Mariage

Ecrit par Yayira Bénédicte

Anastasie Bansah

 

Je me marie aujourd’hui, oui je me marie ! Hier c’était la dote, on l’a fait dans le quartier où vivent mes parents, c’était une cérémonie pas trop compliqué. Aujourd’hui c’est le mariage légal et religieux, je suis entrain de me faire maquiller en ce moment par une fille de l’institut ou je travaille, Nana aussi est entrain de se faire maquiller ainsi que la sœur de Ray. Nana est ma dame de compagnie, ma sœur et celle de Ray sont les demoiselles d’honneur. J’ai choisis le vert clair et le jaune or comme couleur comme couleur. Ma robe est juste féerique avec le voile de trois mettre, c’est un cadeau de la mère de Ray, je suis impatiente de dire oui à mon homme.

J’arrive à la mairie un peu stressé, le marié est à l’intérieur et m’attends, je vais unis ma vie à celle de l’homme que j’aime. Je suis conduite à l’hôtel au bras de mon père qui est sobre, DIEU merci. Ray ne fait que sourire jusqu’à ce que j’arrive à son niveau et qu’il me prenne la main, je m’assois ensuite à sa gauche et la cérémonie peu commencé.

Après la mairie le cortège se rend à l’église, celle où je vais avec Ray. La cérémonie religieuse aussi se passe bien, le pasteur nous béni après nous avoir prodigué de nombreux conseils sur la tolérance dans le couple et la communication. On va ensuite se changer avant d’aller à la réception qui à lieu au Golf hôtel

-          Arrête de mater ta bague. Dépêche-toi de t’habiller. dit Nana

-          Je n’arrive toujours pas à le croire. Dis-je en souriant, je suis marié dis-je en regardant mon doigt

-          Oui tu es marié ma puce, et je suis fière de toi t’imagine pas, je suis vraiment fière de la femme que tu es.

-          Merci mon cœur, merci de partager ce moment avec moi, on a tellement vécu de galère toute les deux que j’ai du mal à y croire

-          Pour tout les moments de galère qu’on a vécu tu mérite tout ce bonheur ma puce, et je suis sûre que Raymond te rendra encore plus heureuse. Dit-elle en ayant la larme à l’œil

-          Je t’aime ma best. Dis-je en essuyant une larme de son visage

-          Je t’aime aussi ma best. Dit-elle en faisant pareil pour moi.

-          Bon le marié risque de s’impatienter hein les amoureuses. Fit la sœur de Raymond derrière nous.

Ce qui nous fit éclater de rire. On se prépara pour la réception, il y avait du monde, pas un monde fou mais du monde quand même, des gens que je ne connaissais pas pour la plus part mais bon ce qui m’importe c’est de partager ce moment avec les gens que j’aime.

-          Madame Dasylva. Dit Ray alors qu’on ouvrait le bal

-          Oui monsieur Dasylva. Dis-je en posant la main la tête sur son épaule

-          Tu es heureuse ? me demanda-t-il

-          Ça serait un euphémisme de dire que je suis heureuse, je suis en extase. Dis-je en riant

-          J’en suis ravi, je ne te promets pas que tout les jours seront comme ça mais je ferais de mon mieux pour que tu sois toujours heureuse. Dit-il en me faisant un smack

-          Moi aussi, je ferais mon possible pour que tu sois toujours heureux mon amour ! lui dis-je

Les autres ne tardaient pas à nous rejoindre sur la piste, je dansais avec mon beau père et mon père avant d’aller m’asseoir.  On procéda à la coupure du gâteau avant de nous éclipsé avec l’aide de Nana et la sœur de Ray, on allait directement à l’aéroport pour prendre notre vol. Apparemment la sœur de Ray et son Mari nous ont aussi offert un voyage en Espagne, mais on commence d’abord par Singapour. Mon époux  mon regarde tendrement, prends ma main et la porte à ses lèvres, oui c’est mon époux.

On arrive à l’aéroport à temps, nous embarquons avec la compagnie Émirate, direction Singapour.  Je crois que le vol dure 9 ou 10 heures et Ray m’a dit qu’on à un décalage horaire de 16h du genre quand il est 16h à baby il est 00h à Singapour, donc je suis perdu dans les calcules, ce qui est sur on va arriver. On enregistrait notre unique valise, mon époux a dit qu’on allait acheter ce dont nous aurions besoin sur place. Je serais la main de mon Ray alors que l’avion s’apprêtais à décoller, j’avais un peu peur je l’avoue, il me sera la main et essaya de me rassure.

Je ne tardais pas à m’endormir  une fois dans les airs. On fit une escale à Paris avant de continuer, j’ai pas pu voir la ville à proprement dis mais je trouvais rien que l’aéroport à coupé le souffle. Ray promis que nous y viendrons.

 

Raymond Dasylva

 

Nous somme arrivé à Singapour vers 7h, nous avons pris un taxi direction Raffles hôtel, c’est l’un des plus luxueux hôtels de la ville, j’ai été vraiment surpris en voyant le nom de l’hôtel sur le ticket de réservation, la suite la moins couteuse avoisine les 800.000f la nuit dans cet hôtel, Alexandre à vraiment été gentil. Elle s’affale sur le lit dès qu’on entre dans notre suite, c’est une suite spacieuse et juste magnifique.

