VENGEANCE VS AMOUR : Page 35

*Un Très beau Mariage ! 

ANDY 

Je me suis réveillé ce matin de bonne heure, et avec Franck et certains amis de la société nous sommes allés nous poser devant la plus grande unité de la police pour manifester et exiger que Julie soit conduite dans un poste de police  afin de procéder à une enquête. 

Au début ils ne nous prenaient pas au sérieux ce n’est que lorsque ces gens m’ont vu commencer mon reportage qu’ils commençaient à me prendre au sérieux. 

Et là le directeur de la police me demanda, je montai à son bureau et il me demanda de rentré en me promettant que dès ce soir Julie sera conduit dans un poste de police pour suivre la procédure normal. Vu que c’était un homme âgé et qu’il me suppliât même je promis de rentré moi et ma bande mais en lui  promettant de revenir le lendemain si rien n’était fait. 

Ce n’est qu’aux environs de minuit qu’un policier du 12ème m’appela pour me dire que Julie était bel et bien arrivée dans leurs locaux. 

Je prie ma voiture pour m’y rendre mais une fois sur place on m’informa que vu l’heure, je ne pouvais la voir et qu’elle refusait de voir toute personne avant son avocat. 

Je retournais chez moi, un peu rassuré. Je vais attendre le lendemain pour informer sa famille. 

LIZZIE

Je reviens du travail avec Franck, je suis passée à son travail car il m’a dit qu’il ne se portait bien et ne savait s’il pourrait conduire, donc je suis allée le chercher et l’emmener chez lui. 

On rentra à la maison et il se coucha un peu dans le canapé je lui apportais de l’eau et alla vers lui 

Moi : (m’asseyant près de lui)  ça va mieux ? 

Lui : tu es là donc oui 

Moi : (caressant sa tête)  Dieu merci tu as tant fait avec Andy pour retrouver cette fille 

Lui : (soupirant) oui et Dieu merci elle est en lui sûr actuellement, la prison n’est jamais sûr, mais au moins nous savons ou elle est maintenant

Moi : c’est exact, pauvre Andy 

Lui : vraiment pauvre Andy car apparemment entre lui et Jamila c’est bizarre actuellement 

Moi : (évitant le sujet)  hum ca s’arrangera 

Lui : je l’espère 

Moi : sinon tu crois que cette fille est coupable de tout cela ? 

Lui : à vrai dire je n’en sais rien, selon Andy elle est incapable et selon moi pourquoi parmi toutes les assistantes c’est elle seule, son nom qui est revenu selon moi y’a forcément un truc qui s’est produit. 

Moi : (soufflant) hum c’est bizarre 

Lui : (se levant)  oui, je vais me changer 

Moi : je t’accompagne 

Lui : (sourire en coin)  si tu viens on fera plus que me changer 

Moi : (riant) ok je t’attends alors 

Plus de 15 minutes que celui-là est partie mais rien, je donnais à manger à Denver son fidèle ami (chien). Je commençais à m’inquiéter et je pris les marches pour voir s’il va bien 

Moi : (ouvrant le porte de sa chambre) Franck…..Oh Mon Dieu (surprise) 

La chambre était décoré avec au mur des ballons gonflables et sur le lit des pétales avec des mots : « veux-tu m’épouser » et il était là avec une belle bague à la main. Mes larmes commençaient à couler. 

J’allai à son niveau et l’embrassant en pleurant. 

Lui : (m’embrassant)  je me demandais quand tu viendrais mes genoux souffraient 

Moi : (l’embrassant) je t’aime 

Lui : (avec un si beau regard)  moi aussi ma belle fleure et je veux me réveiller chaque jour en te voyant, respirant ton parfum et te faisant rire. Épouse-moi 

Moi : (criant presque)  j’accepte (l’embrassant) t’a pas idée de la joie et le bonheur qui m’anime actuellement 

Lui : désolé Andy devait m’aider pour le décor mais avec tout ce qu’il a actuellement j’ai pas oser lui demander. 

Moi : (lui souriant) c’est parfait, c’est toi qui l’as fait pour moi et c’est parfait

Lui : je t’aime ma belle fleur du jardin (me caressant la joue) 

Moi : moi encore plus mon beau jardinier 

Lui : (me regardant avec amour)  c’est donc officiel à partir d’aujourd’hui tu es madame Kouakou 

Moi : bien sûr M. Kouakou (riant) 

Je rentrais chez moi le lendemain matin très tôt, suppliant Franck de me laisser car je voulais réveiller Jamila avec cette nouvelle. Il m’embrassa en me faisant promette de revenir le soir. Je le lui promis. 

Je partis dans sa chambre et la vit endormi, je la réveillai 

Elle : (frottant ces yeux)  hum Lizzie qui y’a-t-il ? 

