Drôle De Rencontres!
Ecrit par Mabanabook
VENGEANCE VS AMOUR : Page 22
*Drôle De Rencontres !
JULIE
Je suis vraiment étonnée qu’Andy est accepté de venir voir mon père. Croyez-moi ce n’est pas du tout une histoire toute montée, j’aime Andy et pour lui j’ai décidé de changer. Le truc c’est que lorsque j’ai perdu mon job pour les raisons que vous tous savez. Il voulait que je passe assez de temps chez lui. Et ainsi il m’a demandé de libérer la maison que je louais et de venir vivre avec lui, histoire de m’aider à ne pas déprimer davantage.
Et c’est ainsi que j’ai accepté, mes économies pouvaient me permettre de vivre encore là-bas mais je sentais que c’était un grand pas pour nous donc j’ai accepté. Mes économies je m’en sers pour envoyer de l’argent aux parents de ma défunte Assistante, histoire de me racheter un peu.
Et je peux dire que tout vas bien, il m’aime pas comme un amour mais plus comme une amie, il arrive à me faire confiance et me parle de tout. La nuit il fait parfois des rêves étranges sur Jamila, j’en suis sûr, parfois il se réveille en sursaut et parfois non, donc je l’aide à sortir de son cauchemar. Il y’a des moments où il arrive difficilement à dormir et sort sans rien me dire et rentre vraiment tard. Mais au fur et à mesure il s’est confier et je l’accompagnais au cimetière pour aller sur la tombe de Jamila et la voir.
Au début il me demandait de rester dans la voiture, et après il m’a permis d’aller sur sa tombe avec lui, je ne ressentais pas de la jalousie détrompez-vous, mais plus de la satisfaction parce que s’il se confie à moi et me permets de le suivre jusqu’à là-bas c’est que tout peut encore se faire. Je suis heureuse d’être avec lui, qu’il me présente comme sa chérie, même si parfois il jouit dans le préservatif en m’appelant Jamila je suis sure qu’un jour cela passera.
Je me surprends même parfois à supporter tout cela et à me plaire à rester à la maison, certes il s’occupe vraiment de moi malgré ma résistance mais il dit être un homme Akan et les hommes Akan prennent soin de celle avec qui ils vivent, mais je me plais à aller déposer ces vêtements au pressing, faire les courses, m’assurer que la maison soit toujours belle et agréable. Je me plais avec lui dans cette vie et je n’aurais laissé le vieux Siloé, mon père la gâcher (sourire). Alors lorsqu’Andy m’a lui-même dit qu’il acceptait d’aller le rencontrer quelle ne fut ma joie. C’est vraiment un grand pas pour moi. Mon père n’est pas du genre à vouloir forcément un gendre musulman mais il veut juste savoir l’homme avec qui sa fille vit.
Lui : ton père est vraiment un grand homme, il a été vraiment cool et respectueux envers moi
Moi : (souriant) merci chéri toi aussi tu as fait de même, je ne te remercierais jamais assez
Lui : (sérieusement) tu sais Julie, c’est moi qui dois être reconnaissant pour cela, tu m’as vraiment soutenu et continue de le faire depuis toujours. Et vraiment je ne sais quelle femme supportera tout ceci sans se plaindre
Moi : je suis consciente du choix que tu as fait mon chéri et j’ai promis tout faire pour t’aider alors ne t’en fais pas c’est ce que je fais actuellement. (le rassurant)
Lui : merci (m’embrassant) et je veux m’y mettre aussi pour te faire plaisir. Je veux donc savoir comment faire pour que ta famille sache que je suis là avec toi. Pas de mariage religieux ni civil d’abord mais qu’est-ce que je dois ou ma famille doit apporter à tes parents pour qu’ils soient rassurer que leur fille vit bel et bien avec un homme qui tient à elle. (Me tenant la main)
Mon cœur battait plus fort
Moi : (émue) mais chéri, tu as déjà tout fait en m’acceptant et te déplaçant ici avec moi
Lui : (souriant) oui, mais je veux faire les présentations normalement, alors dis-moi. Ou renseigne-toi et dis le moi
Moi : (émue) merci chéri. C’est gentil
Lui : tu es une personne bien Julie et tu mérites tellement mieux.
