>> NADIA << Acte 8
Ecrit par chrochro241
*** NADIA ***
D’après la chronique « C’EST
NOËL ! », déjà parue.
ACTE 8
******
>> NADIA <<
Diallo me tirait doucement pour que je recule et
m’éloigne de Seydou sur je venais de balancer en pleine figure le fond de bière
qui restait dans mon verre. Je me dégage de lui et avance vers Seydou que je
dépasse d’un pas rapide. Je sens aussitôt qu’on remonte brusquement le bas de
ma robe. Je m’arrête nette et constate que ma robe a été retroussée d’un coup
rapide sur mes fesses désormais nues et vues par tous les 5 mecs présents dans
la cuisine.
- WOooh !
J’entends des mecs poussent un cri de surprise et de
stupeur alors que je suis encore paralysée par la surprise. J’ouvre la bouche
mais aucun son ne sort. Je sens la colère montée d’un cran. Je descends ma robe
sur mes fesses pour la remettre en place.
Puis je me retourne et fonce directement vers ce
salaud pour lui donner une gifle. Il bloque ma main en plein air et l’attrape
pour l’immobiliser. Je me débats et libère ma main, c’est à ce moment que Diallo
vient intervenir à nouveau, en se mettant entre nous avant de me pousser à
m’éloigner.
- Laisse-moi lui donner une leçon ! dis-je, hors
de moi.
- Qu’elle vienne, je n’ai pas peur de cette bordelle.
- Tu ne me parles comme ça, connard !
- Je te parle comme je veux, salope !
Ce qui vient de dire me met très colère. Je tente de
foncer vers lui Diallo se met sur mon chemin et me barre le passage.
- Quitte devant moi, bâtard ! lancais-je !
- Wallayi ! s’exclame Diallo en écarquillant les
yeux.
- Wallayi, quoi ? Dégage devant moi ! dis-je
avec désinvolture.
Ah oui, hein ! En bonne gabonaise, j’ai la
bouche.
- Tu oses me parler comme ça ! Mais tu es
folle !
- Tchuiiips ! fis-je en le toisant.
Sur ce, il fonce vers moi dangereusement. Je prends
peur et place mes mains devant moi en guise de protection. Je pousse un cri de
douleur lorsque je sens une vive douleur derrière la tête. Diallo vient
m’attraper les cheveux par la nuque d’une poignée de main ferme. Cela me fait
très mal ! J’envoie mes deux mains derrière la tête pour tenter d’ouvrir
sa main et le faire lâcher prise mais il me tient ferme et me tirer les
cheveux, me forçant à basculer la tête en arrière.
Je crie de douleur et sens mes larmes. Je capitule
vite, en cessant de vouloir ôter sa main.
- Ayiii ! Diallo arrête ! Tu me fais
mal Haaa !!
- Non ! Tu es trop sauvage, toi !
Il referme sa main, empoignant plus fortement mes
cheveux. Son geste me fait vraiment mal. Je suis tiraillée par une douleur
insupportable qui me met au supplice. Je vais pleurer si ça continue. Je ferme
les yeux et serre les dents avant de le supplier de me lâcher.
- Pardon Diallo ! Pardon !
- Hum !
- Vraiment pardon, snif !
- Pardon-là ne suffit pas ! Tu m’as mal
parlé.
- …
- Excuse-moi ! J’étais en colère.
- Maintenant c’est moi qui suis colère.
- …
- Tu sais, j’ai envie de te gifler !
- …
Je prends peur et crains fortement qu’il me frappe.
Tout en me tenant fermement par les cheveux, il vient derrière moi. Il murmure
ensuite à mon oreille.
- Mais moi je ne frappe pas les femmes… Je les
apprends à me respecter !
Je suis rassuré qu’il ne veuille me porter main. Mais
je ne comprends pas trop ce qu’il veut dire par la suite. Il n’ajoute de plus
et se colle étroitement derrière moi, en resserrant un peu sa main sur ma
nuque. Je serre les dents en sentant la douleur.
