
Page 27: S'Il Te Plait*
Ecrit par Mabanabook
MA DECISION FINALE : Page 27
*S’il Te Plait !
SAMUEL
« Elle : tu veux que je te le passe ?
Moi : non, juste demande-lui de lui donner le numéro afin que je contacte le mec.
Elle : (soupirant) tu m’expliqueras ce qui s’est passé un jour ?
Moi : il n’y a rien de plus à dire, (marquant une petite pause en repensant à elle) à part que nous nous sommes trompés.
Elle : (triste) je suis si désolé pour vous deux
Moi : allez oublie cela ça va mieux, bye, je salue le champion
Elle : ok d’accord. Bisous »
Click !
Je portais ma veste et partis au boulot. Eh oui après avoir passé près d’un mois à la maison, à y travailler mais aussi à me reposer et me ménager, je reprends le boulot. Je suis décidé à reprendre du service, en plus je restais à la maison juste parce que Luc insistait sur le repos.
Oui la douleur est toujours là mais que faire ? Je dois vivre avec. Lorsque je suis allé saluer Mona pour la féliciter pour la naissance de son fils, je l’ai vu, elle était là, belle, un peu amaigrie mais avec un ventre qui pousse. Ce ventre qui aurait pu être mien, même si je ne suis pas le vrai père j’aurais bien pu adopter cet enfant comme le mien. Mais bon Célianthe à décider donc je préfère ne pas la bousculer juste parce qu’au fond de mon cœur je l’aime. Je sais que lorsque l’on aime on accepte de faire des sacrifices pour la personne qu’on aime.
Et j’ai fait le mien pour elle en la laissant réaliser son vœu, vivre avec toute sa famille. Son mari aussi était près d’elle, pas le même Yaya que j’ai connue il y’a 7mois mais bon il était là, attaché à elle. J’ai donc remis mon présent et je suis partit pour éviter de gêner encore plus Célianthe et depuis ce jour j’ai pris cette décision qui est pour moi la meilleure ^pour tous.
Moi : (entrant) bonjour Anita
Elle : bonne arrivée M.
Moi : viens à mon bureau nous devons parler de choses urgentes.
MONA
Elle : (me regardant faire coucher mon bébé dans le berceau) il est vraiment trop beau cet ange
Moi : (sortant de la chambre avec elle) merci bien
Elle : la princesse revient quand ?
Moi : (nous asseyant dans le salon) cette semaine
Elle : elle ira voir son homonyme alors ?
Moi : son homonyme viendra la voir
Elle : Mona, tu ne crois pas que tu dois oublier cette histoire, Célianthe est aussi enceinte et presqu’à terme
Moi : (la fixant) je viens aussi d’accoucher et mon bébé n’a pas encore 3mois, il a juste 2mois. Ce n’est pas le moment pour que je pense à aller avec lui et sa sœur dans une famille comme celle de Yaya
Elle : mais richard peut l’emmener
Moi : (haussant les épaules) hum
Elle : je sais que tu aimais bien Samuel mais cet homme reste son mari et aussi il n’avait pas toutes ces facultés, en plus ta sœur est enceinte et tu dois la soutenir
Moi : (la stoppant) Leïla, je t’en prie ne commence pas. Je ne t’ai pas parlé depuis le début alors ne me fais pas tout sortir. Vous tous êtes là son mari par ci, son mari par-là, ah donc Samuel n’est pas un homme, il n’a pas de cœur ?
Elle : je n’ai pas dit ça, mais en plus avec Samuel c’était incertain.
Moi : (levant le ton) mais laisse-moi rire ! De quel incertitude tu me parles, ça crache aux yeux qu’il l’aime. Ma sœur peut faire l’erreur de dire qu’elle ne voyait pas cet amour mais toi ou vous autres ? Non car vous n’êtes pas aussi naïfs qu’elle pour ne rien voir et aussi pour penser qu’en ce 21e siècle un enfant doit forcément vivre avec papa et maman. Mais toi même n’avait jamais approuvé sa relation avec cet homme donc je te comprends
Elle : (choquée) que veux-tu dire Mona ?
