Réconcilié
Ecrit par Yayira Bénédicte
Assandy Eloise Natasha
Je sais pas si je peux dire que j’ai dormir cette nuit mais je suis épuisé, j’ai mal partout, mais je ne regrette en rien cette nuit même si ma chatte me brûle. Je prends une douche rapide et je remets mes vêtements de la veille. Je n’ai pas de vêtement ici et Femi s’en plain toujours, il trouve que j’émets trop de réserve en ce qui concerne notre relation ce qui est vrai, je n’ai pas envie de trop rêver et de finir par me retrouver à seule, je tiens vraiment à lui mais j’ai peur, j’ai été tellement idiote avec Mohamed que je ne veux pas refaire les même erreurs, je préfère prendre mon temps.
- Je te dépose chez toi, tu te change et je te dépose au boulot avant de revenir chercher les enfants et les emmener à l’école
- Il est déjà 5h20 le temps qu’on arrive chez moi il sera 5h40 comme ça et je n’aurais pas le temps de me changer et de me rendre au boulot à temps puisse qu’on commence à 6h, donc dépose moi directement au boulot
- Des les même vêtements qu’hier ? demanda-t-il
- Est-ce que j’ai le choix non ?
- Ça t’apprendra à m’écouter quand je te dis de laisser des vêtements ici. J’ai l’impression que tu es dans cette relation en aillant un pied dehors et un pied dedans, t’attendant à la moindre gaffe de ma part pour te barrer mis ça ne se passe pas comme ça, si l’un de nous gaffe on s’assoit et on en parle, alors détends toi Elo, on est en couple et nous somme deux adultes pas deux ado. Dit-il en me donnant le café qu’il faisait pour moi
- Tu as raison, je vais faire des efforts je t’avoue que j’ai peur de refaire les même erreurs et de regretter encore une fois, quand Mohamed est revenu je me suis jeté dans ses bras sans réfléchis et tu as vu comment ça c’est terminé alors je suis sur mes gardes
- Je comprends et c’est toi à fait normal, je ne dis pas que je ne vais jamais t’offensé ou de blesser je dis juste quand je suis là et j’ai envie de rester. On y va. Dit-il en prenant ses clés de voiture
- Et mon bisou ? dis-je en tendant les lèvres
- Et ça dit qu’elle n’est pas fan. Dit-il en m’embrassant
- Toi aussi tu es fan mon cher, donc on est sur le même diapason. Dis-je en le suivant à l’extérieur
- Toi et qui ? moi je suis as fan, je suis super fan
- Lol, super fan même hein
Il me déposa non loin du boulot 10 minutes avant 6h, je ne voulais pas alimenter les commérages donc j’ai préféré qu’il me dépose à quelque mettre de là et j’ai fais le reste du chemin à pied. Il ira ensuite prendre les enfants et les emmener à l’école avant de revenir au boulot. Vivement que cette grève finisse hein. J’ai reçu un message de Marco qui me demandait d’être là ce soir parce que John veut me parler, j’espère que ça concerne la fin de mon contrat, j’ai payé ma dette envers aux alors il est temps qu’il me laisse partir, je finis normalement à la fin de ce mois.
Raymond Dasylva
Je suis retourné sur mon site de travail quelque jours après l’annonce que m’a faite Anastasie, je ne sais pas ce qui m’a pris de lui dire que je ne la voyais pas plus qu’une amie, je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris, ah oui je sais ! La peur de se faire rejeter peut-être parce que Ana c’est une très belle femme en plus elle a surement beaucoup d’expérience, alors que fera-t-elle avec un inexpérimenté comme moi. En plus elle a quelqu’un comme elle l’a dit, je mentirais si je dis que ça ne m’a pas fait mal mais je n’ai pas le choix, en plus je crois que c’est mieux comme ça, si DIEU à voulu que j’aille vers elle, ce n’est surement pas pour faire des bêtises mais pour l’aider, donc mieux je me concentre sur ma mission.