Tiraillée par la douleur que Diallo m’inflige, je
regarde Seydou qui se tient devant moi, un sourire au coin des lèvres. Celui-là
il ne perd rien pour attendre. Le bassin de Diallo se presse contre mon
postérieur. Il relâche un peu la pression de sa main et referme sa main en
tirant la tête en arrière. Je me laisse faire en serrant les dents alors que la
douleur se fait plus sentir.
Il m'embrasse dans le cou. Je n’aime pas ça du tout.
Je veux me rebeller mais je suis vite dissuader par sa poignée de main ferme
que mes cheveux et qui me cause déjà tant de douleur. Je sens qu’à la moindre
geste de lutte de ma part il me faire plus mal qu’il le fait déjà.
Il frotte davantage son bassin sur mes fesses sans j’y
oppose le moindre refus. Je sens vite quelque chose dur et gênant contre les
fesses. Je devine qu’il doit bander dur. J’espère qu’il ne songe pas à ce que
je pense qu’il oserait me faire.
Il passe sa main libre sur mon bas ventre et remonte
ma courte robe moulante, d’un geste vif. Je sens mon pubis rasé et nu à l’air. Ce n’est pas
possible ! Il ne peut pas me faire ça.
Prise de panique en sentant mon intimité exposé à
l’air, j’envoie vite mes deux mains tirer maladroitement le bas de courte robe
pour la rabaisser au plus vite afin de cacher mon intimité.
Je tire comme je peux ma robe vers mes cuisses alors
qu’elle est tirée aussi vers mes hauts de mes cuisses. La main libre de Diallo
lache prise sur le bas de ma courte robe
qui tente coute que coute remonter ma robe, mais je lâche vite prise pour
attraper à deux mains sa main qui vient de se refermer plus fort en tirant la
racine de mes cheveux comme s’il veut me les arracher de tète comme on arrache
la mauvaise herbe arrachée de la terre.
- Aaayyyyyiiiiiiiiiiiiiii ! Mes cheveux
Ooh !
Je crie et me tort de douleur, en attrapant fort sa
main.
- N’essaye pas de lutter ! Sinon je te ferais
mal ! Ok ?
N’ayant pas le choix, j’hoche vite la tête péniblement
en signe de consent entement. Il me fait souffrir deux secondes de plus avant
de relâche ma pression, diminuant sensiblement la douleur de cette torture qui
me met de plus en plus au supplice.
Je renifle et sens mes larmes aux bords des yeux. Je
réalise que ma soumission et mon calvaire va commencer car je sens qu’il ne pas
s’arrêter là. De sa main libre il remonte lentement le bas de ma courte robe
moulante, et ce, jusqu’à mon ventre. Il dévoile mon intimité et une larme
s’échappe de mes yeux.
- Vous voyez les gars !
- Hummmm ! Ça alors !
- Je vous avais bien dit qu’elle ne porte de culotte.
Dit Diallo en parlant conte mon oreille.
Un sentiment de honte m’envahit, mes yeux s’humidifie
mais refoule vite mes larmes. Je ne veux pleurer et montrer ainsi que je suis
faible. Vu ce que je viens d’entendre sur moi je peux déjà deviner qu’ils
savent que ce salaud m’avait sauté dans les toilette. Lui aussi, il ne pouvait garder
ça pour lui seul ? Et peut-être que les reste de cette bande l’ont même vu à
l’œuvre, en train de prendre à cheval sans pitié.
- Donc elle était toute nue depuis là !
- On n’imaginait pas ça une seconde !
- Elle doit être en chaleur pour rester nue comme ça
sous la jupe !
- Vraiment hein !
- Elle est toute épilée cette petite salope. J'adore
ça ! lance Seydou en me regardant avec un sourire.
Chacun des mecs y va de son commentaire suite à la
découverte de mon minou à poil. A les entendre ils croient tous que j’ai
sciemment décidé de m’habiller sans culotte. Hors, ce n’était pas volontaire.
C’était par mégarde que j’avais oublié ma culotte ce matin chez Marco, en
quittant son domicile précipitamment alors j’étais en retard de plusieurs
minutes pour mon rendez-vous pour venir ici.
Je subis mon humiliation en silence. Je n’ai pas bougé
un doigt ni rien dit. Je ne peux rien faire.
