Page 15: Tell Me Something!
Ecrit par Mabanabook
MA DECISION FINALE : Page 15
*Tell Me Something…….
CELIANTHE
Ça va faire la centième fois que celui-là m’écris aujourd’hui. Je lui réponds aussi avec un émoji et là c’est place aux jeux ou à la guerre des émojis. Je peux parler avec Sam vraiment toute la journée et même la nuit. On se taquine et on parle de tout.
Lui : (sms) je susi là
Moi : (sms) mais où ça ?
Lui : (sms) en bas, on va déjeuner ? »
Je souriais, ça va faire vraiment trois jours qu’il me surprend ainsi soit pour le déjeuner, le goûter ou alors pour me déposer à la maison seulement.
Elle : wahoo qui te fait rire ainsi
Moi : (riant) juste Sam, il m’invite pour le déjeuner
Elle : (ahurie) encore aujourd’hui ?
Moi : (sortant) eh oui, à toute
On partit manger et on revient quelques minutes après.
Elle : (venant vers moi) au fait Céli
Elle : (la regardant) oui quoi ?
Elle : par rapport à ta relation avec Sam, je voudrais juste te prévenir. Je n’ai pas envie de me mêler de ce qui ne me concerne pas mais je te considère comme ma sœur
Moi : (surprise) relation ?
Elle : oui, (continuant) il vient ici presque tous les jours et pourtant ma cousine avec qui il était m’a dit que c’est juste un joueur. Genre le mec qui te rend amoureuse et apres te dit que les relations amoureuses ne sont pas pour lui. Tu viens d’une grande déception, je ne veux pas que tu enchaines une autre
Moi : (soutenant son regard) c’est vraiment gentil Leila et je te remercie. Mais sache qu’entre Sam et moi il n’ay rien d’abord car on ne sait jamais bien que je ne nous imagine même pas ensemble mais si jamais cela vient à se produire je saurais à quoi m’attendre. Car je le connais joueur mais de là à dire qu’il te le dit après l’amour ce n’est pas sûr. Car je sais qu’il te dit dès le début que l’engagement n’est pas pour lui et que tu ne connaitras jamais chez lui donc tu sais à quoi t’attendre
Elle : et tu n’as pas peur ?
Moi : (souriant et trouvant très adorable le fait qu’elle s’inquiète pour moi) comme je te l’ai dit pour il n’y rien et j’espère que cela continuera
Elle : hum méfie-toi de ce type d’hommes, il ne m’inspire rien
Moi : je le ferai merci Leila
Apres je continuai mon travail en faisant tout pour ne pas me laisser emporter par les messages comiques de Sam de peur que Leila s’imagine autre chose. Vers les 16h je lui dis que je devais passer prendre un colis pour le mari de Mona et descendis avant elle, je demandais a à Sam qui était déjà en route de venir me rejoindre un peu loin du bureau. Je ne veux inquiéter personne pour rien.
Lui : (dès que je montai) tell me something girl !
Moi: (souriant) tell me something boy!
C’était devenu notre salutation, un peu comme, ‘’salut Sam et salut Célianthe ou Célina,’’ car oui il m’appelle Célina, selon lui ça fait grande marque et diffèrent. Comment ne pas rire avec un gars comme ça, pour meilleur pote ces temps ci.
SAMUEL
Moi : (énervée par tout le bruit que j’entendais depuis mon bureau) je peux savoir ce que tu fais ici ?
Elle : (me regardant) je suis juste venue te voir
Moi : (faisant tout pour garder mon sang froid) je n’aime pas lorsque tu viens me voir ainsi sans me prévenir
Elle : (souriant) relax Samuel, c’est juste une visite de courtoisie
Anita : (fâchée) M. je lui disais justement qu’elle ne pouvait entrer comme elle le voulait ici n’est pas un centre de chirurgie esthétique
Elle : (criant) dit à cette idiote de la fermée
Moi : (faisant tout pour rester calme) Anita va fermer mon bureau et vérifie que tout y est placer normalement
Anita : mais M.
