>> NADIA << Acte 9

Ecrit par chrochro241

*** NADIA ***

D’après la chronique « C’EST NOËL ! », déjà parue.

 

ACTE 9

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>> NADIA <<

 

Je finis de vider ma vessie et reste assise sur la cuvette du WC. Je profite de cet endroit un peu plus calme pour prendre un peu mon temps avant de sortir d’ici. J’ai quitté la cuisine sous le regard des trois hommes qui s’étaient à l’écart pendant que Diallo et Seydou m’ont fait ma fête.

 

Les trois types là nous ont regardés baisés, comme des spectateurs devant un film porno, avant de partir quand j’étais K.O. et couchée sur le ventre… le buste et les seins nus écrasés sur le plan de travail de la cuisine.

 

A leur départ de la cuisine, j’avais la croupe à bord du plan de travail. Mes fesses étaient nues à l’air et couverte de sueur. Ma robe retroussée sur la taille, où elle ressemblait plus à une grosse ceinture sur mon ventre.

 

Je me demande quel plaisir ces 3 messieurs ont eu à regarder l’action au lieu de participer à l’action. Je déduis que ce sont davantage des voyeurs et des branleurs que des acteurs et bon baiseurs. Je me réjouis qu’ils se soient contentés de regarder l’action parce que s’ils avaient participé à l’action je serais  certainement morte, actuellement, lol.

 

Je regarde mon pubis puis ma fente. Cette dernière a encaissée beaucoup de coups aujourd’hui… D’abords les coups de butoir de Marco tôt ce matin, puis quelques heures plus tard les coups de butoir de Diallo, ensuite les coups de butoirs de Seydou suivi encore des coups de Diallo dans un second round mémorable qui mise K.O.

 

J’ouvre grande mes cuisses avant de toucher les grandes lèvres de ma fente qui a souffert. Je caresse un peu la fente avant de le faire plus franchement en appréciant la sensation de touché sur mes parties intimes. Je m’introduis le majeur dans le minou. Je fais aller et venir mon majeur dans ma petite chatte humide. Mon doigt en ressort énormément mouillé.

 

Je me mets un doigt dans la chatte, puis deux, puis trois avant de les faire tous les trois aller et venir. Je me contracte sous les va et vient que je fais avec mes doigts. Tout en me doigtant, je pousse un léger soupir, en me pinçant les lèvres et me mordant les lèvres.

 

Je ferme les yeux et me concentre sur mes sensations… Je remémore ce moment quand j’ai senti de la queue enfoncée bien profond jusqu’à buter au fond de mon ventre avant que je me fasse défoncer la foufoune par cette queue aussi dure que chaude.

 

J’ouvre la bouche en soupirant et sentant une vague de plaisir me submergée alors que mon corps est traversé par un délicieux frisson. Je ferme ma bouche et j’aspire ma lèvre inférieure dans ma bouche avant de la mordre en poussant un soupir d’aise pendant que j’entends les bruits étouffé que font mes doigts dans ma fente trempée. Je ferme et serre les cuisses autour de ma main.

 

Je suis dans un état second quand un bruit de porte qu’on ouvre m’interpelle. J’ouvre subitement les yeux d’un coup, en craignant c’est porte du WC qu’on vient d’ouvrir pour me trouver avec la main entre les cuisses et les doigts dans la fente. Je pousse un léger soupir de soulagement en voyant que la porte devant moi est bel et bien fermé mais pas verrouillée.

 

Je stoppe donc ma main et tends l’oreille. Un silence de mort règne ! Je suis rassurée mais je décide de sortir j’ai assez duré enfermée ici. Je retire mes doigts avant de lever pour tirer ma robe sur le haut de mes cuisses. Je tire la chasse d’eau et sort.

 

Je me vais directement au lavabo de la pièce des toilettes pour me laver les mains. Comme j’avais chaud, je me penche au-dessus du lavabo pour récolter un peu d'eau reçu dans mes mains sous le robinet ouvert, puis j’asperge mon visage et passe une main mouillée sur le cou.

 

Lorsque je me relève et me regarde dans le miroir face à moi pour réajuster ma coiffure, je sursaute légèrement en étant traversée par un frisson peur car en plus de mon image dans le miroir, il y a aussi celle Mr Louembet aka Jeremy.