Moi : (lui montrant ma bague) il y’a que…

Elle : (se levant) dis-moi ? 

Moi : Franck m’a demandé en mariage (souriant) 

Elle : (criant presque)  wahooooo, félicitations je suis heureuse pour toi. 

Moi : merci beaucoup tout ça c’est grâce à toi 

Elle : (ne comprenant pas)  j’ai fait quoi ? 

Moi : je t’ai suivie ici

Elle : (regardant ma bague) c’est plutôt grâce à ton altruisme car tu n’étais pas obliger de venir, wahhooo on va organiser un mariage. J’imagine même déjà (riant) 

Moi : (heureuse et me jetant sur son lit en fixant ma bague)  moi je n’arrive pas à imaginer, mais Franck veut cela vite au plus tard dans deux mois. 

Elle : (souriant)  et il a raison avec une tel beauté, ne vous en faites pas je m’occupe de tout 

Moi : merci beaucoup et Ethan ? 

Elle : (craint) ETHANNNNNNN

Lui : (venant)  oui maman, je dormais 

Moi : (souriant)  et tu réponds ? 

Lui : c’est maman qui a crié 

Elle : (riant)  dit plutôt que tu parlais sur internet 

Lui : (souriant) un peu 

Moi : (le regardant en souriant)  avec qui ? 

Lui : (riant) des amis

Elle : donc dit à tes amis de commencer à s’apprêter car  dans deux mois on célèbre un mariage 

Lui : c’est vrai ? 

Moi : (lui montrant la bague) oui 

Lui : (se jetant dans mes bras)  félicitations tata, je vais appeler Franck pour le féliciter d’hommes  à hommes 

Elle (riant) : vraiment 

Lui : (souriant)  oui et aussi dire à Andy de faire vite 

Elle : (ahurie) pourquoi ? 

Lui : (sortant) votre mariage 

Moi : (riant) il n’a pas tort 

MAXIME 

Je suis vraiment heureux moi qui était à la traine ces temps ci avec qu’une seule voiture et un chauffeur, même plus de gardes et bien me voici entrain de signer un autre contrat, une sorte d’investissements qui me permettra d’avoir plus que ce que je ne pouvais imaginer. 

Je suis vraiment heureux, cet américain a été mon coup de chance, j’ai signé le contrat qui me demandait de mettre en garant presque tous mes biens mais le retour m’offrira le triple de mes biens et donc je l’ai fait. 

Pour célébrer cela j’ai demandé à Jokeybed de me rejoindre dans un restaurant bien chic et propre. 

Elle m’y rejoint et je ne pus que lui sourire. 

Moi : (heureux)  tu ne croiras pas

Elle : (me souriant)  dis-moi ? 

Moi : j’ai signé le contrat 

Elle : (tapant dans ces mains mais avec class)  félicitation, ça été rapide tout de même 

Moi : (souriant)  oui, et cela grâce à ta toi. Tu as de la chance et cela dépeint sur moi 

Elle : (riant) mais comment ça va se passer ? 

Je lui expliquais tout et elle se crispa.

Moi : (la sentant crispée) qui y –a-t-il ? 

Elle : (semblant inquiète)  c’est un peu louche cette affaire selon moi 

Moi : (heureux qu’elle s’inquiète pour moi)  non, ne t’en fais pas. Ca me rapportera assez et beaucoup même 

Elle : tu n’avais qu’à me demander de l’argent et monter une affaire, (semblant toujours inquiète)  mais celle-ci est louche devant moi 

Moi : quel genre d’hommes prendrai l’argent dans la main de la femme qu’il aime. Ça doit plutôt être le contraire. (La rassurant)  Tu verras je te ferai honneur, l’argent recoulera à flot bientôt 

Elle : (soufflant)  ok je te fait confiance 

Moi : (heureux)  j’adore quand tu me dis cela 

Elle prit congés de moi, car elle devait organiser le mariage de sa belle-sœur pour bientôt. Elle voulut me faire une bise mais je la surpris en l’embrassant, ces lèvres étaient si douces, elle ne dit rien et parti rapidement. 

Moi :  (le regardant partir en souriant) je t’aime ma belle 

1 MOIS PLUS TARD

J’étais assis chez moi entrain de compter mes sous lorsque l’on tapa, j’ouvris et je vis la police débarquer. 

Eux : M. veuillez nous suivre au poste de police 

Moi : mais pourquoi, qu’ai-je fait ? 

Eux : trafic d’argent et de drogue, nous avons un mandat (sortant un papier) 

Moi : (remuant la tête) mais c’est impossible 

Lui : (me demandant de les suivre sans m’opposer)  ça c’est à la justice d’en décider

Je les suivis pour ne pas qu’ils aient à me martyriser et on arriva au poste. C’est là-bas que l’on m’expliqua que j’avais signé affaire avec un grand dealeur et qu’il faisait aussi dans le trafic d’argent, je voulus protester mais parmi les billets qu’il m’avait donnés certains  étaient faux. Je l’appelais mais il était injoignable, c’est comme si je n’avais jamais traité affaire avec lui, pourtant j’avais fait affaire avec lui. 

