Semaine 1
Ecrit par Miss Nana
9 MOIS 40 SEMAINES ET 1 BEBE
By Nana Técla
Semaine : 1
"Pourquoi 40 semaines de grossesses ?
Il est difficile de connaitre le jour exact de la fécondation, pour évaluer la durée de la grossesse, les médecins utilisent le nombre de semaines sans menstruation. Le calcul de la date d’accouchement commence donc au premier jour de la date de la dernière menstruation. Cette méthode ajoute donc 14 jours à la durée de la grossesse. Donc avec cette méthode vous n’êtes pas enceinte les deux premières semaines d’aménorrhée. La première semaine de grossesse qui correspond donc à la 3ème semaine d’aménorrhée est le début même de la grossesse. Au cours de cette semaine, l’œuf descend de la trompe de Fallope vers l’utérus. Au cours de ce voyage les cellules se diviseront progressivement, c’est la division cellulaire."
-Bébé, tes seins grossissent ein !
Je regarde Thierry avec des yeux ronds.
-Tu t’en plains ? (en effet je ne connais aucun homme qui se plaindrait de ça. En plus mes seins ont toujours été assez petits, il ne pouvait qu’aimer le fait qu’enfin ils prennent un peu de volume).
-Non, pas spécialement. Je n’ai jamais été très « seins » tu le sais chérie.
-Je grossis bébé, donc mes seins aussi suivent le mouvement.
Il s’approche enfin de moi et m’entoure la taille de ses bras. Oh j’adore cet homme, il est exactement comme je les aime. Mince sans être maigre, le corps fin et ferme, les hanches étroites et les fesses (Oh doux Jésus, ces fesses !), biens fermes au touché grâce à son travail qui lui permettait de garder la forme. Thierry est technicien en génie civil. Normalement son diplôme devrait lui permettre de rester dans un bureau à ne s’occuper que de la conception et des vérifications mais il préférait lui-même mettre la main à la pâte la plupart du temps.
-Et à propos de ce petit ventre qui pousse depuis un certain moment ? on reprend le sport quand ?
Je le regarde d'un œil mauvais. Quand on peut se permettre d’engouffrer des tonnes de nourriture et de sucreries sans prendre un gramme, bien sûr on ne peut pas savoir le sacrifice et la corvée que cela représente pour des gens comme moi qui prennent du poids après une pizza et une glace.
-Chéri, tu voulais que je pousse les fesses non ? et bah c’est un package. Les popotins viennent avec le bidon, il va falloir choisir le tout ou rien.
Il s’approche de moi et m’embrasse. Finalement. Je commençais à m’impatienter, depuis le temps qu’on est tous les deux nus dans cette chambre. Il me tient la nuque fermement d’une main et de l’autre il me pétrit les fesses. Je pousse un profond gémissement. J’adore faire l’amour avec Thierry. On dirait qu’il prend possession de chaque cellule de mon corps. Avant même que je finisse d’inspirer il me retourne d’un coup et se colle à mes fesses tout en me poussant vers la table. Je me tourne et l’interroge du regard. Il plonge un doigt en moi et remarque je suis déjà toute prête.
Tu vas adorer chérie.
(Les prudes et les saintes-nitouche quittez ma page avant qu’il ne soit trop tard)
Mon regard reste rivé au sien pendant qu’il me pénètre d’un coup. Je pousse un soupir de soulagement. Nos sexes s’emboitent parfaitement.
Oui !
C’était exactement ça. Cette sensation d’être remplie jusque dans mes moindres cellules.
-Oh, putain tu es toute chaude chérie !
De sa main il m’écarta encore un peu plus les fesses pour mieux me pénétrer. C’était tout simplement trop bon. Je me retenais de crier pendant qu’il me pilonnait, mais comme je n’ai jamais fait dans le silencieux, même mes gémissements étaient déjà assez forts. Je n’en avais cure. Je suis une jeune fille de 27 ans qui fait l’amour avec son petit ami. Je sortais avec Thierry depuis 4 ans maintenant et on dirait que le sexe ne faisait que s’améliorer entre nous avec le temps. Bien sûr les missions de Thierry à l’intérieur du pays faisaient que nous avions des périodes d’abstinences. Mais nos retrouvailles étaient toujours chauds bouillants. Nous restons dans cette position jusqu’à ce que mes jambes n’en puissent plus et quand il sent que je commence par faiblir il se retire et m’entraine sur le lit. Je m’allonge et écarte les cuisses pour mieux l’emprisonner entre mes jambes. Je le sens se tendre un peu plus à chaque poussée pendant que moi-même j’ai du mal à garder les yeux ouverts pendant que je sens cette tension familière dans mon bas ventre. Elle grossissait et tout ce que je pouvais faire était éssayer d’inspirer un peu plus fort pendant que ma respiration s’accélérait et que les muscles de mon utérus se contractaient en prélude à ma jouissance. Je ne remarquais même plus que la cadence de Thierry avait augmenté, tellement j’étais bien dans mon propre monde, sur mon propre nuage. Un instant plus tard j’entendis un soupir de soulagement et dans un dernier coup de reins il éjacula. Je lui souris pendant qu’il revenait sur terre.
-C’est quoi ce petit sourire en coin ? demanda t-il en m’embrassant sur la cuisse avant de se retirer et de s’affaler à côté de moi.
-Rien chéri. J’aime te donner du plaisir.
Il sourit et m’enveloppa de ses bras.
-Moi aussi je t’aime Yabo.
Il me caressa doucement le ventre, doux effleurements qui me titillaient la peau.
-Tu ne serais pas enceinte par hasard ?
-Moi ? non, bien sûr que non. tu veux un enfant ?
-Non, pas spécialement chérie. Si ça venait je ne dirai pas non, mais c’est que tu ressembles de plus en plus à une femme enceinte.
-Pff, je te rappelle que j’ai fait un test il y a deux semaines à peine, et puis mes règles sont finis depuis à peine 10 jours. Je ne suis pas enceinte chéri.
-Hmmmm, si tu le dis.