Diallo descend lentement sa main vers mon bas ventre.
Je me crispe en sentant ses doigts se rapprochant de mon pubis rasé. La
sensation de glissade de sa main sur mon pubis me fait frissonner. Une douce
chaleur étrange nait dans mon bas ventre.
Je pousse un léger soupir dès la première caresse de
Diallo sur ma fente toute lisse, lorsque sa main libre est allée droit dessus.
Diallo touche ma chatte à sa guise sous le regard envieux et spectateurs des
autres mecs qui ne ratent pas une miette de ce geste qui me dégoûte.
Je le laisse me toucher la fente pour qu’il se rassure
de ma soumission que je l’accorde, non pas par plaisir mais par crainte qu’il
me tire fort les cheveux à m’en faire mal crier de douleur.
Il remonte sa main par des petites caresses sur mon
pubis puis mon ventre avant d’avant tirer sur mon bustier pour le faire
descendre de ma poitrine à mon ventre. Je suis presque nue, avec la robe
ceinturant ma taille.
Mes seins libres, nus et vus à l’air, dévoilent tout
leur charme, sans je puisse empêcher leur exhibition. J’ai envie de pleurer
tellement je me sens mal. Mais je refoule mes larmes. Une femme forte ne pleure
pas quand on la déshabille contre son gré, pensais-je pour me convaincre de ne
pas pleurer et ne pas paraitre faible.
- Belle poitrine ! dit Seydou en face de moi.
Sans quittant des yeux ma poitrine généreuse, Seydou
passe sa langue sur ses lèvres comme si ce qu’il est très appétissant.
Je baisse les yeux sur mon buste et fixe mes gros
mamelons.
La main libre de Diallo les empoigne, un à un, soupesé
l’un puis l’autre avant de les malaxer à tour de rôle. Mes bouts pointent et
s’allongent en durcissant. Je ne réagis pas et me contente de pousser un léger
soupir pendant que mes mamelons sont triturer et mes tétons pincés, un à un. Je
mords les lèvres pour ne pas geindre malgré ma forte envie de le faire sous les
pressions des doigts pinçant fortement mes bouts durcit.
Je croise le regard de Seydou et des autres mecs qui
me fixent avec insistante. Je rougis un peu et me pince les lèvres en fuyant
leur regard. Je vois l’un d’eux passer sa langue sur ses lèvres. Je remarque
qu’une bosse déforme le pantalon d’un autre. Je sens que je suis mal
barrée ! J’espère qu’on n’en arrivera pas là.
Soupesant mes seins qu’il vient de libérer et de s’accaparer,
Diallo m'embrasse dans le cou. Il frotte son bas ventre contre mes fesses dénudées,
comme pour marquer son territoire qu’il a conquis. Je sens contre la chaleur
qui émane de son érection.
De sa main libre, Diallo défait son pantalon derrière
et de le descend. La chaleur et la vigueur de sa queue dure se ressentent tout
de suite entre mes fesses et me démontrent combien le sénégalais qui me tenant
sous sa pince a envie de moi. Je garde d’ailleurs qu’un vif souvenir de son
passage à fond dans ventre sans oublier cette façon brutale et bestiale avec
laquelle il m’avait prise à cheval sans pitié, il y eu de temps dans les
toilettes. Je sens qu’il remettra et je vais prendre cher sans encore le
regretter, si il me fait plus de bien que mal.
Instinctivement, je frotte mon derrière contre sa grosse queue chaude et dure,
penchée entre mes fesses. Je remue doucement le bassin pour l'exciter
davantage. Il pince mes tétons durcis, me faisant pincer les lèvres. J'aime ça...
je dois avouer !
Seydou vient
vers moi, il prend mes seins à pleines mains en suçant les bouts pendant que Diallo
passe sa main entre mes cuisses et me
caresse la fente. J’ai instinctivement écarté les jambes pour lui faciliter la
tâche.
- Elle mouille bien, déjà !
Je caresse l’entrejambe de Seydou à travers son pantalon. Je me pince les
lèvres en palpant sa bite et la sentant dure. Elle a l'air comme celle de
Diallo.