Moi : (ferme) vas-y
Elle : (la lorgnant) Samuel il faut que tu te prennes une assistante plus compétente
Moi : (direct) que veux-tu Soua ?
Elle : (plus souriante) juste te voir
Moi : le téléphone existe
Elle : je voulais te faire une surprise
Moi : je n’aime pas les surprises
Elle : (me regardant bizarrement) pourtant tu en fait à la collègue de ma sœur
Moi : oui, (autoritaire) je suis libre de faire ce que je veux avec qui je veux mais toi tu n’es aucunement libre sur moi
Elle : (se vantant en jouant avec ces yeux) Samuel je reste une des femmes les plus compétentes et disponible que tu n’es jamais connue alors parle moi avec respect
Moi : compétente dans quoi ? Le sexe ? Je ne suis pas non plus un débutant à qui tu as tout montré. (Soutenant son regard) Car si ce sont tes salons de coiffures et d’esthétiques eh ben nous tous savons comment tu les as eu. J’en ai financé même un. Alors de quelle compétence tu parles ? Ta forme, tu es presque tout le temps chez les chirurgiens, je ne te juge et t’encourage même à aller vers les plus compétents pas seulement parce que ça me plait, ou que j’aime dépenser dedans. Mais pour éviter que tu t’attrapes une vilaine maladie avec cette histoire de chirurgie ratéE. Maintenant ta disponibilité je la demande toujours avec respect et tu as l’air toi aussi t’apprécier cela, et en plus parfois même je te paye extrêmement cher.
Elle : (vexée) tu me parle ainsi juste à cause de cette femme plate abandonnée et qui cherche un réconfort ? (levant le ton) juste pour ça ?
Moi : (me maitrisant) je te parle ainsi car j’en ai marre que tu me prennes pour ton mec. Nous tous connaissons notre relation, arrête de vouloir revenir quand celui que tu penses bon et avec qui tu as du user de mes charmes te tourne dos. Et en plus cette femme que tu traites de trahie et autres….eh bien (haussant les épaules) elle je l’apprécie ainsi
Elle : (énervée et criant) je prie Dieu qu’elle te fasse extrêmement mal comme tu l’as fait à toutes ces nombreuses femmes Samuel Bilé
Moi : (mine fermée et avançant vers elle) toutes les autres femmes peuvent me souhaiter cela mais pas toi car tu savais déjà tout avant
Elle : (reculant en baissant le ton mais restée toujours énervée) tu n’es qu’un idiot qui se rendra compte de sa bêtise trop tard
Moi : (petit sourire) si ma bêtise c’est de t’avoir laissé partir de ma vie en ne t’y avant vraiment laisser entrer. Eh ben (posant un baiser sur ces lèvres) sur ce bonne journée Miss Soua !
Je la laissai là et retourna à mon bureau, elle a compris donc elle s’en ira d’elle-même. je vis Anita dans position assez étrange.
Moi : tu pries Anita ?
Elle : (faisant un signe de croix) amen, (ouvrant les yeux et se relevant) oui patron, je priais afin que sa chirurgie ne vous embobine pas encore
Moi : (étouffant un rire) tu es forte Anita
Elle : (sortant) Dieu vous aime patron
Je m’assis et voulus me remettre au travail quand je reçus un message. Ce doit être un message de Soua pour me maudire et me rappeler comment je suis fou de la laisser partir.
« Célianthe : (sms) mon vœu a été vite exaucée là, tu as déjà une relation amoureuse. Bonne chance et elle mit un joli smille. »
Je ne sais pourquoi mon cœur s’est mis à battre. Elle m’aurais vu en train de donner un semblant baiser à cette Soua ? Ou est –elle ?
Moi : (criant) Anita ?
Elle : (venant essoufflée) oui patron vous avez quelque chose ?