Jokeybed : (toute chamboulée) il est introuvable, j’ai mis des gens à sa recherche mais c’est impossible de le retrouver 

Moi : je vais moisir ici 

Elle : (mettant sa main sur la mienne)  pas tant que je vivrais 

Moi : hum j’aurais dû t’écouter 

Elle : (me réconfortant) ça peut arriver à tous. Je vais voir ce que je peux faire, tiens bon je t’en prie 

Moi : merci et désolé pour tout 

Elle : (me parlant avec calme)  t’en fait pas, fais attention. Je ne veux pas que tu répondes aux gens et ils te frapperont. 

Ca fait maintenant quelques jours que je suis ici et c’est vraiment pénible, on ne me touche pas car je ne cherche personne mais ce n’est pas facile, en plus je sens que certains veulent ma peau. 

Moi : toi ? 

Elle : oui moi (enlevant ces lunettes) 

Moi : c’est pour ton mari ces lunettes, il te fait suivre ? 

Elle : on ne sait jamais (souriant) 

Moi : tu es venue rire de moi 

Elle : même pas je suis désolée pour toi 

Moi : hum merci 

Elle : (me regardant)  tout est bizarre dehors le peuple ne veut plus du président, il a beau presque tout nous retirer mais ils ont trop entendus et ne veulent d’un ‘’poulain’’, selon leurs dires. Mon mari veut que l’on retourne en France mais plus parce qu’il ne supporte pas d’être dans la même ville que toi je pense. J’ai l’impression de perdre le contrôle. Les autres amis de la bande sont presque tous traqués jour et nuit pour leurs faux coups tordus. La seule chose qui m’épargne cela c’est juste parce mon mari est vivant et encore puissant, je pense. 

Moi : (dépassé) et moi qui croyions que seul moi avais les ennuis 

Elle : (soupirant)  toi les tiens vont plus vite apparemment 

Moi : (remuant ma tête)  hum je suis en train de tout perdre, tous mes biens 

Elle : (triste)  vraiment navrée 

Moi : (la fixant, elle était toujours aussi belle et raffinée je vous l’assure)  donc tu es venue me dire au revoir ? 

Elle : (me tenant la main)  en quelque sorte, oui

Moi : (triste, on parle quand même de Neslie et tous savons comme elle compte pour moi)  tu vas me manquer, heureusement que j’ai trouvé une autre perle rare 

Elle : (enlevant sa main)  hum tu n’as pas remarqué que depuis que cette femme est dans ta vie tout se complique 

Moi : le coup du destin, et en plus elle me sauve 

Elle : (me fixant) ah bon ? Et où est-elle aujourd’hui est jour de visite non ? 

 C’est vrai ca fait plus de deux jours de visite qu’elle n’est pas venue. Je me disais qu’elle  était souffrante ou était à fonds dans les préparatifs 

Elle : (touchant mon visage)  ouvre les yeux cet ange que tu penses avoir eu est venue pour t’anéantir, j’en suis sûre

A cet instant un policier entra dans la salle des visites. 

Lui : (voix grave)  M.Bely vous devez retourner dans votre cellule 

Moi : (ahurit)  mais  le temps n’est pas encore écoulé 

Elle : il y’a un souci sergent ? 

Lui : une solution plutôt, vous êtes libre donc allez cherchez vos affaires. Votre caution a été payé cash ce matin, le juge a accepter la remise en liberté sous caution. 

Moi : (ahurit, car le juge ne voulait pas d’une caution et la caution même était vraiment très élevée) ah bon et qui a fait ça ? 

Jokeybed : (entrant) moi 

Moi : (souriant)  merci chérie 

Elle : (regardant Neslie)  Mme valls, (me touchant le visage)  tu vas bien ? Désolé mais je devais trouver un bon avocat pour plaider une caution pour toi voilà pourquoi je ne venais pas

Moi : (embrassant ses mains)  ne t’excuse pas 

Neslie : (se levant avec une mauvaise mine)  je prends congés, (me souriant) félicitations Max, Mme Nelson (la regardant également) 

JAMILA 

Je souris jusqu’à présent quand je repense à la tête de Neslie quand elle m’a vue. J’ai sortie Maxime et l’ai envoyé chez lui, j’ai passé presque toute la journée avec lui et comment ? Je dois faire semblant de l’apprécier. 

Je suis maintenant dans la voiture l’attendant 

Lui : alors ? 

