Mirna Mbolo
Ecrit par Boboobg
..... José Ngakosso....
(la conversation est en anglais)
Moi (lui souriant) : tu es sûr de ce que tu dis là ? Ou c'est juste pour m'embobiner ?
Wendy : pourquoi tu prends toujours tout ce que je dis pour de la bêtise ? Je suis bien sérieuse Jo!
Moi : c'est parceque cela fait une année que tu me chantes ce refrain (imitant sa voix) dès que j'ai une pause je viens te rejoindre ! C'est toujours ainsi avec toi et tu te plain à ce que des filles dorment chez moi et avec moi !
Wendy (se mordant les lèvres) : c'est compliqué Jo!
Moi : compliqué en quoi ? Tu es hôtesse de l'air où tu veux aller, il te suffit juste de faire une demande et hop tu aura le visa. Ce n'est pas venir en Angleterre qui te serra difficile !
Wendy : je te promet que je vais y réfléchir.
Moi : cela dépend de toi. Je t'ai dit tout ce que j'ai sur le cœur. Je t'apprécie beaucoup mais tu n'es pas la seule.
Wendy : tu veux encore me parler de princess ou de ta céleste ? C'est pour me rende jalouse c'est ça ?
Moi : d'abord princesse c'est ma sœur et oui je fou d'elle quoi de plus normal. Et si je te parles de céleste ce n'est pas pour te rendre jalouse mais pour te faire comprendre que je tiens à elle. Je la voyais devenir ma compagne et elle sait, elle même qu'il lui suffit de dire un mot pour prendre cette place.
Elle devient toute rouge, je sais que cela l'énerve mais je n'ao jamais joué sur deux tableau avec elle.
Il y'a un an, l'on s'est de nouveau croisé dans un avion et on a remis le couvert Wendy et moi. Et depuis, je suis déjà aller la voir cinq fois au USA mais j'en ai marre.
Ne me regardez pas comme ça. Céleste, je penses qu'elle ne sait pas ce qu'elle veut.
La fille a pris le courage de m'appeler pour me présenter à son mec en tant que son meilleur ami. Faut dire que ça a agi comme une douche froide. J'ai réagi en allant lui rendre visite à l'improviste et l'on s'est embrasser avant de dormir dans le même lit. Mais résultat, d'épuiser quatre mois toujours rien. La fille me parle comme si j'étais sa copine !
De plus, en ce moment, elle est ici avec son mec. C'est moi qui leur sert de guide et depuis deux semaines, elle est là à câliner et à embrasser son homme sous mes yeux. D'accord, j'ai perdu et je dépose les armes.
Moi : bon je te laisse réfléchir mais je dois y aller là !
Wendy : mais où vas tu ?
Moi : je dois aller dîner avec céleste ! Tu sais celle dont je te parles souvent !
J'ai intentionnellement omis de lui dire qu'elle sera en compagnie de son mec. Wendy elle la seule de mes conquêtes que j'ai couché mais qui me donne toujours envie de la revoir. Donc à défaut de rester seul, je veux au moins voir si l'on peut construire quelque chose. Ça fait déjà une année qu'on est censé être ensemble quand même.
Wendy (toute rouge) : mais comment ça ? Tu ne m'as jamais dit qu'elle était là bas ?
Moi : hooo excuse moi, j'ai dû oublier. Mais ça fait deux semaines déjà !
Click!
Elle a coupé l'appel video? OK c'est comme tu veux mademoiselle simons.
Je suis allé prendre ma troisième douche de la journée journée. J'ai mis une veste comme d'habitude et je suis sortie à bord de ma porche direction le boulot.
C'est à dix sept heures que je suis sortie pour rejoindre mademoiselle Mbolo et son mec au restaurant. Je ne sais pas vous mais ce gars me sors par le spores.
Céleste (m'embrassant) : on a été à Chelsea hier et c'était trop beau ! Je crois que je suis amoureuse de ce pays !
Gérard : et dire qu'il a fallu que je te traînes presque de force pour te faire venir ici !
Il prend sa main et l'amène à s bouche avant de le porter à ses lèvres. Je ne peux empêcher une pointe de jalousie montée dans mon cerveau.
Mon vieux, voilà qu'on tu ed battu dans ta propre ville !