Seydou a du sentir ma main sur son sexe, car il me
regarde et regarde ma main sur sa main toujours sur son entrejambe. Il me
regarde à nouveau et me fait m'accroupir devant lui. Devinant bien ce qu’il
attend de moi, je déboutonne son pantalon et défais sa braguette. Je le fais
car je suis très curieuse de voir son pipi de sénégalais.
Je baisse son pantalon et son pipi jaillit face à mon
visage yeux. Je marque un temps d’arrêt pour le regarder le morceau chair sous
mes yeux. Tout comme Diallo, Seydou à une queue… elle est sombre, un peu fine
mais très longue.
Je fixe le pipi de Seydou et n’en croit pas mes yeux. Quand
je vois un sexe aussi long pour moi ce n’est plus une bite à proprement parlé
mais une queue. Popopopopo ! Quel engin !! Hum, une vraie queue, ça !!!
Je tremble de peur et d’excitation avant d’empoigner
la queue et la branle en douceur en fixant le gland sombre. Je suce le gland
avant de l’aspirer pour le gober puis me l'enfoncer le plus loin possible dans
la gorge.
Mais malgré mes capacités d'absorption pour faire une
fellation par gorgée profonde, je n'arrive pas à tout avaler. Seydou est content
malgré tout, vu le regard souriant qu’il affiche lorsque je lève les yeux vers
son visage en le suçant la queue.
Je lèche sa queue tendue en passant ma langue par-dessous.
Je titille son gland avant de replonger sur cette magnifique queue dans ma
bouche. Je réalise là un de mes fantasmes sexuelles… sucer une longue bite
black bref une queue de black !
A force de mater du porno et voir des femmes sucer des
queues d’hommes noirs bien membrés, j’avais eu envie de pouvoir sucer ses
queues. Maintenant que je réalise ce vieux fantasme d’adolescente, je prends
plaisir à le faire pleinement, goulument, savourant le gout de cette friandise
que j’aime de plus en plus sucer et sentir dure dans ma bouche.
Diallo amène aussi sa bite à ma bouche. Je les prends
toutes les deux en même temps pour tenter une double fellation. J'ai vite la
bouche bien remplie par les deux glands. Je pompe alternativement une queue
tandis que je branle l'autre. Je suis heureuse de le faire et je crois rêver
car je réalise un autre fantasme sexuelle : sucer deux belles queues noires,
en même temps. C’est un moment historique je vis en ce moment.
Je frotte et tapote ces deux belles queues sur mes
joues, les passant dans mon cou, j'adore faire ça. Accroupie face aux males que je suce la queue
à tour de rôle, j'ai les cuisses écartées et ma chatte s'ouvre toute seule. Je
suis mouillée et j’ai très envie d’être prise à cheval surtout j’ai deux queues
pour moi seule.
Je sentais ma cyprine dégouliné le long de raie des
fesses pour atteindre mon petit trou tellement j’étais trempée. Je mouille
comme une cochonne, je n’avais encore jamais connu une telle excitation
sexuelle et c’est ces deux queues qui me mettent dans cet état.
Les deux hommes sénégalais ne m’intéressent pas,
d’ailleurs ils sont vilains. Mais leurs queues sont belles et magnifique. Mon
clito déjà enflé de désir se durcit. J’envoie ma main libre sur ma fente et agace
le clito avec le majeur, il vibre bien le petit bouton encapuchonné et ça
m’excite grave.
Diallo va s'asseoir tout près sur le plan de travail de la cuisine, les jambes
ouvertes. Je me relève et m’approche de sa grosse queue tendue vers moi qui
semble m’appeler. J’ouvre la bouche en me penchant vers la queue que j’attrape
par le gland pour la coller contre le bas ventre de Diallo.
Je gobe ses couilles, je lèche sa la tige longue de
plusieurs centimètres. J’avale sa belle queue, la plus grosse que j’ai sucée de
ma vie. Je promène mes gros seins lourds sur son bas ventre, je frotte mes
bouts se frottent plaisamment sur sa peau, j’aime ça et cela me fait du bien.
