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Ecrit par Mabanabook

SON PARDON : page 8


YEDMILA 


Moi : (énervé)  que veux-tu ? Que fais-tu ici ? Tu n’as pas un autre lieu ou faire tes marches, tu es obligé de toujours venir à mon lieu de service ? Je ne veux plus te voir car tu m’indispose dans mon travail et tu fais peur à mes employés. Je te prie de bien vouloir partir et ne plus revenir (durcissant le ton)


Lui : (calmement) Yedmi pourquoi me fais tu ça ? Je ne fais qu’implorer ton pardon 


Moi : (craint) NE M’APPEL PLUS YEDMI, C’EST POUR LES INTIMES CA ET TOI TU N’ES….. (M’énervant) dégage d’ici sinon je vais appeler la sécurité et je ne serais pas responsable de ce qui arrivera 


Lui : (triste) ma fille, je suis désolé de toute la peine que je t’ai causé. Je veux que l’on parle cette vie que tu mènes, Yedmila, cette vie n’est pas une bonne vie. Ressaisis toi, repends toi et change. 


Moi : (m’énervant) ne m’appel plus ma fille. Car ce droit tu l’as perdu lorsque tu as abandonné ma mère. Et ma vie elle me plait assez car sa me permets de vivre mieux que toi et de toujours regarder ta condition de vie en sachant que tu ne pourras jamais avoir mon niveau. Tu veux ma repentance ? (riant nerveusement) ça c’est la meilleure, as-tu eu celle de ma mère avant qu’elle ne meurt ?  par ta faute ? 


Lui : (voulant s’approcher) Yedmila je suis si désolé, j’aimerais revenir en arrière et effacer….


Moi : (le coupant) eh bien on ne peut pas, et même si elle t’avait pardonné avant sa mort, (soufflant) moi jamais de ma vie je ne t’aurais pardonné, (sérieuse)  la peine, la souffrance et l’humiliation dans laquelle tu l’as mise et l’a obligé à vivre. Alors maintenant tu dégage d’ici, sinon je te promets que j’emploierai les grands moyens et crois-moi mieux faut ne pas m’avoir comme ennemi  (autoritaire) 


Lui : (s’en allant déçu) je suis désolé 


Je retournais à mon travail toute remontée ? Non mais et puis quoi encore, mon père, il pense vraiment qu’il suffit de venir se pointer devant moi et de me dire qu’il est désolé, pour que quoi ma vie s’arrête ? Ou étais t’il quand j’avais besoin de lui ? Lorsque ma mère pleurait et priait son retour. Il était où ? Lui cet homme était en train de se la couler douce avec je ne sais quelle fille, dans un endroit surement merveilleux. 

Nous laissant moi, ma mère et mon petit frère dans la misère, dans la faim et l’humiliation. Ma mère à passer toute sa vie sur cette terre, à espérer son retour, moi j’ai cessé d’espérer quand mon petit frère Loïc  a rendu l’âme dans nos mains, (ma mère et moi) pour faute d’argent.  C’est à partir de cet instant que ma haine est né, c’est à partir de cet instant que moi Yedmila j’ai juré que par tous les moyens je me vengerai de lui (respirant plus fort) je l’ai juré sur la vie de mon petit-frère et sur celle de ma mère.

Quand je pense à toute la peine qu’il nous à causer, (soufflant) hum je ne peux que lui vouloir que de la souffrance également. 


Angie : (me tapant) Yedmi ça va ? Je venais justement te voir, tu vas bien, tu m’as l’air remonter ? 


Moi : (forçant un sourire) oui ça va la star, ça va bien et toi ? 


Angie : (souriant) ça va également, je voulais que l’on sorte manger un bout dehors, dasn un restaurant. 


Moi : ok laisse-moi, donnez des instructions aux employés et on part


Angie : ok d’accord, c’est cool alors 


********


 

Je viens d’arriver à la maison, je suis  fatiguer. Moi et Angie nous nous avons passées une belle journée.  Elle a réussi à me faire rire un peu et oublier ma mauvaise humeur que cet homme m’a fait vivre ce matin. 


Moi : Hélène ? 