Moi (fausse toux) : et si on commandait ?
Gérard : oui oui!
Nous avons commandé et une vingtaine de minutes plus tard, nos plats étaient sur la table.
Céleste : j'ai vu avant hier une émission où passait ta sœur, ce qu'elle a raconté ma fait froid dans le dos. Tu ne m'avais...
J'ai posé avec force ma fourchette dans mon assiette. Je ne m'attendais pas à ce qu'on me parle de ça.
Céleste : heu excuse moi jo, tu connais ma bouche sans frein !
Moi : ce n'est rien ma belle, juste que ce n'est pas le genre de discussion qu'on devrait avoir à table !
Gérard : excusez moi, je sois répondre à cet appel !
Il s'est levé et à quitter la table. J'ai continué paisiblement à manger. Même si je sens très bien le regard incitant de Mbolo sur moi.
Moi : qu'est ce qu'il y'a mademoiselle ?
Céleste : pfffff
Moi : quoi pffff ?
Céleste : non rien. Ton téléphone n'arrête pas de sonner, je l'entend vibrer d'ici !
Moi : je n'ai pas envie de répondre !
Céleste (me regardant) : encore une de tes poufs n'es pas ?
Moi(dans mon plat) : ce n'est pas ma pouf mais une personne !
Céleste : et puis tu ne veux pas répondre parceque je suis là ? C' est qu'elle genre de personne ça ?
Moi (souriant) : de quoi je me mêle Mbolo ?
Céleste (roulant des yeux) : seulement il y'a a peine cinq mois tu me déclarais ton amour et là...
Moi (rire) : mais tu es drôle Mbolo ! Je croyais cette histoire passé et qu'on devait être ami ? En tout cas c'est ce que je suis devenu depuis le jour où tu m'as présenté à ton homme. Mais que veux tu ou que voulais tu ? Que je reste là à attendre que tu veuilles bien me prendre au sérieux ? Désolé mais je n'ai pas ton temps !
Céleste : ce n'est pas de ma faute si c'est lui que j'aime !
Moi (énervé) : mais qui a commencé à me parler là ! C'est un débat ?
Céleste : ça te fait juste mal de me voir heureuse c'est ça ? Onda il n'y a rien eu entre nous part quelques baisers donc...
Moi (la coupant) : tu m'emmerdes Mbolo!
J'ai quitté la table en déposant cent dollars dessus ! Elle m'a coupé l'appétit. Je ne comprends pas cette fille,vraiment elle m'énerve !
.... Céleste Mbolo....
Pourquoi la vérité blesse même les gens ! Tchrrrr
Tu es assi avec moi et tu me parles de "c'est quelqu'un". N'importe quoi, qu'est ce que j'en ai à foutre moi de ton quelqu'un ! Rien à ciré de tes fréquentations.
Gérard (me regardant) : ou est passé José ?
Moi (l'air de rien) : il ne m'a pas expliqué mais un problème de cerveur à son bureau !
Gérard : a dix neuf heures du soir ?
Moi : nous sommes pas en France que veux tu ?
Gérard : il y'a mon grand père qui est souffrant, il va sans doute passé de l'autre côté !
Moi : ton grand père que tu dis qu'il est tellement vieux qu'il ne parle plus ?
Gérard (dépassé) : oui madame !
Moi : ho mais ce qui veux dire que ton capital va augmenté vu que tu es son seul héritier ?
Gérard (rire) : je te dis que ma seule famille sur terre va mourir et toi tu me parles d'héritage, des fois j'ai l'impression que c'est seulement à cause de ma poche que nous sommes ensemble !
Moi : tu me traites de quoi là ?
Gérard : on ne peut même pas blaguer avec toi !
Moi : la vérité se dit en blaguant, des fois c'est ce que tu crois au fond de toi !
Gérard (soupirant) : je suis désolé bébé ! Mais je dois me rendre en Bretagne ce soir même. J'ai appelé l'aéroport !
Moi : d'accord. Rentrons que je ranges nos valises alors !
Gérard : j'y vais d'abord et tu me rejoins. Il n'y avait que deux places en première !
Moi (boudant) : mais je dois être là pour toi !
Gérard (souriant) : mais ce n'est pas comme si c'est de ta faute. Je t'ai pris le prochain vol direct dans deux jours.
