qu'est ce qui n'a pas marché?

Ecrit par Ndobis

********************QUENTIN******************************* 

Je reviens à moi après le cri de mon fils et freine brusquement au point nous sommes tous projeté de nos sièges, heureusement que nous avions tous nos ceintures de sécurité. 
 

 

-  Vous allez bien? 
 

- Oui mais j’ai eu tres peur papa 
 

- Je suis desolé mon cheri 
 

-  Les ca va? 
 

- Oui meme comme tu voulais tous nous tuer à cause d’une femme qui n’en vaut meme pas la peine 
 

- Ferme moi immediatement cette  bouche sinon je te jure que tu finiras le trajet à pieds. Et pendant que nous y sommes tu es privé d’argent de poche vu que tu veux faire la petite peste 
 

- Quoi?Non tu ne vaas pas oser? 
 

- Je vais me gener  et si tu ne te tais pas tout de suite c’est en taxi que tu iras en cours 


  

***************MANDY************************* 


Il est toujours aussi beau, le charisme qui lui est propre. Il m'est arrivé de me dire que peut-être, je n'avais pas pris la bonne décision, mais en pensant à mes enfants, je me rassure d'avoir fait le choix idéal. Léa n'a pas perdu de sa superbe avec sa longue bouche, au point où Anaïs a dû intervenir. Je n'aime pas la violence mais faut croire qu'elle l'a bien mérité. J'ai des prétendants mais je me retiens de me lancer, surtout que tous ces derniers ont des enfants pour la plupart et je ne voudrais pas que ce qui s’est passé avec Quentin se reproduise. Alice me dit que je me mens à moi-même, que c'est parce que mon cœur appartient encore à Quentin que j'évite de me lancer, car rien ne prouve que les enfants d'un autre prétendant se comporteront de la même manière. Parfois, elle me charrie d'avoir laissé une petite fille insolente me gâcher ma relation. Nous passons un bel après-midi en évitant de mentionner ce qui s'est passé avec Léa. 

 

 ******PRISCA( LA nouvelle copine de Quentin)*********************** 

 

J'arrive chez Quentin et  le gardien m'ouvre, comme d'habitude. J'entre, gare ma voiture, voiture qu'il m'a offert pour mon anniversaire. Ah oui, le gars sait dépenser sur la femme, il me met aux petits soins. 

J'entre et Je trouve ses enfants au salon;je les salue et comme d'habitude, c'est seulement le petit garçon qui me répond. Depuis le premier jour où son père nous a présenté, cette petite chipie m'a montré qu'elle ne m'aime pas. Elle a eu à prononcer des mots très durs à mon égard. Son père l'a repris et menacé de ne point recommencer, sinon elle subirait les conséquences. Plus tard, il m'a expliqué ce qui s'est passé avec son ex. Donc elle peut ne pas me parler, je ne la gère même pas un peu. Je ne vais pas fuir comme l'autre, au contraire je vais lui montrer le feu quand ça va me piquer au point où elle va supplier son père de la laisser chez sa mère. 

Une autre personne qui ne m’aime pas, c'est la dame de ménage. Elle ne me l'a pas dit directement, mais par sa façon de m'éviter et de me regarder, je comprends qu'elle ne me porte pas dans son cœur. Là encore, je m'en fou. Du moment où elle ne se mêle pas de mes affaires et me respecte, ça me va. 

Je les traverse et monte retrouver Quentin dans sa chambre. J'entre quand lui aussi sort de la salle de bain avec une serviette nouée autour de ses reins. Il est trop sexy. Si je n'étais pas déjà mordu de Leonel, j'allais m'agripper sur lui comme une sangsue. 

- Salut toi. 

- Salut, bel  etalon. On t'a déjà dit à quel point tu es sexy ? 

- Non, non, je ne m'en rappelle pas. 

- Ok, je vais y remédier ou alors, Je vais plutôt te montrer tout bien réfléchis. 

Je me rapproche de lui et lui fait un baisé profond ,j’en profite pour dénouer sa serviette qui se retrouve au sol. Je me baisse et prends son bâton de commandement en bouche. Je le pompe comme si ma vie en dépendait tout en le  regardant droit dans les yeux ; pour pimenter la chose, je lui pince fortement la fesse ce qui le fait se crisper, au même moment, Je le prends tout au fond de ma gorge. 

