Mel sentit les bras de Maleek se détacher d’elle lentement il se leva pris son oreiller et se dirigea vers la porte elle s’assit dans le lit mais aucun son ne sorti de sa bouche elle le regarda donc claquer la porte derrière lui. Comme ça au moins c’était clair elle venait de faire une bêtise. Elle voulait seulement la voir pas la sortir de prison elle voulait juste s’assurer qu’elle était saine mentalement car elle en doutait. Aucune personne mentalement saine ne tirerait sur sa propre sœur enceinte qui plus est. Elle soupira et coucha en ramenant les couvertures sur elle il valait mieux pas qu’elle aille le voir maintenant au risque d’envenimer la situation. Elle était trop fatiguer pour avoir des insomnies on ne pouvait pas se permettre ce luxe quand on avait des jumeaux qui rampaient et cassaient tout ce qui se trouvaient sur leurs chemins. Elle remis donc Maleek au lendemain et dormis profondément.

Ce furent les babillages et les baves sur son visages qui la réveillèrent a 7h du matin Malia et Ed étaient assis sur elle et Yara a coté avait un visage soucieux. Elle embrassa les enfant en s’essuyant le visage.

- Pourquoi tu n’as pas dormis avec papa ? Demanda aussitôt Yara.

- Parce que j’avais besoin de beaucoup d’espace j’avais mal aux jambes et tu sais que papa il est très grand.

Oui quand on avait des enfants on devenait de très grands menteurs forcement. Que devait-elle lui dire je me suis disputée avec papa ? Elle ramena les enfants dans leur chambre s’occupa d’eux alla ensuite s’occuper de Yara. Elle avait 7 ans et elle lui donnait une certaine indépendance mais elle avait encore besoin d’assistance. Elle alla ensuite prendre sa douche laissant les enfants aux bons soins de la nourrice Maleek était déjà partie apparemment et ce n’était pas comme si elle allait le retrouver au boulot vu qu’elle dirigeait maintenant l’entreprise de sa mère. A la pause, elle essaya de le joindre mais il ne décrocha pas elle se resigna donc a aller déjeuner avec Ida mais elle passait tout son temps a regarder son téléphone qui s’obstinait à ne pas sonner.

- Je suis si ennuyeuse que ça ? Demanda Ida

- Non ma belle. Soupira la jeune femme. Je me suis prise la tête avec Maleek hier. Enfin si on peut appeler ca se prendre la tête.

- Qu’est-ce qui s’est passé ? Voulu savoir Rachida

- Je lui ai demandé de m’emmener voir Monica et il est sorti de la chambre sans rien dire.

Ida prit le temps de déposer sa fourchette dans son plat, de croiser les bras sous sa poitrine et braqua son regard sur elle avant de lui demander :

- Tu es même sérieuse ? Tu as osé lui faire une telle demandes ? Qu’est-ce qui ne tourne pas rond ta ce qui te sert de tête la hein ?

- Oh mais ne cries pas qu’est-ce qui te prend ?

- Il me prend que tu tires trop sur la corde et elle va finir par lâcher. Dit Ida complètement en colère.

- Ida je ne suis pas entrain de nier ce qu’elle l’a fait Ida. Maleek l’a fait enfermee en confinement depuis 3 ou 5 mois je ne sais meme plus. Elle n’a pas vu la mlumiere du jour pas âme qui vive elle ne parle a personne. Tout ce qu’on fait c’est lui envoyer sa nourriture par un trou comme un chien.

- Et c’est ce qu’elle mérite pour tout le mal qu’elle a pu te faire. Elle a attenté a ta vie et a celle de tes enfants. Mais ce qui me tue le plus c’est ton égoïsme. Tu penses que tu as été la seule touchée par ça. J’ai cru mourir quand maman Berthe m’a appelé pour me dire ce qui t’était arrivé. J’ai débarqué a l’hôpital avec un nourrisson s’une semaine. Maleek a passé tout le temps ou tu étais en salle d’opérations en larmes est-ce que tu comprends ça ? En larmes il a passé tellement de temps a pleurer qu’il ne se rendait même plus compte. Il a cru qu’il allait te perdre qu’il allait perdre ses enfants vos enfants et tu as passé un mois a l’hôpital tu ne pouvais pas t’occuper de tes enfants. On a tous vécu cette douleur et lui encore plus mais tu oses te lever ouvrir ta bouche pour dire que tu veux aller voir la femme qui en est la cause sans même avoir peur ? Tu sais quoi ? Tu m’as coupé l’appétit. Elle attrapa son sac et se dirigea vers la sortie sans lui laisser le temps de répondre. 