-          Débout madame, on prend une douche d’abord

-          Non, je suis épuisé. Dit-elle en enlevant ses chaussures

-          Une bonne douche te fera du bien bb, ensuite on mange et on dort

-          Bon vas-y toi, moi je commande la nourriture. Dit-elle

-          Et tu vas parler quoi comme langue madame mon épouse ? ils ne parlent pas français mais anglais

-          Oh ! fit-elle en me tendant le combiné

-          Vas te douché. Dis-je en appuyant sur la touche 1

Elle se leva se débarrassa de ses vêtements avant d’aller à la salle de bain alors que j’avalais difficilement ma salive. J’attendis qu’elle finisse de se doucher avant que j’aille me doucher à mon tour, à mon retour elle dormait déjà, j’appelais la réception pour que notre repas soit livré dans deux heures parce que moi aussi j’avais sommeil.

Je fus réveillé par de douces caresses sur mon torse, j’ouvris légèrement les yeux, elle était couché près de moi entrain de me fixer

-          Quoi ? dis-je en la regardant

-          J’ai faim. Dit-elle en s’humidifiant les lèvres

-          Moi aussi, attends j’appel la réception. Dis-je en voulant me lever

-          Non, j’ai faim d’autre chose. Dit-elle-en se mettant à califourchon sur moi

J’ai longtemps redouté ce moment, comment lui dire que je n’ai jamais été avec une femme ? elle risque d’être dessus vu qu’elle a de l’expérience

-          Bb, ce n’est pas mieux qu’on mange d’abord ? lui demandais-je

-          Non. Dit-elle en rapprochant ses lèvres des miennes

Elle se mit à m’embrasser tout en caressant mon torse, mes bras, moi j’avais les mains raides le long du corps ne sachant pas trop où les poser. Elle se mit à onduler le bassin sur ma bosse alors que celle-ci était de plus en plus grandissante, elle enleva la nuisette qu’elle portait et m’offrir ainsi ses seins, elle prit mes mains qu’elle posa sur mes seins, en aidant mes mains à les pressés. Elle se décala ensuite et sortis mon engin de mon boxer

-          C’est exactement comme je l’imaginais. Dit-elle en massant ma verge

-          Oh… fis-je alors qu’elle me masturbait avec sa main, mes mains s’étaient crispé sur ses seins

Elle s’empala lentement sur ma verge, qui avait un peu de mal à passé. Elle soupira d’aise que je fus totalement en elle, elle se baissa vers mes lèvres et se mit à bouger les fesses, ce qui me fis jouis instantanément, elle resta un moment sans bouger avant de recommencer à bouger en m’embrassant, mon sexe ne tardait pas à reprendre vie en elle, mais au bout de 5 minutes j’avais jouis encore. Elle se leva après ma troisième jouissance en l’espèce de mois de 30 minutes et se dirigea vers la salle de bain, je me suis senti mal et mon égo fouetté. Je me levais pour aller la rejoinre dans la douche, elle laissait l’eau couler sur son corps

-          Je suis désolé bb. Dis-je en me rapprochant d’elle

-          …..

-          Je… je n’ai jamais été avec une femme avant toi, et jusqu’à ce matin je n’avais jamais fais ça, désolé de te décevoir. Dis-je en lui faisant un baiser sur la tempe

-          Excuse moi chéri, désolé pour ma réaction, j’étais juste frustrée, on va apprendre ensemble. Dit-elle en m’embrassant

On prit notre douche et on sortit, on commanda à manger. Après le repas elle décida qu’on ira nul et qu’on allait mater ensemble des vidéos pornographiques. Je n’étais pas à l’aise avec l’idée qu’on mais je fins par céder, c’est pour la bonne cause je suppose. On a maté les vidéos pendant qu’elle m’expliquait en même ce qu’elle aime, et que lors de l’action on doit pouvoir ce parler, s’exprimer sur ce que nous voulons et que rien ne devait être tabou entre nous, surtout pas ce sujet.

Le soir on sortit diner au restaurant de l’hôtel, elle insista pour que je prenne un thé au gingembre avant qu’on ne sorte faire une petite balade à pied pour admirer la beauté de la ville, c’est vraiment une ville magnifique. On retourna à l’hôtel, ensuite dans notre chambre, elle prit sa douche en premier. Je restais bouche bée en sortant de la douche, elle portait une tenue que je ne sais pas trop comment décrire mais ses tétons et son minou n’étaient pas couverts, et elle portait un masque. Elle est à couper le souffle, j’avais juste envie de me jeter sur elle et de la dévorer.