- putain tu es décidé à me tuer aujourd'hui, dit-il de façon entrecoupée. 

 

Quand je le sens venir, je m'arrête net et le pousse sur le lit. 

 

- Toi, tu es une petite diablesse. Dit-il à bout de souffle. 

 

- Et tu n'as encore rien vu mon coco! 

 

Je viens me placer à califourchon sur lui et m'empale direct sur lui Comme une guerrière qui va au combat. Ma robe est évasée, courte et t je n'ai rien en dessous. Je e chevauche correctement avec son aide car il me tient par les hanches et m'accompagne dans mes mouvements de va-et-vient et de haut en bas. Il me retourne quand les forces commencent à me manquer et me met à cheval puis il enroule ma greffe de sa main gauche et m’assène des coups de butoirs tout en me donnant de petites tapes sur les fesses ce qui augmente mon plaisir. Je prends vraiment sur moi pour ne pas hurler afin que les enfants ne m'écoutent. Quand je crois être au bout de mes surprises, Il passe sa main droite sous mon ventre et se met à me caresser le bouton de rose décuplant ainsi mon plaisir puis Il me retourne comme une crêpe et on se retrouve en missionnaire. 

 

- Je veux te regarder pendant que tu jouis. 

 

Il m'embrasse encore tout en continuant ses coups de butoir tantôt lentement pour me tuer de plaisir, tantôt rapidement. L’alternance de cadence me fait voir les étoiles. sa main revient sur mon bouton de rose et même pas une minute après je monte dans les cimes élevées du plaisir, cette fois, il me laisse aller jusqu'au bout tout en m'embrassant pour étouffer mes cris. Je m'agrippe à lui et il accélère et se déverse en moi en un râle sourd. On s'embrasse pendant que nos corps redescendent du pic de plaisir qu'ils ont atteint. 

Avant de passer à l'acte pour la première fois, nous avons fait des examens sanguins et j'en ai profité pour mettre un stérilet car lui ne veut pas d'enfant pour le moment et moi non plus. Donc je fais mes choses sans stress avec Leonel sans aucune crainte de tomber enceinte et de me faire griller. 

- Je suis lessivée. 

- C'est toi qui m'as cherché, Madame. 

Nous allons prendre une douche rapide et comme il fallait s'y attendre nous nous retrouvons sur le carrelage pour un deuxième round rapide. 

On descendant trouver les enfants au salon et passe à table. Bien évidemment. Léa m'ignore et me lance des regards pleins de haine. 

Je passe la nuit dans les bras de Quentin et très tôt le matin, je reprends la route de chez moi, prétextant une réunion chez nous en journée, alors que je dois plutôt passer chez Leonel avec qui j'ai rendez-vous. Je vis dans un studio depuis le mois dernier. C'est un des appartements de Quentin qu'il a mis à ma disposition pour que je sois plus à l'aise vu qu'avant je vivais dans une minuscule chambre. Je fais un saut rapide chez moi pour prendre une douche et me changer afin de retirer l'odeur de sexe qui est restée imprégnée sur ma peau. Petit maquillage rapide et une petite robe sexy. Je prends la route pour chez Leonel. 

J'arrive et je toque. A peine il ouvre la porte qu'il me bondit dessus sans aucune retenue. 

- J'ai encore passé une nuit sombre et agitée te sachant dans ses bras. 

- Moi aussi, mais nous devons respecter le plan pour avoir ce qu'on veut. Quand il me touche, j'ai juste envie de mourir et de vomir (Bien évidemment, c'est un mensonge, mais c'est la seule chose que j'ai trouvée pour calmer son cœur.) 

 

Leonel et moi sommes ensemble depuis nos 17 ans. C'est avec lui que j'ai appris tout ce que je connais sur le sexe. Nous venons tous deux des familles défavorisées et nous nous sommes fait la promesse de réussir ensemble à tout prix excluant le vol et le meurtre. 