 

Je fais volteface en une fraction de seconde et regarde vers l’homme que j’ai vu.  

 

- Oh ! Jeremy ! Tu m’as fait peur !

 

J’ai prononcé ces mots en posant la main sur ma main droite poitrine au niveau de mon cœur que je sens battre à la chamade.

 

- Désolé de t’avoir fait peur, lol !

- Et ça t’amuse ! Ne refait plus ça ! Mon cœur ne va pas supporter.

- Ok, lol !

 

J’halète et le regarde pendant qu’il se tenait debout à quelques pas de moi et me fixe avec un sourire énigmatique qui me trouble. Je me suis mise à rougir spontanément. Je me suis retournée vers le lavabo pour fermer le robinet d’eau que j’avais laissé ouvert.  

Et juste après avoir essayé mes mains avec le papier essuie main, j'avance pour dépasser Jeremy sortir des toilettes. Jeremy se place face à moi sur ma route pour me bloquer le passage. Je le regarde avec surprise et étonnement avant de l’interroger :

 

- Il y a un problè… ? dis-je intriguée.

 

Je n’ai pas fini ma phrase qu'il rapproche déjà sa tête vers moi et colle sa bouche sur la mienne. Il me faut deux secondes pour réaliser qu’il est en train de donner un baiser. Le baiser est très appuyé, un peu maladroit, la langue humide de Jeremy cherche à forcer l’entrée dans ma bouche.

 

Je grogne un peu par dégout en faisant un mouvement de recul. Mais jeremy me tient vite par la taille et le tire vers lui pour m’embrasser dans le cou. Je me débats un peu puis de moins en moins avant de rester immobile.

 

Des petits rires et des plaintes étouffés sortent de ma bouche souriant. Sans le vouloir je souris et me tortille car j’aime qu’on m’embrasse dans le cou. Les petits baisers mouillés que je reçois sur ma peau me chatouillent un peu et je me tortille de plus en plus sans vouloir le repousser.

 

Ses mains sont descendues sous mon dos par petites caresses pour aller palper les globes de mon derrière qu’il soupèse ensuite par le lobe de mes grosses fesses. C’est à ce moment que je trouve la force de le repousser.

 

A peine je le repousse, il me retient coller et serrer contre lui en me tenant par la taille. Je le regarde en face et lui sourit.

 

- Jeremy c’est comment avec moi là ? dis-je en souriant !

- …

- Oh ! Y a quoi ? dis-je, amusée.

- Toi-même tu sais ! dit-il sans me lâcher la taille.

- Krkrkrkrkr !

 

Je ne peux m’empêcher de rire un peu. C’est ce moment qu’il en profite pour coller à nouveau ses lèvres sur les miennes. Je suis prise de court et ne l’ai vu venir le truc. J'étais sous l'effet de la surprise, mais son baiser était tellement bon que je ne le repoussai pas, bien au contraire. Je m'avoue vaincue sur ce coup pour goûter ses lèvres, désirant juste un aperçu sans aller trop loin.

 

Mais alors que je décolle ma bouche de la sienne après avoir goûté un peu la saveur de es lèvres, il goutte soudainement les miennes à présent. Je cède au baisser que je prends, et nos langues se nouent, nos salives se mêlent.

 

Tout en m'embrassant l’homme me fait beaucoup d'effet, et je sens un grand désir monter en moi. Tandis qu'il m'embrasse avec ardeur, ses mains me caressaient le dos et avaient fini par se glisser aussi sur mes fesses sans que cela puisse me paraitre gênant ou déplacé. 

Nous ne sommes pas restés seuls longtemps, et notre baiser brûlant a été interrompu par les deux cuisiniers sénégalais, Diallo et Seydou, qui sont entrées dans les toilettes. Je n'ai même pas osé les regarder et j'ai vite baissé la tête en me pinçant les lèvres.

 

- Pardon, Mr Louembet ! On doit fermer le réfectoire et prendre notre pause. S’il vous plait !

- Ah d’accord ! Pas de problème !

 

Jeremy se tourne vers moi et pose sa main sur le bas de mon dos cambré.

 

- Allons-y ! Je te ramène chez toi !