***
Papa : (me regardant) alors il veut faire les choses de la bonne façon ?
Moi : oui papa (souriant)
Papa : (toujours avec le même regard) c’est un homme responsable Julie, mais dis-moi est-ce qu’il t’aime ?
Ma tante : comment dis-tu cela Ounfa (papa) s’il ne l’aimait pas demanderais t’il tout cela ?
Papa : (la regardant) je veux juste être rassuré ma chère. Cet homme est bien et responsable. Ça se sent d’abord dans ces actes, mais il parle de Julie avec respect et non amour selon moi. Je suis un homme âgé et ce que j’ai pu voir dans les yeux de cet homme c’est de la considération pour ma fille et non de l’amour (me regardant)
Elle : (nous défendant) ahhh Ounfa, cette jeunesse-là est différente de la nôtre alors laissons les
Papa : d’accord mais Julie tu es sûr ?
Moi : oui papa (souriant)
Papa : ok je contacterai tes oncles donc (me souriant)
Moi : j’espère que le souci de religion ne les gênera pas ? (inquiète)
Lui : tu crois que si tel avait été le cas j’aurais épousé ta mère ? Une fervente chrétienne ? Non, tu es ma fille et la plus difficile, tu te rebellais toujours depuis la mort de ta mère et je me demandais comment te cerner. (Avec émotion) Mais aujourd’hui grâce à cet homme tu es devenue une bonne fille alors qu’ils le veuillent ou non cet homme viendra se présenter dignement
Elle : (tapant les mains) bien parler Ounfa
Moi : (émue) merci beaucoup papa
Je rentrais chez moi heureuse mais triste, car mon papa avait réussi à voir en Andy ce qu’il ressentait réellement pour moi. Mais moi je l’aime et ça peut suffire pour vivre heureux. Je ne peux avoir peur car je sais que jamais il ne pourra aimer une personne comme Jamila donc y’a pas de risques. Je veux que l’on aille lui dire cela ensemble nous deux afin qu’elle nous donne sa bénédiction.
Lui : déjà rentré ? (me fixant)
Moi : oui chéri (allant l’embrasser)
Lui : ils vont bien ?
Moi : (souriant) oui il te passe même le bonjour
Lui : d’accord ! Repose toi, je t’apporte de l’eau pour te rafraichir et irait de faire couler un bon bain
Moi : merci chéri mais je peux le faire
Lui : tu le fais toujours laisse-moi t’impressionner aussi (souriant)
Moi : (heureuse à un point) pas la peine je le suis déjà
Lui : tu es trop bien Julie (me fixant)
Moi : merci chéri au fait papa à accepter, il nous contactera pour nous donner la date et les autres détails
Lui : super, je vais prévenir ma famille. (Prenant son téléphone)
Moi : chéri ?
Lui : oui
Moi : (petite voix) je voudrais que l’on parte demander la permission à Jamila d’abord s’il te plait
Lui : je ne veux t’infliger cela (triste)
Moi : non t’en fais pas, en plus elle joue un grand rôle dans notre union. Désolé mais c’est la vérité ! (voulant qu’il comprenne)
Lui : (me prenant dans ces bras) ok merci de me comprendre
Moi : (caressant sa joue) je t’en prie
Lui : (me soulevant) on monte ?
Moi : déjà ? (riant)
Lui : oui déjà, je veux de faire couler ton bain
Moi : c’est gentil (souriant)
Je suis toute aux anges, Andy s’ouvre de plus en plus à moi et cela me ravi le cœur. Je vais l’accepter ainsi. Et qui sait Dieu fera le reste certainement.
MAXIME
Je suis super heureux aujourd’hui. Je ne sais pourquoi mais depuis Neslie aucune femme ne m’avait fait tant d’effets. Cette Jokeybed, cette femme veuve, cette miliadaire, mère d’un petit garçon, ne quitte mon esprit, elle est si belle et si imposante. Non mais regarder sa belle forme, son beau sourire, et ces yeux des yeux qui peuvent rendre fou n’importe quel homme. Même moi le grand Maxime je suis perdue face à elle. Et sa voix cette voix si douce et si imposante me rend comme hypnotiser.
