Métamorphose !

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 21

*Métamorphose !


LIZZIE 


Je partis vers elle et lui jeta tous ces documents en face. 


Elle me regarda et ne me comprenais pas, mais je continuais à la fixer. 


Elle : (me regardant) Lizzie c’est pourquoi tous ces documents ? 


Moi : c’est pour te mettre au parfum, (m’asseyant près d’elle)  j’ai parlé avec le détective et apparemment il y’aura une réunion ici ou du moins un séminaire avec les plus grands hommes du pays et quelques-uns du monde (la fixant) 


Elle : et ? (voulant comprendre) 


Moi : comment ça « et » ? Tu y seras, le moment parfait pour t’incruster 


Elle : (détournant son regard)  non, non je pelure encore mon mari 


Moi : et mon frère n’aurait pas voulu cela on le pleure tous et on ne finira jamais de le pleurer mais on ne va pas rester là à toujours le pleurer. Jokey tu dois te venger tu as oublié ? (voulant lui rappeler) 


Elle : (petite voix) non pas du tout mais ….


Moi : (la coupant) plus de mais, tu es prête, ta métamorphose est juste wahoo, (souriant)  tu es l’une des femmes les plus riche d’ici, la veuve milliardaire, alors il est tant que ton personnage rentre en jeu. Tu vas essayer de parler avec eux et vu ta beauté et ta forme cela  sera facile, tu verras comment ils fonctionnent car mieux faut être près de l’ennemi pour mieux le tuer


Elle : (me regardant)  mes ennemis ne sont pas ici 


Moi : mais une partie est ici et selon le détective privé ton mari Maxime Bely sera convié à ce séminaire 


Elle : comment ? (se relevant automatiquement) 


Moi : (continuant)  il sera là, alors tu iras à cette entreprise en parlant avec lui de façon normale, et je suis sure qu’il t’invitera dans son pays pour continuer affaire et y investir. Et là tu iras en lui disant que tu rêvais même d’y investir mais ne savait pas en quoi et ne savais si le climat politique là-bas était stable et là il te rassurera puis nous prendrons une grande maison là-bas en C.I et une fois en C.I la vengeance débutera réellement 


Elle : (souriant) wahooo, tu as tout à fait raison 


Moi : (riant)  je sais, allez viens on va te trouver la tenue idéale pour cela, il faut que tu les épate tous 


Elle : oui mais je dois te demander, est tu sur de vouloir venir en C.I avec loi ? 


Moi : bien sûr que oui, je ne raterai cela pour rien au monde 


Elle : ok Ethan ? (l’appelant)


Lui : oui maman 


Elle : mon chéri voudras tu venir avec maman en C.I pour quelques mois ? 


Lui : maman avant de mourir papa, m’a dit que je devais en toi et tante lizzie (me souriant)  avoir confiance et vous démontrer du respect donc jusqu’au bout du monde je te suivrai. (la souriant) 


Elle : (souriant) merci, on va donc se renseigner pour tes cours 


Moi : il aura des professeurs particuliers et aussi un certain personnel se déplacera avec nous 


Elle : ah bon ? 


Moi : (riant)  attends on parle bien de la veuve milliardaire Nelson donc rien ne se fera à moitié. Il faut taper ces gens à l’œil et faire en sorte qu’il ne se doute de rien 


Elle : tu as tout à fait raison 


JAMILA / JOKEYBED


Je me réveillai ce matin et après mon jogging matinal, je partis me doucher et m’apprêter. J’optais pour la tenue que Lizzie avait choisi hier, une tenue professionnelle mais en même temps tape à l’œil je dois dire. Mais bon elle m’allait bien grâce à Dieu. 


Je fis donc ma prière et embrassa la photo de mon mari et descendit 


Elle : (laissant tomber sa fourchette) wahoooo Jokey tu es vraiment ravissante 


Moi : merci bien Lizzie grâce à toi 


Elle : mais il n’est pas encore un peu tôt ? 