Moi : (impératif) demandez à la sécurité de ne laisser sortir personne, je dis bien personne
Elle : (effrayée) ok
Je ne lui laissais pas le temps de poser une question que je sortis rapidement du bureau pour descendre. Et la chercher du regard.
Elle : (parlant calmement) mais je veux juste sortir
Lui : désolé madame l’ordre vient du patron donc nous attendons. Je ne crois pas que cela soit long.
Elle : il a perdu un truc ?
Lui : surement que…..
Moi : ça va merci, vous pouvez laisser tous sortir comme ils veulent (à l’agent) tu comptais partir sans même me saluer avant ?
Je sentis le regard de miss Soua sur nous. Elle descendit de sa voiture lorsqu’elle me vit pensant que je venais pour elle, ça l’étonna que je parte voir Célianthe. Elle remonta aussi vite dans sa voiture.
Elle : (gênée) ne me dis pas que j’ai interrompu un truc ?
Moi : rien de rien
Elle : je ne voulais pas vous déranger donc j’ai voulu partir, tu as retrouvé ce que tu cherchais ?
Moi : oui, oui ça va (souriant car elle ne savait pas qu’elle était la cause de cet ordre) sinon que me vaut cette honneur ?
On commença à marcher pour retourner vers mon bureau.
Elle : (faisant une belle grimace avec sa bouche et me montrant un paquet) tell me something boy !
Moi : (lui faisant la bise) tell me something girl
Elle : je voulais te faire un coucou et aussi je t’ai apporté un plat du restau. Celui que tu commandes toujours, lorsque nous déjeunons et c’est dans le même restau.
Moi : (imitant sa grimace) et tu voulais partir comme ça Célina ?
Elle : (se moquant de moi) c’est juste que mon cher Sam était vraiment occupé
Moi : c’était juste une mise au point, elle a oublié toutes nos règles. (Voulant prendre le paquet) Merci encore (elle refusa)
Anita : (toujours troublée) M. Ça va ? Elle ne vous a rien volé ?
Moi : j’ai retrouvée ce que je voulais
Anita : ok, Dieu merci. Bonsoir madame (avec sourire)
Elle : salut Ani,,,,Anita c’est cela non ? (souriant) Désolé si je me trompe
Anita : (acquiesçant avec sourire) oui c’est bien cela
Elle : (lui remettant un sachet bio qu’elle enleva du paquet) je t’ai pris des frites au poulet, j’espère que tu aimeras je ne connais pas tes gouts mais bon j’ai pris comme ca
Anita : (ahurie) oh c’est vraiment gentil
Elle : mais derien, je ne peux apporter de la nourriture au patron sans nourrir son assistante compétente
Anita : (flattée) vous pouvez venir chaque midi madame
Elle : (riant) ok, merci Anita
Moi : Anita (riant)
On entra dans mon bureau et je l’installai, je lui servis moi-même du capuccino puis je m’assis en face d’elle.
Moi : donc comme çà il n’y a plus de travail ?
Elle : non, j’ai mon vendredi et vu que tu as fait presque toute la semaine à être à mes petits soins j’ai voulu faire pareil en priant pour que tu ne viennes pas à mon travail aujourd’hui afin que je te fasse la surprise.
Moi : (riant) surprise réussie je te rassure
Elle : (riant) ouf Dieu merci, toi et tes interdictions on ne sait jamais
Je souris juste et mangea avec elle en la forçant bien sûr à manger aussi elle prit un peu et s’allongea dans le canapé, on parla et elle s’endormit. Je réglais bien la climatisation afin qu’elle n’est ni chaud ni froid et me pencha pour mieux la regarder. Rien n’à dire cette femme était belle, douce et si simple que je me demande comment son mari a pu ainsi lui briser le cœur ? Boff lui seul le sait.
Je me remis au travail et vers 17h30, Anita vient frapper à la porte ce qui la réveilla.
Anita : oups désolé (parlant de Célianthe, celle-ci lui sourit) M., mon mari fait de la fièvre, j’aimerais rentrée s’il vous plait.