Diallo aime ça aussi et il me demande de lui faire une
branlette... Espagnole, évidemment !
Diallo cale sa queue tendue entre mes deux seins que
je presse avec l’un contre l’autre mes mains les côtés et les maintiens ainsi. Il
commence un mouvement de bassin pour faire un lent va et vient dans le creux
bien fermé de mes seins.
- Hmmmmm… C’est doux ! dit-il en me souriant sans
cesser son mouvement du bassin.
Je souris et le laisse à la manœuvre. Il prend son
pied en baisant ma poitrine généreuse, se branlant en même temps. Sa
respiration devient bruyante quand il s’accélère ses va et vient dans mes seins.
J’ai l’impression qu’il se croit entrain de limer ma petite chatte avec sa
grosse queue là.
Je commence à ressentir de l’irritation entre mes
seins a force de subir les va et vient de la queue de Diallo. Alors je le
retire mes seins et le reprend en bouche ! Je fais une gorge profonde. C’est le
moment qu’il choisit pour éjaculer des giclées bien chaudes au fond de ma gorge
que j’avale directement et difficilement sans pouvoir faire autrement sur le
coup.
Je ne le regrette pas mon geste ! C’est si
booooooonnnn ! Je me régale de ce lait frais extrait des testicules, et tout
va pour le mieux...
pendant que je suis penchée en avant, la bouche la première sur la queue de
Diallo, Seydou est passé derrière moi et enfonce sa longue tige dans ma chatte
en feu et trempée. Il a mis une protection à ce que je devine vu les sensations
des frottements de sa queue que je ressens en moi. Il bute facilement au fond
de mon ventre, me coupant le souffle d’un coup. Mon cœur fait un raté mais s’en
remet.
Je grogne en ayant encore la queue de Diallo dans la
bouche alors que Seydou me lime bien fort en me tenant par la taille et faisant
claquer ses couilles sur mes cuisses. Son gland touche chaque fois le fond de
mon ventre. Je m’habitue bite à cela et c'est bon !
Je croisais les pieds et les jambes pour resserrer mon
sexe autour de la queue plutôt fine et moins grosse que celle de Diallo. Cependant,
il va et vient si vite que je n’arrivais pas à suivre mais je pouvais le sentir
me labourer er me ramoner selon le rythme du pilonnage.
De mon côté, à la suite des assauts que je subis, je
gémissais à chaque pénétration, le dos arqué, un feu d’artifice dans mon
ventre. Je brûlais de désir, au propre comme au figuré. A un moment, j’ai la
nette impression de jouir presque à n’en plus finir, tellement la jouissance
revient fréquemment me secouée le corps. Je me tortille de plaisir, je sens mon
corps vibrer et traversé par des frissons de plaisir. Je sens que je me vide à
chaque jouissance. C’est juste dément.
Par la suite, Seydou se retire. Je crois qu’il a enfin
jouit. Je vérifie en me tournant vers lui et constate que non. Il me fait
remettre comme j’étais, c’est-à-dire penchée en avant la tête vers le bassin de
Diallo. Je me mords la lèvre inférieure en grognant lorsque Seydou tapote son
gland sous ma fente pour frapper sur mon clito en contrebas.
Il remonte son gland et fait des mouvements de pinceau
sur ma fente, en frottant son gland dessus, puis remonte le long de ma raie des
fesses pour venir frotter son gland sur mon anus. Je serre les fesses
instantanément.
Je ne ressens plus rien sur mon anus. Puis tout à coup
un souffle chaud se fait sentir sur ma rondelle. Une langue lèche et titille ma
rondelle, je serre plusieurs fois les fesses sous les coups de langue qui
m’émoustillent.
Jamais on ne m’a fait cela. Je n’avais jamais ressenti
une langue me procurer une si bonne sensation par l’anus. Je découvre une
sensation nouvelle, un gout nouveau. C’est si bon que je laisse volontiers mon
cul à cette langue qui me chatouille la rondelle et me fait un bien fou.
- Vas-y ! Seydou ! Mets-lui le truc dans le
cul ! lance Diallo.
- Tu crois qu’elle va supporter ?