Moi : non pas du tout, Maxime se réveille tôt, au plus tard 6h30, il mange et  va se faire beau pour la seconde fois puis part. On peut dire qu’au plus grand tard 7H30 il démarre. Et lorsqu’il est à l’extérieur du pays il m’appelle aux environs de 8H pour voir si la grosse que je suis vis ou a fait ce qu’il avait laissé comme consigne avant son départ ou juste pour me rappeler que je suis grosse, donc je peux dire qu’à 8H30 il sera au séminaire surtout qu’il est venue sans bimbo donc il doit y être et il est 9H donc j’ai toute les chances d’être repéré par lui en rentrant.  (Souriant) 


Elle : (ahurie)  wahoo, tu le connais par cœur. Tu seras annoncé par le maitre de cérémonie avant d’entrer vu que tu présenteras un peu les compagnies Nelson ce qui fera que tu seras vraiment remarquer. Moi je vais continuer ma fouille avec le détective pour en savoir plus sur cette Neslie. 


Moi : ok d’accord, bonne journée


Elle : à toi aussi 


Je montais dans la voiture et le chauffeur démarrai, arriver au lieu de cérémonie, je mis un instant avant de descendre du véhicule. Je pris une bonne gorgée d’eau et la bu puis je me dis intérieurement que c’était le début de ma vengeance.  Cette rencontre  avec Maxime représentait assez pour moi. Je m’étais métamorphoser comme me le disait toujours Lizzie mais il devait ne pas me reconnaitre. Et j’avais peur qu’il ne me reconnaisse, je craignais qu’il se rappelle de moi nous avions vécu ensemble longtemps et cela veut dire que tout est possible. 


Chauffeur : (avec respect) madame, je vous ouvre maintenant ? 


Moi : (respirant un grand coup) oui vous pouvez 


Je sortis en affichant un regard de confiance, je devais le faire car en aucun cas il ne devait remarquer que je tremblais ou semblais crispée. Mes chaussures louboutin bien cirées, mon sac Dior, mon tailleur versage qui mettait en valeur mon corps et ce visage bien habillé par un soigneux make up, non il ne pouvait me reconnaitre. 


Je partis donc vers le lieu de cérémonie en affichant une certaine sérénité et j’entrais dans la salle après l’annonce du maitre de cérémonie. A mon entré tous se levait et je vis Bely sourire sans me regarder, je suis sure qu’il se disait pourquoi se lever devant une femme même si elle est milliardaire. 


J’entrais et remercias tous, il s’assit et c’est seulement à ce moment qu’il posa les yeux sur moi et il fut comme hypnotisé, il ne me quitta plus des yeux et me regardait intensément. Je le regardais juste un peu et commença mon discours en saluant l’assemblée, les remerciât de m’avoir invité et commençais la présentation de nos entreprises en accentuant sur le fait que je comptais les  diversifier dans certains pays. 


A la fin, les gens continuaient à m’acclamer et le maitre venait me demander si je voulais me retirer je lui dis sue non, je comptais rester pour voir le reste de la cérémonie. 


Il ne me quittait pas des yeux, il me regardait toujours avec intensité je me demandais ce  à quoi il pensait, je faisais tout pour rester zen, sereine, imperturbable par son regard, même si je dois avouer que Maxime n’avait vraiment pas changé. Il est resté le même Maxime que j’ai connu. 


A la fin de la cérémonie je me levais et partais faire la sortie quand il m’accosta, mon cœur se coupa, qu’allais-t-il me dire ? 


Lui : (se raclant la gorge) désolé Mme (avec respect)  de vous prendre un peu de votre temps mais j’aimerais si possible en savoir plus sur votre entreprise et aussi sur les différents investissements que vous voulez faire en Côte D’ivoire, car oui je suis homme d’affaires ivoirien, et je me présente je suis M. Bely Maxime pour vous servir (souriant)


Moi : (sereine)  en effet j’ai pleins d’ambitions dans ce pays que je trouve assez prometteur mais j’ai aussi des craintes (sourire) 


Lui : des craintes, dites-moi ? 