Elle vint vers moi, détacha la serviette que j’avais attaché autour de la taille, puis elle se baissa pour me prendre dans sa bouche

-          Holly shit ! jurais-je alors qu’elle m’engloutissait tout en massant mes boules

Cette fille va me tuer Seigneur ! je délirais tant c’était bon, j’essayais de me retenir le plus longtemps possible mais quelque minutes plus tard j’éjaculais dans sa bouche

-          Dé… désolé bb. Dis-je alors qu’elle se relevait

-          Shuuut, on a toute la nuit mon cœur. Dit-elle en m’embrassant

Elle me murmurait de temps en temps ce qu’elle voulait, comment elle voulait que je lui masse les seins, comment elle voulait que je titille son petit bouton, et avec ce que j’ai appris cet après midi dans les vidéos  qu’on a regardé cet après midi donc je me débrouillais pas mal je dirais. Elle moment elle se mit à convulsé en me griffant le dos et me demandant de la pénétré, ce que je fis sans hésiter.

Je durais un peu plus avant de jouir, je dirais une dizaine de minutes et je crois qu’elle a apprécié, je lui baisais le front en la prenant dans mes bras

-          Merci mon cœur. Dit-elle  en me souriant

-          Merci à toi mon bb. Dis-je en lui souriant en retour

On s’aima plusieurs fou cette nuit et j’aimais de plus en plus et j’arrivais à me retenir plus de 15 minutes. J’aime particulièrement quand elle me chevauche comme si sa vie en dépendait.

 

 

Assandy Éloïse Natasha

 

Je suis couché dans mon lit, épuisé par ses deux dernières semaines de préparation du mariage Ana, je suis vraiment contente qu’elle ait convolé en juste noce avec quelqu’un qui l’aime, la chérie et le respect. Je ne doute pas un instant qu’il la rendre heureuse parce que ça se voit qu’il est fou d’elle.

C’est dimanche maman et ses petits enfants sont allés à l’église, moi je n’y suis pas allé car trop fatigué, je voulais juste rester à la maison à ne rien faire. Alexandre me manque comme ce n’est pas possible, j’ai l’impression d’étouffer rien qu’en y pensant, mais à qui vais-je me plaindre ? Personne, c’est moi-même qui ai cherché c’est moi-même qui ai trouvé, j’aurais pu faire comme Ana et dire la vérité dès le début que je n’en serais pas là. J’évite même de pleurer parce que ça ne sert à rien, il parle avec les enfants, il appel aussi maman, comme si de rien était, sa mère aussi m’appel comme si de rien n’était. Elle dit savoir qu’on est en froid mais que de ne pas m’inquiéter et que tout rentrera dans l’ordre, si seulement elle savait !

On sonne à la porte, je me lève pour allé ouvrir, je trouve deux monsieur devant moi que je ne connais pas, il se présente comme des huissiers de justice et qu’ils sont là pour me remettre une citation à comparaitre. J’étais surprise, citation à comparaitre ? Moi ? Qu’est-ce que j’ai fais ? Ils ont dit ne pas pouvoir me donner plus ample information et que je devais être au palais de demain avec mon avocat.

J’enlève l’avocat là où ? Et pourquoi je dois être à la justice alors que je n’ai rien fais à personne mon ? L’enveloppe qu’ils m’ont remise ne contient pas grande information. Je décide d’appeler Meliane pour lui expliquer, son mari et elle connaisse beaucoup de personne, ils pourront surement m’aider. Elle me demande de passer chez elle dans la soirée, comme ça ont pourra mieux en parler et qu’elle va prévenir son Avocat pour qu’il soit là.

J’ai essayé d’être le plus normal possible lorsque maman et les enfants sont rentrés. On a mangé et ensuite ils sont allé faire leur sieste, moi je n’arrivais pas à dormir, j’étais juste devant la télé à la regarder sans la voir.

Le soir je m’apprêtais pour allé chez Meliane, j’y allais avec les enfants parce que ses jumeaux s’entendent très bien avec Bryan et Aurélie, Mila qui marche déjà sans tomber n’allait surement pas rester à la maison, donc je les aie embarqué avec moi. Les enfants se mirent à sauter de joie en se voyant, Meliane les confia à la nounou et me demanda de la suivre, son ventre était énorme à présent. Je leur expliquais à son mari, leur avocat et à elle ce que les huissiers m’avait dit en leur montrant la citation à comparaitre

-          Il n’ya aucune information exploitable sur ce papier, nous nous rendront à palais de justice demain. Dit l’avocat, vous êtes sûre que vous n’avez rien à vous reproché ?

-          Rien maitre, en tout cas pas à ce que je sache

-          Bien, nous allons nous occupé de cela. Ajouta-t-il

-          T’inquiète maitre Metekou est l’un des meilleurs qui soit, on saura de quoi il s’agit demain. Dit Meliane, si je ne bossais pas demain je serais venu avec vous

-          Je n’ai pas un programme trop chargé demain, je vais vous accompagné. Dit son mari

-          D’accord, merci à vous. Dis-je touché par leur sollicitude

Meliane insista pour qu’on dine avec eux avant de rentrer. Les enfants et moi on rentrait ensuite, les deux grand se douchais et moi je donnais le bain à ma petite Mila. Je les mis ensuite au lit. J’appelais ensuite mon supérieur direct pour lui demander la permission de m’absenter demain pour des problèmes de famille, il accepta sans trop de problème. Je ne sais pas c que j’ai fais et à qui mais j’attends demain pour le savoir.

La Kinda