Moi : vas-y Anita
Anita : merci M.
Elle referma le bureau et s’en alla.
Elle : (passant une main sur son visage) je me suis endormie
Moi : (venant vers elle) oui, tu avais un peu sommeil
Elle : tu travail dans le silence alors, car seul le bruit de cette porte m’a réveiller
Moi : disons que je n’aime pas déranger
Elle : (souriant) ok je vais m’en aller
Moi : tu as un rendez-vous ?
Elle : non et toi ?
Moi : non plus
Elle : ok
Moi : c’est vendredi soir
Elle : je sais Sam
Moi : alors on va faire un after work ?
Elle : tu es sérieux là ?
Moi : (prenant sa main) on y va
Elle : ok laisse-moi envoyer un message à Mona
Moi : passe lui le bonsoir donc
On monta et on partit au glacier car elle a voulu une glace lorsqu’on passa devant un glacier.
Elle : (excitée à cause de sa glace) tu prends quel parfum ?
Moi : café
Elle : et ?
Moi : café
Elle : tu abuse du café
Moi : non
Elle : pourquoi pas le chocolat ?
Moi : le chocolat je l’utilise pour autre chose
Elle : quoi ?
Moi : (affichant un sourire) un truc plus discret plus éro……
Elle : (me coupant) non je ne veux plus savoir
Je ris et elle appela une fille qui vient prendre nos commandes. On prit nos glaces et on partit, en route je vis un vendeur de pains brochettes, je m’arrêtai et en commanda.
Elle : bon appétit
Moi : (souriant) à toi aussi
Elle : (me regardant) c’est bon
Moi : oui je n’arrive pas à comprendre que le chien soit si bon
Elle : (marquant un arrêt) le quoi ?
Moi : (la regardant) le chien c’est le chien qu’on mange
Elle : (ouvrant grand les yeux) Sam tu m’as fait manger du chien ?
Moi : (sérieux) mais c’est bon Célina tu l’as toi-même dit
Elle : (automatiquement) sans savoir que c’était un animal domestique
Moi : (continuant) comme le lapin que l’on mange
Elle : (remuant la tête) je ne mange pas le lapin
Moi : (la fixant) sérieux ?
Elle : oui, car ces animaux sont comme des hommes pour moi. Ils sont là pour nous, avec nous, et joue avec nous, nous protège même.
Moi : (souriant) je te rassure ce n’est pas un chien juste que je voulais voir ta réaction
Elle : (me tapant) méchant gars !
Moi: (riant) tell me something girl
Elle: (faisant mine de me bouder) no and no
Je continuai à la taquiner et enfin elle ria. On continua à rire jusqu’à arriver au Karaoké à sa demande car elle voulait selon elle écouter les gens chanter aujourd’hui.
Nous arrivons et on s’assit je commanda du mojito à sa demande et là mon ami manageur du coin vient me voir.
Lui : (me saluant) wahoo comme j’ai de la chance
Moi : comment ça va ?
Lui : mieux maintenant que je vous vois. Bonsoir madame
Elle : bonsoir
Lui : Sam j’ai un soucis, on a un concours de Karaoké et les artistes qui devaient être juges ne sont pas là. Seulement 1 seul est là et le temps presse
Moi : ok je peux appeler voir mais je ne crois pas que des artistes viendront à temps
Lui : pas besoin, toi et cette femme
Elle : (ahurie) pardon ?
Lui : (continuant) c’est bien avec elle que tu as imité le duo de Bradley Cooper et Lady gaga non ?
Elle : (se justifiant) euh oui mais je ne chante pas vraiment, je l’ai juste fait comme ça ce jour là
Lui : (lui souriant) et rassurez-vous vous avez été parfaite sachez-le. (Nous suppliant nous deux) s’il vous plait, j’ai besoin de vous, l’autre artiste vous aidera dans le choix des 3gagnants.
Elle : (un peu hésitante et me regardant) hum pourquoi pas ?