Il est orphelin de perdre et a 3 frères et 2 sœurs. Les 2 dernières vivent avec leurs copains, du moins les papas de leurs enfants tandis que lui et ses frères vivent sur le terrain familial. Ses frères vivent dans la grande maison avec leur mère. Tandis que lui vit dans une petite chambre en semi dur qu'il s'est construit avec mon aide afin que nous puissions avoir un peu de privacy. Sa maman se débrouille dans la vente des denrées alimentaires au marché et c'est grâce à cela quaprès le décès de son mari, elle a pu élever ses enfants. Quant à ses frères, ils se débrouillent comme ils peuvent. Julien, son frère aîné a pour habitude de dire :”Ce que je vois, je fais, ce que je ne vois pas, je ne fais pas.” Bref, ils se débrouillent mais pas assez à mon goût. 

Lionel, quant à lui, travaille comme agent de sécurité dans une banque de la place. 

Je m'appelle Prisca. deuxième d'une famille de 3 enfants. Avec mon père, ça n'a pas toujours été ça, car malgré la pauvreté dans laquelle nous vivions, il réussissait à tromper ma mère et lui fait vivre les misères. Il préférait nous laisser affamer à la maison pour donner le peu qu'il gagnait à sa maîtresse. Les soucis ont fini par tuer ma pauvre mère. La pauvre s'est couchée un jour alors que mon père avait encore passé la nuit hors de la maison et ne s'est pas réveillé le matin. C'est ma cadette qui est allé la réveiller et l'a trouvé inerte sur le lit ? Ce jour-là, mon monde s'est écoulé et j'ai commencé à le détester de tout mon cœur. À son retour, il n'a montré presque aucune émotion. N’ayant pas de moyens, il fut décidé d'enterrer ma mère le même jour derrière la maison familiale. Il voulait qu'on l'emballe juste dans un drap, mais heureusement pour nous, les membres de la tontine de maman lui ont acheté un petit cercueil. Ma tante est partie avec ma petite sœur Miriam à Edea. Mon frère et moi sommes restés vivre avec ce monstre. Je me suis mise avec Leonel qui, malgré sa pauvreté, était un refuge pour moi. Pour payer mes études (Probatoire et baccalauréat.) J'ai dû accepter de coucher avec un tonton riche du quartier. Leonel le savait, mais il comprenait car je n'avais pas le choix. Après mon bac, j'ai tourné dans les petits jobs ici et là, jusqu'au jour où j'ai vu cette annonce sur la  recherche d'une secrétaire. J'ai fait mon CV, je l'ai gonflé comme je pouvais, avec l'aide de mon frère qui, lui, travaillait dans une société d'import-export. Malheureusement, je me suis faite griller par le RH Qui a promis de me donner le poste si je couchais avec lui. J'en ai parlé avec Leonel qui m'a dit que la décision me revenait et qu'il me soutiendrait quel que soit ma décision. C'est ce séjour que nous avons fait ce pacte oral “ réussir à tout prix”. J'ai couché avec ce vieux port et j'ai eu le poste. 

L'idiot est revenu quelques semaines après, soi-disant que je le lui devais bien. J'ai encore cédé à deux reprises sans toutefois rien dire à Leonel ces fois-là. Je réfléchissais comment me débarrasser de ce boulet quand il a été limogé par le Boss pour je ne sais quel motif. D'aucuns ont dit que c'est parce qu'il a voulu tester le Boss dans leurs cercles mystiques. Mais en réalité, moi je m'en fichais, j'étais tout juste contente d'avoir été libérée de ce boulet qui commençait déjà à me peser. 

Mon frère ayant déjà déménagé de la maison familiale. Je me suis trouvé une petite chambre et j'ai laissé mon père là-bas. Comme s'il n'attendait que cela, Il a vite fait de faire venir sa maîtresse chez nous. Une femme hideuse qui me donnait la chair de poule rien que par son regard. Comme On dit souvent, qui s'assemble se ressemble. Je suis parti de là sans un regard en arrière. Les fois où il m'arrive d'y aller, c'est juste pour aller me recueillir sur la tombe de ma mère. Et à chaque fois, je calcule quand ils ne sont pas à la maison, ou alors même quand ils sont là, je vais directement me recueillir sur la tombe et après je repars sans rien dire à personne. 