- Absolument ! Elle va adorer ça comme Patricia !
- Ah Patricia ! Tu l’as pas oublié, hein !
- Et comment ! Façon elle nous avait bien
régalés.
- Hihihihi !
- Tu te rappelles comment elle kiffait la sodo ?
- On l’avait bien défoncée, la chienne !!
- Ouais ! Même en DP (Double
Pénétration) qu’on avait tentée !
Diallo et Seydou bavardent, je les écoute
distraitement car je suis plus occupée et concentrée sur la queue de Diallo que
je suce pour lui redonner de la vigueur.
Je sens quelque chose de gros forcé
l’entrée de mon anus. Je devine que c’est le gland de Seydou. Je me redresse
mais Diallo m’immobilier en m’attrapant de nouveau par les cheveux au niveau de
la nuque. Ce geste a le don me rappeler me rappeler farouchement la douleur
d’une poigne de main ferme attrapant les cheveux sur ma nuque.
- Ayiiii ! Tu me fais mal !
Je crie de douleur en tenant la main qui tient
fermement mes cheveux.
- Suce là-bas ! Et je te fais pas mal ! me
lance Diallo qui me tient par les cheveux.
Je m’exécute docilement, me penchant en avant la
bouche première vers sa queue. Je lui suce la queue goulument en la sentant se
regonfler à son niveau maximale. Je sens aussi le relâchement de la pression de
la main fermée sur ma nuque. Je grimace de doucement lorsque le gland de Seydou
force à nouveau l’entrée de ma rondelle avant d’y entrer et va au fond de mon
rectum.
Je suis ravie quand il ne bouge plus et reste ainsi un
instant. Je savoure la queue de Diallo qui commence à se gonfler et durcir dans
ma main la branlant et dans la bouche la pompant.
Seydou ressort
de mon cul et rentre en accélérant un peu à chaque intromission, j’efforce
supporter la douleur de ces va et vient. La douleur laisse place à sensation
d’intromission anale plutôt agréable au fur à mesure qu’il me lime la rondelle.
Savourant ce rare moment de plaisir anal, je remue un
petit peu mes fesses, tout en palpant les bourses de Diallo dans mes doigts.
Puis il me vient une idée : je lui fais une gorgée profonde en me décrochant
la mâchoire, je glisse mon majeur le long de sa raie de fesses et enfonçant le
bout du doigt dans le petit cul de Diallo, histoire de lui faire un doigt
d’honneur et me venger un peu de l’enculage en règle que je subis par sa faute.
Sentant le bout de mon doigt le pénétrer par l’anus, Diallo
sursaute et resserre la main brusquement sur ma nuque tout son trou du cul. Je
n’insiste pas plus pour me venger. Je titille son titille son anus, doucement,
l’air de rien.
Diallo soupire et se détend, puis me force à le pomper
vu que j’avais sa queue planté dans ma bouche. Il me retire de sa bouche et
descend du plan de travail de la cuisine.
- Finis vite ! J’ai envie de la prendre,
moi !
- Prenant la en sandwich ! Chacun aura sa
part !
- Ok ! On fait comment ?
- Allonge-toi de dos à terre !
- Ah je vois !
Seydou se retire de mes fesses. Diallo me tire vers
lui et se couche de dos le sol, Je suis invitée à m’agenouiller à califourchon,
face à lui. Sa queue est tendue et dressée comme un méat entre mes cuisses
ouverte. Son gland fixe ma fente ouverte au-dessus de lui. Je descends le
bassin pour m’enfoncer sa grosse queue dans la chatte.
Une fois bien empalée sur lui, il me force à me
pencher vers lui, Je retrouve à 4 pattes au-dessus de lui, sa queue chaude bien
plantée dans ma foufoune. C’est à ce moment que Seydou vient se placer derrière
moi et présente son gland sur ma rondelle. Il me pénètre sans difficulté, plus
facilement que toute à l’heure.
On est bien là, tous trois, ne faisant plus qu’un. Je
sens mes orifices rempli et une double présence en moi. C’est une incroyable
sensation que je ressens à ce moment. C’est un instant historique !