Moi : j’aimerais bien mais j’ai une réunion dans peu de temps (regardant ma montre) je vous donne donc l’adresse de mon chargé de communication (lui donnant sa carte) et vous donne rendez-vous dans nos locaux. 


Lui : (prenant la carte) d’accord, comptez sur moi pour venir, merci. 


Moi : (le regardant)  je vous en prie M. ? 


Lui : M.Bely (souriant) 


Moi : (fermant juste un peu les yeux) ah oui M. Bely, bon après-midi


Je sortis et monta dans ma voiture en respirant un énorme coup. Je n’y croyais pas,  j’avais vraiment changé et Maxime ne m’avait même pas reconnu. C’était parfait. Mais je préférais abréger la conversation pour aujourd’hui, et mieux me préparer afin que la seconde fois je sois plus intéressante et qu’il recherche à me reparler. 


Moi : (lançant l’appel) Alex ? Ça va…..ok il y’a un certain Maxime Bely qui essayera de te contacter pour un rendez-vous avec moi …..Tu le feras poliment patienter au moins 3jours et je te dirai quoi faire ensuite. Merci. 


J’entrais chez moi toute fière d’avoir réussie à affronter Maxime sans qu’il ne se doute de rien et maintenant me voilà à sourire bêtement à cause de cet exploit car pour moi oui ça l’est. Maxime  a été pendant longtemps l’une des personnes dont j’avais le plus peur mais aujourd’hui j’ai réussi à lui parler normalement et calmement, même si j’ai vraiment lutté pour ne pas le gifler pour tout ce qu’il m’a fait traverser. 


Ethan : maman ! Tu m’as manqué (venant m’embrasser) 


Moi : (l’embrassant)  moi aussi mon grand, alors ta journée ? 


Ethan : bien mais je voulais tant te voir 


Moi : mais tu n’avais qu’à m’appeler tu sais ? 


Ethan : je n’allais pas te déranger


Moi : jamais tu ne me dérangeras et si je ne réponds pas c’est que je suis occupée mais je te rappellerai automatiquement (le regardant) 


Ethan : d’accord maman (souriant) 


Moi : mon chéri tu sais que lorsque nous irons en C.I assez de choses changerons maman sera vraiment très occuper et je n’aurais pas assez de temps pour toi mais sache qu’à tout moment tu peux compter sur moi. Et que je t’aime d’un amour si grand que rien ni personne ne le changera 


Lizzie : (au coin  de la porte) et c’est  aussi valable pour moi 


Ethan : (m’embrassant) d’accord maman (partant embrasser Lizzie) d’accord tata 


Puis il fila dans la cuisine


Elle : alors parait-il que tu as fait sensation ? (souriant)


Moi : qui te l’a dit ? (ahurie)  


Elle : la télé y étais et j’ai suivi les news (riant) 


Moi : ah bon ? 


Elle : oui et tu étais vraiment parfaite je l’avoue 


Moi : (lui racontant tout) merci Lizzie, et la totale c’est que j’ai réussi à lui parler sans qu’il ne me reconnaisse. C’est vraiment nouveau pour moi vu comment j’avais peur de lui avant et comment je l’évitais donc réussir à lui parler comme ces femmes dont il me vantait toujours le mérite est pour moi une grande première. 


Elle : (heureuse)  je suis super fière de toi, et crois-moi ça continuera. Je suis sure qu’il tombera amoureux de toi et là il s’en mordra les doigts. Concernant cette Neslie, elle est une femme mariée, et oui marié à un puissant homme qui est un grand pion dans les affaires entre les pays africains et la France mais apparemment lui est plutôt calme c’est cette Neslie qui fait tout. Elle s’était éteinte de la scène juste parce qu’elle avait accouchée et aucun doute l’enfant est de son mari d’où la ressemblance (me montrant une photo) et donc vu que la petite marche maintenant elle est prête à revenir sur la scène pile au moment où nous aussi entrerons en scène. Le destin est avec nous. (Souriant)  Et Maxime vous allez vous revoir ? 


Moi : oui, il a bien voulu me revoir. Je lui est remis la carte d’Alex tout en recommandant à celui-ci de ne pas lui donner de rendez-vous avant les trois prochains jours le temps pour moi de mieux m’apprêter. 