 

J'ai commencé à vivre ma petite vie tranquillement avec Leonel qui passait presque toutes ses nuits chez moi. Je lui ai demandé de déménager directement pour chez moi. Mais il a refusé, disant qu'un vrai Bantu ne peut aller vivre chez une femme et qu’il refusait l'étiquette d'ambassadeur . C'est grâce aux connaissances que je me suis faite en travaillant dans cette boîte qu'il a pu trouver ce poste d'agent de sécurité. 

Ce jour, après ce qui s'est passé avec Quentin au supermarché, c'est lui qui m'a donné l'idée de le séduire. Car en parlant avec ce dernier, il m'avait donné son nom et mes recherches m'avaient montrés que c'était un gros poisson. L'opération séduction a donc été lancée avec Pour objectif de tirer le plus possible d'argent de lui et pourquoi pas un voyage pour l'étranger. Heureusement pour moi qu'il est un bon coup au pieux car cela rend la tâche facile. Il m'a sorti de la Chambre où j'étais un pour un studio plus grand et meublé, m'a acheté une voiture car je me plaignais d'arriver en retard au boulot à cause des embouteillages. Chaque mois j'ai 300.000 francs, sans compter le shopping. Il sait que mon père vit encore et que j'ai quitté la maison à cause de la maltraitance de sa nouvelle épouse. 

- Nous devons encore supporter un peu mon chéri et après nous décrocherons le jackpot. Mon compte en banque s'alourdit tous les jours un peu plus . 

- Tu as raison bébé, mais c'est difficile de le savoir en toi, de savoir qu'il te fait l'amour, qu'il t'embrasse, qu'il te caresse et quil a droit à tous les avantages auxquels j'ai droit. 

- Non, c'est faux, il n'a pas droit à tous les avantages. Je fais l'amour avec toi, avec passion, avec amour. Et ce n'est que toi que mon cœur désire Tandis que lui me répugne. Tu détiens mon cœur et mon âme entre tes mains. Ne doute jamais de mon amour pour toi. Je hais quand il me touche. Je ne réussis à supporter cela qu'en pensant à toi. Je suis à toi aujourd'hui, demain et toujours. Tu n'as rien à craindre de ce côté-là mon amour. 

- D'accord . Je t'aime. 

- Moi aussi je t'aime Mon King, trêve de bavardage. Donne-moi ma dose adulte, J'y ai pensé toute la nuit. 

- A vos ordres ma reine, vos désirs sont des ordres. 

Nous passons toutes la journée au lit à nous mettre bien et ce n'est que le soir que je rentre chez moi toute heureuse. J'aime le sexe bien fait et les deux s'y connaissent bien donc j'en profite. 

 

******************** 5 mois plus tard.********************* 

 

*************Quentin******************++ 

 

Je suis penché sur un dossier très important dans mon bureau quand mon téléphone se met à sonner. Le nom marqué me fait savoir qu'il s'agit du collège de Léa. Je prends peur et me demande pourquoi est-ce qu'ils m’appellent à cette heure, J'espère qu'il ne lui est rien arrivé. 

- Allô ? 

- Oui, Allô, Bonjour Monsieur. 

- Bonjour Madame. 

- Désolé de vous importuner mais c'est vraiment important. Vous ou votre ex-femme êtes attendu dans mon bureau dans les plus brefs délais. Sinon nous nous verrons dans l'obligation de renvoyer de notre établissement votre fille car les faits qui lui sont reprochés sont graves. 

- Ok, j'arrive. 

- D'accord, à tout à l'heure. 

Je referme le dossier sur lequel je travaillais. Je  sors de mon bureau presque en courant, en demandant à ma secrétaire d'annuler mes rendez-vous et de repousser certains. Une fois en bas de l'immeuble. Je me dirige tout droit vers ma voiture dans laquelle je monte et démarre sous un chapeau de roue me demandant ce que  Léa a bien pu faire d'aussi grave. 

J'arrive à son collège une vingtaine de minutes après ,je me gare sur le premier espace libre que je trouve, puis je me dirige vers le bâtiment administratif où je trouve 3 autres parents que je salue. Peu après, la Secrétaire de la principale vient nous inviter à entrer dans le Bureau de cette dernière. Nous y entrons et je vois Léa, une autre fille, ainsi que 2 garçons assis dans un coin, la tête baissée. 

