Perdre la raison

Ecrit par Yayira Bénédicte

~~~Haranza Liliane Khalil ~~~ 


Mes enfants rentrent aujourd'hui et je suis impatiente d'aller les chercher à l'aéroport, ils m'ont trop manqués. Y'a quelque semaines maintenant que Khaled était partit, il ne m'a appelé que deux fois, il me manques terriblement mais je ne peux que supporter. Mon ventre à légèrement poussé, et je me surprends toujours à le caresser en pensant à Khaled, j'espère qu'il va bien, mon DIEU protège le. Aliya aussi est triste parce que son chéri est rentré en côte d'ivoire, elle m'a dit qu'il lui a proposé de rentré avec elle mais elle ne peut pas le suivre juste comme ça puisse qu'il n'a vraiment rien dit de concret. Je vais prendre une douche et je m'apprête pour l'aéroport, John dois passé me chercher dans une trentaine de minutes, Aliya pourra pas m'accompagner parce qu'elle est toujours au boulot. J'ai passé la journée à concocté de bon plats à mes amours même si l'odeur des aliments m'insupportais. 

- bonsoir madame, fis John quand je montais

- bonsoir. Dis-je la mine attaché 

Depuis le départ de Khaled il était devenu mon chauffeur, mais bizarrement mon humeur changeait dès que je le voyais, il m'insupporte sans que je ne sache pourquoi, certainement les hormones. On arrivera à l'aéroport environ une demi heure plus tard, leur vol n'avait pas encore atterri. Je patientais un moment avant de voir mes tout petit courir vers moi dès que je me levais, mon coeur se remplit de joie et de fierté. Ils vint se jeté dans mes bras comme un seul homme 

- vous m'avez manqué, dis-je en leur fesant plein de bisous 

- maman ! On est en public. Dit Maël avant de se détacher et de regarder autour de lui comme pour s'assurer que personne ne l'ai vu, je vis une petite fille d'environ son âge lui fait signe de la main et mon fils sourit en lui fesant signe de la main aussi 

- c'est qui demandais-je à l'endroit des filles en montrant la petite de la tête 

- c'est la copine de Maël. Dit Maëlys en souriant 

- c'est pas vrai c'est juste une amie. Dit ce dernier en se retournant vivement 

- c'est vrai maman c'est sa copine dit Maya en riant de plus belle. 

- je vous dirai plus mes secrets, cafteuse ! 

On éclata toutes de rire et Mael attacha bien son visage comme pour son père la. 

On sorti de l'aéroport pendant que John s'occupait de leur affaire. Je vis Salam adossé à notre voiture, j'étais très surprise de le voir parce que depuis cette histoire de chambre d'hôtel on ne s'était pas revu et j'avais appris par Fatim qu'il avait décidé d'aller s'installer hors du Sénégal parce que mon mari l'aurait menacer.

- Salam ? C'est vraiment toi ? 

- bonjour tonton Salam. Fit les enfants en coeur. 

- qui d'autre ma reine, comment vous allez les gosses ? . Dit-il en souriantJe me sentais un peu bizarre, il n'a pas eu de geste affectif envers les enfants comme il le fesait d'habitude, peut-être que je me fais des idées. John vint nous trouver sur ses entre faite, il mis les affaires des enfants dans la voiture 

- vous n'avez pas soif les enfants ? Demanda John , c'est important de boire beaucoup d'eau surtout après un long voyage. 

Il sortir des petite bouteille d'eau de la voiture qu'il leur tendit. Les filles bu tout le contenu, à croire qu'elles avaient vraiment soif, Maël quant à lui ne bu qu'un peu. Salam proposa de rentré avec nous parce que sa voiture était tombé en panne pas loin d'ici. Il m'expliqua qu'il était entrain de discuter avec quelqu'un quand il nous a vu nous garé et qu'il m'a fait signe sans que je ne le vois. Je me sentais pas à l'aise sans savoir pourquoi.m, je trouve qu'il a quelque chose de changé chez lui. Je montais à l'arrière avec les enfants et Salam à l'avant avec John. 

On était à peine sorti de l'enceinte de l'aéroport que les enfants c'était endormi, ça doit être la fatigue du voyage. 

- tu étais où tout ce temps ? Demandais-je pour alléger l'atmosphère qui était devenu lourde dans la voiture. 

- ça et là. Dit-il simplement 

Je vis John prendre le chemin opposé à celui de la maison 

- on va où John ? 

Il me regarda à travers le rétroviseur mais ne répondis pas. 

- je m'adresse à vous John. 