Moi : que tu as encouragé Célianthe dans sa bêtise
Elle : pourquoi l’aurais-je fais ? Elle l’a décidé toute seule, en plus je la vois comme ma sœur alors pourquoi vouloir l’induire en erreur ? Je lui est juste dit ma part de vérité lorsqu’elle était avec Samuel
Moi : (énervée) parce que pour toi la vérité est quoi ? Le fait que tu soutiennes Yaya se comprends car pendant que j’étais sous la pluie entrain de la chercher après que j’ai appris que ce trompeur à épouser une autre en secret et l’a même engrossée toi tu étais tranquille chez toi sous tes draps, tout comme lui avec sa mère dans ces fauteuils.
Elle : (automatiquement) mais j’étais aussi affolée que toi lorsque je l’ai su, Mona je vous aime vous deux comme mes sœurs
Moi : (ferme) et moi aussi mais j’aime tout ceux qui le mérite, et Samuel est devenu plus qu’un ami pour moi, il a secouru ma sœur l’a aider, lui a redonner gout à la vie sans l’enfermer dans un quelconque style vestimentaire et en plus il lui a ouvert son cœur sa maison, il a changé pour elle, nous a tous adopter, et aujourd’hui il souffre mais comme elle est marié à Yaya alors tous soutienne Yaya, il a beau être malade ou instable, tous savons qu’il n’y a plus d’amour
Elle : (fermant les yeux) il l’aime toujours c’était juste les médicaments
Moi : (étouffant un rire) je t’en prie arrête ton ironie. Qui te parle de lui ? Moi je te parle de ma sœur car oui sans le savoir elle est tombée amoureuse de Sam
Elle : (remuant sa tête) je ne pense pas, tout comme je ne pense pas que le fait qu’elle n’est jamais voulue signer les papiers du divorce étaient en vain. Concernant Sam certes il souffre mais il savait qu’elle restait une femme mariée
Moi : (énervée) soit tu fais la jalousie de ta sœur ou cousine, soit tu réfléchis vraiment comme les vielles. Elle est marié donc c’est pour cela qu’elle doit laisser celui qui lui a presque tout offert et donner, celui qui a briser tous ces principes et règles pour un malade mental qui a une grande famille pour l’aider ?
Elle : (voulant me calmer) Mona….
Moi : (criant) je me trompe ?
Céli : (venant devant moi) bonsoir Mona, bonsoir Leïla.
Elle : (souriante) Célianthe comment tu vas ?
Moi : Bonsoir Célianthe
Céli : (mine serrée) Mona pourquoi toujours reparler de cela ? C’est fait et passer, j’essaie d’évoluer mais toi toujours à remuer le couteau dans la plaie, Yaya commence à mieux se porter, il n’est pas attarder, il est juste victime de fétichisme et je l’aide. Son entreprise même reprend petit à petit grâce à ces amis qui nous ont aidés à avoir un prêt et je suis sûr que le meilleur reste à venir
Moi : (applaudissant) c’est bien, donc dis-moi tu m’as parlé là de Yaya, mais et toi ? Tu vas comment dans ce foyer, à toujours jouer la nounou avec lui ? Ça ne te fatigue pas ? Oui Yaya se reprend et toi dans tout ça ?
Céli : moi ça va, je suis avec lui et ma grossesse avance bien
Moi : (ma fixant) sors ces conneries à Leila mais pas à moi, tu vis et t’occupe d’un homme mais rêve et pense à un autre. Tout ton esprit est sur un autre, et lui aussi t’aime mais tu es tellement saouler par cette histoire de famille que tu te fais mal et feras aussi mal à cet innocent là
Céli : (levant le ton) Mona je vais bien
Moi : (durcissant le ton) alors pourquoi tu cries et t’énerve ? Seule la vérité fait mal, mais sache une chose lorsque dans 1ou 2 ans tu t’assoiras pour repenser à Samuel tu verras qu’une autre profite de tous les principes et règles que tu as brisé. Reste là à vouloir rétablir la conscience d’un autre.
Céli : j’étais venu prendre tes nouvelles mais je pars c’est mieux
LeÏla : non reste
Moi : (les regardant sortir) prends soin de vous
Leila la suivit et moi j’allais vers mon bébé. Je ne suis pas contre Yaya mais voir Célianthe souffrir ainsi pour lui à 8 mois de grossesse m’énerve. Tu vas rester là à te faire ainsi pour un gars qui n’a pas toute sa tête pourquoi ? Qu’il est encore son mari et alors ? Il a revue et à retrouver la parole c’est bon, le reste que sa famille gère, vit ta grossesse pleinement avec celui qui t’aime et que toi aussi aime mais non tu veux forcement souffrir.
