Page 16: Brûlez lez Etapes!

Ecrit par Mabanabook

MA DECISION FINALE : Page 16


*Brûlée Les Étapes !


CELIANTHE 


Je suis folle ? Oui, je deviens vraiment et certainement folle, mais ce baiser, je pense que c’est lui qui ne me laisse pas indifférente. 


On entre dans la maison et il s’empresse de mes lèvres rapidement comme si le fait d’arriver ici avait été une éternité d’attente pour lui. Je me laisse faire, je le suis et il jette mon sac que je tiens dans son divan. Et continue à m’embrasser, je ne sais que faire d’autres ou comment réagir ? C’est avec Yaya seul que j’ai eu à faire l’amour et il faisait presque tout. Il comprit je crois, et mis ma main sur lui puis il me fit asseoir sur le piano et il continua à m’embrasser et déboutonna mon habit. Je pouvais arrêter, je pouvais lui dire d’arrêter et partir chez moi.

 J’aurais gardé mon honneur et ma dignité mais non au lieu de cela, je l’incitais à continuer vu comment ma respiration s’accentuait. Je mis même ma main sur son torse, je voulus l’enlever mais il garda ma main la dessus et il enleva  mon chemisier et mon débardeur puis il regarda mon soutien ou mes seins là-dedans et je regrettais vu que mes seins sont pas très gros, il enleva mon soutien et j’avais trop honte, trop….puis il commença à les presser comme si un jus pouvait en sortir et j’appréciais cela cependant je me retenais de gémir, je ne devais pas. Mais lorsqu’il me fit couchée et enlevant mon legging puis avec sa bouche enleva mon slip, je ne put retenir ce gémissement là il embrassa mes seins tour à tour en faisant des suçons sur chaque partie de mon corps. Comme s’il voulait me marquer de chaque passage de ces lèvres sur ma peau, il me souleva en continuant à m’embrasser il m’envoya dans la chambre et me jeta sur le lit puis il enleva son haut. Oh mon Dieu quel corps ! Lorsqu’il enleva son short je fermais les yeux, je l’entendis déchirer un truc, j’imagine que c’est un préservatif qu’il enfila. Je commençais à avoir un peu peur. Je m’évitais même de voir la forme ou la taille de son sexe. 


Il revient vers moi et enleva mon slip, puis se coucha entre mes jambes et avec ces doigts essaya d’ouvrir mon vagin très délicatement et passa sa langue là-dessus, je gémis sans m’en rendre compte que me faisait-il ? Il continua et téta cela, je dis téter car il appuyait dessus comme s’il avait une tétine. Je mais ma main sur sa nuque et essayais de le retirer vu que je ne maitriser plus mes cris et essayais même de me retirer de lui, j’avais trop honte de gémir ainsi.  Mais lui me tenait fermement par ces mains sur mes hanches. Je lui demandais, le suppliait d’arrêter mais il continua avec sa langue et fit entrer un doigt, je sentais un liquide sortir de moi, je me sentais mouillée. Trop mouillée même, je n’avais vraiment jamais ressenti cela, pas que Yaya me violait, mais je me sentais jamais autant humide avant ou pendant l’acte. 

 

Puis il vient vers moi et fit entrer enfin son sexe. 


Lui : (à mon oreille) désolé pour l’attente, mais c’est maintenant que tu es vraiment prête. 


Je ne pouvais que gémir de satisfaction. 


Il n’avait pas l’engin à te détruire le vagin, mais un truc qui arrive à te faire crier là ou tu penses tout maitriser toi-même. Il m’a pénétrer et m’a fait l’amour avec de ces coups de reins mais tout en douceur en me suçant parfois le cou, les seins ou me caressant les cheveux  et le bras, ou encore en mettant sa main dans la mienne, arrivée un moment je me suis sentie libre en gémissant et sortant un autre liquide, était-ce ma jouissance ? Je ne sais pas, mais si tel était le cas, c’est que je  n’avais vraiment jamais joui.   Il est allé sous la douche et j’en ai profité pour descendre m’habiller, me parfumer un peu et quand j’ai saisi la poignée de la porte :


Lui : (me fixant)  tu fuis de ma maison ? 