Elle : (entrant Max depuis je t’appel sans suite ! wahoo, la class tu vas ou ? (regardant ma tenue)
Moi : salut Neslie, je vais accueillir, une amie à l’aéroport (pressé)
Elle : Neslie ? (me fixant)
Moi : mais oui c’est ton prénom non ? Allez à toute à l’heure (l’embrassant)
Elle : c’est qui cette amie ? (demandant)
Moi : la milliardaire du Ghana, celle qui rejoindra notre milieu (souriant)
Elles : (me fixant du haut en bas) tous n’ont pas encore approuvés tu sais ? Tu nous en a parlé brièvement.
Moi : ils approuveront, elle a du fric et encore lorsqu’ils la verront ils comprendront. Bon à plus tard Neslie (sortant)
Elle : oui à plus tard (sortant également d’un pas rapide)
Je me rendis rapidement à l’aéroport avec pratiquement mes 4 voitures. Elle devait avoir assez d’affaires vu comment c’était une grande dame. Et lorsque j’arrivais à l’aéroport, on ne me donnait pas à accès à la piste d’atterrissage de son jet. J’étais vraiment énerver et voulu appeler le président même.
Je ne comprenais pas ces gens je me tuais à leur expliquer que je la connaissais bien, mais il disait que cette piste était privé et que personne ne devait s’y rendre aujourd’hui. Certes je ne voyageais pas en Jet mais toujours en première classe et aussi je me rendais sur cette piste lorsque le président devait revenir de voyage. Je bouillais au fond de moi. Et dire que j’étais sur mon 31.
J’essayais donc de joindre le président lorsque je reçus un message d’un numéro privé.
Sms : « je suis bien arrivé mon cher Maxime. Je t’ai cherché du regard mais ne t’ai pas aperçu ! Pas grave je rentre maintenant chez moi, je te contacte plus tard pour le rendez-vous. Jokebed.N ! »
Je compris que c’était elle et je souriais de soulagement, mais jurais à ces gens de l’aéroport qu’ils perdraient leur travail. Bon je lui avais laissé tous mes contacts donc c’est évident qu’elle me contacte. Mais il fallait qu’elle m’appelle pour que je puisse avoir son numéro, donc je devais patienter encore. Et moi qui voulais l’impressionner me voilà à retourner chez moi avec mon mini cortège.
JAMILA
Le bonheur que ça fait de revenir chez soi. Me revoilà dans mon pays après presque 5ans ailleurs, 5ans loin de mon pays et des miens. Lesquels ? Tous ceux que j’aimais sont morts. Mes parents, ma sœur, mon beau frère et mon Majid (soupir). Tous et leur assassin est avec moi, il ne me reconnait pas et semble m’apprécier même alors je vais m’y mettre. Cette vengeance commencera vraiment.
Lizzie : (me regardant) alors ont-ils fait une bonne recherche la maison te convient ?
Moi : (souriant) et comment, elle me convient vraiment cette maison, elle sera louée pour une période incertaine alors qu’avez-vous dit au propriétaire pour qu’il vous loue cette maison pour une période incertaine ?
Lizzie : (riant) tu penses que ma belle-sœur, la milliardaire vivra dans une location ?
Moi : Lizzie tu as payé cette maison ? (ahurie)
Lizzie : (me souriant) mais bien sûr, les Nelson ne vivent qu’en maison acheter et pas en location. Les locations pour nous sont les 5étoiles tu vois non ?
Moi : (riant) tu es folle, mais ça doit être cher, elle est vraiment grande cette demeure
Lizzie : oui elle l’est et elle est te ressemble, tu mérites cette maison. Il y’a tout ici et aussi tu auras un personnel diversifier francophone et anglophone (me regardant)
Moi : merci c’est si gentil
Lizzie : je t’en prie
Moi : mais je préfèrerais travailler avec les anglophones
Lizzie : je comprends
Moi : et Ethan ?
Lizzie : (riant) il adore tellement cette maison qu’il ne fait que la visiter. Il a tout, une grande chambre, un dressing, deux salles de bains, et aussi une salle détente, une salle d’étude et une salle de jeux
Moi : (satisfaite) elle est vraiment parfaite cette maison
Lizzie : je ne te le fais pas dire
Moi : j’aimerais sortir s’il te plait mais de façon vraiment cacher
Lizzie : pour aller tuer Maxime déjà ?
