Part VI
Ecrit par Shalom Ametefe
J'ai compris finalement que ces nations qui se disent premières puissances ou grandes puissances surtout les USA et la France ne font que jouer avec le reste du monde par des tromperies et complots ici et là surtout avec les pays africains et en tirent d'énormes profits.
Ils cré la guerre, la faim, les maladies et viennent après en sauveurs pour accroître leurs popularité, aux yeux de qui même? Pas avec moi parce que je viens de decouvrir tous leurs coup bas qu'ils mettent dans SECRET D'ETAT.
J'ai aussi compris que nous africains nous devons enfin nous reveiller du sommeil dans lequel ils nous ont mis il y a des siecles de celà, sortir de notre zone de confort et serer nos ceintures pour dire non a cette machination qui date parce que trop c'est trop, maintenant ça suffit il faut que ça change.
Mais le contraste est que, nos dirigeants sont corrompus et ceux qui ne veulent pas se ranger de leurs cotés ils les eliminent, quel désastre ?
Par exemple chez moi au togo, quand Eyadema était décéder, on a jubilé dans tous les coins du pays croyant que nous sommes sortit des griffes du lion tout en oubliant que le lionceau deviendra lui aussi grand et peut etre plus féroce que son papa.
Faure, on l'a pas vu venir et je continue à me demander est ce que Fabre est l'opposant de taille ? Lui qui a besoin de faire demande sur demande avant même d'aller rencontrer ses partisants de la diaspora parce qu'il est accusé d'etre l'auteur des incendies des marchés de Lome et Kara. Mais d'après ce que je viens d'apprendre avec Hitler, Ben Laden et Kadhafi, je me demande si ce n'est pas ce même gouvernement qui accuse qui est a la base de ces incendies ? Dans tous les cas tout se paie ici bas.
-Il faut qu'on parte, nous fit savoir Hitler qui me retira de mes pensées
Tous les trois firent un cercle autour de moi, se tenèrent la main et me demandèrent de fermer les yeux comme eux. La terre commenca à trembler sous nos pieds. Le vent, a soufler violemment on dirait un tourbillion et je senti que nous nous enfoncions dans la terre ...
Quand j'ouvris les yeux je me retrouve dans un univers tres resplandissante, une grande foule de part et d'autres
-Kodzovi, kodzovi ... (c'est mon autre nom)
S'ecria une voix que j'ai tout suite reconnu derière moi. Je me tournai et la vis courir vers moi comme en 2012 lors de mon examen du Bac. C'était un après midi je devais aller pour les épreuves d'anglais mais il y avait rien à manger a cause du manque d'argent dans ce temps mais elle a tout fait pour me trouver 200f et c'est en partant au centre d'examen qu'elle a couru pour me ratrapper en route et me le donner.
Une peur me saisi a sa vue mais le plaisir de la voir domina la peur et je couru a sa rencontre pour l'etreindre. De son vivant cela ne s'etait jamais produit, quel désastre. Dans ses bras les dernières heures passées avec elle se défilaient dans ma tete.
Je laissai couler les larmes de mes yeux et elle en fit de même. On resta là élancés à pleurer toutes les larmes de notre corps...
Je la repousse légerement et cria a mon tour
-Grande soeur ...
Mille et une questions défilèrent dans ma tête et je ne savais vraiment pas où commencer. C'était comme si elle l'avait su et me dit
-Laisse toutes ces questions, elles n'ont plus d'importance maintenant. Viens je vais te presenter quelqu'un.
Je promenais mon regard à la recherche des trois hommes qui m'ont fait venir ici. A cause de la foule je ne les vit nulle part
-Tu cherches quelqu'un ?
Me demanda ma sœur
-Oui, oui ceux qui m'ont fait venir ici
-Ah tu parles d'Hitler et de ses confrères, t'inquiète ils reviendront quand tu partiras. disons que nous leurs avons juste demandé de nous faire ce qu'ils savent le mieux faire
-Nous ? Tu parles de toi et qui ?
-Suit moi petit frère
Elle me prend la main et m'entraina à sa suite
Nous nous faufillons dans la foule dans laquelle j'ai reconnu pleins de gens qui sont mort mais j'avais l'impression que ma présence avait un but spécifique alors je n'avais pas puis parlé avec eux juste des saluts de la main comme les presidents le font. Ils me regardaient d'un air etonné mais ma grande soeur me disait de ne plus faire attention a eux.
Nous arrivons dans un coin très calme et glacial devant une maison chinoise. Nous rentrons dans la vaste piece eclairée par la lueur du jour. Au fond se trouva un homme en blanc assi en tailleur au milieu d'une vaste natte. A cinq pas de lui, ma surprise fut grande. Je me tournai vers ma soeur avec un air supris
-Comment est ce possible que notre père soit ici ?
© Shalom Ametefe