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Ecrit par Mabanabook

SON PARDON : page 28


YEDMILA


Lui : (air triste) ma chérie, je suis désolé je te crois. 


Moi : (le regardant)  vraiment ? 


Lui : oui je suis sure c’est mon fils 


Puis on versa l’eau sur moi et je me réveillai. Oh, ce n’était qu’un rêve. 


Gardienne : débout tu as de la visite. 


Moi : ok 


Je partis donc et je trouvais Marc assis, je ressentais un BOUM au cœur. Mon rêve allait-il se réaliser ? 


Moi : tu es revenue ? (allant vers lui toute souriante) 


Lui : (air bizarre) oui, je suis là. Il faut que l’on parle 


Moi : mais tu m’as l’air un peu ivre marc (m’inquiétant) 


Lui : j’ai juste bu un peu 


Moi : (m’approchant de lui) je suis désolé que tu sois dans cet état. Je veux tant t’aider mon amour et te soutenir ? J’ai mal de te voir ainsi 


Lui : hic, hic …... tu peux m’aider même étant ici


Moi : dis- moi comment chéri ? (touchant sa main) 


Lui : (me donnant quelque chose) signe les papiers du divorce


Moi : (choquée) mais Marc


Lui : je te demande le divorce, je ne veux plus que mon nom ni même celui de ma famille ne soit associé au tien


Moi : (vraiment dépassée) mais Marc, je t’aime 


Lui : oh tu m’aimes maintenant ? (me regardant) 


Moi : tu sais que je t’ai toujours aimé. (Voulant toucher son visage) 


Lui : tu n’aimes que toi, la femme de pouvoir, la patronne que tu penses être. (Repoussant ma main) 


Moi : (le suppliant) Marc je t’en prie 


Lui : signe cela et restons-en là (élevant la voix) 


Moi : (attrapant ces pieds) Marc je t’aime et je te demande juste une seule et dernière chance. Je ferais tout pour être la femme model que tu veux. J’ai déconné je tai négliger, j’ai caché mes sentiments, je bafouais ton autorité j’étais insoumise, mais je peux changer, pour toi, aide moi, ne me rejette pas je t’en prie. (Coulant des larmes) 


Lui : (essayant de dégager son pied) laisse moi 


Moi : non, je t’aime Marc, je t’aime vraiment. Prends pitié de moi, ne m’abandonne pas, ne nous abandonne pas, je suis désolé. J’implore ton pardon, Marc juste une dernière chance je t’en supplie (tenant toujours son pied et pleurant) 


Lui : (me soulevant et me collant au mur) il n’y a plus rien Yedmila signe ces fichus papiers


Moi : je t’en supplie, pardonne moi.  Je t’aime (coulant des larmes) 


Lui : ok mon avocat donnera les papiers à ton avocat. (Yeux rouges) Adieu Yedmila et je te conseille de signer. 


Moi : (l’attrapant) Marc, pense à nous à cet innocent (touchant mon ventre). Marc je suis désolé  (pleurant) pardonne moi. Je t’en supplie, dis-moi ce que tu veux. Tiacoh je t’en prie, pardonne moi pour tout, (pleurant) ne me quittes pas. Je t’en prie accorde-moi ton pardon, il pourra nous aider à supporter la prison. Si tu veux rester avec ta famille combats moi pour une chose dont je suis innocente et une fois le verdict donner on reprendra, je t’en supplie. Mais ne me quitte pas, je t’en prie. Pour tous mes manquements pendant notre vie de couple, je te demande de me pardonner (saisissant son bras et pleurant, je ne voulais pas le perdre. Je l’aime vraiment) 


Lui : (me repoussant violement) désolé mais je ne fais pas ce genre de service…. 


Je me rappelais lui avoir dit cela une fois. (Voir page 13) 


Moi : (pleurant) MARC, Marc non. Marc ? 


Il partir sans se retourner, c’était trop. J’éclatais en sanglots.


