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Ecrit par Mabanabook

SON PARDON : page 10


YEDMILA 


C’est aujourd’hui le grand jour. Enfin,  le moment tant attendu est arrivé. Aujourd’hui est non seulement l’anniversaire de la mort de ma maman mais également le jour de l’inauguration de la résidence qui porte son nom.  Je l’ai nommée « LUCIE HOUSE » ma mère elle-même s’appelait Edoukou Eve Lucie.  Mais j’ai préféré que la résidence porte le nom de LUCIE, car le prénom Eve ne me convient pas, la cause lorsque tout allait bien entre mon père et elle, je m’en rappelle encore il aimait bien ce prénom et aimait surtout l’appeler ainsi. 


Moi : (lui faisant signe) Tout est prêt Steve ? 


Lui : (me rassurant) ne t’en fais pas, tout est prêt. 


Moi : merci, cet évènement compte assez pour moi. Je te remercie pour tout (souriant) 


Lui : ne t’en fais pas, je le sais et tout est prêt. La résidence même à elle seule fait rêver alors comment veux-tu que ça ne marche pas ? Nous avons un bon site web et je suis sure que beaucoup ici voudront bien louer une maison de ta résidence. (Me tapant l’épaule) 


Moi : merci 


Sophie : (m’embrassant) Yedmila, c’est vraiment super ce type résidence 


Steve : salut la belle Sophie ! Attends de voir l’intérieur de la résidence tu verras.  (souriant) 


Sophie : (lui faisant la bise) comment vas-tu Steve ? 


Steve : ça va mais et Lydia ? Ces vous deux que l’on attendait depuis


Sophie : elle est en route. 


Moi : (souriant) ok allons y donc 


Sandra : (venant) ah bonne arrivée Sophie et le petit ? 


Sophie : (souriant) il va bien 


Angie : (lui sautant au coup) Sophie ça fait vraiment longtemps, comment tu vas ? 


Lydia : je suis là les filles 


Angie : wahho la plus belle comment tu vas ? Alors c’est demain le grand show (toute excitée) 


Steve : (l’embrassant) laisse-moi te souhaiter joyeux anniversaire en avance la sublime Lydia. Bon je me sauve je reviens tout à l’heure. (Nous faisant signe) 


Moi : (souriant) c’est vraiment gentil que vous soyez là, merci beaucoup les filles 


Sophie : (me prenant dans ces bras) c’est normal ma belle 


Lydia : (regardant le téléphone de Sandra) tu as l’air ailleurs einh Sandra, c’est à cause de qui cet homme que tu regardes depuis sur ton téléphone ?


Sandra : (souriant) il est beau en tout cas, admets le au moins 


Lydia : (air désintéressé) hum ouais


Sophie : (arrachant presque le téléphone) ohh Seigneur !!! Il est vraiment beau. Mais il connait Yedmila apparemment. 


Moi : qui est-ce ?? (Ne comprenant pas) 


Angie : le joueur Marc Tiacoh


Moi : (désintéressé) bof, je ne le connais pas personnellement, il est venu à mon bar plusieurs fois, mais personnellement je ne le connais pas. 


Sandra : oh donc il est libre ? 


Moi : je n’en sais rien Sandra, je ne sais rien de lui 


Lydia : (désintéressé) mieux le laisser, je ne vois pas pourquoi tu t’emballes ainsi pour lui. Les joueurs c’est juste pour le jeu. 


Angie : vu qu’on en parle, (souriant) permettez-moi de vous parler de quelque chose. 


Moi : dis-nous (la fixant) 


Angie : le PDG de la première chaine, m’invite pour un weekend en France (souriant) mais j’hésite


Moi : vas-y et n’oublie pas tes objectifs. Car un  Homme doit se fixer des objectifs et les atteindre (sereine) 


Angie : ça ne te gêne pas Yedmila (me questionnant) 


Moi : (ne comprenant rien) pourquoi ça devrai ? 


Angie : oh vu que tu passes assez sur les chaines je croyais que…..


Moi : (la coupant en voyant ou elle veut en venir)  hum Angie, Angie, combien de fois t’ai-je dis, te voir plus loin que le bout de ton joli nez ? (touchant le bout de son nez) le PDG de la première chaine, je le connais pas personnelles, nous nous sommes vu des rares fois et il y’a toujours un certain respect entre nous. Chose que j’apprécie. (Soufflant) concernant mes apparitions à la télé, sache que je ne fréquente pas le PDG, tu as carte libre avec lui (souriant), c’est juste que le ministre de la communication et de l’audiovisuel me fait la cour, donc du coup, j’ai carte libre à la première chaine. 


