussant le ton): Farah! 

Farah:...

Moi : je n'arrive pas à croire que tu fasses cela !  

Farah :je veux voir ma soeur.

Moi: elle ne peut pas marcher ! A cause de cette personne que tu proteges,ta soeur risque de ne plus jamais etre porté par ses jambes ! 

Farah(etouffant un cri): Non! 

Moi : Si ! 

Farah(en larmes ):...

Moi : Qui es ?

Farah: Edouard, c'etait la même voiture qu'il avait indiqué a la femme qui l'accompagnait.

Moi : Edouard ? 

Farah: oui .

Moi (sortant de la chambre ): je vais gacher son existence toute entière ! 

Je suis sortie de la chambre et me suis dirigé dehors pour reprendre mon souffle. 

J'ai pris mon telephone et j'ai appelé tous les gens haut placé de ce pays,surtout ceux qui me doivent un service. Une heure du temps apres,j'ai reçu la confirmation selon laquelle,il va payé ce qu'il a osé faire a ma famille.

Je suis en train de retourner dans l'hopital quand je recroise la mère de Farah,assise sur l'une des chaises et somnolente.

Moi : madame Odongo ?

Elle : mademoiselle ! 

Moi : que fêtes vous là ? 

Elle : Naomie a refusé de me voir , je ne sais pas pourquoi cette enfant me deteste aujourd'hui. Elle m'aimait tellement avant mais soit elle peut s'etouffer avec sa haine que je suis et resterai sa mère. 

Moi : ....

Elle : je voudrai voir Farah! 

Moi : elle ne voudra pas .

Elle: alors , je resterai ici. Je n'ai nulle part ou aller ! 

Voilà ! C'est sans doute parcequ'elle n'a nulle part ou aller , qu'elle est ici.

Moi: Et si je vous trouvait un hotel,pour ce soir ! 

Sandrine (souriante): qu'est ce que tu veux en contreparti ? Je vois dans tes yeux que tu veux quelque chose Mon beau ! 

Moi : oui je veux ....

Sandrine : tu me paie trois nuits dans un bon hotel,tu me donnes de quoi faire la fete pendant ses trois jours auquelles je le repète je serai là pour soutenir mes filles. Et en contreparti,tu pourra gouter a ce coprs de reine. 

Moi (amusé par tant de bassesse): Sandrine...

Sandrine : shut jusqu'ici tu n'as gouté qu'a la petite princesse,moi je suis la source mon beau.

Moi (reprenant mon serieux): Farah est de loin la source de tout pour moi. De plus,permettez moi d'etre honnète,je prefere sa fraicheur a votre carcasse dégarnie.

Elle ouvre la bouche choqué et essaie de me gifler,mais pour avoir été gifler plus d'une fois par ses filles,j'ai senti le coup arriver . J'ai arrêter sa main.

Moi (serieux): je viens de gacher la vie d'un homme avec juste un coup de fil,madame Odongo je ne penses pas que vous aimeriez etre mon enemi! 

Sandrine: ...

Moi: je vous donnerai ce que vous voulez en echange de reponses.

Sandrine:...

Moi: ou peut etre que vous aimeriez passer trois nuit ici! Soit (m'en allant)

Sandrine: tu es mal elevé ! 

Moi : alors ?

Sandrine: que veux tu savoir ?

Moi : qui est le père de Farah.

Sandrine : d'abord me montrer mon dû!

Je l'ai planté là avant d'aller a la chambre de Farah,j'y ai trouvé une infirmière qui m'a annoncé l'avoir de nouveau endormi. D'ici demain,ils la laisseront faire ses nuits toutes seules,son cerveau a assez gueri. 

J'embrasse ma femme avant d'aller rejoindre sa mère tout en appelant l'hotel  .

Moi: venez !

Nous prenons ma voiture,l'hotel n'est qu'a quelques minutes de conduite. Quand nous y arrivons,je prend la chambre presidentielle mais avant de la laisser y aller,je l'entraine vers le bar. Ou en vrai femme de la vie,elle commande un verre de jack daniels pendant que je ne prend rien.

Moi : a mon tour maintenant.

Sandrine : je t'ècoute.

Moi : qui est le père de Farah.

Sandrine (riant): c'etait un portugais,il avait un zizi aussi misnuscule que mon petit orteil mais il etait tellement beau parleur et sourtout riche que...

Moi (fronçant la mine): je suis un homme tres important Sandrine,vous devez l'avoir compris alors je le répète ne chercher pas a trouvé en moi un enemi ! Qui est le père de ma femme ?

Sandrine (plissant les yeux): pourquoi ça t'interresse ? L'argent que tu viens de depenser ce n'est rien par rapport a la dote que tu me dois ! 

Moi : okay,vous dormirez a la rue ce soir si je reviens et que vous essayé encore de me duper.

Je me suis levé et me suis dirigé vers les toilettes, bien decidé à annulé la chambre et tout ce qui va avec si a mon retourne , elle ne me dit pas la verité. C'est facile , cette femme a les mêmes tiques que sa fille et quand elle ment,sans le vouloir elle pince l'interieur de sa lèvre infierieur ! 


* Sandrine

Mais cet homme se prend pour qui ? Pour qui cette petite bite se prend t'il ?

Moi (au barman): c'est qui cet homme ?

Lui : qui ça ?

Moi: tu es bete ou tu fais exprès ? Le blanc avec moi ! 

Lui : en tout cas madame vous avez tirez le grand lot. C'est le directeur departemental de Elf Congo !

Moi (ourant grand les yeux): lui là ?

Lui: oui mais je vous previens,il est marié a une metisse là. Et ils ont deux filles!