Moi : rien, j’étais obligé de le faire sortir pour qu’il est encore plus confiance en moi 

Lui : ça viendra madame

Moi : (soufflant)  que ça fasse vite, j’en ai marre de devoir lui sourire et le laisser m’approcher 

Lui : (me rassurant)  ne vous en faites pas, on fait quoi du reste de ces sous. Vous avez pris une partie pour payer l’avocat et sa caution 

Moi : (réfléchissant)  hum on va soit les donner à l’orphelinat ou alors les prendre pour construire l’un des centres d’attraction que je veux. Il fera une bonne action avec son argent pour une fois 

Lui : d’accord madame bonne soirée 

Moi : vous de même 

Bon je vous explique, j’ai payé un homme pour qu’il se fasse passer pour un homme d’affaires américain. Et il a séduit cet idiot de Maxime qui broyait du noir et était prêt à tout accepter afin de pouvoir narguer les autres. Le M. a donc prit l’identité d’un dealeur rechercher et donc 1 mois après en donnant à Maxime sa part du marché après leur soi-disant affaire, on y mit des faux billets et le détective s’arrangea pour que sa tombe dans les oreilles des policiers. Donc c’est ainsi qu‘ils ont mis la main sur Maxime et ces faux billets. 

Je l’ai fait car je devais fouiller sa maison, pour retrouver la carte, donc quand je partais pour faire genre je suis venue prendre ces affaires, je fouillais mais rien. Pourtant je n’avais plus envie d’aller le voir. Je me suis dit qu’en retrouvant la carte, tout allait s’accélérer et il moisirait en prison. Comme cela je serai libre et en paix. Mais rien  je n’ai rien trouvé. 

J’étais donc obliger de le laisser sortir, mais en lui remontrant ma bonne foi qui était de payer sa caution et lui faisant croire que je cherchais un avocat compètent, certes l’avocat était compétent car le président qui avait eu vent de cette histoire la corsait plus vu qu’il détestait Maxime. Mais je ne l’ai en rien cherché, il a toujours été à ma disposition, c’est l’un  de nos meilleurs avocats nous les Nelson. Donc me prochaine  étape est comment récupérer la carte et me débarrasser de cet assassin au plus vite, je ne le supporte plus et il devient assez collant. 

Dieu aide moi ! 

Bon je vais aller dormir car demain est le grand jour de Lizzie. 

ANDY 

Je la regardais depuis que nous avions quitté la mairie et étions venus chez elle pour célébrer ce mariage. Elle était vraiment très belle dans son ensemble ghanéen, elle me fascinait. 

Ethan : (souriant)  elles sont trop belles mes mamans 

Moi : (continuant à la regarder)  tu as vraiment raison 

Ethan : je vais nous chercher à boire 

Moi : d’accord 

Elle dit un truc à l’oreille de Lizzie et elle se leva pour partir dans sa maison, je me levai et la suivais, elle marcha sans regarder derrière, moi aussi je fais attention, on arriva dans un couloir ou il n’y avait personne et elle me vit, elle voulut parler, mais je l’attirai dans la salle qui était à côté de nous. 

Une fois à l’intérieur je fermais à clé et écrasait ma bouche sur elle, je dévorais ces lèvres et la caressa, elle lutta au début mais se laissa faire, je la retournai et mis un de ces pieds sur le lavabo bien sûr en, ayant bien remonté sa robe

Elle : (gémissant)  tu es fou Andy !

Moi : (à a son oreille) nous deux (enlevant son dessous qui ne quitta pas automatiquement normal vu la position) on ne peut pas faire de pause (je me mis en elle) ni même arrêter, tu m’entends ? 

Et là je commençais à lui faire l’amour en allant et revenant en elle, la pauvre tenait la porte et y étouffais ces gémissements, moi je continuais, je la voulais  qu’elle me dise un truc, je voulais l’entendre donc j’oubliais le lieu et il alla plus fort en faisant descendre son pied et la faisant s’incliner un peu, elle me recevait pleinement là et avait du mal à étouffer ces cris et gémissements et j’étais heureux, je continuais plus fort puis elle lâcha 

Elle : (gémissant plus fort)  je t’aime Didi 

Moi : (la serrant très fort)  aussi Jaja 

Nous deux avons ensemble atteints le septième ciel, je quittais en elle et voulu l’aider à se retrouver mais elle me repoussa, s’arrangea et sorti rapidement. J’y restais quelques minutes, me nettoya et sortis pour aller au jardin.  Elle me vit et fuyais mon regard, Franck qui avait suivi la scène riait, je souris juste. 

Ethan : (me touchant)  je te cherchais depuis j’ai ramené nos jus 

Moi : (lui mentant avec  un sourire)  j’étais allé au besoin désolé

Ethan : ok viens, retournons à table 

Moi : ok

Sinon ce fut un très beau mariage, je devais vous le dire avant mais mon idée était occupé à admirer une autre merveille. 

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