Qu’elle se mente elle seule, ou avec la complicité de Leïla, mais je ne veux pas faire partir de cette mascarade. Rien qu’à voir comment il était le jour où il est venu avec pleins de présents pour me féliciter pour la naissance de Djédjé Yann Cédric (mon fils), je pouvais savoir qu’il avait vraiment mal. C’est lui qui a besoin de secours et non l’autre.
CELIANTHE
Moi : (inquiète vu la mine du docteur) docteur tout va bien ?
Lui : oui madame, tout va bien pour le bébé mais et la mère ?
Moi : ça va
Lui : vous savez madame, je suis sûr que votre état vous a surpris et à crée assez d’émotions. Mais sachez que vous portez une vie, vous portez en vous une vie. Et cette vie ressens ce que vous vivez, très bientôt vous allez accouchée et ce n’est pas bien si vous garder cette mine
Moi : (mentant) ce doit être la fatigue
Lui : j’ai vu tellement de femmes enceinte, que je sais reconnaitre le stress, la fatigue mais aussi les soucis. Un conseil, libérer votre esprit et pensez aux choses gaies pour le bébé. Entourez-vous de ce que vous aimez et partagez cette belle expérience avec eux.
Moi : (me levant) merci docteur
********
Moi : je suis désolé
Lui : (me regardant surpris) Célina
Moi : (m’approchant) je reconnais t’avoir fait mal, je reconnais avoir mal agi mais j’étais stressée, je voulais, non je pensais que je l’aimais toujours ou que mon enfant devait vivre seulement avec son père et sa mère mais je me suis trompée, (voix tremblante) car c’est toi ma raison de vivre, c’est toi et toi seule ….
Il me souleva et me fit couchée sur le lit, il avait changé le lit, il m’embrassa et moi aussi me collait plus à lui. Je ne voulais pas qu’il laisse mes lèvres. Je voulais restée collée à lui et à ces lèvres.
Lui : (me relevant du lit) viens voir quelque chose
J’allais avec lui et arriver vers la douche je vis qu’il avait refait toute la salle de bains et y avais mis une baignoire. Une belle baignoire même.
Moi : (pleurant) oh Sam
Lui : (me soulevant) tu m’as tant manquée, et chaque minute et chaque instant que je passais sans toi j’en souffrais péniblement
Moi : (émue et le caressant) moi aussi
Je l’embrassai et enleva son habit. J’avais envie de lui, je voulais qu’il me prenne, qu’il me fasse l’amour et aussi me fasse jouir comme avant, depuis 9 mois qu’il hante mes rêves, mes nuits, non j’ai besoin de lui, je commençais à défaire le bouton de son jeans.
Lui : (me stoppant et caressant mon ventre) Célina et le bébé ?
Moi : (voix douce) tu ne l’as jamais gênée et ce n’est pas maintenant que tu le feras. (L’attirant à moi) J’ai vraiment envie de toi
Il me jeta sur le lit et enleva les boutons de ma robe en chemisier, oui je brulais déjà en pensant à tout ce que je voulais qu’il me fasse. Lorsqu’il embrassa mon ventre et caressa mes seins je gémissais en même temps. Il m’était manqué, tout m’avait manqué sur lui, je caressais son dos et voulais qu’il aille plus loin. Lorsqu’il voulut retirer ces mains de mes seins je le bloquai, la sensation était si douce et si bonne que je ne voulais pas qu’il arrête mais bon lorsqu’il remplaça sa main par sa bouche surtout sur le bout si tendu de mon sein. Je lui permis de retirer sa main qui descendait au plus bas pour manipuler mes lèvres mouillées.
Moi : (en gémissant) je suis si désolée d’être partie Sam
Lui : (m’embrassant) tu n’y es pour rien
Moi : (à son oreille) Sam j’en doutais mais je suis sure de cela maintenant. Je t’aime
Lui : oh Céli (entrant en moi)
Moi : hum Sam (fermant mes yeux pour plus savourer) je te jure que je t’aime, je ne partirais plus.