Elle : (voix tremblante) oui madame


Moi : ça va ? Range la nourriture s’il te plait, je n’ai pas faim


Elle : d’accord madame 


Moi : qu’est-ce qu’il y’a Hélène ? 


Elle : euh, rien juste que ma sœur m’a appeler et m’a dit que ma fille est souffrante. (Voix tremblante) 


Moi : (prenant peur) mais pourquoi tu es encore ici ? 


Elle : je vous attendait ….


Moi : (la coupant)  va t’apprêter le chauffeur va nous emmener la voir, Hélène tu te rends compte que l’on parle de ta fille ? Va t’apprêter rapidement s’il te plait 


On partit  ensuite chercher sa fille et la conduire à l’hôpital. Dans une bonne clinique, j’ai réglé les frais et vers 23h quand la fièvre de la petite est tombée et qu’elle semblait mieux aller, j’ai pris congés tout en ordonnant à Hélène de me contacter s’il y’a le moindre souci.

 Je suis contente d’avoir pu les aider, je me rappelle que la  maladie de mon petit frère à commencer ainsi par une simple fièvre et puis tout est partit si rapidement qu’il eut juste le temps de dire « prenez soin de vous » et à jamais ces yeux se sont fermés.  Je suis sure que ce ne sera pas le même sort pour Hélène car sa fille va mieux. 


Je monte et vais me coucher, quand mon manageur m’appelle. 


Moi : allo Steve tout va bien ? 


Lui : oui, oui ça va. Je suis actuellement devant ton bar,  (hésitant) mais tes gardes refusent de me laisser entrer sous prétexte que c’est une soirée privée et que je ne suis pas invité. Tu peux intervenir s’il te plait ? 


Moi : oh, ne leur en veux pas c’est normal. Ce sont les consignes qu’ils ont reçus et ils obéissent. Passe-moi l’un d’entre eux, s’il te plait. 


Lui : ok, merci beaucoup


Je demandais donc aux gardes de laisser passer Steve et de bien l’installer car je suis sure qu’il était avec une nouvelle go (une femme), qu’il voulait impressionner (sourire). 


MARC TIACOH 


Moi : (courant et allant me jeter sur eux) je suis là 


Papa : (me serrant fortement) mon garçon, regarde comme tu es devenue encore plus beau 


Maman : (le poussant) mais laisse-moi l’embrasser aussi, comment vas-tu mon grand ? 


Moi : je vais bien (souriant) comme vous m’avez manqué vous deux ? 


Louis : eh ho, nous sommes là on vous signale  (tapant les mains)


Mira : oui et apparemment nous ne leur avons pas du tout manqué ? (faisant mine de bouder)


Papa : oh que si venez mes enfants (ouvrant ces bras pour les accueillir)


Maman : (riant) désolé vous allez bien mes enfants ? 


Mira : ouias, maintenant que vous avez laissez ce footballeur pour vous concentrer sur nous 


Papa : (me touchant) oui mon footballeur, je suis très fier de toi. Tu as fait une bonne saison tu peux en être fier fiston


Maman (fière) : oui bien que je n’y connais rien, j’ai suivie tous des matchs à la télé et tu joues bien 


Louis : il a de quoi en être fier. (Souriant) 


Mira : (les taquinant)  donc comme cela un président de la république et une première dame ont le temps de suivre un match de football. (Me tapant) tu as la chance inh, Marc 


Papa : mais mon mandat est fini et j’ai toujours du temps pour mes enfants. Je suis un ancien président je te signale (riant) 


Maman : et moi une ancienne première dame.  (Souriant) 


Mira : peu importe vous garder toujours votre titre


Louis : bon tout ça c’est bien beau, mais j’ai l’estomac aux talons. Alors même si les mandats de mes parents sont finis, j’espère que je pourrai toujours bien manger ici. (Air taquin) 


Mira : tu as toujours faim toi (riant) 


Papa : oui allons à table, Marc pourra me raconter son séjour avec ses amis en Angleterre. 


Moi : oui papa allons y 


Nous passions donc à table et le diner se passait dans la bonne humeur. Papa n’arrêtait pas de me bombarder de questions et maman elle ne cessait de me gaver de nourriture. On faisait donc la causette quand tout d’un coup, une image à la télé captiva mon attention, ou dois-je plutôt dire une personne.  Mon Dieu qu’elle est belle, elle est vraiment belle et en plus s’est s’exprimer. 