Lydia : (surprise) wahooo


Sandra : juste la cour et il te donne tous ces privilèges. Franchement Yedmila tu as de la chance


Moi : la chance n’existe tellement pas avec moi. Parce que je ne me fie pas toujours à la beauté d’un homme pour en faire mon ami, et je me fie encore à plus pour en faire un ami particulier ou intime. (Parlant avec audace) et ça ce n’est pas de la chance (lui souriant), c’est juste des objectifs que je me suis fixer (regardant Angie) et je fais tout pour les atteindre (me tournant vers ma résidence  et souriant avec fierté). 


Steve : Yedmila c’est bon tu peux venir s’il te plait. 


Moi : on y va les filles. 


La cérémonie se passait bien, tout le monde me félicitait pour cette réalisation. J’en suis ravie.  Beaucoup ont déjà réservé certaines maisons et d’autres ont même versé une partie de la caution ou la moitié. Bof, même si certains les ont réservés pour leur maitresses, bof peu m’importe moi. L’essentiel est que je commence à avoir des locataires et j’en suis ravie. Les journalistes et bloggeurs m’ont même félicité car selon eux ils ne trouvent aucun défaut et que tout est parfait. Je suis juste heureuse. Le ministre de la construction à qui j’ai demandé de ne pas venir, à tout fait pour venir quand même. Selon lui pour me soutenir. Mais  bon je suis trop heureuse pour m’énerver contre qui que ce soit. 


Steve : Yedmila, regarde qui est venu te voir (tout heureux) 


Moi : qui ça ? (me tournant vers lui) 


Marc : moi (souriant), je te félicite pour cette merveille, elle est vraiment réussie. 


Moi : merci bien, (regardant Steve) je ne savais pas qu’il était  invité Stevi ? 


Steve : (souriant) oui, mais il a tellement voulu venir te voir que je me suis permis de l’inviter 


Moi : (le fixant) tu t’es permis sans mon accord (sourire jaune), eh bien bienvenue à vous et j’espère que ma résidence vous a plus ? 


Lui : (souriant) la devanture me convient, mais je n’ai pas encore visité les maisons


Moi : oh ok, Stevi fait le visiter alors 


Steve : je veux bien, la Boss, mais il y’a Armos de ‘’The Best’’ qui m’appelle. 


Lui : (souriant) mais vous pouvez être mon guide. 


Moi : hum, je vois 


Je pris donc l’ascenseur avec lui et l’on monta jusqu’au 4ème étage. Je lui fais visiter donc la maison, qui est composé de trois chambres toutes autonomes, et aussi des pièces spacieuses. Une baignoire dans la chambre principale et des meubles importés déjà installés. 


Lui : (regardant) c’est magnifique des meubles, jusqu’à la décoration 


Moi : (souriant) je sais, c’est ma plus grande fierté 


Lui : (me regardant) ton prix est le mien, je prends cet appartement. (Air sérieux.) 


Moi : (ahuri) oh comme ça. 


Lui : oui, oui 


Moi : (le regardant) puis-je savoir la raison ? 


Lui : que te dire que tu ignores ? (se rapprochant) je veux te connaitre et tu me plais fortement. Je veux être ton ami si possible. (Regardant la pièce dans laquelle nous sommes) Mais ça ce n’est rien en rapport avec le charme que  m’offre cette maison. Je suis vraiment épaté par la beauté de cette maison et de son élégance. (Souriant) je suis revenue il y’a peu et je veux vivre seul, dans ma propre maison. 


Moi : (m’éloignant de lui) ah je vois, donc tu vas voir Stevi pour les conditions et signer le contrat si ça te convient 


Lui : (déçut) je ne peux le faire avec toi ? 


Moi : (le regardant) je suis la patronne, pas la gérante 


Lui : ok, je paye toujours mon loyer avec 1an d’avance. Chaque fin d’année je  règle le loyer pour 12 mois. (Souriant) je peux le faire avec toi ? 


Moi : d’accord, on reverra donc les conditions pour toi 


Lui : ou tu peux me vendre l’appartement. Ton pris sera le mien (me souriant) 


Moi : (sourire jaune) non, désolé. Ca représente assez pour moi ce projet, au-delà de l’argent, c’est comme une partie de moi, je ne le vendrai jamais. Désolé. 


Lui : oh je vois, ça te vraiment te tenir à cœur 


Moi : tu n’as pas idée.


Lui : (s’approchant) Yedmila, peux-tu me faire l’honneur de te connaitre ? De plus parler avec toi (se rapprochant) tu es comme un mystère pour moi, je veux vraiment te connaitre. 


Moi : (quittant devant lui) hum, tous veulent me connaitre. (Souriant) mais si je laisse tous me connaitre, je ne serais plus un mystère pour qui que ce soit. 


Lui : juste un rendez-vous. (Me fixant bizarrement) juste un rendez-vous. 