Moi : (riant) non pour aller voir ma sœur et mon beau frère
Lizzie : ah oui je vois, attendons la nuit donc (sérieuse)
Moi : oui mais j’aimerais y aller sans personne quoi ? Juste toi et moi et puis c’est tout. Pas de gardes ni trop de voitures (sérieuse)
Lizzie : je comprends pour elle tu dois redevenir Jamila (mettant sa main sur la mienne)
Moi : en quelque sorte oui (souriant)
Lizzie : ok une seule voiture donc, la plus petite car presque ’elle toutes tape à l’œil
Moi : (souriant) ok d’accord, pour Maxime je lui est envoyé un message déjà donc laissons le souffrir un peu vu que j’ai veillé à ce que l’accès à ma piste lui soit interdit. Et demain je le contacterai pour un rendez-vous.
Lizzie : (applaudissant) parfait !
Il faisait nuit, vraiment nuit et j’arrivais sur la tombe de ma petite sœur et mon beau frère. Je demandais à Lizzie de bien vouloir rester dans la voiture, car oui je voulais la voir seule toute seule. Elle m’avait tant manqué. Je partis alors vers sa tombe et je m’assis, je ne pus rien d’autre dire à part un simple « salut ! » je la regardais en espérant qu’elle me réponde, j’oubliais qu’elle était déjà partie pour toujours et ne reviendrais plus alors là plus jamais.
Moi : (soupir) Marysa, ma prunelle, comme tu m’as manquée, (souriant) tu me manques même d’ailleurs, tu as vu comment je suis devenue essentiellement comme tu le voulais et je l’ai fait car je suis prête à me venger de tout et de tous pour toi ma sœur car tu le mérite. Toi et ton fiancé le mériter pour cette vie qui vous a été prise si injustement, (coulant des larmes). J’aurais dû te protéger de cet homme mais j’étais tellement aveuglée par cette autre mauvaise personne et son faux amour que je n’ai rien vu venir. Pardonnez-moi (soufflant)
Je me tus lorsque je sentis des pas proches de moi, je me retournais en pensant à Lizzie, mais la taille de la personne que je voyais n’était pas celle de Lizzie. Mais plutôt la corpulence d’un homme qui venait vers moi. Je me décalais un peu et allais vers une autre tombe. J’eus peur, surement Maxime m’avait fait suivre, il fallait que je me mette ailleurs sinon s’il voit que c’est la tombe de Marysa je suis foutue. Donc depuis le début il savait mais me laissait pour mieux me tuer, et je suis sortie sans personne aujourd’hui.
La personne avançait avec sa grande taille et ces muscles, il venait vers moi et j’eus peur puis il me dépassa et continua. Oh Dieu merci j’avais déjà bougé de la tombe de Marysa sinon il m’aurait attrapé et là il me demanderait des comptes si c’était vraiment un gars de Maxime. Je le regardais partir et s’arrêter sur une tombe, il se mit à genoux et fixa la tombe. Ah je me suis trompée c’était surement une personne venu aussi pleurer un mort. Son mort n’était pas très loin de Marysa et moi je n’étais pas loin d’elle aussi.
Lui : (se jetant à terre) je suis encore venu, oui je lui est fait l’amour en pensant à toi, je suis désolé, mais je devais le faire car, je voulais venir te rencontrer seul, et pour cela elle devait être fatiguer et dormir profondément. Tu me manques comme chaque soir et comme chaque soir je rêve de ce jour on se marierai si tu vivais encore….
Oh le pauvre homme il avait perdu sa femme.