- Rebonjour à tous chers parents. Prenez place s'il vous plaît. Je sais que vous avez tous des emplois de temps très chargés, donc je vais faire vite. Si je vous ai fait venir ici, c'est parce que les faits graves sont reprochés à vos enfants. Nous avons des preuves que vos enfants ont orchestré un plan pour voler les épreuves de physique, d leur forte note en cette matière Cette séquence. En outre, Ils s'absentent de plusieurs coups pour aller fumer dans les anciens bâtiments inoccupés. Ce matin, nous les avons pris la main dans le sac avec des cigarettes, des bouteilles de whisky, et aussi quelques comprimés qui, si j'en crois les dires du survivant du secteur, sont des comprimés de tramadol. 

- Quoi ? Luna, c'est ce travail que tu es venu faire ici  ? hurle une dame en direction de sa fille. 

- Calmez-vous Madame, ce n'est ni le lieu ni le moment. Ils ont reconnu les faits qui leur sont reprochés. Mais comme vous pouvez vous en douter, ce n'est pas suffisamment car c'est grave ce qu'ils ont fait. 

Je regarde dans la direction de ces petits morveux et veux bien leur donner une raclée. Léa va finir par me rendre fou. 

- Avez-vous quelque chose à dire à vos parents ? Demande La principale ? 

Aucun d'eux ne pipe mot. 

- C'est bien ce que je pensais. Ajoute cette dernière. Je vous invite, chers parents, à parler avec eux, leur faire comprendre la gravité de leurs actes, leurs comportements est une sonnette d'alarme dont prenez de bonnes décisions leur concernant et poser des actes qu'il faut. Je suis consciente de vos emplois de temps chargés, de vos professions qui vous prennent tout le temps, mais sachez que l'école ne peut faire qu'une partie. L'école ne peut éduquer vos enfants à vos places. J'espère m'être fait comprendre. 

- Oui, Madame. Nous répondons en cœur comme des enfants. 

- Allez vous les exclure? demande le Monsieur à ma droite. 

- Définitivement non, mais temporairement, oui car ne pas les punir serait encourager la bêtise. Ils doivent comprendre que chaque acte a des conséquences. À compter d'aujourd'hui Ils ont tous trois jours d'exclusions, Et à leur retour, ils devront faire deux semaines de corvée. Ces corvées consisteront à nettoyer le collège chaque jour après les cours. Ils devront nettoyer les toilettes, balayer la cour, la cantine et aussi Vider les poubelles de toutes les salles de classe et laver la surveillance Chaque mercredi et vendredi . 

- D'accord, répond. La dame qui quelque temps avant avait crié sur sa fille 

- Pour ma fille, au lieu de deux semaines de corvée, je demande un mois. 

- Mais papaaaa  tu abuses se plaint Léa 

- Toi, tu me la fermes immédiatement. Tu as intérêt à te faire petite, sinon je ne répondrai de rien. Tu feras tout ce qu’on te dira et crois moi j’y veillerais personnellement.  

-  Bien si nous avons terminé, vous pouvez tous rentrer. Merci d'être venu aussi rapidement.  

- cest nous qui vous remercions pour tout le travail que vous abattez pour ces enfants. 

Chacun l'a salué avant de prendre la porte suivie de son enfant. Je marche le visage baissé tellement je suis fâché. Je réfléchis, je cherche au plus profond de moi ce qui manque à ma fille pour qu'elle se retrouve dans ce genre de situations. Quand à t-elle viré sur ce chemin sans que je ne m'en rende compte. Qu'est-ce qui lui arrive ? Est-ce la puberté ? Où est-ce que j'ai fauté ? J'ai toujours tout fait pour mettre mes enfants aux petits soins. Je me suis plié en 4 afin qu'ils aient une vie meilleure. Ils n'ont jamais manqué de rien du coup je ne comprends pas pourquoi est-ce que ma fille se comportait ainsi ?  Je conduis en silence jusqu'à la maison et une fois devant le portail, je gare. Elle prend son sac, descend de la voiture et sonne au portail, à peine le gardien ouvre, elle y entre. Je ne m'attarde pas sur son cas maintenant, je m'en occuperais ce soir car si j’essaie de lui parler maintenant je risque de lever la main sur alors que je me suis promis de ne jamais le faire. Je respire un bon coup et redémarre ma voiture pour Mon lieu de service.

Amour et turbulence