Note de l'auteur.

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

NOTE DE L’AUTEUR : 

Oyez, oyez braves gens. J’espère que vous allez bien. 

Tout d’abord je tiens à vous saluer dans le puissant et glorieux nom de mon sauveur et seigneur Jésus Christ. 

Je tiens également à dire merci aux PRÉCIEUX, partageurs, commentateurs, likers et les autres (dont on préfère ne pas citer les noms) pour l’accueil que vous m’avez cueilli et les moments que nous avons passé ensemble durant tout ce temps.

Le TGV dans lequel vous avez embarqué il y a plusieurs mois maintenant vient d’atterrir en gare et vous êtes tous priés de récupérer vos affaires et descendre (rire)


**SECONDE CHANCE** parlons en.

Quand j’ai décidé de poster cette histoire suite aux votes des précieux sur Muswada, j’ai eu beaucoup de réactions négatives des lecteurs sur les deux plateformes, beaucoup ne voulaient pas lire cette histoire, non seulement à cause du background de la protagoniste dans Mère Malgré Moi et surtout à cause de son comportement plus que détestable (selon certains au début de l’histoire) et j’ai eu des messages en Inbox sur Muswada et des signalements de ma page sur Facebook ( oui oui, vous ne le saviez peut être pas mais ma page a été signalé à plusieurs reprises) mais Dieu merci je ne l’ai pas perdue.

Je savais où j’allais avec cette histoire même si beaucoup ont cru que j’écrivais parce que je n’avais rien à faire (rictus), « le vieillard assis voit plus loin que le jeune homme debout » dit le dicton. Avec cette histoire, j’étais le vieillard car je connaissais la fin et vous le jeune. Mais têtu pour têtu, on s’est échauffé ici Aka « vous tirez je tire » (rire) parce que vous ne voulez pas vous laisser guider et moi je ne voulais pas vous laisser dans l’ignorance.

Il y a une phrase que j’ai beaucoup aimé dans un film et qui a été quelque part mon leitmotiv, tiré du film NANNY MC FEE, elle disait aux enfants dont elle avait la garde ceci « LORSQUE VOUS AVEZ BESOIN DE MOI, MAIS QUE VOUS NE VOULEZ PAS DE MOI, ALORS JE DOIS RESTER. LORSQUE VOUS VOULEZ DE MOI MAIS QUE VOUS N’AVEZ PLUS BESOIN DE MOI, ALORS JE DOIS M’EN ALLER » Beaucoup d’entre vous aviez besoin de lire cette histoire même si vous ne le vouliez pas et je suis sûre que ce sont plus les personnes qui ont signalé la page qui étaient les premières concernées (sourire en coin). Vous avez lu Jusqu’à devenir accro et refuser la fin malgré la longueur (Éclats de rire). Leslie Oyame Mbazogho, la pierre que les bâtisseurs ont rejeté est devenue la principale de l’angle (Rictus). J’avais dit que ma sœur avait beaucoup à vous apprendre et par ricochet son entourage. Je pense qu’ils l’ont tous fait par leurs interventions dans l’histoire. 


J’ai reçu beaucoup de demandes de PDf de cette histoire en inbox mais j’ai décliné en disant à certains que le pdf allait les dégoûter ( rire) pourquoi ?


Parce que SECONDE CHANCE c’est 659000 mots, 1500 pages, 205 chapitres et 6 mois et demi d’écriture, j’ai bien évidemment enlevé les paroles de chansons, les chapitres et teasers hors histoire, et les temps morts liés à mon état de santé et autres soucis techniques que j’ai eu avec mes appareils, les plateformes, la connexion et mes activités, sinon c’est beaucoup plus long. Et vous voulez que je charge ça en un bloc pour envoyer à quelqu’un ? On va se dire la vérité, on compte sur les doigts de la main les personnes qui n’auraient pas été découragées par le volume de l’ouvrage (Mdr). Voilà pourquoi c’est mieux passé en petite coupure pour la bonne digestion, il faut donc me remercier d’avoir refusé de vous donner le pdf, je vous ai rendu un grand service (Éclats de rire).


Quand j’ai commencé à écrire cette histoire, je vous l’ai dit, j’ai été beaucoup découragée, par le manque de réaction des lecteurs, par les commentaires déplacés de certaines personnes qui confondent l’enseignement véhiculé derrière une situation décrite dans une histoire et l’auteur de l’histoire (voire même le personnage et l’écrivain ) et ceux qui m’ont ouvertement insulté en inbox parce que la tournure de l’histoire n’allait pas dans leurs sens (mains sur le visage) être chroniqueur n’est pas facile, il faut avoir le gros cœur je vous le dis parce que huuuuummmm, mieux je ne continue pas sur ce chemin. Je suis allée me plaindre chez mon père en disant que je laisse tomber parce que si je réponds, aaaahhh moi-même ma bouche est comme celle du Prophète Elisée, il ne faut pas je vais appeler les ours ou proclamer la lèpre sur les gens ici. Mon père m’a dit laisse les enfantillages et écrit. J’ai écrit mais parfois je vous regardais mal en pensant intérieurement « bande d’ingrats » (Éclats de rire)  eh Dieu, les choses de mon corps (rire) pardonnez-moi oh, c’était mes petites crises d’immaturité scripturaires (rire).


En écrivant cette histoire au début :

-Je n’avais pas l’intention d’écrire une histoire en un bloc mais plutôt en sections pour en faire des tomes.

-J’avais l’intention de supprimer l’histoire une fois l’épilogue publiée comme annoncé dans le résumé sur Muswada.