Mel s’affaissa dans son siège honteuse car sa sœur avait raison. Elle déposa l’argent sur la table et sortie du restaurant pour retourner au bureau. Elle se concentra tant bien que mal pour finaliser le dossier sur lequel elle travaillait avant de rentrer. Elle avait essayé de voir Ida mais elle n’était pas revenu au bureau après l’avoir laissé en plan. 

La société se portait bien puisque les sous volé avaient été restitué maintenant, elle travaillait a la hisser plus haut laver par la même occasion. Mel ferma son ordinateur le mit dans son sac et sorti.

Maleek entra dans la chambre en ignorant vertement sa femme tout ce dont il avait envie était l’étrangler. Elle lui offrit un sourire qu’il fit semblant de ne pas voir alla prendre sa douche en paix. Oser lui demander de l’emmener voir Monica. Vraiment ?! Du grand n’importe quoi elle n’avait qu’a crever dans le trou ou il l’avait jeter car il était hors de question qu’il soit indulgent avec elle. Sur ce point ci, il ne cèderait pas devant Julia car ce n’était pas seulement pour elle mais aussi pour ses enfants. Il la trouva a la même place dans la même position il sut qu’il ne sortirait pas de la chambre sans avoir eu une conversation avec elle. Il prit donc le temps de passer son pyjama car il était rentré tard juste pour l’énerver car il savait qu’elle avait horreur de ca surtout qu’il ne l’avait pas prévenu. Comme il s’y attendait, elle dit :

- On peut parler s’il te plait mon amour ? 

- Pour que tu me dises quoi ? Demanda le jeune homme d’un ton sec. Avant de se diriger vers la porte

- Bébé s’il te plait écoute au moins ce que j’ai a dire. Fit-elle en le suivant dans l’autre chambre.

- Je n’ai pas envie de t’entendre parler de Monica bon sang ! Cria-t-il en donnant un coup de point dans le mur. Ce qui eut le don de la faire reculer d’un pas. Est-ce que tu sais combien de fois je suis restee debout a consoler notre fille quand tu était dans ce lit d’hôpital sans pouvoir te lever ? Je t’ai dis que ca a duré une semaine mais elle ne s’est calmée que quand tu es revenue a la maison. Et moi est-ce que tu sais que je n’ai pas dormi durant des mois parce que je vérifiais que tu respirais encore pendant la nuit ? Quand tu étais encore a l’hôpital j’avais peur que tu meures alors que je n’étais pas là. Est-ce que tu comprends que je dors a peine la nuit parce que quand tu te tournes et que je ne sens pas ton souffle me caresser la joue ou la poitrine je crois que tu es morte est-ce que tu comprends pas ce que cette femme a fait a cette famille et ta demande es tout simplement égoïste tu n’as même pas pris en compte ta sœur qui ne dormais pas sur ses deux oreilles quand tu étais dans ce lit d’hôpital. Maintenant sors d’ici et laisse-moi dormir je n’ai pas envie de t’entendre et encore moins de te voir parce qu’à cet instant j’ai une folle envie de te tordre le cou. 

Elle sortie de la chambre toute tremblante mais il s’en foutait pour une fois elle n’avait qu’a aller cogiter sur les bêtises qui sortaient de sa bouche.

Mel se dirigea droit dans la nurserie ou elle embrassa ses enfants sans pouvoir s’arrêter de pleurer. Si Ida et Maleek lui reprochaient la même chose c’était qu’elle avait vraiment fait l’idiote. Maleek ne lui avait pas parlé comme ca depuis longtemps enfin depuis qu’ils s’étaient expliqués. Elle alla aussi embrasser Yara avant de retourner dans sa chambre se coucher. Rien a faire 2h du matin et elle n’arrivait pas a dormir. Tout ce qu’elle voulait en parlant de Monica était qu’elle soit jugé justement et qu’il la fasse sortir du trou dans lequel elle était mais elle croyait aussi qu’elle était la seule sur laquelle cette histoire avait eu des répercussions mais elle avait touché toute sa famille. Fatiguée de se tourner et se retourner dans son lit pleines de regret, elle sortie et alla retrouver son homme dans la chambre d’ami. Il dormait elle profita donc pour se glisser dans le lit et contre lui il lui ouvrit les bras instinctivement surement et elle se laissa aller contre sa poitrine pour dormir cinq minutes.

Ouvrant les yeux Mel vit le regard de Maleek braqué sur elle.

- Je t’avais dis de me laisser seul. Dit-il

- Je sais mais j’avais besoin…on avait besoin d’être ensemble.

- Bien sûr parce que tu ne respecte jamais ce que je veux moi.

- Non Maleek. Protesta la jeune femme en s’asseyant. Maleek je suis désolée tu as raison vous avez raison Ida et toi j’ai été égoïste je ne parlerai plus jamais d’elle dans cette maison. Je ne mesurais pas l’étendu des dégâts causée par cette affaire. Je ne sais pas quoi dire a part excuse-moi. 