 

Il dit ces mots en appuyant sa main sur le bas de mon dos. Je me fais prier pour avancer rapidement et sortir. En dépassant les deux cuisiniers là, je n’ai pas osé les regarder. Je ne sais pas trop pourquoi, mais j’étais soudain très gênée et honteuse devant eux.

 

J’ai vite récupérer mon sac et suis sortie de réfectoire, suivi de près par Jeremy derrière moi. On monte dans sa voiture KIA et il démarre par une marche arrière. On a roulé sur quelques mètres avant de passé à côté d’un des énormes réservoirs de stockage de pétrole. Je suis toujours antant impressionnée par leur taille et leur hauteur digne d’un bâtiment 5-6 étages.

 

Jeremy nous sort du site pétrolier et on roule sur la même route qu’on avait prise pour venir au site. Après un moment de silence, Jeremy s’adresse à moi.

 

- Alors comment ça s’est le repas passé au réfectoire ?

 

Sa question me surprend et me met mal à l’aise. J’avale ma salive avant de sourire pour cacher mon trouble.

 

- Ça été !

- Tu n’as eu de problème ?

- Non !

- Hum… sûr ?

- …

 

L’anxiété me gagne. J’ai l’impression qu’il se doute de quelque chose que j’aurais fait là-bas.

 

- Oui ! Bien sûr ! Au début c’était difficile mais j’ai su gérée et m’adaptée pour assurer le service.

- C’est bien ! J’en parlerais avec les cuisiniers pour avoir leur impression sur ta performance.

- …

 

Je déglutis et ne dit plus rien. J’ai soudain très peur qu’il soit au courant de mes galipettes avec les deux cuisiniers sous le regard de trois de ses travailleurs qui ont assisté en live à un spectacle très cochon dont je ne suis pas vraiment fièrement en ce moment.

 

- Nadia… j’ai rien senti sous ta robe moulante quand je t’ai…. hum… toucher les fesses aux toilettes.

- …

- Aussi, quand tu marchais devant moi en sortant, je n’ai pas vu ni de marque de string ou d’un quelconque sous vêtement ta robe moulante, alors…
- Alors quoi ? dis-je en lui coupant la parole.

- Euh…

- Tu en penses quoi ? D’après ce que tu disais avoir vu en me reluquant au scanner.

 

Je sais que je prends un énorme risque en abordant ce sujet dans ce sens mais je veux savoir ce qu’il a en tête, s’il se pense ou se doute que j’ai eu des rapports sexuels sur mon lieu de travail.

 

- Lol ! Je ne t’ai pas reluqué au scanner.

- Pourtant ça en l’air vu ton observation pointue sur mon corps.

- Désolé ! Mais je n’ai pu m’empêcher de te regarder.

- plutôt de me reluquer !

- Loool !

- Dis-moi le fond de ta pensée après avoir rincer ton œil sur moi.

- …

-  J’écoute, petit cochon !
- Lol ! Bon, ne le prend pas mal mais je pense que… tu n’as pas de culotte là !

Le ton de sa voix un peu tremblante me signale une certaine retenue et une timidité plutôt touchante. Il ne semble pas très sûr de lui et donc pas totalement maitre de la situation. Cela me donne un avantage certain sur lui pour préparer ma défense ou lancer une contre-attaque pour lui ôter le moindre doute ou soupçon sur mon caractère de fille légère.

 

- J’avoue que oui !

- Ah oui ? J’ai dû l’enlever après avoir fait un peu pipi dessus

 

 

Je pousse lentement le bassin en avant vers le bord de mon siège et me contorsionne pour faire remonter ma courte robe sous mes fesses avant de reprendre place correctement sur le siège.  Puis gardant les cuisses fermées, et me pinçant les lèvres, je remonte lentement ma courte robe du haut de mes cuisses à mon ventre.

 

Jeremy détourne ses yeux de la route me regarder en train de lui  pour dévoile mon pubis poils. L’air grave, Il lève les sourcils avec un air surpris. Son étonnement est tel que sa bouche s’ouvre un peu mais il ne dit rien. Il regarde vite sur la route puis vers moi. Je reste ainsi deux secondes, et descend la robe sur le haut de mes cuisses.