Syntiche aussi n’arrête pas de me coller sous prétexte qu’elle rêve à moi tout les jours, et que DIEU lui dit clairement c’est moi son époux, cette fille me prends vraiment pour un demeurer, sérieux ! Genre moi DIEU est en palabre avec moi pour me parler directement. J’attends de rentrer sur Abidjan pour parler directement avec elle, qu’elle m’arrête ça.
Je rentre à mon hôtel épuisé, je prends une douche et commande à manger, je mange toujours dans la chambre de toute façon, trop épuisé pour redescendre chaque fois que je monte. je ne parle plus trop à Anastasie depuis, je ne veux pas interférer dans sa relation donc je me tiens un peu à l’écart, tant qu’elle est heureuse ça me va. Je prends mon portable pour appelé mon père, ils sont rentré de voyage hier.
- Bonsoir papa. Dis-je quand t-il à décroché
- Bonsoir fiston comment tu vas ?
- Je vais bien juste fatiguée et vous ?
- Je vais bien, ta mère aussi. Le boulot avance ?
- Oui, la pluie à cessé donc ça va on progresse, on espère pouvoir fini dans les délais
- DIEU fera. Alors et la fille dont tu m’avais parlé ? demanda-t-il
- Euh… je crois que je me suis un peu emporté
- Commença ?
- Je me dis que DIEU l’a mis sur mon chemin pour que je puisse l’aider à le connaitre et à prendre la bonne décision pour sa vie pas pour plus
- Je pensais qu’elle t’intéressait ?
- Elle m’intéresse mais elle a déjà quelqu’un dans sa vie en plus ma mission e n’est pas celle là
- Donc tu pense que DIEU va quitter le ciel pour venir te demander de tenter ta chance ? tu dis qu’elle à déjà quelqu’un est-ce que c’est sérieux ? est-ce que tu lui a parlé de tes sentiments ?
- Non je lui ai rien dit, et quand elle m’a demandé si je la voyais au-delà de l’amitié j’ai dis non, c’est alors qu’elle m’a dit qu’elle a quelqu’un. Je ne sais pas à quel point c’est sérieux
- Je te conseille de lui dire ce que tu ressens, et laisse la décider de la suite, et arrête moi tes histoires de mission, DIEU nous donne souvent des indices et nous laisse libre arbitre pour nos propre choix, ne crois pas qu’il viendra comme un tonnerre gronder ‘’ Raymond cette fille t’es destiné épouse là’’ non ! la seule chose qu’il pourra faire c’est créer les circonstances pour vous mettre sur le droit chemin mais il ne vous imposera jamais rien
- Tu as tout à fait raison. Dis-je pensif
- Et d’homme à homme, je te dirais de foncer parce que tu n’as rien à perdre.
- Merci pour tes conseils papa
- Je suis là pour ça, appel au besoin, ta mère veut te parler
- D’accord
Il passa le téléphone à maman qui se mit à me demander si je mange bien, si je prends bien soin de moi, comme si je suis un gamin, mais qu’est-ce que j’y peux, c’est du ma mère tout craché. On parla quelques minutes avant que je ne raccroche. Mon plat aussi était arrivé entre temps, je mangeais en repensant à la conversation avec mon père, je crois que je vais renter sur Abidjan ce semaine pour parler week-end pour qu’on puisse parler.
Anastasie Bansah
Cette semaine à été terrible avec cette histoire de grève de taxi. C’était compliqué de me rendre à l’institut, concernant le club un chauffeur passait nous chercher les soirs et nous ramenai. Nana quant à elle n’est pas venue toute la semaine, j’ai dû mentis à Marco qu’elle était malade donc ne pouvait pas venir, j’ai beau li conseillé de dire la vérité à Alexandre mais elle ne m’écoute pas, d’une pars je la comprends mais je ne donne pas cher de sa peau quand il saura. Sinon j’ai rencontré quelqu’un, il s’appel Boris, il travail à Orange CI dans une boite de la place. Le lundi quand je rentrais il a proposé de me déposer parce que je ne trouvais pas de taxi, et depuis il passe me chercher les matins et me déposer les soirs, c’est un chic en tout cas mais Nana ne fais que me rabattre les oreilles avec son histoire de pasto, est-ce ma faute si le pasto ne veut de moi ? Je ne peux pas non plus l’obligé à quoi que ce soit donc mieux je passe à autre chose.