Moi : (honteuse)  non, au fait, je ne voulais pas te deranger….je ne 


Lui : attends-moi, je me rhabille. 


Il descendit et ouvrit la porte 


Lui : (ouvrant la porte) après toi 


Moi : (baissant la tête) merci 


On monta dans la voiture et il mit notre chanson. C’était un silence, je fermais les yeux pour éviter toute communication, et faire semblant de dormir. Je sentis souvent ces yeux sur moi et était heureuse et lorsqu’il s’arrêta enfin, ça veut dire que nous étions chez Mona. 


Lui : Célina je suis…


Moi : (le coupant) je comprends Sam, je sais tout de toi et de ta vie et tes conditions. Je l’ai est intentionnellement détruites lorsque je t’ai dit que je voulais que l’on aille ailleurs (baissant la tête).tout sera comme si rien ne s’était passé, tu ne me dois rien et moi aussi. 


Puis je sortis rapidement et alla à la maison en courant presque même. Je tapais et la fille de ménage qui restait ce soir vient m’ouvrir. 


J’entrais rapidement dans ma chambre quand je ne vis personne, je m’apprêtais à fermer lorsque j’entendis Richard :


Moi : (parlant doucement)  ah salut Richard, je croyais que tous dormiez déjà 


Lui : (souriant) je voulais attendre que tu rentres d’abord, alors cet afterwork? 


Moi : oh épuisant, glacier, brochettes et enfin karaoké mais j’ai juste été juge, longue histoire 


Lui : (me souriant)  je suis ravie que tu te sois si bien amusée, tu as même l’air plus gaie. Bonne nuit 


Moi : bonne nuit


Je refermais ma porte et me demandais ce qu’il voulait dire par plus gaie. Je me déshabillai et fila dans la salle de bain en évitant mon regard, devrais-je avoir honte de moi, en moins de trois mois de séparation avec mon mari et je suis déjà dans le lit d’un autre. Humm, mais il touchait mon corps à des parties vraiment qui ne me laissais pas du tout indifférente, pas du tout. Et sa façon de me pénétrer, putain de merde Célianthe ! Comment je peux penser à ça ?


Lui : (sms) goodbye girl ! 


Et cette phrase me vient automatiquement en tête : « désolé pour la longue attente mais  c’est maintenant que tu es prête » oh mon Dieu, j’ai honte.


Je vais dormir en espérant ne pas rêver à cela. Je me couvre de la tête aux pieds comme s’il pouvait me voir. 


Ça fait deux jours que j’évite Samuel, il m’appelle et je réponds très vite en lui mentant sur une urgence et je raccroche. Aujourd’hui est lundi et je vais au travail, j’espère qu’il ne se pointera pas au travail. 


Elle : (souriant)  ah Mona, j’allais t’appeler 


Moi : pourquoi ? (manquant un arrêt)  Oh Sam ? 


Lui : (me regardant) salut Célina 


Elle : c’est très originale (parlant du surnom sans doute), il nous a même apporté le petit déjeuner. Prends place. 


Moi : merci Sam, mais je n’ai pas faim 


Elle : allez avale un truc 


Lui : c’est juste pour toi et le bébé Mona, nous prendrons un truc en route 


Elle : (toute heureuse)  ok d’accord allez y donc, encore merci Sam 


Moi : (l’embrassant) bye je t’aime de tout mon cœur 


Elle : moi aussi


On sortit et j’allai rapidement ouvrir la portière qui ne souffrait pas. 


Lui : attends que je decondamne.


Il le fit et je montai je ne savais trop quoi lui dire, on écoutait la radio et comme pour me punir, ils firent passer la reprise de « shallow » en français par Sarah. Je m’efforçai de ne pas le regarder surtout lorsqu’il me fixait. Je faisais comme la moitié des gens manipuler mon téléphone sans rien y chercher de particulier.  A la pâtisserie il se gara. 