Lui : jour qui n’est jamais venue par ma faute. (Voix triste) Je m’en voudrais toujours pour ton départ de ma vie et en plus avec cette salle et mauvaise image de moi. Si je suis venue aujourd’hui mon amour (voix tremblante) c’est pour te demander pardon pour tout et te demander la permission de demander la main de cette fille. Cette fille qui m’a depuis ta mort assister et que je n’ai cessé de rejeter mais elle est restée. Je te jure que je ne l’aime pas, (parlant comme pour la convaincre) non jamais je ne l’aimerais car mon seul amour est ici, mais je lui dois bien le fait d’aller me présenter chez ces parents pour leur dire que c’est avec moi qu’elle vit. Car c’est une fille bien , elle veut elle aussi venir te demander la permission mais l’envoyer ici sans te le dire est pour moi un manque de considération vis-à-vis de toi, donc j’ai tenu à venir de le dire aujourd’hui moi-même (triste)
Je n’en pouvais plus t’entendre cela, cet homme avait une voix qui tremblait, cette voix me semblait si familière, mais son attitude ne me disait rien. Je ne connaissais personne qui avait perdu sa femme et qui viendrait lui parler pour lui demander la permission de refaire sa vie et grave même est que sa propre copine veut venir le faire avec lui, cette femme a vraiment du compter pour lui. Je préférais partir et le laisser parler tranquillement à sa femme.
Je quittais donc Marysa et Kevin et retournais en voiture en expliquant la scène à Lizzie.
Elle : (ahurie) quel pauvre homme ! Il doit se sentir coupable de la mort de sa femme
Moi : peut-être mais il l’aime vraiment, si tu avais vu comment il lui parlait. (Touchée)
Elle : je pleins cette nouvelle fille, car il ne l’aimera jamais vraiment
Moi : qui sais ? Peut-être qu’il changera d’avis (haussant les épaules)
Elle : je l’espère pour elle
********
Moi : (entrant dans ma salle de réunion) M. Bely je suis ravi de vous revoir
Lui : et moi donc Mme Nelson (se levant pour m’offrir son plus beau sourire)
Moi : je vous prie rasseyez-vous donc
Lui : merci, j’étais allé vous chercher à l’aéroport mais je n’ai pas pu avoir accès à la piste pour raisons privés. J’en suis navré (maintenant son sourire)
Moi : ne vous en faites pas, l’intention faut milles fois mieux que l’acte donc pas de soucis (souriant)
Lui : vous êtes bien logé ?
Moi : oui ne vous en faites pas (m’asseyant et lui faisant signe d’en faire de même)
Lui : (avec respect) je voudrais s’il vous plait vous invitez à un diner ce week-end et ainsi vous aurez la chance de rencontrer tous les hommes politiques du pays
Moi : vraiment ? (le fixant)
Lui : oui j’ai parlé de vous à mes amis et ils veulent vous rencontrer (sérieux)
Moi : (le fixant) à un diner ?
Lui : oui en effet je sais que c’est un peu bizarre mais c’est juste qu’ils veulent vous voir avant de vous convier aux réunions (air désolé)
Moi : ok je vois. Laissez-moi voir mon agenda et je vous reviendrai
Lui : d’accord, je patienterais encore
Moi : (souriant) je suis désolé mais je ne peux vous réponde maintenant
Lui : non, prenez votre temps je voulais juste vous chahuter un peu (souriant)
Moi : (souriant)……
**********
C’était une sorte de diner, pour une ONG d’un homme respectable du pays. Je fus accompagner de Lizzie, j’ai voulu qu’elle vienne pour ne pas qu’elle reste seule vu qu’Ethan dort.
Donc c’était une sorte de diner et Maxime vu que j’étais proche de lui, me montrait toute les personnes influentes du pays et autres. Je vus venir cette femme, cette Neslie et elle me fixait étrangement vu comment Maxime lui me regardait avec un air vraiment désirable. Jalousie ou quoi ? Je ne sais pas, elle était près d’un homme qui semblait aussi être un dur du pays.
Elle : Max tu es là ? (lui faisant une bise)
Lui : (me parlant) ah Mme Nelson, je vous présente Neslie Valls et le premier ministre Aka Mathieu
Moi : enchantée
Lui : et elle c’est la milliardaire (souriant)
Elle : (le coupant) oh vu sa beauté elle ne pouvait être l’épouse que d’un milliardaire et devenir veuve après, sans vouloir vous vexer Madame (me fixant avec ce sourire malicieux)
Moi : (souriant) non, ne vous en faites pas. J’adore votre humour car à notre ère tous savons que seul la beauté ne suffit pas pour devenir une dame respectée, tout par de l’éducation d’abord.
