XV

Ecrit par Les petits papiers de M

Romain

Nous étions maintenant à un million 600. J’espère sincèrement que ces abrutis n’ont pas plus de deux millions avec eux. Au-delà, je trouve que c’est cher payé pour un cul de pute, fut-il vierge. Leur duel commençait à devenir ennuyeux. Le sentant probablement, Sweety a entamé une danse de la tentation en s’effeuillant, rendant la salle folle au point où les numéros 2 et 3 sont revenus dans la course. Et au moment où le dernier vêtement tombait dévoilant d’affolants dessous et une chaînette en or autour de sa hanche, nous avons entendu un montant qui nous a tous laissé bouche bée.

-         Voix : trois millions !

-         La salle : wooouuuuhhhhhh

Comme tout le monde j’ai levé la tête pour voir d’où venait l’enchère. Mais c’était juste un homme éméché que les vigiles se sont empressés de faire sortir.

-         Imprésario : apparemment notre perle peut également fait perdre la raison en plus d’affoler les portefeuilles. Où en étions-nous ?

-         La salle : 1 million 600

-         Eh oui ! la bataille est belle. Je vous rappelle qu’il faudra absolument être en mesure de payer la somme annoncée cash à notre huissier à l’issue de la vente. 1 million 600 pour le numéro 2. C’est votre dernier mot ?

J’avais les yeux fixés sur les deux libanais qui discutaient vivement à voix basse. Je pense qu’ils essayaient de faire venir de l’argent de l’extérieur vu la façon dont ils checkaient nerveusement leurs téléphones. J’ai donc envoyé un message à Leroy en lui demandant d’accélérer.

-         Leroy : 1 million 800 mille

C’est sous les regards assassins des deux libanais que la vente a été close pour 1 million 800 mille au profit du numéro 15. Il a eu un droit à un baiser de la pucelle sur le podium en attendant plus avant que la soirée de gala ne soit close. Pendant que l’huissier et les enchérisseurs réglaient les derniers détails, j’ai pris mon temps pour saluer nos habitués et recueillir leurs sentiments sur la soirée de cette année. C’est trente minutes plus tard que j’ai rejoint Leroy dans mon bureau. C’est un ami de longue date qui était présent depuis la naissance du Boulot à Lomé. D’une très grande discrétion, il ne se déplaçait jamais vers le harem. Il utilisait le service d’escorte ou je lui envoyais des filles à domicile. Bien que pourri d’argent il ne s’était jamais marié. Il n’avait que des sexfriends qu’il virait à chaque fois que des sentiments naissaient.

-         Leroy : a l’instant où j’ai goûté ses lèvres, j’ai regretté de n’avoir pas posé ma candidature pour l’avoir. Surtout quand j’ai découvert dans le contrat de vente que ce serait toutes les nuits pendant une semaine au lieu d’une nuit

-         (riant) : je pourrai toujours te l’envoyer quand elle sera sur le marché du harem

-         On en reparlera. Celles que tu dresses depuis le temps ne sont pas mal. J’imagine le résultat avec un produit 100% made by you

-         Merci pour la confiance frère

-         C’est mérité. Comme toujours la soirée cette année était encore une belle réussite. Surtout avec cette vente. Pense déjà à quoi faire l’an prochain parce que là, la barre est allée vraiment haut

-         Laisse-moi déjà profiter de celle-ci. Demain il sera temps de faire des plans pour l’avenir. Tu fais quoi du reste de la nuit ?

-         Je vais attendre que la pucelle soit amenée dans ton bureau. Ensuite je vais me tirer chez moi avec la titulaire du moment. Elle m’attend en bas.

Nous avons trinqué en rigolant en attendant que la petite nous soit amenée. Je n’avais pas prévu de me la faire en allant à la soirée. Du coup, je n’avais pas particulièrement aménagé ma chambre pour la recevoir. Mais on verra quoi faire une fois qu’elle sera là.

   

Bella

Je me suis jetée sur le lit de Mysti en criant de joie. J’étais exténuée après une heure de temps à me vendre sur des talons aiguille.