Lui : (serein)  pain au chocolat toujours ? 


Moi : oui 


Il partit en prendre et reviens avec, je le remerciai et on continua, arriver à mon lieu de service je descendis rapidement. 


Lui : (baissant les vitres) Célina ? 


Moi : (le cœur battant) oui Sam 


Lui : je passe te prendre ce soir 


Puis sans me laisser le temps de répondre il partit. Je soufflai un grand coup et ferma les yeux deux secondes


Elle : (venant vers moi avec une démarche de miss)  salut, Célianthe c’est cela ? 


Moi : bonjour 


Elle : (me regardant) il te dépose au travail maintenant ? 


Moi : (restant courtoise avec le sourire) tu es venue voir Leila ? Je ne sais pas si elle est déjà arrivée ou non comme tu le constate je viens aussi d’arriver 


Elle : (me parlant avec plus de douceur)  les amies de ma cousine ne sont jamais mes ennemis voilà pourquoi je m’inquiète pour toi. Cet homme est 


Moi : (la coupant)  un player, un homme sans cœur, un homme capable de te faire signer un contrat de relation purement sexuelle et  un homme qui a beau de  faire l’amour comme un Dieu te rappellera toujours que dans sa vie il n’y a pas de place pour un « nous » possible. 


Elle : (épatée)…..


Moi : je te remercie pour tes conseils et de t’inquieter. Mais si tu veux que moi je te donne un conseil c’est mieux d’être avec ce type d’hommes qui te dit et t’explique tout dès le départ qu’un menteur et manipulateur qui te montrera sa vraie face des années plus tard, lorsque son bonheur lui sourira (parlant de ma propre histoire avec Yaya). (Souriant) ah voici Leila même sui vient 


Je partis l’embrasser et je leur lançai : 


Moi : je vous devance et vous laisse entre cousine 


L : merci Céli, j’arrive. (À sa cousine) tu es là depuis longtemps 


Elle : merci Célianthe, pas tellement et les enfants ? 


Je partis et me demandais ce que Sam voulais me dire ce soir, car je suis sure qu’il veut me dire un truc mais à préférer attendre vu que c’est le matin. Humm, Célianthe toujours à chercher des histoires, toujours ! Et quelle histoire de dire qu’il fait l’amour comme un Dieu ? J’ai voulu me défendre mais en est fait un peu trop. 


A 14h pile j’ai fui du bureau en inventant un mal de ventre à Leila et j’envoyais un message à Sam pour lui dire que je ne me portais pas bien donc rentrais ensuite j’ai éteins mon téléphone. 


Elle : tu rentres bien tôt aujourd’hui 


Moi : j’ai la migraine Mona


Elle : (s’inquiétant) vient laisse-moi te toucher la tête 


Moi : (voulant la rassurer car je mentais)  je ne chauffe pas mais ai mal 


Elle : ok désolé va prendre une bonne douche tu viens manger et tu iras te couchée 


Moi : j’ai encore le pain au chocolat de ce matin, donc je vais me doucher et me coucher. J’ai déjà pris un médicament (mentant) 


Elle : ok prend soin de toi ma puce, je passe te voir en chambre tout à l’heure.  


Je me forçai à dormir un peu. Je devais tout oublier et dormir. 


Elle : (souriant et me touchant la tête) ça va mieux ? 


Moi : oui, un peu. Merci. 


Elle : Sam a appelé pour me demander s’il pouvait passer, je lui ai dit que tu dormais. Il a dit qu’il t’appellera donc après 


Moi : (mentant)  ok je fais lui faire signe 


Elle : tu es sur que ce n’est pas mieux que tu ailles à l’hôpital ? 


Moi : non, non. Je dois me reposer 


Son mari : si ça ne va pas demain tu iras à l’hôpital 


Je ne savais pas pourquoi j’avais cette sale tête, peut-être c’est parce que je viens de me rappeler que j’ai fait un truc vraiment bizarre avec quelqu’un que je commençais à considérer comme un ami. Je devais l’éviter au maximum, je devais éviter ce type.  Je bloquai donc sur mon numéro et me refusa tout contact avec lui. Puis il arrêta de m’appeler car Mona ne me disait rien à part son mari qui demandait souvent après lui, je leur servais toujours un truc un peu bidon. Puis la vie continua son cours. 