Papa : oh fiston tu nous suis ? (posant sa main sur mon épaule) 


Moi : euh oui, oui 


Maman : qu’est ce qui captive tant ton attention à la télé ? 


Louis : surement cette belle et ravissante demoiselle 


Mira : (regardant) je vous en prie, dites-moi que vous faites allusion à  l’animatrice te non à cette fille de joie là. 


Moi : qui est fille de joie ?  (Inquiet) 


Papa : mira, un peu de tenue s’il te plait. Tu aimes trop vite juger 


Mira : (riant) mais c’est vrai, vous dites ça parce que vous n’êtes pas toujours sur les réseaux sociaux comme moi. Et tout le monde, tout babi (Abidjan) connait cette fille. C’est une prostituée de luxe.  Elle et ces connaissances ne vivent que des hommes riches et étalent leurs fortune avec fierté, des bêtises, je vous dis. 


Maman : hum Dieu nous en préserve de ce genre de filles 


Moi : ça c’est ce que les gens disent, mais est-ce vraiment la réalité ? 


Louis : bof, après chacun à ces raisons….


Maman : des raisons pour la prostitution ? Non mon fils ne les défends pas. Ce genre de personnes se donnent toujours des raisons pourtant il y’en a pas, elles peuvent travailler, pourquoi choisir la facilité ? 


Papa : bon on ne va pas parler de la vie des gens, j’ai mes trois enfants avec moi et c’est le plus important. On va aller se reposer car demain vous aurez assez de visite, surtout toi mon footballeur 


Louis : et nous qui pensions que les mandats avaient pris fin 


Mira : (riant) je vous l’avais dit


Chacun partit donc se coucher, pour récupérer des forces pour demain. Moi je partis, avec l’image de cette sublime fille en tête, son visage ne me quitte plus. Elle est tellement belle, et parlait avec une certaine classe, elle doit être vraiment être célèbre pour que la première chaine l’interviewe. 


Oh désolé je me présente, je me nomme Marc Tiacoh, second enfant du couple Tiacoh. Couple qui était un couple présidentielle il y’a peu. Eh oui mon père fût président de ce pays, et  me voyais même ainsi, mais très jeune j’ai voulu devenir footballeur, alors mes parents m’ont encouragé et aujourd’hui, je suis footballeur professionnel et je suis au top de ma carrière je dois le dire car mes saisons ce sont plutôt bien passés. 


J’ai donc profité de ces belles saisons que j’ai offert à mon club anglais pour demander un congé pour profiter de ma famille, mon pays, mais aussi pour réfléchir à beaucoup de choses.  J’ai 30 ans et je ne suis plus tellement jeune donc j’ai envie d’arrêter le football et continuer à investir, je pense que l’on doit laisser la place à la nouvelle génération. Je sais que mes parents seront déçus mais, c’est ainsi. 


Mon frère ainé Louis Tiacoh, gère les biens des parents à l’étranger et a lui aussi sa propre entreprise là-bas en France. 


Ma petite sœur Miarbelle Tiacoh, est la plus indécise de la famille, d’abord c’était la communication, qu’elle voulait étudier, ensuite le marketing. Apres l’interprétariat, ce qui lui a valu son séjour aux USA et une fois là-bas elle à opter pour le mannequinat, mais jusque-là je n’ai assisté à aucun de ces défilés. Hum, elle est encore immature, je pense, sa maturité viendra seule. 


Concernant, mon père après son mandat il continue à aider les gens dans le besoin lui et ma mère ont des associations caritatives à travers lesquelles ils viennent en aide aux plus démunis. Etant un homme d’affaires avant son mandat, il a toujours ces affaires dont il confie la gestion à mon grand frère Louis. 

Voilà vous connaissez un peu ma famille, maintenant celle que moi j’aimerais connaitre c’est dette belle fille que j’ai vu à la télé. 


Louis : (entrant) ho Man (frère), tu ne dors pas ? 


Moi : non, non 


Louis : dis ton ex là, Yasmina elle dit vouloir ton contact et qu’elle veut venir nous saluer demain 


Moi : puff Yasmina, vous causer toujours ? 