Elle : (applaudissant)  super donc je me renseigne voir si il sera à un autre évènement et tu iras là-bas 


Moi : encore ? 


Elle : biens sur on doit lui en mettre vraiment plein la vue, vraiment 


Moi : hum d’accord 


Elle : n’ait pas peur, tu réussiras (me réconfortant) 


MAXIME 


Je ne quittais vraiment pas cette belle femme des yeux, elle était comment dire si parfaite. Je ne m’attendais pas à la revoir ici après que son agent m’est fait patienter au téléphone. D’après ce qui se dit, elle ne participe vraiment jamais aux grandes réunions ou sorties mais cette fois-ci elle venait j’avais de la chance. 


Je ne sais pourquoi mais cette merveille m’attirait et me rendait fou, son sourire, sa carrure, sa fortune mais surtout sa classe. Tout en elle respirait la class, elle avait un beau visage, une belle forme, un beau teint, un style vestimentaire hors du commun qui savait nous faire apprécier les bonnes formes généreuses que Dieu lui avait donné. Mais  ce qui me plaisait plus, elle ne prêtait pas attention à tous nos regards, lorsqu’elle vient elle reste courtoise, professionnelle et fait ce pour quoi elle est là et se retire toujours avec class. Son défunt mari avait vraiment de la chance ce genre de femme raffinée et éduqué on n’en trouve plus. 


Elle se leva pour faire un discours et tous la regardaient, sans le vouloir je deviens jaloux et détestait tous ces hommes qui la suivait du regard. Je la voulais,  si c’était une fille de rue, un seul sourire avec des billets aurait réussi à la faire me suivre et réaliser mes fantasmes mais on parle de la veuve milliardaire et ce n’est pas l’argent qui pourra l’impressionner, il faut que je me joue les hommes éduqués et peut-être que j’aurais une chance. 


Lorsqu’elle eut fini son discours je m’approchai d’elle rapidement pour l’aider à descendre les marches. 


Elle : merci quel bon gentleman ! 


Moi : je vous en prie (souriant) 


Elle : je suis Mme Nelson et vous êtes ? (me tendant la main) 


Moi : (avec mon plus beau sourire) M.Bely nous nous sommes rencontrés la fois dernière au début du séminaire 


Elle : ah oui, je vois M. l’ivoirien (souriant) 


Moi : oui en effet (toujours ce sourire) 


Elle : ok merci et bonne soirée 


Moi : (automatiquement) avec tout mon respect Mme, (elle se retourna)  je devais vous parlez pour les investissements en C.I, mais votre agent m’a dit que vous étiez occupé 


Elle : oui effectivement, pleins d’imprévus d’ordre primordial, (me fixant avec ces beaux yeux)  sinon vous avez des affaires sur lesquels on peut investir dans votre pays sans être affecter par un quelconque climat politique instable ? (sérieuse, j’aime ça, les belles femmes réfléchies) 


Moi : (sais idiot oui, mais le sourire est resté)  oui, il y’en a assez. Comme par exemple……


Elle :  (me coupant) je pense que l’on ferait mieux d’en parler autour d’une bonne tasse de café ou thé plutôt que devant des coupes de champagnes. (Souriant) 


Moi : (ravi)  oui désolé pour mon enthousiasme 


Elle : (sereine)  donc 9H dans mes locaux ? Je laisserai des consignes


Moi : d’accord 


Elle : bonne soirée


Moi : s’il vous plait Mme Nelson ? 


Elle : oui, allez-y 


Moi : puis-je me permettre une faveur ? 


Moi : vous êtes vraiment rayonnante (souriant) 


Elle : je vous remercie M. (me rendant mon sourire) 


Puis elle partit avec des hommes venues l’accoster  ça devait être ces gardes. Je la regardais partir en souriant, quelle était belle ! 


Je retournais à mon hôtel en pensant à comment faire pour que cette femme vienne en C.I. 


Moi : (décrochant) oui allô ? 