Moi : (le regardant) si je veux un rendez-vous avec toi. Je te contacterais. (Souriant)


Lui : c’est une réponse bien perplexe. (Souriant) Yedmila, j’ai retenue seulement trois choses depuis que nous sommes arrivés ici : de l’audace tu en as, je t’ai  vu parlez à tous, journalistes, blogueurs et même autorités de ce pays avec une aise et un certain savoir-faire et j’apprécie cela. 


Moi : (détournant mon regard) sans audace je ne suis plus Yedmila 


Lui : ensuite ta franchisse, tu n’as pas  peur de t’exprimer. Tu parles comme si tu n’as pas de filtre, on peut te trouvez arrogante, mais moi je te  trouve juste franche.  Et crois-moi ce genre de  qualité beaucoup ne l’ont plus. (Me faisant un clin et s’approchant) 


Moi : (le fixant et  l’évitant) la troisième ? 


Lui : (me fixant) la peur de ne vouloir me connaitre. Tu es audacieuse et franche certes, mais avec moi, tu ne parles  pas en me fixant, tu baisse tes beaux yeux comme-ci tu craignais quelque chose, et aussi tu n’es pas franche car je sais que tu ne  me contacterais jamais de toi-même. (Serein) je me trompe. 


Moi : (autoritaire) asseyez-toi  s’il te  plait. Hum d’abord, sache que la peur, n’est pas en moins. Oui, elle m’a quitté depuis bien longtemps crois-moi, ensuite c’est moi qui choisis toujours mes amis, mes fréquentation et aussi les hommes que je vois dans mon lit ou que j’accepte de laisser entrer dans mon lit. (Soufflant) tu crois vraiment que la peur peut permettre de faire ce genre de choses. (Le stoppant sachant qu’il veut parler) non, tu as fait une erreur tout à l’heure, tu t’es  permis d’essayer de me définir seulement en une demi-journée, (souriant)  beaucoup d’hommes font cette erreur avec moi. (Me rapprochant de lui) et je leur dit toujours ceci : lorsque l’on parle de Yedmila entendez en même temps ceci : (parlant dans son oreille droite) l’audace, le pouvoir (venant vers son oreille gauche) et la franchise. (Soulevant son menton abaisser) mais retenez plus le pouvoir, car vous savez quand une fille ordinaire vous dit qu’elle vous recontactera, sachez que c’est juste pour vous fuir, et moi je ne fuis devant personne. (Sereine)  Je suis une femme de pouvoir (parlant avec audace) alors quand je dis que je fais vous rencontrerai sachez que je peux le faire car j’ai le pouvoir de le faire, la preuve vous serez mon locataire donc j’aurais vos coordonnées. (le fixant et attrapant son menton avec mon pouce et mon index, pour l’obliger à me fixer) enfin je n’ai peur de personne, la peur n’est pas dans mon quotidien, sinon crois-moi, tu ne voudrais pas tant me connaitre, (trouvant un chemin entre ces jambes pour m’y placer de sorte à lui faire face) j’évite juste votre regard car j’ai peur de vous déstabiliser avec le mien, car contrairement à moi, vos yeux parlent trop et ils ne disent que Yedmila, pourtant je n’ai pas encore l’envie de vous avoir comme clients. (souriant) car oui, je choisi les hommes avec qui je couche même pour juste tirer un bon coup, et vous vous êtes déjà mon locataire, alors j’évite de vous vexer en baissant mes yeux quand vous me parler de sorte que, mes yeux ne vous communiquent pas un (rapprochant mes lèvres des siennes) un Non, vous n’aurez pas mon corps, car je ne vous est pas choisi. (Souriant) je n’avais juste pas envie de vous rendre triste vous voyez ? (audacieuse) ne pensez pas que c’était juste parce que vous êtes l’homme  et donc le sexe fort, que je baisse les yeux, (souriant) jamais car moi Yedmila je suis toujours le sexe dominant avec les hommes, (sourire excitant et passant ma langue sur mon rouge à lèvres) la preuve (faisant descendre son visage vers le bas) avec la bosse qui se forme présentement dans votre pantalon. 


Lui : (complètement perdu) euh,…


Sandra : (entrant) Yedmila, tu es ici ? Oh désolé, (voyant la position dans laquelle nous étions) 


Moi : (me relevant) non, t’en fais pas. Je montrais les règles à mon nouveau locataire, (le regardant intensément et souriant) n’est-ce pas ? 


Lui : euh, si, si (tout honteux) je peux utiliser les toilettes s’il vous plait ? 