-         (hurlant de joie) Je suis riiiicccchhhhhe

-         Mysti : t’as trop assuré. Je suis mal fière

-         Lily : je te dis. Tu as vu comment elle a fait le show ? je ne sais pas d’où t’es venue l’idée du strip-tease mais tu as déchiré

-         Quelqu’un connait celui qui a remporté l’enchère ?

-         Lily : je ne le connais pas mais je peux te jurer que c’est mieux que Malal ou Idriss. Ce sont des tarés ces deux-là

-         Mysti : c’est quelqu’un de bien. Et surtout de riche. Sinon il ne peut pas claquer presque 2 millions pour un hymen

-         Comment tu sais ça ?

-         Mysti : Il loue souvent des escortes. J’ai toujours eu de bons retours le concernant

-         Quennie (entrant sans frapper) : Sweety ! je devrais te passer un savon pour ton retard. Mais après ta performance de ce soir je suis juste trop contente. Viens par ici que je te félicite.

Elle m’ a prise dans ses bras en me faisant les bises.

-         Queenie : j’ai une excellente nouvelle pour toi. Le Padre t’offre une place au harem. Une place définitive si cela t’intéresse. Je te propose quant à moi une période d’essai pour que tu vois si c’est réellement ce que tu veux avant… ok ?

-         Oui, je veux bien la période d’essai. Je préfère y aller doucement

-         Que : en tout cas, t’as vraiment assuré. Je suis sûre que tu seras très demandée une fois que tu auras pris service. en attendant applique toi très bien avec notre gagnant

-         Vous ne serez pas déçue

-         Que : bien. Mysti, je dois rentrer. Je te laisse coordonner le reste de la soirée avec Serges. A 7heures, tout doit être fermé et nettoyé. Nos vacances commencent aussitôt. Donc on se revoit lundi prochain. Tu me feras le point par téléphone ou on se donnera rendez-vous ici si nécessaire

-         Mysti : pas de problèmes

-         Lily (prenant ses affaires) : faut que je vous laisse, le travail m’appelle. Sweety, encore toutes mes félicitations. On s’écrit

-         Que : Mysti, prépares là et emmène la dans le bureau du Padre. Le client l’attend là-bas. Ne prenez pas trop de temps. Juste une douche pour la rafraichir et tu lui mets la bonne tenue. Et récupère aussi ses papiers pour qu’on lui établisse un dossier en bonne et due forme pour la reprise. Je crois que je n’ai rien oublié. J’y vais. Je compte sur toi

-         Mysti : comme d’hab, j’ai la situation en mains.

Une fois seules, nous nous sommes directement rendues dans sa salle de bains pour ma douche tout en discutant avant de revenir pour que j’enfile ‘’ma nuisette’’. C’était en fait une longue robe blanche toute transparente qui ne cachait absolument rien et sous laquelle j’étais totalement nue. Mysti m’a alors tendu une petite boite dorée qui contenait une substance blanche, collante et parfumée.

-         Qu’est-ce que c’est ?

-         Un petit secret. J’attendais que nous soyons seules avant de te le donner. Tu ne dois en parler à personne. Jamais.

-         Ok. mais qu’est-ce que c’est

-         Le métier ici n’est pas facile et chacune se bat pour se faire le maximum d’argent avant de se tirer. Pour cela nous avons chacune nos secrets que nous ne partageons avec personne. Même si nous sommes collègues, nous sommes également des concurrentes

-         Je vois

-         Tu es ma sœur Bella. Je ne voudrais pas que tu traines trop longtemps dans ces murs. En plus de l’argent que tu gagnes aujourd’hui, gagnes le maximum que tu pourras en un laps de temps et va poursuivre tes rêves dehors

-         Mais toi tu es là depuis dix ans et tu sembles t’y plaire non

-         Ça c’est moi. Je n’ai pas su partir à temps. Mais je m’y prépare maintenant et je ne compte pas te laisser ici

-         Donc ça c’est pour ?

-         Le monsieur qui a acheté ta virginité est riche, célibataire et généreux. Lorsqu’il est fan de toi, il dépense des sommes folles pour toi. Il est déjà arrivé qu’il loue des escortes ici pour un mois, juste pour voyager avec elles. Et le récit qu’elles ont fait à leur retour était vraiment incroyable. Le but est donc que tu le fidélises. Si tu le rends dingue de toi et qu’il te privatise quelques mois ou même un mois, tu n’auras plus de soucis à te faire. Tu me comprends ?