 Je me rappelais alors de la phrase qu’Angie m’avait dite une fois sur le pardon. (Voir page 16, vers la fin) 


SOPHIE


Hum, la une des journaux donnait des maux de tête. Ca va faire pratiquement 5mois que Yedmila est détenue à la Maca, le juge en charge de l’affaire avait dû stopper la séance à cause de certaines affaires d’état, parait-il. Elle est toujours en prison, et je ne sais pas quand cela finira. Personne à par nous ne veut lui venir en aide. Steve et Sandra nous ont laissé tomber, on voit beaucoup Sandra avec Marc et Steve il parait qu’il se tape Mirabelle. Moi mon seule soucis c’est Yedmila. 


Moi : (décrochant) oui, tu es ou ? 


Lydia : je suis en France, je t’ai envoyé un peu de sous pour vous aider 


Moi : tu sais que te voir lui ferai  aussi plaisir non ? 


Elle : oui mais je dois chercher de l’argent, avec cette histoire beaucoup ne veulent plus nous fréquenter. Donc c’est bizarre 


Moi : hum ne m’en parle même pas, oh s’il te plait je te rappel, j’ai un double appel


Elle : ok embrasse la pour moi 


Moi : ok (décrochant l’autre appel) oui madame l’avocate 


Elle : désolé Sophie mais je vais rompre notre accord, je ne pourrai plus défendre Yedmila 


Moi : mais pourquoi ? (ne comprenant pas) 


Elle : les Tiacoh en savent assez sur moi et ça peut détruire ma vie alors, je dois arrêter. Mais je lui conseille de plaider coupable à la reprise. Prenez soin de vous 


Click elle raccrocha !


Moi : oh non pas cela


Lui : ma fille qui y’a-t-il ? 


Moi : l’avocate, vient de nous lâcher papa. Apparemment les Tiacoh ont trouvé un moyen de pression contre elle. 


Lui : oh non que va devenir Yedmila ? 


Moi : je l’ignore vraiment, plus personne ne veut nous rendre service en ville. Presque tous mes magasins sont vides, le père de mon enfant veut même me prendre la garde de mon fils, car selon lui il est trop exposer et aussi je défends une criminelle. Elle a presque tout perdue, Tiacoh veut divorcer et moi je suis retiré de mes affaires ou j’étais actionnaire. Nos amis, nous tournent le dos, c’est comme si le ciel nous tombait sur la tète 


Lui : Dieu agira j’en suis sure, tu es une bonne amie et je te remercie pour tout. Toi et Angie 


Kylian : maman vient voir la télé 


Moi : Kylian je t’en prie. Je n’ai pas la tête à cela 


Kylian : mais à la télé on montre la  résidence de tata Yedmi avec du feu. 


Nous : QUOI ????


EMILIE TAN 


Je ne comprenais pas vraiment certaines choses dans ce procès. Comme la découverte de la grossesse de Yasmina, elle était enceinte et  je ne le savais pas. Elle continuait à coucher avec Tiacoh et je l’ignorais ? Et les amis de cette Yedmila qui lui tourne dos. Je trouve que quelque chose n’est pas nette dans cette histoire-là. 


Moi (allant ouvrir) ah salut Raoul 


Lui : (entrant) ça va ? 


Moi : comme ci, comme cela 


Lui : vraiment navrée pour la miss 


Moi : merci, et toi c’est maintenant que tu rentres de tes tournées avec les autres ? 


Lui : oui, je n’ai pas pu me libérer avant mais je suis là. J’aurais tant voulu aimer l’accompagner à sa dernière demeure et témoigner contre cette peste. Mais bon je ne ‘ai pas pu 


Moi : tu travailles avec Lydia Dion ? (voyant des photos d’elle avec lui) 


Lui : (cachant les photos d’elles que j’ai vues dans sa chemise moitié ouverte) oui, je l’aide un peu à refaire son image 


Moi : hum ok 


Lui : tu sais ce n’est pas facile, Yasmina avait des engagements et elle est morte alors on doit gérer les dommages. 