- Alors ?

- Je… je ne sais pas dire. Franchement tu me surprends beaucoup.

- Pourquoi je te surprends autant ?

- Je ne m’attendais pas à ça venant de toi.

- Cela t’a plu de voir mon joli triangle, j’espère.
- Oui !

- Vicieux !

- Je ne suis vicieux ! Par contre toi, tu es vicieuse ! Et très vicieuse même, et perverse !

- Looool ! Tu me prenais pour une sainte on dirait.

- Oui, un peu ça !

- Je ne suis pas une sainte.

- C’est vrai ! Je viens de le voir. D’ailleurs, je ne vais plus t’appeler Nadia mais Bordellia.

- Kiakiakiakia ! Carrément bordellia !

- Oui, Bordellia !

- Lol ! Bordellia veut dire quoi ?

- Bordelle (fille légère), en espagnol !

- Hum !

- …

 

Un silence s’installe dans la voiture quand chacun de nous ne dit plus. Je prends une aspiration avant de parler.

 

- Sérieusement et pour être honnête… je… Je t’ai montré ce que je croyais que tu voulais voir. Enfin, je me suis dit que c’est ce que tu cherchais à demander à travers ton long blablabla en parlant de ma petite culotte que tu n’avais pas remarqué sur moi en me regardant marcher.

- …

- Je voulais pour te faire plaisir en te dévoilant un mon intimité.

- …

- Finalement je réalise que… c’était une erreur ! Vu comment tu me remercies en collant une étiquette peu flatteuse surtout avec un nom espagnol qui me rabaisse.

- Nadia…

- Je commence sérieusement d’avoir très gentille avec toi. Je n’aurais pas due !

- Euh… Nadia je…

- Non ! C’est bon ! Je ne veux pas tu en rajoutes !

- …

 

Je suis vraiment vexée et son point de vue à mon égard m’a blessé. Je détourne me yeux de lui et tire sur ma courte robe sur mes cuisses. Je regarde à l’opposé à travers la vitre de ma portière. Je fixe le paysage qui défile. On roule en silence pendant quelques minutes avant que Jeremy me parle…

 

- Nadia…

- …

 

Je dis rien et continue de fixer le paysage que je regardais.

 

- Excuse-moi de t’avoir jugé ! Je n’aurais pas due !

- …

- J’ai été idiot sur ce coup et je regrette.

- …

- Je réalise combien je t’ai vexée et même blessée. Je te prie de bien vouloir me pardonner.

- …

 

Je reste dans mon mutisme et campe sur ma position. Jeremy pose sa main sur ma cuisse. J’ai envie de la repousser mais je suis stoppé dans mon élan par la douceur avec laquelle la main se met à bouger pour me caresser la peau. Tous mes poils s’hérissent d’un coup et un frisson me traverse en parcourant mon dos.  .

 

Je me pince les lèvres alors qu’il continue cette caresse qui peu à peu a le don de me détendre, puis d’adoucir mon âme et calmer mon cœur qui chauffe par rancœur. Ses doigts se baladent dans le creux de mes cuisses fermées, effleurant ma peau.

 

J’ouvre légèrement les cuisses, laissant les doigts s’y faufiler doucement. Je ferme lentement la cuisse au fur à mesure que la main remonte lentement et progresse doucement vers mon entrejambe par des petits mouvements et pressions. Je mince les lèvres et me retiens mon souffle.

 

Quand je sens les doigts sur le point de toucher ma fente, c’est à ce moment-là que je ferme et serre fort les cuisses pour bloquer la progression de la main inquisitrice dont l’ascension était allée trop loin. Je me tourne vers Jeremy et croise son regard. Je fronce les sourcils avant de parler…

 

- Si c’est comme ça que tu tiens à te faire pardonner pour ton indélicatesse verbale, ce n’est pas la peine.

- …

 

Jeremy me regarde sans rien dire. Puis je sens sa main se retirer lentement entre mes cuisses serrées mais je l’arrête en l’attrapant en par le poignet, au grand étonnement de Jeremy. Je le regarde avec un petit sourire espiègle au coin des lèvres pendant qu’il reste muet et me regarde avec effarement.

 

 

A SUIVRE !

>>> NADIA <<<