-         Oui

-         Bien. Cette substance s’appelle colle cœur ou K.O. Tout ce que tu as à faire c’est de passer le doigt dedans et de l’introduire dans ton vagin avant que vous ne fassiez l’amour. Il faut absolument qu’il te pénètre sans préservatif

-         Oh ! et s’il est malade ?

-         Calme-toi. Tu ne me fais pas confiance ? jamais je ne te dirais de faire une chose pareille en te mettant en péril. Il est clean. Il fait régulièrement des examens quand il doit prendre les escortes sur une longue période. Je te promets que tu n’as rien à craindre

-         Et si je tombe enceinte ?

-         Ça n’arrivera pas. Si vous couchez ensemble cette nuit, je te ferai prendre la pilule du lendemain. Et ensuite on te choisira une méthode contraceptive. C’est obligatoire pour les filles du harem.

-         Mais comment je vais le convaincre ?

-         Il faut que tu trouves le moyen. Une seule fois suffit pour qu’il soit accro de toi pour au minimum deux semaines. Et s’il te pénètre une fois sans préservatifs, crois-moi qu’il en voudra encore et tu n’auras qu’à remettre régulièrement le produit pour le maintenir à tes pieds.

-         Tu l’utilises ?

-         Bien sûr. Tu te souviens de mon commerçant sénégalais ? il n’a plus jamais touché une autre fille du harem que moi. Il m’a dit qu’il ne retrouve le goût de ma chatte nulle part ailleurs dans ce monde. Et avant lui, il y en a eu d’autres

-         Et tu trouves ça où ?

-         Ce n’est pas le plus important pour le moment. Il faut juste que tu l’utilises. Tu le rendras fou. Tu es serrée et juteuse du fait des soins qu’on t’a fait. Ceci en plus, c’est la bombe. Celle qui me fournit me l’a juré. Cet homme n’aura d’yeux que pour toi

-         Hum… j’espère que ce n’est pas de la sorcellerie hein

-         Dieu m’en préserve ! c’est juste des secrets de femmes

-         Ok. je te fais confiance alors.

-         Avant que je n’oublie, donne-moi ta carte d’identité. Avec tout ce qui m’attend je risque d’oublier de la prendre. Or je dois finir avec ta paperasse avant la reprise. Je n’ai pas envie de passer mes congés ici

-         Ok. mais promets de ne pas rigoler

-         Pourquoi ? elle a quoi de drôle, ta carte ?

-         Tiens. Vois par toi-même

-         Oooh ?! c’est quoi ses noms là ? tu ne t’appelles pas Bella ?

-         Malheureusement, non. Mon nom c’est Simone Marie-Lisette Bakwo

-         Mais pourquoi on t’appelle Bella alors ?

-         Ah c’est une longue histoire. Quand je suis née, ma mère voulait que je m’appelle Bellamine. Mais ma grand-mère voulait que je porte les prénoms qu’elle avait choisis. Elle a donc écrit les siens en allant me déclarer. Ma mère lui en a voulu et n’a fait que m’appeler Bella toute ma vie en me racontant cette histoire. Elle voulait qu’une fois grande, quand j’aurai les sous je change mes prénoms. Et personnellement je trouve ces prénoms nuls. Du coup je me fais simplement appeler Bella

-         Waoh ! je me demande comment ça se fait que je ne l’ai jamais su

-         Tu n’es pas la seule. Même Ya Philo ne l’as remarqué qu’au moment de m’inscrire au centre

-         Ok. faut qu’on se bouge maintenant.

Mysti s’est assuré que je m’applique le colle cœur avant de me conduire au bureau du Padre où m’attendait mon premier client. Lorsque nous sommes arrivées, ils ont discuté quelques minutes avec Mysti avant de lui demander de nous laisser. C’est alors que j’ai découvert que mon client n’était pas du tout celui que je m’imaginais.

 

Romain

En apercevant Mysti et Sweety sur mon écran de surveillance, j’ai remis mon masque avant de leur ouvrir. Sweety se tenait timidement derrière Mysti, la tête baissée et les mains jointes. Elle n’avait plus rien de l’allumeuse qui était sur scène quelques minutes plus tôt.