Moi : (les regardant)  vous êtes tout beaux


Elle : merci 


Lui : c’est elle qui nous rend ainsi 


Elle : oh chéri, Céli on ne tardera pas mais si tu veux un truc appelle nous OK ? 


Moi : (lui faisant un clin d’œil) ne t’en fais pas, amusez-vous bien 


Ils sont invités à un diner dans le cadre du travail de son mari et vu que ça va un peu pour ma sœur elle a voulu y aller, elle n’ait pas encore très en forme mais bon, elle fait de son mieux.  Je partais vers la chambre vu que j’étais seule aujourd’hui puis j’entendis sonner. Peut-être qu’ils avaient oublié un truc. 


Moi : (partant ouvrir la porte) vous avez oublié un truc ? (ahurie) Oh Sam


Lui : (direct) pourquoi tu m’évite ? 


Moi : j’étais… (Cherchant mes mots)  je suis souffrante 


Lui : (visage fermé) ne me mens pas, tu m’évite depuis 4jours Célianthe, tu es injoignable et tu refuses de me voir, tu t’ai même crée un repos maladie et dormais à chaque fois que je passais, tous y ont cru mais pas moi. 


Moi : (reculant) écoute je ne ….


Lui : (avançant et parlant avec une de ces voix)  je ne te manque pas ? 


Moi : (continuant à reculer)  ce n’est pas ca


Lui : tu t’en fous de moi ? 


Moi : (toujours en reculant)  non Sam 


En reculant je tombai dans le fauteuil  et il se mit sur moi 


Lui : (doucement en respirant mon parfum à travers mon cou)  que t’ai-je fait de mal cette nuit ? 


Moi : (un peu troublée)  ce n’est pas cela mais…. 


Il se mit à me caresser et à défaire ma robe à caresser et je commencais à respirer plus vite, puis il enleva mon slip et y remis sa tête, cette fois-ci il n’y alla pas assez doucement mais très vite. Je ne me retenais plus et hurlait pas de douleur non, mais de plaisir. Il était vraiment hyper concentrée là-dessus et moi j’attrapais le bord du fauteuil en oubliant que j’étais chez ma sœur et que la porte n’étais pas fermer à clé donc à tout moment elle pouvait revenir avec son mari.


Il continua et mis son doigt en le laissant faire le travail et il vient m’embrasser les oreilles, je tenais aussi sa cravate que je déplaçai même un peu je crois. Mes yeux toujours fermés et la respiration toujours de plus en plus forte, je continuais à attraper tout et gémir, lorsqu’il retourna passer sa langue toute humide sur mon clitoris, j’atteins le summum et je jouis. Il me fit jouir encore une seconde fois. 


Il se leva et ajusta sa cravate puis il se retourna. 


Moi : (reprenant mes esprits) mais ? 


Lui : (me fixant)  tu ne crois quand même pas que je vais te faire l’amour chez ta sœur ? 


Moi : mais on a commencé… (Yeux pleins de désir) 


Lui : (arrangeant toujours sa cravate)  je t’ai juste fais plaisir


Puis il partit, j’étais restée sans voix ! 


Ce vendredi midi je me décidai à aller le voir et à parler avec lui, lorsque j’arrivai au parking je le vis qui sortit avec une femme un peu âgée. 


Moi : (souriant)  coucou 


Lui : (serein)  bonjour


Moi : euh on peut parler ? 


La dame alla monter dans la voiture après m’avoir salué 


Lui : je vais à un rendez-vous urgent, donc pas actuellement 


Moi : hum, ok 


Je me retournais et partis travailler sans même manger. Vers 16h Leila plia bagage, j’appelais Sam mais il ne décrocha pas, à 17h pareil mais pire même ça sonnait occuper. Je prie mon courage à deux mains et alla à son service, je ne remarquais pas sa voiture mais continua. 