Les samedis à l’institut son généralement des jours vraiment chargés et au club aussi pareil, donc aujourd’hui dimanche je n’ai pas pu me rendre à l’église en plus Ray n’est pas là, pas que je vais à l’église pour lui mais je ne connais personne d’autre là-bas à part lui. J’irai la semaine prochaine même s’il n’est as là, aujourd’hui j’ai juste envie de faire la grâce matinée, il est 9h mais je suis encore au lit à paresser. Je prends ma Bible pour lire un peu avant de me lever pour allé cuisiner, j’ai envie de manger de me faire un bon poulet DG, j’ai décidé de me faire plaisir aujourd’hui en plus j’ai déjà avertir Marco que je ne serais pas là ce soir donc j’ai toute ma journée et ma soirée pour moi même.
Je suis entrain de frit ma banane quand Boris m’appel pour me dire qu’il est de passage dans le quartier et veut passer me voir, je lui dis ok. Une dizaine de plus tard, il était là. Je le voyais déjà louché sur mes fesses, j’en ai pas des grosses comme Nana mais j’ai ma part et quand je suis chez moi je suis toujours en petite tenue, actu je porte ne petite robe légère noire qui couvre à peine mes cuisse et je ne porte pas d soutien gorge en dessous
- Je t’apporte quelque chose à boire ? lui demandais-je alors qu’il s’installait
- De l’eau ça ira
- Ok, je reviens
Je lui apportais une bouteille d’eau avec un verre, il bu et je lui demandais les nouvelles. Il a répondu que comme il était dans le quartier il est passé me faire un coucou. Il a réitéré son envie de faire de moi sa petite amie, c’est un gars pas mal mais il ne me dit pas grand-chose et je n’ai aucun feeling avec lui
- Je comprends ce que tu dis mais tout ce que je peux t’offrir pour le moment c’est mon amitié en attendant peut-être qu’on se connaisse mieux
- Je prends, et j’ai l’espoir que tu finiras par voir combien je suis sérieux, je veux vraiment faire du sérieux avec toi
- Frère ! ça là on entend ça à longueur de journée et c’est loin d’être parole d’évangile.
- Moi je suis différent Anastasie, je veux vraiment de toi
- C’est souvent les chefs bandit là même qui sorte cette rengaine, pardon je pars servir la nourriture on mange c’est mieux
Je suis allé à la cuisine nous servir à manger et j’ai posé sur la table basse du salon, y’a pas de table à manger chez moi donc c’est là que je mange, devant la télé. On était entrain de manger quand on sonna à ma porte, je me levais pour allé ouvrir et je tombais nez à nez avec Ray, mon cœur fit boom ! Et je me suis sentir bizarre sur le coup comme si je trompais mon mec et qu’il venait de me surprendre. Il était portait un polo noir et un Jeans de la même couleur
- Bonjour. Dit-il en premier
- Bonjour. Dis-je en méconnaissant ma voix.
- Ça va bb ? demanda Boris depuis le salon. Qui l’a sonné lui
- Tu es occupé ? je peux m’en allé. Dit-il alors que sa mine avait changé
- Non non, entre. M’empressais-je de dire
Je me poussais pour le laisser entrer, il salua Boris, je fis brièvement les présentations en mentionnant que les noms. Je demandais ensuite à Ray s’il voulait que je le serve à manger mais il a dit non, pourtant je sais qu’il aime le poulet DG et plus d’une fois il m’a demandé d’en fait pour lui mais j’ai fais genre. L’atmosphère était tendu, je n’arrivais même pas à manger, Ray ne parlait pas non plus c’est seulement Boris qui faisait des commentaires du genre ‘’ tu es un vrai cordon bleu ma bb’’ ou encore ‘’ je n’ai jamais rien mangé d’aussi bon’’, moi j’étais vraiment mal à l’aise
- Je vais m’en allé. Dit Ray en se levant au bout d’une dizaine de minutes
- Euh… ok. Dis-je ne sachant pas quoi dire d’autre, j’aurais souhaité que se soit Boris qui s’en aille mais ce dernier était confortablement assis entrain de manger.