-         Mysti : bonsoir messieurs, désolée pour l’attente. Je me devais de la préparer convenablement

-         Leroy : je m’en doutais. Je sais à quel point tu es consciencieuse.

-         Moi : tu peux nous laisser maintenant. Agréable soirée.

Après un rapide regard à la petite, elle a pris la porte. Et sweety est restée plantée devant la porte.

-         (lui montrant la direction du lit) : prends place là

Quelques minutes plus tard, Leroy nous laissait seuls

-         Approche. Tu bois ?

Elle a juste remué la tête en signe de non

-         Tu devrais. Ce soir, tu prendras un verre de vin. L’alcool va t’aider à te détendre. Et tu en auras besoin. J’imagine que tu te demandes qui je suis.

Elle s’est juste contentée de me regarder attentivement sans répondre. A cette allure la soirée risquait d’être longue. Déjà les vierges, je n’en ai pas l’habitude. Mes amantes, je les choisis en général mûres et salopes jusqu’au bout des ongles parce que le sexe c’est mon exutoire. Je l’aime hot. La seule sainte nitouche que je baise est ma femme. Alors la petite chose timide sous mes yeux là va devoir vite se bouger. Ma journée a été longue, je ne vais pas y passer la nuit.

J’ai retiré ma veste et ouvert les deux premiers boutons de ma chemise dont j’ai remonté les manches. J’ai ensuite mis de la musique. Les pucelles sont toutes fleur bleue. Bien que son cul m’ait coûté un paquet, je vais quand même lui rendre ce moment mémorable. Je l’ai prise par la main en l’attirant tout contre mon torse pour une petite danse. D’abord raide et malhabile, elle s’est peu à peu détendue, grâce au vin ou à la musique. Au bout d’un quart d’heure elle ondulait contre moi dans la lumière tamisée de mon bureau faisant grimper la température de nos deux corps déjà allumés par l’alcool.

Et très vite, la flamme s’est transformée en un petit feu qui s’est mis à nous consumer lentement. Son corps collé au mien, fermement appuyée sur moi, elle suivait les mouvements que je lui imprimais. Elle m’a donné le coup de grâce en se retournant pour onduler des fesses contre ma bite qui formait une bosse évidente dans mon pantalon. Sans tergiverser davantage je l’ai prise contre moi en l’embrassant lentement. Mais elle ne m’a pas laissé le temps de la faire languir. Elle a juste remonté ses mains à mon visage en m’embrassant profondément. Nous étions gênés par nos masques. C’est en essayant de lui retirer le sien que je me suis aperçu qu’il était lacé sur sa nuque comme un corset.

-         Enlève-le

Elle a juste à nouveau secoué la tête.

-         Enlève-le je te dis

-         Mon contrat stipule que je veux garder l’anonymat

-         Je suis le Padre. Ton boss. Alors dès demain si je le veux, je saurai qui tu es.

Elle s’est aussitôt retirée de mes bras en se mettant à scruter mon visage avec une drôle d’expression.

-         Bienvenue au harem Sweety. C’est pour moi que Leroy t’a achetée. Alors, tu peux le retirer. (non de la tête). J’attends

-         Je… je… on peut attendre la fin de…

-         (m’approchant à nouveau d’elle) tu n’arrives même pas à parler de sexe sans bégayer. Et (bisou à la commissure des lèvres) tu veux (coup de langue le long du cou) entrer (bisou sur un sein) dans mon harem ? (bisou sur l’autre sein)

Elle était figée et son cœur battait si fort que je le sentais sous sa poitrine alors que je la parcourais de mes mains. J’ai défait les lacets qui retenaient sa robe devant en la livrant à mon regard.

-         Tu veux le garder jusqu’à la fin ? ok. j’ai toute la semaine pour le retirer. Donc garde-le autant que tu veux.

Je me suis mis à l’embrasser, la caresser, la titiller de partout. Elle n’était plus que halètements et tremblements. Je l’ai attirée sur le lit avant qu’elle ne s’écroule sur le sol de la chambre en la faisant mettre à genoux face à moi. Nos regards imbriqués, je lui ai mis d’abord un doigt, puis deux. Elle mouillait tellement qu’on aurait dit une fontaine de miel, et pourtant la partie ne faisait que commencer. Je suis allé à la conquête de son point G. Et une fois que j’ai mis le doigt dessus, elle a vibré à en perdre la raison, totalement abandonnée et foudroyée par le plaisir.