- Je veux comprendre comment tu peux penser a aller la voire après tout ce qu’elle nous a pris. Parle je ne vais pas te mordre. L’encouragea le jeune homme en la voyant hésiter.

- Ce n’est pas tant que je veuille la voire c’est juste que je pense a mon avis qu’elle doit être folle parce qu’une personne saine d’esprit ne ferait pas ce qu’elle nous a fait que ce soit a papa ou a moi. Et si elle n’était pas folle, l’isolement la rendra folle elle merite la prison je suis d’accord avec toi mais si elle devient folle a cause de moi je ne pourrait pas vivre avec car oui elle est en prison c’est par rapport a ce qu’elle a fait mais si elle est en confinement c’est parce que c’est moi.

- Donc tu veux passer par le procès ? Tu veux t’infliger ça ? Demanda le jeune homme 

- On peut trouver un moyen pour que je n’assiste pas au procès vu que les preuves contre elles sont accablantes. La conversation téléphonique qui es enregistré dans ton téléphone et les aveux qu’elle a fait.

- Je vais y réfléchir. Dit-il enfin avant de se recoucher. Elle le suivit dans son mouvement. Sinon tu veux être le seigneur des anneaux ou quoi ?

- Comment ça ? Demanda Mel perdu.

- Ca fait quoi 1 an que tu as cette bague au doigt ? Mais tu ne fait aucun plan pour le mariage tu n’as même pas encore fixé une date.

- Mais je croyais qu’on prenait notre temps après l’accouchement et tout.

- Oui les enfants sont déjà assez grands et moi j’ai envie que tu sois ma femme officiellement. 

- Oh ! et tu vas aussi me faire l’amour par la même occasion ? Parce que ca fait aussi des mois que tu refuses de me faire l’amour malgré toutes mes tentatives.

Il la prit dans ses bras l’embrassa tout en la caressant elle se retrouva nue en un temp record. Son sein dans la bouche de Maleek alors qu’il la doigtait. Il mettait trop de temps a la pénétrer alors qu’elle avait juste besoin de le sentir au fond de sa cave. Il la prit avec bestialité en la labourant si fort qu’elle enfoui sa tête dans l’oreiller pour étouffer ses cris. Il jouit mais ne la libera pas pour autant. Il continua a changer de position au moins quatre fois avant de s’effondrer a ses cotés la laissant ainsi reprendre son souffle. Son sexe chauffait tellement qu’elle aurait pleuré. Elle avait chercher elle avait trouvé elle voulait se lever pour aller asperger sa foufoune d’eau froide mais elle était sur de tomber si elle se levait. Elle sentit Maleek se lever quelques minutes après, elle sentit ses mains sur ses jambes il les écartait même la force de protester elle n’avait plus monsieur voulait plus ? Mais une sensation froide sur sa foufoune la fit sursauter Maleek appliquait un gang de toilette froid dessus et le massait doucement. Mel se mit sur les coudes pour le regarder faire il trempa le gang dans la petite bassine d’eau près de lui et massa encore. Elle eut un sourire il était tellement mignon son chéri a penser a elle à tout moment alors qu’elle idiote pensait aux autres avant lui.

- Merci mon amour. Dit-elle quand il l’eut rejoint. Oh mon Dieu les enfants fit-elle en regardant l’heure.

- Calme-toi maman est venu les prendre tout a l’heure c’était prévu tu as oublié ? 

Elle se laissa tomber lourdement sur le lit

- Dis que tu m’aimes même si je suis stupide. Dit-elle en lui caressant la joue avec tendresse.

- Je t’aimes même si tu es stupide. Répéta le jeune homme avec un sourire magnifique.

- Eh tu étais censé me dire : tu n’es pas stupide mon amour. Dit-il en lui donnant une tape sur l’épaule

- Tu agies souvent de manière stupide mon amour dit-il après avoir ri. Mais tu n’es pas stupide. La prochaine fois que nous ferons l’amour sera quand nous serons mariés. 

- Mais comment ça ? Fit-elle en s’asseyant

- Eh bien ou tu fais de moi un homme honnête ou je ne te laisserai plus profiter de moi.

Elle le regarda interloquée elle aurait ri si il n’avait pas l’air aussi sérieux. 

- Tu devrais commencer a chercher une date on sait toi et moi que tu es une nymphomane et que tu ne supporteras pas un sevrage longtemps.

- Non mais n’importe quoi. Protesta la jeune femme 

- Vraiment ? Donc si je fais ça…il lui massa le sein avec frénésie et ca il lécha son téton droit tu ne mouillera pas ? je suis sure que tu es déjà toute trempée n’est-ce pas ? 

Elle l’était effectivement mais ne comptait pas l’admettre elle repoussa donc ses doigts et lui lança :

- Celui qui cèdera le premier offrira le cadeau de son choix à l’autre.