Hum en tout cas, je ne sais pas ce que je ferai sans lui dans cette ville. Avec cet imbécile de José qui doit entre en train de me faire la tête.
Moi (l'embrassant) : tu vas me manquer mon chéri !
Gérard : toi encore plus ma folle !
On rejoins l'hôtel. Lui prends ses valises et s'en va pendant que moi je reste et ouvre mon téléphone que j'ai éteins depuis mon arrivé. Le premier appel que je reçois c'est de la sorcière bien sûr !
.... Junior Mbolo....
Céleste: maman s'il te plaît ne crie pas, je vais t'expliquer!
Moi : vas y alors !
Céleste (respirant) : ho papa c'est toi ? Comment va tu mon papounet d'amour ?
Moi (calme) : bien mon cœur, alors pourquoi ton téléphone ne passe pas ?
Céleste : ta femme est là n'es pas ?
Sira(criant) : et elle t'écoute impolie ! C'est quoi cette manie de disparaître dans la nature en laissant son téléphone éteint. Non mais tu te prend pour qui Mbolo ?
Moi : Sira, bébé calme toi. Elle peut bien t'écouter sans que tu n'ai à crier !
Sira (s'offusquant) : voilà ! C'est même ça ! Toujours à la prendre avec des gangs voilà comment elles se mettent à...
Moi (la coupant) : chérie, s'il te plaît laisse moi parler à ma fille !
Elle se lève du fauteuil dans lequel nous étions tous les deux et quitte la pièce en me lançant un long tchip, je souris !
Moi : a cause de toi maman va pe faire la tête cette nuit !
Céleste : désolé papounet, en fait je suis juste à Londres mais je rentre dans deux jours ! Qu'est ce qui se passent ? J'ai raté quelque chose ?
Moi (soupirant) : ta sœur Salomé a fait une dépression et s'est renfermé en elle tout en nous le cachant depuis plus d'un an.
Céleste (choqué) : ho, non hein on s'est parlé y'a pas trois semaines, elle était heureuse !
Moi : elles nous a tous trompé. Elle était au plus bas et je ne sais pourquoi elle a cru que sa famille ne la comprendrai pas. C'est pour cela que ta mère est aussi en colère !
Céleste : je... Je crois que je vais faire un tour au pays avant la reprise des cours. Je me sens tellement coupable papa, j'aurai dû le sentir. C'est plus que ma sœur, c'est ma meilleure amie et elle souffrait et moi...
Moi : tous le monde est à blâmer dans cette histoire. Alfred m'a dit que Ndora prend soins d'elle. Édith voulait revenir pour ça mais nous l'on avons dissuader. Il ne faudrai pas qu'elle se sente opprimé. Mais je crois que avoir une de ses sœurs avec elle, lui fera du bien !
Céleste : je... Je vais de suite réservé un vol. Peut être dans une semaine.
Moi : d'accord. Chérie ?
Céleste : papounet
Moi : si tu avais un secret tu me le dirai n'es pas ?
Céleste : papounet, je en fait moi aussi je vous cache un truc !
Moi : je t'écoute mon bébé, parle moi.
Céleste : je vois quelqu'un. Il est un peu plus âgés mais c'est quelqu'un de bien.
Moi : ok
Céleste : c'était tout !
Moi : d'accord, je peux le dire à maman ?
Céleste : oui comme ça je pourrai peut être vous l'amener pour Noël !
Moi : ok je vais arranger ça ! Je t'aime mon cœur !
Céleste : je t'aime grand comme le monde papounet!
(deux semaines avant)
.... Mirna Elongo....
Papa (me regardant) : nous sommes réunis aujourd'hui parceque toi ma fille (souriant) ma fierté tu as demandé à nous voir. Donc nous t'ecoutons.
Moi : papa, tous le monde, je n'ai vraiment pas grand chose à dire mais j'ai besoin qu'on éclaircisse quelques coin d'ombre, c'est pour cela que j'ai voulu que ma famille soit là. Donc je ne comprends pas pourquoi cet homme (montrant Ronald) est là ?
Papa : ma fille tu as demandé ta famille et Ronald fait partie de ta famille.