Et cela m’excitait davantage parce qu’aucune des autres filles du harem ne se serait lâchée ainsi. Elles sont constamment dans la maîtrise de leurs attitudes et émotions, encore plus quand c’est avec moi. Cela fait partie du métier. Alors la voir se trémousser ainsi devant moi, les yeux voilés par le plaisir, la bouche entrouverte et les mains sur les seins m’a donné une idée. Je lui ai laissé le temps de redescendre sur terre avant de tirer une chaise devant le lit avec mon coffre à gadgets à portée de mains.

-         Excite-moi

Elle a voulu descendre du lit pour venir à moi mais je l’ai stoppée dans son élan.

-         Avant de donner du plaisir à quelqu’un d’autre, tu dois être en mesure de t’en donner toi-même. Alors je veux que tu te lâches, que tu te caresses devant moi comme si tu étais seule devant le miroir de ta chambre.

D’abord hésitante, elle s’est ensuite lâchée en parcourant son corps de ses mains. Mais ses gestes étaient maladroits et elle dansait plus qu’elle ne s’excitait. Il faudra que j’y remédie les jours à venir.  Sous ses yeux grands ouverts, je me suis entièrement dénudé. J’ai pris sa main avec laquelle j’ai parcouru mon dard avant de la relâcher et de récupérer  un petit vibromasseur dans mon coffre.  Je me suis assis contre la tête du lit en l’attirant entre mes cuisses, ses jambes bien ouvertes. Elle n’en pouvait plus de se tortiller et d’haleter lorsque j’ai commencé à varier les niveaux de vibrations sur son clitoris. Lorsqu’enfin je l’ai jugée cuite à point, j’ai sorti un préservatif de mon tiroir.

-         (me regardant droit dans les yeux) : je veux que ma première fois se passe sans. Juste me pénétrer sans ça pour que je connaisse au moins la sensation et après vous pourrez le remettre. S’il vous plaît

J’ai hésité une seconde mais nous sommes au harem. Elle est forcément clean et sous contraceptifs, donc je ne crains rien. C’est donc lentement, que centimètre après centimètre j’ai honoré de mon dard l’antre de la pucelle. Ce n’était pas la première fois que je dépucelais une fille mais sa chatte était juste indescriptible : incroyablement étroite, chaude, humide, mais en même temps tellement douce que j’avais l’impression que du miel me coulait dans la bouche alors que je reposais dans la ouate.

-         Putain, tu portes vraiment bien ton nom.

J’ai dû faire appel à tout mon self contrôle pour ne pas la pilonner sauvagement alors que les frissons et les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Je l’ai faite passer au-dessus de moi en remettant le vibromasseur sur son clitoris pour qu’elle puisse oublier la douleur et se lâcher. C’est par de longs jets de liquide sur mon torse qu’elle m’a fait comprendre qu’elle avait jouit. Et ce n’est qu’au moment d’éjaculer que je me suis rendu compte que j’avais oublié de reprendre le préservatif.

Après ce premier tour endiablé, j’ai décidé de la laisser se reposer quelques minutes avant de la libérer.

-         (sortant du lit) : tu peux rentrer chez toi. On se revoit ici demain à 20 heures

-         Oui Padre

-         Ton argent est sur le bureau

Je l’ai regardée s’habiller et j’ignore pourquoi, au moment où elle allait franchir la porte, je l’ai rappelée et lui ai remis une enveloppe de deux cent mille en plus.

-         Tu n’as pas besoin de déclarer cette somme à la Queen. ça ne fait pas partie du montant de l’enchère

-         Merci beaucoup Padre

-         Comment tu t’appelles ? ton vrai nom

-         ….

-         Tu sais qu’il me suffit de regarder ton dossier…

-         Simone

Et elle s’est empressée de claquer la porte derrière elle. Simone ? Je ne connais aucune Simone. Pourquoi donc me fait-elle tellement cette impression de déjà-vu depuis qu’elle a franchi les portes de mon bureau ce soir ?

Histoires de famille