Je raccompagnais Ray jusqu’à la porte et il s’en alla sans rien dire. Pourquoi je me sens coupable même ? Il a sa fiancée non ? Je retournais à l’intérieur retrouver Boris, il m’énervait en même temps, tchiiip. Il est resté jusqu’à 17h chez moi, il a même fait la sieste dans mon salon alors que nana était entrain de me sermonner par message sur le pourquoi j’ai laissé son pasto partir, comme si c’est ma faute. Après le départ de Boris je mis un film comique histoire de me détendre mais mes penses me ramenaient irrémédiablement vers Ray, je finis par prendre mon portable pour l’appeler
- Allo ? dit-il en décrochant au bout de la troisième sonnerie
- Bonsoir Raymond
- Bonsoir Anastasie. Eish c’est à base d’Anastasie maintenant hein, ok
- Euh… tu es où ? je voudrais qu’on se voie
- Pour ? demanda-t-il un peu froidement
- Je voudrais te parler et c’est important. Dis-je d’une traite
- Je suis chez moi. répondit-il
- Tu me partage l’adresse pour que je vienne stp ?
- Je pensais que les taxis grevaient ? tu comptes venir comment ?
- J’ai vu aux infos qu’ils devaient reprendre ce soir donc j’en trouverais
- Ok, je partage ma localisation.
J’allais prendre une douche rapide, je mis une combinaison de couleur marron clair, ma perruque et un léger maquillage. J’allais dans la cuisine servir le reste du poulet dans une soupière, que je mis dans un sac, je pris mon porte-monnaie, et mon téléphone alors que le chauffeur du Yango que j’avais commandé m’appelais déjà.
J’arrivais une trentaine de minutes plus tard au bas de son immeuble, je lui fis signe et il me demanda de monter en indiquant son palier et sa porte. Il m’ouvrir et me lassa entrer, c’est un coquet appartement, simplement décoré mais classe, je n’imaginais pas qu’il vivait dans un endroit pareil, c’est vrai que je l’ai toujours pris pour quelqu’un de fauché, mais sa situation financière ne m’intéresse pas
- Je t’apporte à boire ? demanda-t-il
- Non ça, je viens de la maison, par contre tu peux m’indiquer la cuisine ?
- Pour ?
- Je t’ai apporté à manger, je voudrais prendre des plats, et du vin si tu en a
- Je n’ai pas faim, pour le vin je t’en apporte mais je n’en boirais pas
- Bon, on va arrêter avec les enfantillages Ray, c’est la première fois que je viens chez toi alors soit au moins gentil. Dis-je
- Je ne t’ai pas invité n’est-ce pas ? dit-il en arquant le sourcil
- Non, je suis venue de moi-même, et comme je t’ai dis au téléphone c’est parce que je voudrais qu’on parle
- Alors parle, au lieu de vouloir me faire manger les restes de ton petit ami. Dit-il en s’asseyant
- Boris n’est pas mon petit ami
- C’est ça ! écoute c’est ta vie tu fais comme cela te chante. Dit-il d’un ton détaché
- Ok, apparemment tu n’s vraiment pas envie de voir ma tête, mais t’inquiète je ne vais pas prendre trop de ton temps.
- Comme tu veux
- La dernière fois quand on a parlé, je t’avais dis j’avais quelqu’un mais c’est faux, je n’ai personne dans ma vie en ce moment, j’ai dis cela je ne sais pas trop pourquoi, peut-être pour faire mon intéressante parce que tu as dis que tu ne me voyais que comme une amie. Quant à Boris, je l’ai rencontré cette semaine, lundi précisément, il m’a dépanné alors que je ne trouvais pas de véhicule pour rentrer, et toute la semaine il m’emmenait et me ramenais de l’institut
- Et il faisait quoi chez toi aujourd’hui ? demanda-t-il en croisant les bras sur sa poitrine et me fixant
- Il m’a appelé alors que je faisais la cuisine, il m’a dit qu’il était dans les parages et voulais passer me faire un coucou, je n’y ai pas vu d’inconvénient alors j’ai dis ok, je ne pouvais pas le chasser après avoir finir de cuisiner donc j’ai servi s et on était simplement entrain de manger quand tu es arrivé
- Et tu vas me dire qu’il n’est pas intéressé par toi ?