Elle : Max il y’a un souci, tu as vraiment duré au Ghana


Moi : non Neslie t’en fais pas tout va bien 


Elle : ok d’accord si tu le dis, tu viens quand ? 


Moi : en manque ? (souriant) 


Elle : il se pourrait bien


Moi : (riant) bientôt ne t’en fais pas 


*****


Même au travail elle m’épatait elle portait une belle robe en pagne et était sur de beaux talons qui lui donnait une bonne allure, son parfum mi doux-mi fort avait pris toute la salle et pouvait m’hypnotiser, doux Jésus ce genre de femmes existe ? 


Elle : donc comme ça il n’y ‘a aucun soucis ? (me fixant) 


Moi : (revenant à moi) en effet


Elle : (passants son regard de moi à son PC) ok d’accord et dites-moi, connaissez-vous des hommes politiques influents ? 


Moi : euh oui un peu 


Elle :  (concentrer sur son travail) ok je ne veux vous vexer mais il se rapporte que là-bas des amis politiques sont nécessaires en vue de savoir certaines de tes activités stables


Je souris 


Moi : (me vantant) le président est un bon ami 


Elle : vraiment ? (me regardant) 


Moi : effectivement (souriant) 


Elle : donc vous comptez un jour vous présentez ? 


Moi : pas pour le moment 


Elle : j’ai vraiment toujours voulu connaitre un peu plus sur la politique (se levant)  et j’ai même voulu apprendre des cours de politique mais je me suis dit que si Nicols Machiavel ne se trompait lorsqu’il disait que pour gouverner il faut deux choses  (partant prendre sa bouteille d’eau dans le frigo de son bureau) : la ruse et la force (se retournant vers moi) donc je mis qu’apprendre avec des professionnels de politique serait mieux. (Bon Dieu qu’elle était belle et si instruite) 


Moi : (souriant) tout à fait comptez-vous vous lancer dans la politique un jour ? 


Elle : (revenant vers son fauteuil mais s’arrêtant à mon niveau et me regardant) pour le moment je n’en sais rien je veux découvrir cette zone de politique d’abord et m’y prononcer (souriant et continuant sa route) 


Moi : vous avez donc devant vous le meilleur professeur  (me vantant encore) 


Elle : vraiment ? (me fixant sereine) 


Moi : (continuant)  oui je vous le promets, je pourrai même vous montrez à mes amis et devanciers, des personnes du monde assez influentes 


Elle : (un si beau sourire) si c’est donc cela je crois que vous pourrez m’accueillir en C.I en fin de mois 


Moi : vraiment ? Je veux dire sérieusement ? (ahuri) 


Elle : (s’asseyant) tout à fait, je veux bien savoir si oui ou non je peux faire de la politique 


Moi : vous voulez que je vous prenne un logement ou autre ? 


Elle : non juste que vous m’aidiez à comprendre ce monde sinon pour le reste j’ai des agents presque partout.  (Regardant sa montre) Ce fut un réel plaisir de parler avec vous, je dois aller chercher mon fils donc vous passerez une belle fin de journée. 


Moi : vous avez un fils ? (ahuri) 


Elle : (souriant)  bien sûr que serais-je une femme sans un beau garçon pour lui rappeler à quel point son père était un homme puissant. 


Moi : (souriant) vous avez absolument raison 


ANDY 


J’étais couché et repensait encore à ma vie aujourd’hui si elle vivait encore. Je suis avec Julie et je peux vous affirmez que c’est une personne bonne et qui est à mes petits soins et en plus elle ne s’est jamais plein mais comment vous dire qu’elle me manque toujours autant. 


Etre avec Julie est parfait et j’en suis convaincu, elle m’aime vraiment mais moi je n’arrive pas à ressentir pour elle ce que je ressentais pour Jamila, c’est comme si j’avais Jamila dans la peau et personne ne pouvait l’effacer. 