- ferme la jolie coeur. Répondit Salam en pointant une arme vers moi

Je le regardais choqué, c'est quoi ça ? 

- Sal....je.... 

- j'ai dis de la fermé, et arrête de m'appeler par le nom de mon idiot de frère. 

- qu... Quoi ?.... Comment ça.... Je... 

- eh Ouii, ce con de Salam et mon frère jumeau, mais c'est une longue histoire alors si tu ne veux pas m'énerver ne prononce plus son satané nom

J'étais sans voix, dans quoi me suis-je retrouver là Seigneur ? Mon coeur commença à battre très fort, mes enfants, je les regardais dormir. Et s'ils font du mal à mes enfants ? 

- Sal...eh... Je t'en supplie laisse nous partir, je te connais pas et je ne t'ai jamais rien fait a...

- moi je te connais ma reine, je t'ai même goûté et ce goût là était simplement esquis alors je boirai encore à ta fontaine, tu m'as peut-être oublié mais moi non. 

- je ne te connais pas, tu te trompes certainement de personne, je t'en supplie 

- je te connais très bien ma douce, et je ne pourrais jamais t'oublier. Dit-il avec un sourire narquois. 

John de gara et l'autre là vint me bâillonner la bouche et me bander les yeux. Milles et un films se faisait dans ma tête, c'est quoi cette histoire. Je me souviens même pas de lui et je ne sais pas non plus pourquoi je suis là alors que je devrais être chez moi avec mes enfants. Nous nous sommes garé devant un endroit assez reculé, ça ressemblait à un entrepôt abandonné ou un truc du genre. Deux hommes armés sont venus vers nous, ils ont sortis les enfants de la voiture et l'autre là ma ordonner de les suivre, j'avais peur surtout pour mes enfants et pour celui en mon sein. 

J'étais attaché sur une chaise et les enfants étaient toujours endormie mais les points liés à l'aide d'une corde

- tu m'as vraiment manqué ma reine. Dit-il en essayant de m'embrasser 

Je fermais les lèvres autant que je pouvais 

- tu ferais mieux de te laisser aller si tu ne veux pas que je fasse du mal à ses petits morveux 

- qu'es ce que vous me voulez ? Je vous ai jamais rien fait laissez nous nous en aller je t'en supplie 

- Je t'ai déjà dit ce que j'attends de toi alors obéi ma toute douce dit-il en me caressant le visage avant de venir m'embrasser de force

J'étais dégoûté, je lui crachait au visage tant j'étais en colère 

- tes lèvres on toujours le même goût à ce que je constate. 

Il revint encore m'embrasser mais je le mordit de toute mes forces jusqu'à sang

- chienne. Dit-il avant de me donner une grosse claque 

Il allait soulever Maëlys et la fit coucher sur la table avant de déchirer ses vêtements 

- arrêter ! Qu'es ce que vous voulez faire ? 

- puisque le mère refuse, je prendrais la fille

- non mais vous êtes singlet ? Arrêter 

Ma fille se trouva toute nue devant lui, il se mit à la caresser et descendre vers sa chatte 

- arrêter je vous en pris. Dis-je en pleurant 

Il a introduisit un doigt en en elle avant de le porter à sa bouche 

- elle a meilleure goût que toi je dois l'avouer. 

Mon coeur de mère saignait, comment pouvais t-il être aussi pervers. Il écarta les jambes de ma fille et voulu enfuis sa tête en ses jambes

- prenez moi je vous en pris, prenez, faite tout ce que vous voulez de moi mais laissez la je vous en supplie 

- je crois que finalement je vais la préfère à toi. Dit-il avant d'éclater d'un rire sarcastique 

- je t'en supplie, pour l'amour de DIEU, je ferez tout ce que vous voulez, je vous en pris 

Il ne m'écoutais pas et continuais sa sale besogne sur ma fille, je criait mais personne de ses hommes ne me calculait

- maman ? Entendis-je mon fils m'appeler, mon DIEU il est réveillé ! Pensais je le coeur battant 

- ah le petit Hardwick se réveille

Il laissa Maëlys et vint vers Maël 

- où some nous maman ? P.. 

- ferme la petit morveux. Cria-t-il 

- je suis pas un morveux. Répliqua mon fils 

- si tu es un petit morveux 

- non ! Je suis un Hardwick je suis pas un morveux je suis l'homme de la maison quand papa n'est pas là 

- ton père est un con

- non mon père est un héros, c'est le meilleur papa du m... 

J'entendis un coup de feu et mon coeur s'arrêta de battre quand je vis une arme pointé sur mon fils et du sang couler. 