Moi : (souriant toute satisfaite) bien sûr, (sereinement) vous êtes le nouveau locataire non, donc c’est aussi votre maison


Sandra : (s’empressant de le saluer)  bonjour Marc, c’est un honneur pour moi de te rencontrer, je m’appelle Sandra Ouraga  et je suis mannequin professionnel 


Lui : (sourire jaune) enchanté Mlle, (la saluant rapidement) merci beaucoup pour les toilettes, Yedmila 


Moi : (m’abaissant et souriant) je vous en prie, vous satisfaire est ma priorité majeure M. Tiacoh, (souriant et sortant) à plus, (parlant à Sandra) on y va ? 


Sandra : (air un peu déçut) oui, oui, le ministre te cherche depuis


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Tout le monde est partit et je suis seule avec les vigile dans ma résidence. Je fais le tour et j’en suis fière, maman sera parfaitement heureuse. J’ai réalisé son plus grand rêve et je suis déçue qu’elle ne soit pas  là pour le voir. J’ai fait des portraits d’elle et mon frère que j’ai mis dans tous les couloirs de ma résidence.  Elle me manque tant. 


Je m’apprête à sortir, lorsque je tombe sur quelqu’un qui me rend automatiquement nerveuse. 


Moi : (énervée) tu ne peux pas t’empêcher de me mettre de mauvaise humeur inh dis-moi ? 


Lui : (doucement) Yedmila, je ne suis pas venu t’énerver crois-moi. Je voulais juste voir ce que tu as réalisé, tout le monde en parle en ville. S’il te plait aujourd’hui est un jour important pour toi. Ne t’énerve pas je t’en prie. 


Moi : (le fixant) tu veux quoi au juste ? 


Lui : juste voir ta réalisation


Moi : (me mettant sur un côté) vas y 


Il entre et s’émerveille devant tout ce qu’il voie. Il visite toute la résidence avec moi, en passant son temps à s’exclamer ou à me féliciter. 


Lui : elle serait si fière de toi (souriant) 


Moi : (désintéressée) oui je sais 


Lui : je suis fier de toi, mais Yedmila, je ne pense pas que les pratiques que tu as faites pour avoir ce si grand bien lui plairont. Je suis sure qu’elle n’aimera pas ca 


Moi : (m’énervant) tout compte tu étais sûr qu’elle t’aimait, voilà pourquoi tu t’en es servi pour la tuer 


Lui : je ne veux pas t’énerver je te parle plus comme un père. Tu as eu assez dans ce monde, mets une pause et arrêtes. Reprends ta vie en main en empruntant les bonnes voies s’il te plait. (Voix suppliante) 


Moi : (sereine) tu n’es pas mon père tu es mon G-E-N-I-T-E-U-R, retiens bien cela. Car c’est ce que tu as  été pour moi, pour nous (soufflant un grand coup en regardant la photo de Loïc poser juste ne face de nous) juste un géniteur (autoritaire) 


Lui : (abaissant sa tête) je suis désolé


Moi : (le regardant d’en haut en bas) je suis plutôt désolé pour toi


Lui : cette résidence est belle, elle est pareille que notre maison,


Moi : (air sérieux) dis-plutôt que ta maison, ou est-elle d’ailleurs ? 


Lui : (air triste) elle me l’a été saisie par les autorités ainsi que d’autres biens 


Moi : (le regardant) oh, je peux bien te dire que je suis désolé pour toi, mais franchement le mensonge n’est pas pour moi, je ne suis pas désolé pour toi. 


Lui : je comprends. Je suis aujourd’hui ou je suis par ma faute, et j’assume.  (Regardant la résidence) je vois que notre maison te manque, voilà pourquoi tu as reproduit le même 


Moi : (soufflant et le fixant) arrête de toujours penser que moi je fais tout par rapport à toi, (craint) NON. J’ai construit  ces trois maison à étages toutes équipés de confort, non pas parce que les moments que j’ai passée dans ta maison (le pointant du doigt) me manque. (Remuant la tête) non, je l’ai fait car un jour, ma mère à pleurer lorsque tu l’as foutu à la porte de ta maison. Et ce jour (serrant ma mine et criant) INTERIEUREMENT J’AI JURER QU’UN JOUR J’OFFRIRAI LE TRILPLE DE CETTE MAISON A MA MERE. (Soufflant) et c’est fait, aussi sache que si tu vois seulement son prénom Lucie sur cette maison, c’est parce que je me rappelle que tu apprécias son prénom Eve. Et je ne veux rien dans cette résidence qui me rappelle-toi ou même qui soit en rapport avec toi. (Autoritaire) j’espère que tu m’as comprise ? (sortant et le laissant planter là) bonne nuit, et dépêche-toi de vite partir, je n’ai pas envie que tu te fasses agresser et que je sois encore obliger d’être à tes côtés. (Souriant nerveusement). 


TU AS AIMER ALORS NE TE GENE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET  BONNE SOIREE BISOUS !!!!!!

Son Pardon