Mot de fin: ‘A l’infini…’
Ecrit par Dalyanabil
Mot de fin: ‘A l’infini…’
Salam les gens,
J’avais prévu avec ‘A l’infini’ de juste vous raconté l’histoire de Amsetou Mamouhd, l’histoire d’une femme qui avait perdu son mari et qui essayait d’y survivre.
Mais la vérité c’est que, comme avec chaque histoire que j’ai écris jusqu’ici, chaque personnage a son mot à dire sur chaque fait. C’est pourquoi j’ai décidé d’en faire une série parce que Amsetou, Jafar, Maimouna et tout les autres ont décidés qu’ils avaient encore des choses à dire. Bien! Maintenant revenons à notre histoire, je ne vais pas vous faire un résumé de quarante chapitres, je vous mettrais le lien juste en bas. Lisez si ça vous tente. Je voulais avec cette histoires, attirer l’attention sur les mères célibataires, qui se retrouvent à devoir élever seules leurs enfants dû aux circonstances.
Un peu comme avec Sabine, j’avais Amsetou dans la tête depuis quelques années maintenant. Sauf que autant l’histoire de Sabine est basée sur des faits réels autant la sienne est complètement fictive. Je ne voulais pas du cliché habituel de la mère célibataire dont le mari est un salaud et qui s’en vas la laissant seule avec sa progéniture. Ni que tout soit blanc ou tout noir.
Je voulais vous raconter l’histoire d’une femme forte, qui toute sa vie à dû protéger les siens et faire face à la déception. Qui toute sa vie à dû se battre pour trouver sa place dans le monde, pour savoir qui elle est. Je voulais vous raconter l’histoire d’une femme qui se chercher et qui éventuellement vas grandir et se trouvée sous vos yeux. Je voulais vous raconté l’histoire d’une battante aussi bien dans un bureau, dans une chambre à coucher ou dans une cour familiale.
Je voulais aussi mettre l’accent sur ce que dit l’islam sur les relations familiales compliqués. Sur comment Allah demande qu’on traite sa famille dans des situations conflictuelles. Je crois, non correction je sais que si vous avez lu avec attention vous avez comme moi appris. Appris que peut importe la situation dans laquelle elle nous met aussi difficile, aussi compliqué, aussi douloureuse soit-elle on a vis-à-vis d’elle des devoirs. Des devoirs auxquels on ne peut se soustraire car au final il (Allah) est le seul juge de ce qui est moral.
Je me suis beaucoup amusé à construire Jafar, à me demandé quel genre d’homme je voulais qu’il soit. Je voulais qu’il soit plus. Pour répondre à une question que je me suis pose à moi-même: oui plus que juste compliqué. A votre avis, vous croyez que vous l’avez cerné? Qu’il ne peut plus vous surprendre? Sincèrement je ne saurais pas vous dire ça toute suite.
Et enfin, ma partie préfère. Mille merci à vous de lire, je sais très bien que tout n’est pas au point, que je pourrais être plus régulière, que je … Bref faire plein de truc mais je vous promets que pour l’instant je vous donne ce que je peux et je suis plus que contente d’avoir plusieurs plate-forme pour partager avec vous tous ces histoires que je rejouaient dans ma tête le soir avant de pourvoir dormir. J’espère m’être amélioré depuis ma première histoire. Merci à toi mon amie de lire, de ta patience quand j’en parle, de ta constance motivation quand je crois que je n’y arriverais pas. Merci, Merci. Merci Joresse. Et oui tu avais raison depuis le début, tu sais pourquoi (rires).
Je vous retrouve fin de semaine prochaine, inchallah avec le tome deux de ‘’Domages collatéraux’’, l’histoire de Samia. Les publications vont passes à trois fois semaines ou deux je n’ai pas encore vraiment décidés. Durant les mois de mai et juin, à cause de mes examens qui viennent et du mois de ramadan. Merci d’avance pour votre compréhension. Je ne manquerais pas de vous donner plus de précisions sur les activités de la page.
XoXo,
Al.