Diallo commence à bouger sous moi pendant que Seydou me sodomise à cheval. Je prends
appui sur mes mains posées sur le sol et me laisse prendre en sandwich. Diallo
se bouge de plus de plus en moi. Seydou saute la rondelle de plus en plus vite en
me pelotant les seins qui se balançaient suite aux coups de butoirs qui me
secouaient.
Je me redresse en gémissant et prends un sacré plaisir
en faire sauter la rondelle et la foufoune en même temps. Je bouge un peu mon derrière
d'avant en arrière l’accompagner les coups de butoirs qui viennent en désordre.
On trouve un rythme après un moment et je me laisse aller la copulation
Après quelques allé et retours, je sens sa queue tressaillir
brusquement. Je crois qu’il ne va pas tarder à jouir. Je le sens aussi par ses
doigts sur mes reins qui se s’enfoncent sur mes hanches pendant qu’il me
sodomise à grands coup de reins.
Emportée par le gout de baiser avec ces deux mecs qui
prennent en même temps, crie de plaisir.
- Ouiiiiiii c’est bon !! Continuuuuez !!!
- Tu aimes ma bite dans le con et dans le cul,
hein ?
- Ho ouiiii ! Baisez-moi fort ! Je vous en
priiiie !!
Je délire pendant que mes partenaires plantés en
moi m’administrent des grands coups de boutoir. Je manque de défaillir et
pousse des cris de plaisir d’une rare intensité. Je transpire et frisonne de
plaisir.
Seydou est devenu moins prévenant, plus sauvage, il me
démonte l'anus à toute vitesse. Diallo est plus brutal de son coté, il me
pilonner à la verticale. Quel plaisir de sentir leurs assauts !!
J’haleté et souffle bruyamment, alors que je sens la queue
de Seydou entrant et sortant de mon cul tandis que la queue de Diallo fait de
même dans mon ventre. Je ne sais plus donner la tête pour suivre l’action qui
commence à me dépasser.
Diallo pince mes tétons entre ses doigts, cela accentue mon excitation
grandissante. Je sens que j’aille devenir folle. Je ferme les yeux en savourant
le gout qui me monte au cerveau de plus en vite et intensément. Je sens que je
vais jouir lorsqu’un orgasme arrive de loin.
Je sens monter une vague de plaisir intense du fond de
mes reins. Je subis la loi des deux males en rut sur moi. Je ne suis plus que
frissons Je crie de plaisir en subissant leur brutalité et leur bestialité
combinées. J'ondule des hanches pour exciter les mâles, ils se déchainent à
grands coup de butoirs dans mes orifices en feu. Je ne me tiens plus, je jouis en
criant comme une hystérique.
Je sens venir un second orgasme, il n'est pas loin, il
monte le long de ma colonne vertébrale, je suis secouée de spasmes, je
suffoque, Seydou serre mes tétons pendant que la queue de Diallo fait son œuvre
dans ventre en feu. Je crie mon plaisir et jouis. Que c'est bon deux queues,
rien pour moi !!!
Pendant que je jouis, je ne me tiens plus en place, je
ne supporte plus rien, je veux me débarrasser de ces deux engin qui ont investi
mon fondement par devant et par derrière. Mais Seydou me serre les hanches et
continue de me sodomisé à cheval. Je me tort, il suit ma progression en baisant
par le cul.
Je me tords dans tous les sens. Je frémis, gémis et
crie mon bonheur de me faire prendre en sandwich. Mais je ne supporte plus cet
intrus dans mon ventre, et ce pieu entre mes fesses. Ils me liment très fort,
en appréciant ma résistance.
Ce n'est plus une partie de plaisir, c'est un combat
entre moi et les deux males qui m’enfilent leur sexe bien profond. Je souffre, j'ai
mal, je les hais ces sales mecs qui abusent de mon corps et violent mes
orifices. Je ne suis plus que douleur. J'ai beau me débattre pour me libérer de
leur étreinte, rien n'y fait, ils me tiennent, usent et abusent de moi...
Je suis obligée de subir la loi du viol de mes amants surexcités
par la baise et ma résistance à leurs assauts.