~~~~Sheridan~~~~ 


Je fesais des signes aux deux hommes avec qui j'étais d'entrée après avoir entendu le coup de feu. Il nous a fallu plus d'une heure pour les repéré et je ne pouvais pas intervenir sans savoir combien ils étaientt et comment ils étaient armé. On les neutralise en un temps record deux d'entre en essaye de nous tiré dessus mais son vite abattu, on  attaches les deux autres, Saliou et John avant de nous occuper des enfants et de leur mère. Je demande à mes hommes de les emmener à l'hôpital parce que je dois m'occuper personnellement d'eux. 

Je dispose tout mon matériel sur la table avant de passé de l'alcool sous leur nez pour les réveiller 

- bien venu en enfer 

Saliou avale difficilement sa salive, John quant à lui commence à pleurer. Je sens que ça sera une partie de plaisir. 

- comme ça on essaie de violer un enfant de d'à peine 7ans ? Dis-je en mettant le couteau chaud sur son sexe

Il commença à s'egorsiller alors que je n'avais même pas encore enlever son pantalon. Je pris un malin plaisir à les torturé avant d'appeler une ambulance, mourir serait un châtiment trop doux pour eux. Je vais ensuite à l'hôpital où la famille Hardwick à été pris en charge. J'appreande le moment où je devrais annoncer à cette femme que... Je n'ose pas imagine ce qu'elle ressentira. 

- bonjour docteur, madame Hardwick c'est t-elle reveilée ? 

- à peine, on essaie de la calmer e...

- je veux voir mes enfants. Entendis-je crier. Je regardais donc le docteur qui répondis à ma question muette. 

- je peux la voir ? 

- espérons que vous arriviez à la calmer 

Je suivie le docteur jusqu'à dans la salle 

- qui êtes vous ? Dit-elle en me voyant entrer

C'est vrai que je les surveille depuis des mois mais je ne me suis jamais présenté à elle

- Sheridan. Dis-je en la regardant droit dans les yeux 

Ses yeux se remplit de larmes 

- je... Mes.. 

- ils vont bien tout les trois, le petit vient de sortir de la salle d'opération mais n'est pas encore réveillé. Répondit le docteur 

- il s'en sortira ? demanda t-elle 

- oui il ira bien, évité plus de stress madame, vos enfants se portent bien 

- il a essayé.... De... Violé ma fille. Dit elle en éclatant en sanglot 

- vos deux filles se portent bien, nous nous occupons de tout 

- merci. Docteur, dit-elle en murmurant 

- reposé vous. Dit-il avant de sortir 

Elle se tourna vers moi

- vous... Vous êtes celui dont mon mari parlait

- oui

- vous.... Il... Vous avez des nouvelles 

Je ne répondis pas mais la fixait droit dans les yeux, elle devina certainement

- non.... C'est pas... Possible... Noooooooon ! 

Je mis ma main dans ma poche et sortir une montre et une chaînette. Ce sont les affaires que j'avais reçu hier. Je les lui remis.

- pourquoi mon DIEU... Tu ne peux pas me faire ça Kal... Tu ne peux pas me laisser avec 4 enfants... C'est pas ce que tu m'as dis. Dit elle comme si elle parlait à une personne devant elle puis elle éclata de rire 

- tu es vraiment drôle toi, dit elle en riant de plus belle. Tu es qui toi ? Oh Kal c'est ? Dit-elle en essayant de se lever du lit 

Je crois qu'elle commence à perdre la tête, je sortis appelé le médecin. 

Retour fracassant