Moi : (souriant)  salut Anita 


Elle : (me gratifiant d’un beau sourire)  oh madame quelle surprise de vous voir 


Moi : ça va ? 


Elle : oui mais M. n’est pas là 


Moi : ok tu pars aussi ? 


Elle : non j’ai du travail 


Moi : (automatiquement)  je peux attendre ? 


Elle : bien sûr je vous installe 


Moi : (ne voulant pas qu’elle m’installe dans le bureau de son patron) non je peux rester ici avec toi 


On resta là et elle s’activa en me demandant souvent si je voulais un truc, moi je continua à tenter de joindre Sam mais rien. Etait-ce toujours avec cette femme ? Je ne savais pas et cela m’énervait. Je faisais tout pour garder mon calme mais c’était dur pour moi. 


Elle : j’ai fin madame M.ne réponds pas on va partir ?  


Moi : (mentant en affichant un sourire)  ok d’accord pas grave 


Elle : (triste)  je suis vraiment désole 


Moi : pas grave 


On sortit et elle partit avec son mari, elle insista pour que je vienne avec elle mais je refusais. Je marchais un peu en espérant voir un taxi et là je tombais sur Sam qui raccompagnait la même femme du matin. Ils étaient à la sortie d’un restaurant qui n’était pas très loin de son lieu de travail. J’ai donc  patienté pendant deux heures pour rien, pourtant M. se la coulait douce avec une autre. 


Lorsqu’il mit la femme dans son taxi je partis vers lui énervée 


Moi : (le regardant)  tu te fous de moi


Lui : (calme)  Célianthe ça va ? 


Moi : (énervée)  tu dis me chercher pour une discussion et je viens vers toi et tu me remercie ainsi ?  


Lui : (souriant en plaçant bien sa cravate encore aujourd’hui) tu ne m’évite plus ? 


Moi : (le fixant)  tu vas bien ? 


Lui : parfaitement mais en dirait que toi non

 

Moi : (énervée) pourquoi donc es-tu venue hier ? 


Lui : (soutenant mon regard)  pour te voir, savoir ce qui n’allais pas mais madame, allait bien et m’évitais juste pour je ne sais quelle raison 


Moi : tu m’en veux juste parce que je ne sais pas comment me comporter après avoir (commençant à parler à voix basse)  couchée avec toi. Je me demande toujours si ça devait arriver et aussi comment continuer sans que ça ne se reproduise et aussi comment accepter un contrat. 


Lui : (continuant en maintenant sa même voix) tu as voulu fuit net après l’acte. Tu ne m’as jamais laissé t’expliquer ,Célianthe, oui nous avons couché ensemble, oui j’ai des principes lorsque je sors avec une femme mais m’as tu laisser t’expliquer ? (sérieux)  je t’ai emmener chez moi, on a couché ensemble sur mon lit dans ma chambre et toi tu me parle de contrat, je n’ai jamais voulu te faire signer un contrat  et c’est pour cela que je t’ai emmener chez moi et est tout fait pour que tu t’y sentes bien mais toi tu me fuis et me parle de contrat, t’en ai-je parler ? (me fixant) 


Moi : (baissant me tête)  non 


Lui : (serein) alors ne me fais pas la morale aujourd’hui car moi depuis trois jours je te cherchais pour que l’on parle 


Moi : (honteuse)  ok je vais rentrée 


Lui : monte je te dépose 


 

Moi : non 


Je ne savais comment me comporter après cet échange. Je ne me comprenais même pas et ne comprenais aucune de mes réactions, habituellement je suis calme et plutôt passive, en tout cas avec Yaya c’était ainsi. Mais regarder comment je lui est presque crier dessus tout à l’heure. 


Lui : (autoritaire)  monte 


Il me devança et je le suivis. Je m’assis puis il conduit dans un silence radio jusqu’à la maison, une fois arrivée je le remerciai et descendit, il démarra aussitôt. 