Moi : (la fixant) tu es sure ?
Elle : (haussant les épaules) oui, si ça peut l’aider
Lui : (heureux) merci infiniment vous me sauvez la vie
On partit s’assoir à la table des membres du jury et je reconnus l’autre artiste présent, ‘’ Johnny’’ qui me reconnut aussi et nous salua puis nous remercia de venir sauver l’honneur du bar et son proprio. La compétition commença et tout se passait bien, j’avais à peu près les même gouts que Célina et Johnny qui la trouvait très bonne juge et d’ailleurs même moi aussi je la trouvais bonne juge. Les candidats avait comme morceau au choix ‘’Amoudjou de Gadji Cela’’, et un autre de leurs choix. C’était un bon moment de détente et de travail, avec des candidats tantôt timides, sérieux, confiants, stressés et drôles…..
On donna les résultats et le public appréciât. A la fin nous sommes allé continuer notre mojito tranquillement en commentant cette soirée de karaoké, mon ami vient nous remercier avec un large sourire et nous offrit deux autres verres de mojito. Il voulait compléter mais Célianthe refusa sous prétexte qu’on allait impacter négativement sur ces recettes du soir, cette femme !
On retourna en voiture, un peu plus tard.
Je roulai un peu et remarquai que je n’avais plus d’essence donc je partis en prendre et on continua la route, en nous demandant où aller encore en ce vendredi soir car il n’était pas vraiment tard, et je donnerai tout pour continuer à entendre Célianthe rire.
Elle : (me regardant) Sam puis-je savoir ce qui s’est passé aujourd’hui avec le cousine de mon amie ?
Moi : (fixant la route) pourquoi veux-tu tant le savoir ?
Elle : je veux savoir
Moi : (raclant ma gorge) nous sortions ensemble des fois, quand j’avais besoin d’elle elle répondait présente et moi aussi. Elle était censée avoir trouver le bon et j’en étais ravie et du jour au lendemain, elle vient à mon service et fait comme si je lui appartenais donc je lui rappelai que je n’étais pas à elle.
Elle : wahoo ! La pauvre
Moi : (garant) pourquoi vouloir tant le savoir Célina ?
Elle : (riant et me taquinant) juste parce que je ne veux pas qu’il m’arrive la même chose un jour
Moi : (la regardant) la même chose ?
Elle : (souriant) un baiser langoureux au travail et ensuite on me rappelle que c’est vraiment fini
Moi : un baiser ?
Elle : oui c’est ce qui s’est passé entre vous non
Moi : c’était juste pour lui montrer que je ne voulais plus d’elle, juste un baiser normal. Un baiser langoureux est plutôt…
Je me rapprochai d’elle et je sentais l’incertitude dans ces yeux tout comme je sentais une force autre que moi-même me pousser à aller vers son siège et à me saisir de ces lèvres. Les même lèvres qui m’ont valu une gifle lorsque je les ai saisi au supermarché mais je ne pouvais juste pas m’arrêter. Et elle ne me stoppa pas, elle réagissait timidement mais cela me motivait plus. Cette femme m’attirait et ces lèvres m’empêchaient de mettre fin à ce baiser, si douces et petites, elles avaient ce don de rendre notre échange de baiser tendre.
Je lui caressais d’abord les cheveux et ensuite j’attrapai fermement son visage afin que cela n’arrête pas et puis, je descendis vers son chemisier on j’ouvris un de ces boutons
Elle : (me repoussant) s…a…Sam, non, non
Moi : (m’arrêtant et collant mon front au sien, elle ferma les yeux) pardon, je suis désolé vraiment désolé. Je n’aurais pas dû ….Célina je suis vraiment navré (décollant mon front du sien)
Elle : (timidement) non, pas ici, pas dans cette voiture.
Qu’est-ce qu’elle voulait dire ? Ou j’avais mal compris ?
Alors On aime, on taggue, on commente et on partage. Si et seulement si le chapitre vous a fait plaisir. Merci !