-J’avais l’intention de supprimer les chapitres au fur et à mesure sur Facebook comme m’avaient conseillées certaines Chroniqueuses plus anciennes dans le milieu pour éviter les plagiats (Mes belles si vous lisez ce mot, je n’ai pas oublié vos suggestions, je compte les appliquer au temps convenable, merci à vous d’avoir pris le temps de discuter avec moi. Je ne citerai aucun nom mais elles se reconnaîtront, bisous là-bas)

Ça c’était mon plan à moi, mais ce n’était pas celui de la personne qui m’a dit d’écrire l’histoire. Au cours d’une conversation avec mon père, il m’a dit de changer mon programme, non seulement pour SECONDE CHANCE, mais aussi pour MÈRE MALGRÉ MOI et le JOUR OÙ MA VIE BASCULA. J’ai reçu l’injonction de les laisser sur mes pages jusqu’à nouvel ordre car ces histoires ne m’appartiennent pas et tant que le but pour lequel elles ont été écrites ne sera pas atteint, je n’aurai pas le droit de les supprimer. C’est pourquoi ces histoires n’ont pas encore été retirées de ma page Facebook ni de Muswada (sauf Mère Malgré Moi qui sera entièrement repostée)

Vous me direz, Jola et le plagiat alors, tu n’en as plus peur ? Eh bien pour ces trois histoires pour lesquelles la responsabilité m’a été retirée, non. Si on me plagie, dans l’hypothèse où ce ne serait pas encore le cas, je laisse le propriétaire s’occuper du plagieur et surtout j’espère que les lecteurs de ce dernier seront édifiées car c’est pour cela que j’écris. 

Partant de ce fait, j’autorise les repostes de ces trois histoires sur Facebook par les chroniqueurs et Chroniqueuses sur leurs pages ou sur WhatsApp pour ceux qui tiennent des groupes de lecture mais aux conditions que vous me le signalez avant de le faire et mentionnez mon nom comme auteur, ce qui serait la moindre des choses par respect pour mon travail. CECI CONCERNE UNIQUEMENT CES TROIS HISTOIRES ET PAS UNE AUTRE DE MES ŒUVRES, SOYONS CLAIR LA-DESSUS


Pendant la publication de ces histoires, j’ai reçu plusieurs doléances pour des suivis spirituels, des délivrances, des recommandations, de groupes de prières et j’en passe. J’ai dit à ces personnes que je reviendrai vers elles pour leur donner ma position. Pour toutes ces choses, il faut du temps, de la persévérance, une préparation et une implication sérieuse car il est question de vie et on ne blague pas avec la vie des gens. Malheureusement, je ne pourrai pas vous accompagner pour plusieurs raisons que je ne saurai citer ici. Néanmoins je vous garde en prière et j’espère que le Seigneur vous orientera vers les personnes qu’il faut. Tout en sachant que personne d’autre que vous et Dieu ne porteront votre problème à cœur comme il le faut. C’est pourquoi, outre les personnes que Dieu mettra sur votre chemin, prenez le temps de développer une intimité profonde avec le Seigneur et il vous dira ce que vous devriez faire pour sortir de vos différentes situations.


Au reste, pour ceux qui me connaissent depuis longtemps savent qu’après l’écriture d’une histoire, Jola se retire pour faire sa pause car pour ceux qui ne le savent pas, LES CHRONIQUEURS AUSSI ONT UNE VIE BIEN RÉELLE AVEC DES OBLIGATIONS BIEN REELLES QUI LEURS INCOMBENT et se doivent de s’occuper de leurs vies. Du 21 octobre au 22 juin, ça fait 8 mois. HUITS LONGS MOIS QUE NOUS SORTONS ENSEMBLE VOUS ET MOI, vous conviendrez avec moi que même les siamois ont besoin de respirer loin l’un de l’autre et que vous ne verrez aucun inconvénient à ce que je m’accorde une année sabbatique en guise de repos (Éclats de rire). Ne me regardez pas avec les gros yeux, 12 mois ce n’est pas long. (Rire) 

Mais plus sérieusement, j’ai un gros projet personnel dans les jours et semaines à venir sur lequel je devrai me consacrer à 100% et cela prendra sur des mois, je ne pourrai donc malheureusement pas vous écrire et poster une nouvelle histoire, je m’excuse par avance. Toutefois, je ne vous laisserai pas orphelins, je trouverai une alternative à comment faire vivre les pages. 


Jola s’en va donc avec SA PROPRE SŒUR LA TRIOMPHATRICE, VOTRE FRÈRE HULK, LE PROPRIÉTAIRE DE LA SOURCE ET UNIQUE PÈRE DE L’HÉRITIER, LA REINE INCONTESTÉE DU CŒUR DE L’AUTRE, LA VOIX DE LA RAISON ET SA FOLLE, LE PASTEUR LILIAN ET SA MPM, LES JUMEAUX ASTRAUX ET BIEN ÉVIDEMMENT L’ENFANT PRÉFÉRÉ DU SEIGNEUR ET SA NIÈCE. Ils vous disent merci d’avoir bien voulu lire et partager avec eux leurs histoires et espèrent surtout que vous ayez été édifiés. Ils vous souhaitent par la même occasion un bon vent et vous donnent rendez-vous pour les prochaines histoires dans lesquelles ils auront à intervenir.

Madame Bitome Aka les problèmes qui n’a jamais aimé la paix s’en va avec ses petits pieds pour déranger la vie du contemporain, deux jours deux jours là, je l’ai trop laissé. 


N’oubliez surtout pas de prendre soin de vous et de vos proches car vous savez que je vous aime gros comme ça. 

Votre Chroniqueuse Jola pour vous servir. La bise !


SECONDE CHANCE