Je rentrai et salua tout le monde, puis inventa la fatigue et alla me couchée, j‘ai essayé de l’appeler mais ça sonnait toujours occupé. Peut-être m’a-t-il bloqué. 


Elle : (me réveillant)  que se passe-t-il avec Samuel ?


Moi : (frottant mes yeux)  il est quelle heure ? 


Elle : (me fixant)  6h du matin 


Moi : et tu me réveilles ?  


Elle : Céli il se passe quoi entre vous ? 


Moi : (un peu triste)  on a fait une erreur et cela pèse sur nous ou sur moi. 


Elle : (continuant à me fixer)  vous avez couché ensemble ? 


Moi : (avec une peur bleue)  oui mais bon je sais que ce n’était pas bien et autres mais c’est arrivé


Elle : tu as réussi à oublier Yaya ? 


Moi : (évitant son regard)  je ne pense plus à lui Mona 


Elle : super, il t’a chassé après l’acte ? 


Moi : non mais….


Elle : (me coupant)  il refuse de te voir 


Moi : (haussant les épaules) peut-être maintenant vu qu’il est frustré, car je l’évitais. Sam n’est pas comme les autres mecs, il a des principes et vraiment je ne sais pas 


Elle : tu l’aimes ? 


Moi : (automatiquement) non, non 


Elle : (se rapprochant de moi)  tu as pu oublier cet idiot et je suis fier de toi. Il a beau avoir ces principes moi je vois comment il te regarde Céli et si tu ne l’aimes pas tu n’as rien à perdre mais je t’en prie ne déprime pas encore pour cela. Si tu veux que vous restiez amis, il est mature, donc vous pouvez en parler mais ne te renferme et ne me cache plus rien 


Moi : (honteuse)  j’avais peur que tu me gronde 


Elle : je ne sait pas pourquoi mais cette nouvelle me ravi et je pense que toi et lui ca peut aller loin 


Moi : ça se voit que tu ne le connais pas 


Elle : hum, parle avec lui c’est mieux. 


J’ai passé toute la journée avec Mona, mais je n’arrivais à m’enlever la discussion que j’avais eu la veille avec Sam et aujourd’hui avec Mona. J’avais besoin de sortit, m’évader. 


SAMUEL 


Je suis assis seul chez moi à boire de l’eau et écouter de la musique quand j’entends sonner, surement le livreur de la pizza que j’ai commandé tout à l’heure. 


Moi : j’arrive (ouvrant) 


Elle : tell me something boy 


Je la regardais et dans ces yeux je sentais qu’elle était vraiment désolée et allais mal


Moi: tell me something girl 


Elle: (s’approchant) i’m sorry Sam 


Je la pris dans mes bras et la fis entrer on alla s’asseoir et je la serra très fort, je ne sais trop pourquoi mais nous ne parlions plus. Nous étions collés l’un à l’autre. On se regarda et on s’embrassa


Elle : (apparemment troublée)  je ne sait quoi faire Sam ? Je ne sais pas comment me comporter ou si je dois signer un contrat. J’ai peur que tu me parles mal un jour en public car j’ai brulé tes règles ou principes, dis-moi tout et on fera avec.  


Moi : (l’embrassant) il n’y a pas de règles 


Elle : (marquant un arrêt)  c’est une sex friends alors ? 


Je continuais à l’embrasser cette fois ci avec plus de fougue, j’envoyais ma main sous son haut pour saisir mon sein gauche en passant ma main sous son soutien car nous étions trop bien placer pour que je la bouge et soulève son haut et ensuite son soutif.  


Elle (gémissant) parle-moi Sam 


Moi : je... (Continuant mon geste) je…


Elle : (gémissant)…


**Sonnerie de porte**


Elle : (s’arrêtant)  on sonne 


Je voulais continuer à l’embrasser si elle ne m’avait pas arrêté, il allait se retourner ce livreur. 


Elle : (me bloquant)  vas y 


Je partis et grande fut ma surprise de tomber sur eux aujourd’hui. 


Lui : PAPA !!!! 


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MA DECISION FINALE