Julie est belle, disponible, charmante et bien mais….en parlant d’elle ou est-elle ? Je me suis réveiller en cours de nuit et mon lit était vide. Elle est aux toilettes ? Mais ça fait plus d’une heure que je suis réveillé mais rien. Je vais descendre voir


Je descendis les marches et je l’entendis parler elle devait être surement au téléphone 


Elle : (chuchotant presque) mais je te dis que ce n’est pas possible. Il ne peut venir ici….oui je sais…j’irai le voir….non…..mais écoute moi….Bon oui tu as gagné je ne vis pas seule et ce n’est pas facile…non écoute….non il ne me souille pas c’est moi qui l’est décider….je vais retourner près de lui….je te rappelle demain je t‘en prie calme le. 


Moi : c’était qui ? (derrière elle) 


Elle : ah chéri tu es là (prise de peur) 


Moi : oui 


Elle : au fait, ce n’était rien (souriant) 


Moi : (la fixant)  Julie dis-moi la vérité 


Elle : juste une amie qui veut venir connaitre ici, vu que je vis maintenant avec toi. Laisse tomber 


Moi : si ce n’est qu’une amie, alors elle peut venir 


Elle : hum ok 


Moi : rappelle là et dis-lui cela 


Elle : ok demain retournons  nous coucher (prenant ma main) 


Moi : (ne bougeant pas) rappelle la maintenant 


Elle : hum chéri (bizarre) 


Moi : Julie ? 


Elle : ce n’était pas une amie. (avouant) 


Moi : qui donc ? 


Elle : (voix tremblante) rien d’important 


Moi : tu vois ta mine et ton visage tu m’as l’air de quelqu’un qui tremble


Elle : (souriant) ce n’est rien 


Moi : (inquiet) tu dois de l’argent à quelqu’un ? 


Elle : non, non (automatiquement) 


Moi : si c’est le cas ne te gêne pas je peux rembourser 


Elle : non 


Moi : alors ? 


Elle :….


Moi : Julie ? 


Elle : c’était ma petite tante, mon père, c’est lui qui veut venir ici. 


Moi : ton père ? 


Elle : (Petite voix)  oui je suis de famille musulmane et même si je ne prie pas et fais ce que je veux depuis toujours mon père est parfois un peu bizarre, il dit qu’il ne me demande pas de me marier ou de lui faire des petits enfants mais il veut juste savoir avec qui je vis actuellement vu que sans boulot je suis encore dehors il se dit que je suis avec quelqu’un. Je te jure que je ne lui est rien  dit et je fais en sorte qu’il ne sache rien vu comment tout est compliquer entre nous et tu as été clair mais lui il insiste et persiste, et maintenant il veut se promener dans toute la ville à ma recherche.  (Triste) Je suis désolé écoute demain très tôt j’irai chez une amie et je lui dirai que je vis avec mon amie et tout sera bien. Je ne veux pas que tu te fâche voilà pourquoi je ne t’ai rien dit avant. (Souriant) 


Moi : appelle le et dis-lui que j’irai le voir avec toi demain, donc qu’il ne se déplace pas. Je peux lui parler si tu veux mais je ne veux pas passer pour malpoli, je ne connais vos coutume 


Elle : non chéri laisse (me regardant) 


Moi : (serein) tu vois comme tu trembles ? C’est vrai que je ne te promets rien concernant nous deux mais ton père a raison tu vis avec moi pourtant je ne connais personne de ton entourage en plus il ne veut juste que connaitre l’homme qui est avec sa fille, tu sais combien de pères tienne ainsi à leur enfants. Il n’a pas besoin de savoir ce qu’il y’a entre nous, mais d’une façon particulière nous sortons ensemble donc il peut me voir. 


Elle : (se jetant à mon cou en larmes) merci beaucoup Andy, merci du fond du cœur. Apres cela tu ne seras plus obliger de le revoir promis. Encore désolé (joyeuse ou triste ?) 


Moi : (essuyant ces larmes) allez va le rappelez (souriant) 


Elle : merci (sautant) 


Elle partit l’appelez toute contente. Oui je sais que je ne l’aime pas mais presque un an et elle est ici à se comporter comme une vraie femme avec moi, juste voir ces parents je lui dois cela au moins. 


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VENGEANCE VS AMOUR