M.Aka : en plus elle est vachement intelligente, Maxime on la veut à notre réunion (me souriant)
Lui : (heureux) biens sûr
Et il partit puis Nerslie garda toujours son même sourire diabolique que je connaissais bien.
Lui : félicitations (me souriant)
Moi : c’était un test ? (le fixant)
Lui : en quelque sorte, oui (souriant)
Moi : (souriant) vous faite vraiment quoi à vos réunions pour que l’on passe même un test ?
Lui : vous le saurez bientôt, mais sachez que toutes les grandes décisions sont prises par nous (serein)
Moi : toutes ? (le fixant)
Lui : oui toutes (me rassurant)
Je vu un homme venir et saluer des gens.
Lui : et lui c’est le plus grand DG d’une entreprise de télévision et de journalisme, il s’appelle Frannck Kouakou
Je reconnaissais bien Franck, mon boss.
Moi : je vois
Il vient à notre niveau et nous salua gentiment et poliment.
Je regardais derrière moi pour voir ce que faisait Lizzie qui m’avait laisser dès notre arrivée pour selon elle visiter l’hôtel ivoire dont ces copines ivoiriennes lui avaient tant parler, puis je le vis entrer avec à son bras l’autre.
ANDY
J’arrivais au bras de Julie à cette cérémonie et nous avons pris place là où les journalistes animateurs devaient s’assoir. Elle n’en était plus une, mais elle l’avait été et en plus elle était accompagnée par moi, on vit Franck qui parlait avec une belle femme. Son visage ne me disait vraiment rien, puis on vit Maxime Bely.
Moi : (sérieux) je sais que c’est ton ami mais je n’irai pas le saluer
Elle : nous n’irons pas chéri, profitons de la fête (me souriant)
Je voulais lui demander pourquoi car je savais qu’ils avaient travaillé ensemble pendant la campagne mais j’étais heureux de na pas avoir à aller le saluer. Des amis et connaissances venaient nous saluer et le diner gala commençait réellement.
On vu plusieurs invités de marque venir présenter un discours en signe d’encouragements au premier ministre, fondateur de cette fondation et enfin celui-ci fit un discours tout en demandant à une invité de marque selon lui de se tenir debout afin de saluer le peuple ivoirien, elle nous venait du Ghana selon lui et son prénom était un peu compliquer je ne compris que Nelson, mais lorsqu’elle monta sur la chair pour nous dire un beau « merci et félicitations » son visage me dit un truc, un truc comme :
Moi : Jamila ? (la fixant)
Julie : qui ? (elle me regardait incomprise)
Moi : (me ressaisissant) non rien
Elle : (touchant mon front) tu vas bien chéri ?
Moi : oui, oui c’est juste que je dois aller me rafraichir (me levant)
Elle : tu veux que je t’accompagne (prête à se lever)
Moi : (l’embrassant) non reste, je serai rapide
Et je sentis comme si les yeux de cette femme en descendant du podium était posé sur nous, je me levais et sortait. J’en avais besoin. Je ne comprenais pas ma réaction, pourquoi appeler cette femme, cette ghanéenne Jamila ? Je perds la tête ou quoi ? Et mon cœur qui bat trop fort, c’est quoi tout ceci ?
FRANCK
Jamais de ma vie je n’avais vu une telle beauté, cette femme était vraiment très belle et elle semblait ravie d’être ici dans les jardins de l’hôtel ivoire. Moi je m’ennuyais à cette fête et j’étais sorti pour fumer un coup mais je tombais sur elle, une belle dame à la peau bien claire et clean.
Elle illuminait ce jardin, Franck ressaisi toi ! Tu ne la connais même pas !
Elle : (me fixant) vous comptez me regardez comme ça jusqu’à quand ?
Moi : bonsoir belle dame (souriant)
Belle dame ! Ou j’étais lorsque mes amis apprenaient les cours de drague ? Belle dame ?