Lui : (me couvrant) je t’aime Célianthe
Moi : (me réveillant) Yaya ? (choquée) que fais-tu ici ? (sursautant presque)
Lui : je te couvre, tu dormais sans couverture, (touchant mon front) ça va ?
Moi : (voyant que je rêvais) oh, oui, je vois. Je vais aux toilettes
Lui : j’ai fait un truc que je ne devais pas ?
Moi : non je veux pisser
Je partis m’enfermer dans les toilettes et je me mise à couler des larmes. Tellement il me manquait j’avais rêvé de lui en train de me faire l’amour, je pense à lui, nuit et jour. Je ne peux en parler à personne. J’en souffre, tout au fond de ma poitrine j’ai mal, c’est une douleur qui me prends toute ma joie de vivre au fil des jours. Mona ne me cache pas qu’elle n’accepte pas ma décision, et depuis ma dernière visite je l’évite et elle aussi ne vient jamais ici. Et Samuel aussi je ne veux partir le retrouver maintenant après 5 mois. Que lui dirais-je, lorsque nous nous sommes revus chez Mona il m’a saleur poliment et j’ai eu mal de ne pas partir avec lui. Et s’il est avec une autre ? Ou qu’il me chasse si je vais le voir ou me dise des choses….que faire ?
Lui : (tapant) Céli ça va ?
Moi : oui, j’arrive
Je voulus faire pipi et remarqua que j’étais mouillée, Samuel même en rêve tu me fais ça ?
*****
Ce matin c’est toute déterminée que je suis arrivée chez lui, j’ai frappée mais il ne m’a pas répondu, je n’ai plus le double des clés aussi, donc je me suis arreter au moins trente minutes et je suis allé à son lieu de travail.
Moi : (entrant) bonjour Anita
Elle : (me regardant) bonjour que veux-tu ?
Moi : voir Samuel s’il te plait
Elle : il n’est pas là
Moi : (petite voix) il est sorti, je peux l’attendre ?
Elle : (ferme) Celianthe, si je peux me permettre de t’appeler ainsi (j’acquiesçai) il n’est pas là, alors non tu ne peux l’attendre, car je suis occupé et fais de ce pas faire des courses
Je retournais chez Samuel et m’asseyais devant sa porte. Je l’attendais et aux environs de 21h je rentrais chez moi.
Lui : (inquiet) ou étais tu ?
Moi : (évitant sa bise) hum faire des courses
Lui : (souriant) ah ok, et tu ne ramènes rien comme bagage ?
Moi : c’était des trucs personnelles, (pressée) je vais me douchée
Lui : d’accord, aujourd’hui j’ai fait la table avec Mai
Moi : c’est bien merci, j’arrive
Je montai et jeta mon sac sur le lit. Je m’assis et lança le numéro de Samuel mais ça ne passait pas. Ou était-il ? Ne voulait-il plus me parler jusqu’à se cacher de moi. Seigneur ! J’ai besoin de lui parler, voir ce qu’il ressent. J’ai besoin que l’on échange, j’en ai besoin, je ne supporte plus le fait de continuer ainsi en me disant que je me trompe et je l’aime. Yaya commence à mieux se porter et son entreprise aussi, mais je ne supporte plus l’absence de Sam, il faut que l’on parle et que je prenne une vraie décision.
Lui : (entrant) ma chérie…oh pourquoi tu pleures ?
Moi : (essuyant mes larmes) non, j’ai juste….je suis fatiguée mais ça va
Lui : (s’agenouillant à mon niveau) je promets que je ferai des efforts pour toi. Je ne veux plus que tu pleures pour moi, promis je prendrai mes médicaments normalement maintenant.
Moi : ne t’en fais pas, merci
Ce matin, tout au long de ma journée j’étais concentré sur une chose, Samuel. Je voulais le voir, j’en avais envie, nous devions parler, son numéro ne passait toujours et je ne recevais aucun accusé de réception lorsque je lui envoyais des messages. Je dois savoir ce qu’il ressent pour moi, j’accouche bientôt et donc si je suis située ce serait bien. Je pourrais mieux décider, j’ai si mal de l’avoir laissé ainsi, mais sur le coup je n’ai pas réfléchie. Je vais bien pour le moment et donc j’ai décidé de prendre mon congés de maternités après mon accouchement, car je suis sure que beaucoup de choses se passeront ENTRE TEMPS.