Seydou pousse un râle de plaisir et ralenti avant
s’arrête, me laissant avec le souffle court il se retirer et je vois qu’il a jouit
dans la capote. Il se retire et s’en va vers les toilettes, certainement pour
se débarrasser de la capote.
Diallo me fait basculer sur le côté et se retrouve sur
moi, directement en position en missionnaire. il se retire de moi et tient sa
queue par la base. Puis il tapote avec une main son gros gland sur l'entrée de
ma petite fente qui palpite et coule.
Je sens ensuite le gland écarter les lèvres de ma
chatte pour y entrer. Je l'implore d'arrêter car je n’en plus de toute cette
baise qui me tue de fatigue. Mais en même temps que j’implore, j'écarte les
cuisses pour qu'il entre bien jusqu’aux testicules.
Diallo m'enfile d'un seul coup, je sens son gros
membre chaud progresser en moi, en écartant les parois de mon vagin qu’il remplit
avec pieu s'est enfoncé jusqu'aux testicules. Je lâche un râle de plaisir et le
laisse me ramoner le vagin et me labourer les entrailles. Il me possède
totalement comme il m’avait posséder précédemment dans les toilettes.
Je me trémousse le bassin sous lui pour mieux sentir
la pénétration assez profonde. J'écarte les jambes au maximum et me laisse
aller à la copulation. Je frémis, gémis et finis par jouir en seulement
quelques coups de butoir.
Emue par sa capacité à me faire jouir si vite, j'attrape
la tête de Diallo pour l’embrasser, sentir sa langue contre la mienne et
mélanger notre salive. C’est la première fois que j’embrasse. Notre baiser ne
dure pas car il se relève et le force à me lever.
A peine je suis débout, il me force à me retourner, ce
que fais docilement. Il me plaque contre le bord sur plan de travail et appuie
une main dans mon dos pour que je me penche avant. Je m’accoude sur le plan de
travail en souriant et attendant la suite.
Il me sodomise à son tour. Je n’ai plus peur de la
sodomie car j’ai passé mon baptême du feu en la matière. Cependant j’étais un
peu anxieuse lorsqu’il posé son gland sur ma rondelle avant de me pénétrer et
progresser plus loin. Cette intromission dans mon anus est un peu douloureuse
avec sa grosse queue qui m’élargie la rondelle. Mais la douleur s’estompe une
fois qu’il est bien entré et que ma rondelle est détendue.
Une femme qui couche avec un homme doit souffrir des
fois pour avoir du plaisir en retour. C’est une expérience marquante que j’ai
déjà vécu plusieurs en couchant avec des hommes pas toujours tendre ou doux
pendant notre galipette. La sodomie tout comme la baise par la voie vaginale démontre
bien cette philosophie de la douleur d’abord, le plaisir après. Du moins si la
copulation est bien faite.
Diallo bouge entre mes fesses, me limant en lenteur et
douceur, m’habituant peu à peu à sa queue dans ma rondelle déjà sensibilisée
par la queue de Seydou passée par là.
Petit à petit Diallo me culbute, et me fait gémir
malgré moi à chaque coup de butoir qui m’ouvre un peu plus l’anus. Il me fait sienne
pendant un moment avant de se retirer précipitamment. Il se vide doucement sur
mes fesses dans un râle de plaisir.
Il m'embrasse le dos en me tenant par les seins. C’est
ainsi qu’on se calme tous les deux, repu de sexe.
Le buste et le ventre sur le plan de travail, les
fesses nues à l’air et couverte de sueur, la robe retroussée sur la taille, les
seins nus écrasés sur le plan de travail, je reprends mes esprits lentement
mais surement.
Je souris
béatement car je n’ai jamais autant baisé et autant pris mon pied. Aujourd’hui
est vraiment un jour historique que je ne suis pas prête d’oublier.
Toutes ces sensations de baise et de plaisir me
mettent dans un état de somnolence. Et je n’ai subitement qu’une envie : Oter
mon petit blouson et enlever ma courte robe ceinturant ma taille puis me
coucher pour dormir toute nue !!!
A SUIVRE !