Moi : elle n’a pas fait exprès de mourir en même temps. (Ne le comprenant pas) 


Lui : (se rapprochant) oui mais toi tu peux la remplacer pour les contrats en plus tu as du potentiel


Moi : hum (voulant m’éloigner car je le sentais trop proche) si ça peut l’aider à ne pas salir son nom 


Lui : (me caressant) oui, mais il faudrait que tu me donnes un petit truc, tu m’as toujours attiré Emilie, et à cause de Yasmina je ne te le disais rien  mais elle est morte maintenant. On peut se faire plaisir tu sais 


Moi : (frappant entre ces jambes) dégage d’ici, sors (craint presque) 


YEDMILA


Moi : (l’embrassant) papa, tu es là ?  Sophie, toi aussi et Angie 


Elle : oui ça va Yedmila ? 


Moi : oui, les prières que papa me donnent et les verser m’aident à tenir bon et vous ? (lui souriant) 


Papa : c’est bien, continues et tu verras 


Moi : oui papa, mais vous avez une tête bizarre


Sophie : au fait l’avocate dit que les Tiacoh lui font du chantage et donc elle se retire (air triste) 


Moi : oh non, j’espère qu’ils n’ont pas gâché sa vie à cause de moi. (Mettant ma main  sur sa bouche) 


Angie : non je ne pense pas (me rassurant) 


Moi : (souriant pour détendre l’atmosphère) ok espérons donc que Dieu m’envoie quelqu’un avant la reprise du procès sinon, je devrais prendre une personne que la cour voudra. Ne faites pas cette tête en plus l’autre me forçais à  vouloir divorcer, pourtant je veux sauver mon couple. Dis-moi sauver, tu vois mon époux comment il va ? 


Papa : (venant vers moi) tu sais ma chérie,  Dieu nous mets parfois des épreuves que l’on croit insurmontable mais si il nous les envoie c’est qu’il sait que nous pourrons les supporter. 


Moi : (le regardant) d’accord papa 


Sophie : Yedmila nous serons toujours là pour toi tu sais ? (me prenant la main) 


Moi : oui, et je vous remercie pour cela 


Angie : ne te laisse pas abattre ta libération doit être ton principal objectif tout le reste est secondaire


Moi : euh je ne vous suis pas il y’a autre chose ? 


Papa : (parlant difficilement)  la résidence en l’honneur de ta maman a été incendiée avant-hier, je suis navré 


Moi : (mettant une main sur ma bouche et me levant automatiquement)  non, c’est faux. Vous mentez n’est-ce pas ? 


Sophie : (essayant de me calmer) Yedmila, je suis vraiment désolé 


Angie : on n’a rien pu faire, je suis désolé Yedmila (air triste) 


Moi : non, pas ça. Pas cette résidence c’est mon tout. Pourquoi ? Pour quelque chose que je n’ai pas  fait. C’est la seule chose qui me permettait de dire que ma maman était fière de moi.  (Marchant dans la pièce sans m’arrêter) Ma résidence ? La résidence en mémoire à ma mère, non (pleurant) non (repoussant les bras de mon père) pourquoi sa résidence ? Elle n’a rien fait, ils auraient du détruire ma maison, mais pas celle de ma mère, je lui est promis une maison, et je lui en est offerte à elle et Loïc et ils la brulent pour un crime que je n’ai pas commis (pleurant) pourquoi Seigneur ? Pourquoi ? (pleurant) 


Papa : (essayant de me calmer)  écoutes moi, ma fille, mon bébé, ne te laisse pas abattre par cela. Quand tu sortiras on fera une plus grande résidence 


Moi : avec quel argent et quelle sponsor, tous mes biens ont été saisis pour enquête, je vis sur le dos de Sophie, tout le monde me fuit comme la peste. La résidence même était fermer, je n’avais plus de locataires mais ça ne suffit pas en plus il faut la brulée ? (mettant ma tête entre mes mains et pleurant) 


Sophie : (attrapant ma main)  tu ne vis pas sur mon dos, arrête Yedmila, ne dis pas cela 


Angie : nous sommes là avec toi  (me calmant) 


Moi : la résidence de ma maman, sa résidence brulée (pleurant)


 TU AS AIMER ALORS NE TE GENE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET  BONNE SOIREE BISOUS !!!

Son Pardon