- Il a dit être intéresser par moi mais je lui ai clairement dis que ce n’est pas le cas pour moi et que je peux que lui offrir mon amitié. Je ne sais pas pourquoi j’ai tenu à t’expliquer tout ceci mais bon voilà ce que j’avais à clarifier, je vais m’en aller à présent. Dis-je en me levant
- Pourquoi tu portais une tenue si légère et sans soutien en plus. Dit-il en se levant à son tour
- Parce que j’étais chez moi et je ne porte jamais de soutien gorge quand je suis à la maison. Ecoute je crois que j’ai pris assez de ton temps, merci de m’avoir reçu, bonne soirée. Dis-je en me dirigeant vers la porte
- Attends… ne… ne pars pas. Dit-il dans mon dos
- Pourquoi ? dis-je en me retenant de sourire
- Je pensais que tu m’avais apporté à manger
- Ah donc tu veux manger les restes de mon petit ami à présent ? dis-je en me retournant vers lui
- La cuisine est à ta gauche, je n’ai pas mangé depuis matin. Dit-il en se rassaillant
J’avais envie de bien le tchiper même, tu as faim et tu fais le malin, ça tête comme la cabosse de cacao là. J’allais à la cuisine réchauffer un peu le plat et je le servis, j’accompagnais le plat de jus de fruit au lieu de vin. Je posais le tout devant lui, il me remercia avant de commencer à manger
- Moi aussi je t’ai mentis la dernière fois qu’on a parlée. Dit-il en prenant une bouchée
- A quel sujet ? demandais-je intéressé
- Quand tu as demandé si je te voyais plus qu’un amie et j’ai dis non, c’était faux, je… je te vois plus qu’une amie Ana, je te vois comme une femme, une femme avec qui j’ai envie d’être. Dit-il en posant sa cuillère
- Euh…je…tu
- Je comprendrais si toi tu ne me vois pas comme tel, mais j’avais besoin que tu le sache. Je tiens à toi et cela va au-delà de l’amitié. Dit-il
- Moi aussi. Dis-je en soutenant son regard
- Moi aussi tu me plais Ray, et pas qu’un peu mais je me dis que connaissant ma vie tu ne voudrais certainement pas d’une femme comme moi
- Qu’est-ce que je t’ai dis à propos de cette expression là ? demanda-t-il en recommençant à manger
- De ne plus l’utiliser
- Mais tu continue de le faire, je ne sais pas ce que tu entends par une femme comme toi mais c’est toi que je veux.
- Je te veux aussi
- Je n’ai jamais été en couple je te préviens et je ne sais pas trop comment ça marche. Dit-il en s’arrêtant encore de manger
- Moi non plus. Répondis-je
- Je crois qu’au fut et à mesures on prendra nos marques, mais je voudrais qu’on priorise la communication parce que le manque de communication à failli nous coûté notre amitié
- Je suis d’accord. En parlant de communication tu es ou n’es pas en couple avec la fille de ton église là
- Je ne suis en couple avec personne à part toi
- Je t’ai appelé la dernière fois quand tu es partir de chez moi et c’est elle qui a décroché et elle a dit que tu te douchais
- Elle était effectivement chez moi ce jour là et le seul moment où je l’ai laissé c’était pour allé prendre mes clés de pour la raccompagner
- Ah, ce n’est pas ce qu’elle m’a laissé entendre
- Je vais avoir une franche discussion avec à ce sujet
- D’accord.
On parla de tout et de rien alors qu’il mangeait, je fis ensuite la vaisselle, je demandais à rentrer mais il refusa, je passais donc la nuit chez lui mais une nuit chaste alors que moi j’avais envie de faire des trucs.