Moi : c'est bon.

Farah a vraiment le chic pour s'attirer des hommes bien. De quoi je parles ? Elles s'attirent toutes des hommes bien,c'est incroyable. Pendant que moi,la source de leur beauté,je ne les gardes jamais ! C'est vraiment n'importe quoi !

Voilà que l'autre là reviens! 

Lui: alors ?

Moi ( me mettant à fond dans mon role): c'etait un belge,il travaillais comme chef douanier a....

Lui(se levant ): au revoir Sandrine.

Comment ce petit arrive a savoir quand je mens ?

Moi(l'arretant):  c'est bon,je vais dire la verité.

Lui: c'est votre dernière chance Sandrine.

Moi (soufflant): la verité c'est que a ce moment la,tout ce que je voulais c'etait faire la fête tout en gagnant de l'argent. J'avais deja deux enfants,je m'etais fait poser un sterilet alors je couchais avec tous les hommes qui me tombait sous la main! C'etait sans savoir que mon corps lutterai contre les hormones secretés par mon contraceptif !  

Lui: vous ne le savez pas !

Moi : je sais qui c'etait parceque a ce moment là,c'etait le seul blanc avec lequel je couchais ! 

Lui: alors ?

Moi(honnete ): il était Hommes d'affaires. Un sud africain d'origine hollandaise. Un gros raciste mais qui ne pouvait s'empecher de baiser les petites negresse ! 

Lui(semblant heureux): et Jean Doneoud ?

Moi : qui ça ?

Lui: Français,marié,pilote sur la campagnie d'aviation nationale, il....

Moi (me rappelant ): Jean-Jean ? Ho my god! Je n'avais même pas remarquer le nom! Il est qui pour toi ?

Lui: mon père.

Moi (surprise): le gros cachotier! Il n'est pas encore mort ? Si j'avais su qu'il vivrait aussi longtemps,je l'aurai collé un peu plus !

Lui: vous avez donc eu une relation avec lui mais quand ?

Moi (détaché): j'etais à deux mois de grossesse ! J'avais besoin de sous et jean-jean adorait mes fesses alors de temps en temps je les lui donnait ! 

Lui: pourquoi n'avez vous jamais dit la verité à Farah ?

Moi : parceque son père etait un monstre ! Il m'enchainait et me baisait en me traitant comme si j'étais de la merde jusqu'a epuisement! Alors oui,quand sa fille sort belle comme un ange,désolé mais ça m'enerve ! On ne peut pas etre issu d'un monstre pareil et etre ce qu'est Farah! 

Lui(me regardant dans les yeux): avez vous une seule fois aimer l'une de vos filles ?

Moi (buvant un autre verre cu sec): oui! J'ai aimé Ma fille Sandrine,parceque son père est le seul que j'ai aimé ! Mais il ne comptait pas abondonner sa grosse Senegalaise donc je l'ai envoyé pètre avec sa grosse queue ! (Ajoutant un autre cu sec) Erica elle,je l'adorais. C'etait mon petit bout d'amour !  C'etait mon dernier bébé,la seule qui ne me ressemblait pas , la seule qui ne me donnait pas l'effet d'un miroir, celui d'etre une meilleure version de moi ! 

Lui (me fixant avec ses yeux couleur bizzarre): vous êtes pathétique!

Moi (un autre cu sec) : sauf que c'est le con de la femme pathetique qui a donné naissance a celle que tu cherie tant ! 

Lui: Passez vos trois jours (deposant un cheque sous mon nez) et allez vous en.

Moi (regardant le nombre de chiffre en souriant ): Dis a mes filles que maman les aime . 

Il s'est levé et j'ai pris le chèque que j'ai mis dans mon sac. 

Je ne regrette pas avoir donné naissance a mes filles,ce que je regrette,c'est de ne pas avoir eu l'intelligence de les avoir montrer le chemin , le vrai chemin ! Si elles avaient su comment gagner de l'argent avec leur con,aujourd'hui,moi aussi je serai riche. Combien de mes amies sont riches et moi ? Au moins grace a ma petite blanche,j'ai trois millions de franc cefa de quoi me refaire une santé! Je savais bien qu'il fallait que je montes ici !

Moi (au barman): es que tu as un vrai penis ?

Lui: hein ?

Moi : montre ! 

Lui: ....

Moi : j'ai dit montre petit con!

Il a regardé aurour avant de soulever sa chemise et de sortir doucement son penis.

Moi : pas mal! Dans une heure,rejoinds moi dans la chambre numero 1 ! Je t'attendrai toute nu et offerte ! 

Il avale la salive et me souri,le petit coquin ! 


*Edouard

Les cris de jouissance d'Amanda m'empechent de me concentrer, cela me rappelle trop que ce n'est pas elle. Que ce n'est pas Farah. 

Alors je la retourne en la mettant sur le ventre avant de la baillonner en enfonçant l'extremité de l'oreiller dans sa bouche et de me mettre a la culbuter en imaginant que c'est Farah qui me dit : vas y Edouard , plus fort , encore plus fort !

C'est repus et en sueur que je m'afale sur son dos. 

Amanda(soufflant): je peux enlever cette peruque ?

Moi : oui vas y ! 

Elle enlève la peruque et la jette loin vers la porte de la chambre au même moment que celle ci se fracasse pour laisser entrer des hommes cagoulés armés jusqu'aux dents.

L'un deux: Edouard Ngoma ?

Moi( appeuré): qui êtes vous ? Que voulez vous ?

Coup de crosse sur la tête et trou noir ! 




Farah, rebelle de la...