Moi : (me levant) je dois rentrer Leila
Elle : (inquiète) mais il est 14H, tu vas mal ? Ou c’est Yaya ?
Moi : non mais j’ai à faire
Elle : ok
Je sortis et partis vers l’hôpital, je payais la consultation pour voir Luc alors que je n’avais aucun enfant avec moi. Mais bon je devais le voir, je patientais le temps qu’il devait et entrai à mon tour.
Lui : (ahurit) Célianthe
Moi : oui, bonsoir Luc
Lui : (petit sourire) comment vas-tu ? Et la grossesse ?
Moi : Luc ou il est ?
Lui : (me regardant) Célianthe tu as pris ta décision, et il veut la respecter
Moi : (voix suppliante) Luc je veux lui parler et savoir certaines choses pour mieux réfléchir, je t’en prie
Luc : (sérieux) Célianthe je n’ai rien contre toi et te comprends pas totalement mais à moitié mais je le respecte aussi et il m’a demandé de ne rien dire
Moi : (le suppliant) je ne lui dirai pas que c’est toi, je te le promets.
Luc : (mine triste) il à voyager c’est tout ce qu’il m’a dit il y’a peu lorsqu’il me disait au revoir par téléphone, mais je ne sais pas où il est
Moi : (ahurit) voyager ? Il revient quand ?
Luc : il m’a juste dit qu’il devait bouger et pas plus. Céli il ne t’en veut pas
Moi : hum, merci. Tu n’as pas un numéro ou je peux le joindre ?
Luc : malheureusement non, ce n’est pas contre toi Céli
Moi : (le cœur lourd) merci
Je sortis et partie me mettre vers la réception en respirant un grand coup et attrapant mon cœur, je crois que je manquais d’air, ou était-il partit ? Une main sur ma tête, je pensais a que faire maintenant ?
Elle : (venant vers moi) madame ça va ?
Moi : (essuyant rapidement une larme qui menaçait de coulée) oui, merci bien
Elle : (me souriant) ok prenez soin de vous et du bébé
Je rentrais chez moi et allais direct me couchée en inventant un mal. Yaya essayais de me parler mais je ne le voyais pas, mon soucis était Sam, comment le retrouvée, comment me faire pardonner et comment ne plus avoir mal comme je l’ai actuellement, c’est donc Maï et Aicha qui était de passage qui s’occupait de lui, moi j’étais couchée sur mon matelas car je ne dors pas avec lui et préfère lui laisser le lit.
Moi : je sors
Yaya : Céli tu as quelque chose ?
Moi : (sortant) non juste que je suis occupée actuellement au travail à ce soir
Lui : ok
Je prie mon taxi et alla directement là-bas.
Moi : bonjour Ani…
Elle : (me coupant) bonjour
Moi : (timidement) s’il te plait ou il est ?
Elle : (me dépassant) je sors faire des courses
Elle partit et me laissa là devant la porte du bureau. Je m’assis avec des vigiles et l’attendait, les vigiles étaient courtois. Elle revient vers l’après-midi et alla direct dans leur bureaux sans se soucier de moi. Je remerciai les vigiles et la suivit
Moi : (déterminée) Anita ?
Elle : (me regardant à peine) que veux-tu ?