Ronald(me regardant) : arrête de me traiter en étranger Mirna. Tous le monde ici sait ce que j'ai été pour toi même si aujourd'hui tu cherches à m'evincer de ma part de responsabilité dans l'éducation de ma fille. Nous avons été ensemble Mirna, on s'est aimé. Je me suis présenté ici, devant ces gens !
Moi (soutenant son regard) : éclaire alors ma lanterne s'il te plaît. Tu parles du moment où tu as acheter ma compagnie à Arnaud Elongo ? Où tu parles de quand tu me battais tellement que j'étais obligé de m'enfuir à chaque fois ! Et que ce même Arnaud Elongo me ramenait chez toi de force parceque tu lui achetais des casiers de bière ?
Papa(sourire jaune) : vous étiez jeune Mirna et je...
Moi : Rien, tu ne fesais rien. Tu n'as jamais été un père pour moi sauf quand il a fallu manger l'argent de ma dote.
Maman : Mirna....
Moi : maman toi ne dis rien. Toi non plus tu n'as rien à dire, tu ne m'as jamais protégé sauf avec le seul homme qui m'aime vraiment, le père de tout mes enfants ! Que cette petasse de Justine n'arrête pas de draguer depuis deux ans !
Tous :...
Moi : je connais cette famille et je sais que si toi Justine tu as eu le courage de continuer c'est que quelqu'un t'a encouragé dans ta bêtise. Mais ce qui est sûr, vous-même allez tous le regretter.
Tantine Ariette la cousine de papa et la mère d3 Justine s'est levé pour sans doute me gifler mais j'ai arrêté sa main.
Moi : voilà, je me doutais bien que c'était toi. Personne, je dis bien personne ici n'1 jamais fait pour moi ce que je fait pour vous tous au tant que vous êtes. Je vous nourris, logent certains et même l'école de vos gosses jr paie et c'est derrière moi que vous complotez? En faisant des réunion avec cet idiot de Ronald qui crie ici pa fille, la fille en bombant le torse comme si ce n'était pas lui qui m'a battu à huit mois de grossesse ? Vous complotez derrière mon dos pour que Justine couche une fois encore avec mon mari ? Je dis hein les gens, vous m'avez prise pour votre con ou quoi ?
Moi (me levant) : aujourd'hui, je me lave les mains. Je dis bien, je le lave les mains. Maman comme tu passes ta vie à supporter les conneries de ton mari que je n'insulterai pas parceque c'est mon père, je vais te dire une chose à compter d'aujourd'hui tes enfants tu t'en occupe seule ou avec l'aide de monsieur Elongo c'est comme vous voulez !
Maman : Mirna !
Moi : Mirna n'en a plus rien à foutre de vous. Quand vous me touchez à moi ok, mais toucher à ma fille, a mon mari, c'est aller delà de mes limites. Le prochain que je vois approché de chez moi, je l'enferme. Et vous pourrez aller raconter ce que vous voulez en ville, je m'en fou. Oui je suis madame Mbolo, j'ai du pouvoir et je vais m'en servir, maintenant faites ce que vous voulez !
Je me suis levé sous le regard choqué de tous le monde. Oui, ils sont habitués à ma passivité maintenant vous êtes servis.
Je suis sortie de là pendant que mes frères étaient en train de crier ho sacrilège. Je m'en fou !
Vane : la grande c'est comment ? Tu ne vas pas nous lâcher à cause d'eux !
Moi (la regardant) : ne m'énerve pas toi aussi, tu as l'argent du locataire pour les cours aie ce bac et on en reparlera.
J'étais sûr le point de monter en voiture quand j'ai eu un idée.
Moi : Van, tu sais où se situe la boutique d3 Justine n'es pas ?
Vane : oui juste sur l'avenue de texaco là !
Moi : d'accord et appelle moi au besoin mais ne dis rien à personne !
Van : OK !
Je suis sortie et ai appelé Danny pour qu'elle qui connaît tant de gens me trouve ce dont j'aurai besoin pour donner une leçon à cette petasse de Justine. Si j'ai appris quelque chose en étant la belle fille préfèrée de Sirani Mbolo, c'est qu'il faut toujours faire le plus de mal possible à son adversaire.
Trois heures plus tard, me voila entrain de defoncer la boutique de Justine à coup de caterpillar.