Louis : oui, la miss Côte d’Ivoire nous parle toujours. Il n’y a  que toi qui l’évite


Moi : (riant) ancienne miss, et je ne l’évite pas je n’ai juste pas le temps. 


Louis : (riant) c’est ça, je lui dis quoi alors ? 


Moi : que tu m’as trouvé endormi (souriant et lui faisant un clin d’œil) 


Louis : mais pourtant


Moi : (le coupant) bonne nuit frère


Louis : (sortant et riant) tu es le mal (méchant)  même 


**********


Papa : tu sors fiston ? 


Moi : oui papa, ca va faire près d’une semaine que je suis là et je dois me familiariser  avec la ville 


Maman : et c’est la nuit que l’on se familiarise ? 


Papa : (riant) laisse-le 


Moi : (l’embrassant) je t’aime aussi maman


Elle : prend bien, soin de toi s’il te plait


Moi : ne t’en fais pas  (souriant) 


Je monte dans ma Bentley et conduis passe prendre un ami. Un ancien footballeur aussi qui m’a promis m’emmener dans la plus grande boîte branchée d’ici, je le suis. 

Nous arrivons au bar et franchement je ne regrette pas, l’entrée est top, l’intérieur l’est encore plus avec de vrais salons, les serveuses, sont belles, polies sans vulgarité et extravagance. J’apprécie ce fait. 

  Nous étions bien installés lorsque j’ai vu la fille que j’ai vu à la télé l’autre  fois passé, je me levais direct pour la suivre sans même me soucier de ce me disait mon ami. 


Moi : excuser mademoiselle, je peux vous inviter à partager mon salon  s’il vous plait ?  (sérein)


Elle : (me regardant à peine) votre salon ? (me dévisageant) non, merci (continuant sa route)


Moi : mais j’insiste, une si belle femme ne doit pas se promener dans un bar 


Elle : pardon ? 


Moi : mais vous vous promenez depuis ? Je veux vous aider  (air gentille) 


Elle : (riant nerveusement) je ne partage pas le salon des clients, j’ai mon propre salon. Ce dont je m’assure seulement avec les clients c’est leur satisfaction, et j’espère que vous l’êtes. (Je répondis oui de ma tête), très bien alors, M. le gentil, je vous remercie de votre gentillesse, mais je vais vous demandez de retourner vous assoir tranquillement et  croyez-moi si j’ai besoin je viendrai vers vous.  (Avec audace te un petit sourire), alors (indexant une fille) Marlene. ?


Elle : oui Madame


Elle : tu vas raccompagner ce M.  À son salon et assure toi qu’il ne manque de rien, je vais au PALLADUIM, alors au moindre souci appelez-moi. 


Moi : (dépassé) mais je voulais….


Elle : je vous en prie M. ne me remerciez pas passez une bonne soirée surtout 


Puis elle partit, et me laissa planter là. Je retournais donc avec la fille et questionna mon ami, sur cette fille 


Lui : (me regardant) eh Man, laisse cette fille. Je ne dis pas que nous n’avons rien, mais laisse cette go. C’est un très haut niveau pour nous, c’est même son bar ici. 


Moi : c’est pour elle ce bar (dépassé) ? 


Lui : oui, ce bar lui appartient. Si tu veux vivre longtemps et bien profiter de ta fortune laisse Yedmila Mel, dans son coin. C’est un budget inh, mon frère as-tu même vu sa voiture et ces soirées qu’elles organisent ? Elle est loin pour nous, l’argent même ne l’épate pas 


Moi : Yedmila ? 


Lui : oui c’est son nom, oublie là oh, c’est un conseil de frère. 


Je retenais ce nom et me jura de moi-même plus connaitre cette fille pour pouvoir la juger. Comment oublier une telle fille qui à un tel corps ? Un corps qui ne laisse personne indifférent, et cette audace sur son visage  et sa manière de parler, et comment oublier un prénom si rare YEDMILA, non je ferais tout pour me rapprocher d’elle. 


TU AS AIMER ALORS NE TE GENE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET  BONNE SOIREE BISOUS !!!!!!

Son Pardon