Moi : il est où ? Je veux juste lui parler
Elle : je ne sais pas
Moi : je veux juste lui parler juste 1h, s’il te plait
Elle : (me fixant) je ne sait pas et même si je savais je ne te le dirai jamais. Je t’ai vu comme celle qui pouvait l’aider et le faire changer. Et oui tu l’as fait mais en partant au moment où il s’était donner à toi. Il t’a tout donné et toi tu lui as tourné dos. En le laissant déprimer seule avec tout son amour pour toi
Moi : (bégayant) je ne savais pas qu’il m’aimait, je pensais que…on était bien mais concernant l’amour je ne pensais pas
Elle : un homme qui ne s’adresse aux femmes que lorsqu’il s’agit d’un rendez-vous qui mènera au sexe, qui n’emmène aucune femme chez lui et qui a briser tous ces principes pour toi tu me dis que tu ne savais pas. Tu es venue comme un ange mais sous cette peau d’ange se cachait une lionne prête à abattre sa cible
Moi : (choquée) mais…
Elle : (énervée) il a passé ces 5 mois, à déprimer il n’était plus le même. Il ne venait plus au bureau, il a raté pleins de bons marchés coté professionnels, il se perdait dans ces pensées et un jour il s’est réveillé à l’hôpital après avoir bu et pris un tas de somnifères pour ne plus penser et plus avoir mal, et tout cela à cause de qui ? (marquant une pose) il a dormis même avec des verres et bouteilles brisés au sol, il aurait pu lui arriver malheur. Je le préférerais avec ces principes car là au moins il serait encore ici
Moi : (ahurie) je ne savais pas
Elle : (criant) comment le saurais tu ? Tu ne viens le voir que 5mois après ton départ
Moi : (touchant mon ventre) il a eu beaucoup de choses dans ma vie
Elle : t’a-t-il dit qu’il ne te voulait avec cette grossesse ? Un homme qui a changer ainsi pour toi et toi tu te permets de le laisser, moi j’élève l’enfant de mon mari, qu’il a eu avec son ex-femme, mais je l’aime autant et l’enfant est épanoui, M. pouvait s’occuper de l’enfant et t’aider avec lui et ton mari mais tu as décidé toute seule de le laisser et retourner vers ton mari, car oui M. Luc m’a un peu tout raconter. Et par ta faute pour de bon, M. il est partit.
Moi : (yeux rouges) je suis désolé
Elle : (voix tremblante) il était comme un frère pour moi, un grand frère. Aujourd’hui je dois tout gérer à distance, et devenir indépendante. J’ignore où il est, il a juste accepté une proposition professionnel loin d’ici, il m’a dit « Anita je te laisse tout et je sais que tu gèreras tout parfaitement, pour des raisons personnelles, je ne te donnerais pas mes coordonnées mais te contacterai quand besoin se fera. N’est pas peur tu es une grande. J’ai laissé assez de colis mais le moment venu tu t’en occuperas. Actuellement gère notre entreprise et prends cet argent pour devenir aussi indépendante, prend bien soin de ma maison car peut-être qu’un jour j’y reviendrai. Merci pour tout ma petite sœur. » (pleurant) par ta faute, toi et toi seule aujourd’hui il est partit.
Moi : (pleurant) non (remuant ma tête)
Elle : (pleurant) oui, il est partit. Je gère tout et lui ferai chaque point à son signe par mail ou appel, j’attends. Alors comme toi je ne sais rien.
Je sortis en courant presque et mettant mes deux mains sur ma tête. Sam partit pour de bon, sans rien laisser, sans même me dire. Seigneur il a même pris des somnifères juste pour moi, je ne pouvais penser, je ne pouvais savoir qu’il m’aimait et souffrirai autant. Non ! Non ! Je retournais chez lui et m’assis devant la porte à repenser à cette première fois ou je me suis réveiller dans cette maison, nos premiers mots, nos disputes, les visites surprises et aussi notre amour. Oui je le sais aujourd’hui, au fond de moi et mon cœur c’est plus que de l’attache que j’ai pour lui mais que faire et comment faire ? Il est partit maintenant je suis seule.
Sam, est partit. Je serrai le poignet de sa porte comme si je pouvais y entrer et le retrouver
Moi : (attrapant mon ventre) Aïiie
J’avais un terrible mal de ventre, des contractions énormes qui me faisait respirer un bon coup et fermer les yeux, puis je pris mon téléphone pour appeler.
Moi : (calmement) allô Mona ?
Elle : ah j’allais t’appeler, je suis chez toi avec Cédric et ton homo qui vient t’arriver et te réclame. Sa présence fait du bien à ton mari. Je sais que je t’ai frustrée mais viens qu’on en parle s’il te plait, je t’attends avec tes neveux.
Moi : (fermant les yeux et serrant plus le poignet) ) hummm
Elle : (inquiète) Céli ?
Moi : hummm
Elle : ça va ?
Moi : je crois que…..que (respirant un grand coup) …. Je viens de perdre les eaux Mona
Elle : comment ? Ou es-tu ? J’arrive
Moi : (regardant la porte et pleurant) chez Sam (serrant plus le poignet) Mon Sam
Elle : Sam ? Ok j’arrive ma sœur
Alors On aime, on taggue, on commente et on partage. Si et seulement si le chapitre vous a fait plaisir. Merci !