Elle : bonsoir, M. le dragueur (riant)
Moi : oh non je ne vous drague pas, je veux juste…
Elle : (me coupant) laissez-moi deviner juste faire connaissance
Moi : oui en effet (souriant)
Elle : ce qui aboutira à des questions personnelles et privés et ensuite bingo vous me sortirez tout ce que vous vous dites déjà
Moi : euh
Elle : plus qu’une relation amicale, une relation sérieuse. Et que vous m’aimez et êtes prêts à tout pour moi, même si je ne vous aurez rien demandez et aussi la totale que vous voulez qu’on se donne une chance. Je refuserai, vous insisterez et ensuite vous éloignerai, vu que nous causions presque toujours je sentirai votre absence et irait vers vous en me disant que c’est de l’amour pourtant non juste de la compassion et on se mettra ensemble après deux ou trois parties de jambes réussi ou pas on se lassera et je repartirai avec un cœur brisé. (Sans s’arrêter)
Lui : oh c’est que ! (ahuri par tant de directivité et de paroles)
Moi : (riant) les hommes me le font presque toujours donc je connais cette chanson-là par cœur, vu votre regard insistant depuis tout ce temps sur moi je me doutais que vous voudriez bien me parler
Moi : oui mais….
Moi : (s’avançant) mais pour vous bel homme ont peut commencer par la fin
Lui : c’est-à-dire ? (ahuri)
Moi : nous envoyez en l’air c’est ce que vous voulez non (riant)
J’étais déstabilisé ? Comment cette femme a pu me dire tout ça ? Elle était loin du compte sur moi, mais par ces mots on peut dire que l’amour lui a toujours montré sa mauvaise face, tout comme moi.
JAMILA
Je me levais car je commençais à manquer d’air et devais sortir
Lui : vous voulez un truc madame ? (me regardant)
Moi : oui me rafraichir M. Bely (me levant)
Lui : ok d’accord
Je partis et une fois arriver vers les toilettes je demandais au garde de faire demi-tour et que si besoin je les recontacterai. Je rentrais dans les toilettes et je me mirai, pourquoi cet homme me faisait me sentir bizarre ? C’était-il y’a 5ans et en plus j’aime Majid bien qu’il ne vit plus. Le voir embrasser cette femme était vraiment bizarre.
Non je dois me concentrer sur un seul truc ma vengeance et ne plus regarder celui-là. Je sortis et me mis à marcher pour non pas aller vers la réception, non j’étouffais là-bas avec Maxime près de moi. Je devais m’en éloigner. Je marchais pour que l’air naturel me tape un peu et je retournerai le supporter.
Lui : vous vous êtes perdue Madame ? (cette voix)
Moi : (me tournant) non merci
Non pas lui, que fait-il ici ?
Moi : y’aurait-il un souci ? (sereine)
Lui : non, une belle dame ghanéenne venant pour la première fois en C.I et se retrouve dans les jardins, je la croyais perdue (voix calme)
Moi : oui, je voulais marcher un peu (sereine)
Lui : pas facile de supporter cette ambiance (me regardant)
Moi : j’avais juste envie de marcher, mais je vais y retourner (tournant les talons)
Lui : (m’attrapant) non si je vous indispose avec mon regard je vous laisse juste que vous me rappelez tant un personne (s’approchant)
Il se rapprocha et me fixa plus, le vent qui était à cet endroit-là était fort, vraiment très fort, mais la distance entre moi et lui était d’une chaleur raiment intense. Il me fixa et je devais aussi maintenir mes yeux sur lui, son beau visage et sa belle beau ébène, n’avais pas changé. Didi, non Andy n’avait en rien changé, il avait toujours la même allure de beau goss et cette image respectable qu’il aimait tant afficher à tous. Je le regardais toujours avec les même yeux et essayais de comprendre ce qu’il pensait tout en priant Dieu pour qu’il ne me reconnaisse pas car il venait de le dire « je lui rappelais tant quelqu’un » Jamila ? Impossible il m’avait oublié vu comment il avait embrassé l’autre tout à l’heure. Il se rapprocha et je reculais. J’avais peur qu’il me dise : « jaja, c’est toi ? »
Elle : oh Jokey mais que fais-tu là ?
Je me retournais à cet instant
Lui : (derrière elle) Andy ?
Moi : Lizzie que fais-tu ici ? (arrivant à enlever son bras sur moi)
Lui : (derrière moi) Franck je ne te savais pas dehors.
Alors ça pour une rencontre s’en était une.
Alor On aime, on taggue, on commente et on partage. Si et seulement si le chapitre vous a fait plaisir. Merci !