- Deal. Dit-il en scellant cela d’un baiser. Et tu sais ce que tu veux au cas où tu gagnerais ?

- Oh je vais gagner t’inquiète pas Monsieur c’est toi la Nymphomane. Passe-moi ta tablette

Il lui donna et elle alla dans google pour lui montrer ce qu’elle voulait. Sa recherche fini, elle lui montra ce qu’elle voulait.

- Ce sac coute £80.000 Lia

- Je sais et j’en rêve en plus tu ne m’as pas offert de push gift

- Kwemo un sac a 56.000.000 même une maison ne coute pas aussi cher.

- Tu es a ca près ? Bref donne moi la tablette je cherche une autre alternative.

Maleek lui tendit docilement la tablette elle alla sur le site de Jaguar et sentit le regard de Maleek sur elle. Il n’avait pas fini de la regarder elle avait bien l’intention de gagner ce pari et elle voulait ou cette voiture ou ce sac. Des maison elle en avait déjà des maisons et des terrains un compte en banque bien remplit et puis il était bien plus riche qu’elle donc il pouvait se le permettre. Elle ne lui demandait jamais rien la seule chose qu’il lui avait offert depuis qu’ils étaient ensemble était la voiture qui était irrécupérable bon il y avait aussi un Birkin mais bon les hommes parfois a trop leur montrer qu’elles se suffisait à elles-mêmes, ils oubliaient souvent que c’était leur devoir de chouchouter les femmes. Ce n’était donc pas un caprice mais juste une manière de lui montrer qu’il pouvait toujours lui faire plaisir. Ils avaient déjà ouverts des comptes aux noms de leurs enfants et certaines maisons aussi avaient été misent a leur noms. Donc voila il fallait bien qu’il lui fasse plaisir elle lui montra donc la voiture qu’elle voulait : une Jaguar E-PACE a £ 36,520

- Ca fait £ 25.564.000. Dit Maleek mais tu me coute cher hein toi. On t’a dit que je travaille mon argent pour toi ? J’ai des enfants hein.

- Ne m’embrouille pas. Dis-moi plutôt ce que toi tu veux.

Il prit le temps de capter son regard de l’embrasser avant de dire :

- Je veux d’autres jumeaux. Elle bondit du lit comme s’il y avait le feu. 

- Tu es fou ! Affirma la jeune femme. Tu crois qu’on fait des jumeaux comme ça ?

- On l’a bien fait comme ca la première fois non ? Argua le jeune homme sourire aux lèvres

- Mais tu es complètement malade. Dit-elle en marchant de long en large dans la chambre. Les enfants n’ont même pas encore un an. D’ici à ce qu’ils naissent ils auront plus d’1 an. Il y a déjà une grande différence entre Yara et les jumeaux tu ne trouves pas ?

- Maleek tu es fou. On peu attendre 1 an et demi comme ca ils auront 2 ans de différence c’est pas beaucoup.

- En tout cas c’est que je veux si c’est moi qui gagne je veux qu’on fasse d’autres jumeaux. Insista Maleek

- Tu es au moins conscient que ce ne sont pas encore des jumeaux que je ferais forcement ?

- Et moi je te dis que si. Bref si tu veux ta voiture ou ton stupide sac…

- Ehhh. Protesta la jeune femme.

- Comme je disais si tu veux que j’accepte le défis c’est ça mon gage.

Elle revint se coucher dans le lit elle commençait à avoir froid.

- Tu as peur a cause de la manière dont ca s’est passé la première fois ?

- Oui un peu. Avoua la jeune femme.

- Elle ne te feras plus jamais mal plus jamais et s’il faut que je prenne des congés pour être a tes cotes toutes les minutes je le ferai. J’ai pas envie de faire les enfants a 50 ans je suis assez vieux. Il entrelaça ses doigts aux siens et les embrassa avant de continuer : elles seront toutes belles nos princesses et elles seront aussi jolies que toi.

- Jusqu’à tu as décidé que ce sont des filles. Dit-elle dépassée.

- Je les ai vu dans mon rêve il y a quelques jours. Elles avaient autant de cheveux que toi avaient mon teint mais tes traits. 

- Ce n’était qu’un rêve Mal.

- Ca s’est toit qui le dit. 

Elle soupira et essaya de se lever mais il la retint.

- Ou tu vas ?

- Prendre une douche. Dit-elle en s’arrachant de ses bras.

- Alors je te rejoins comme ça on économisera l’eau. Dit-il en la suivant.

- Non mais n’importe quoi. Dit-elle Maleek mon sexe chauffe encore.

- C’est meilleur quand ça chauffe un peu. Assura Maleek en l’embrassant.

- Maleek tu es un malade mentale. Dit-elle entre deux gémissements. C’est toi qui ne voulait plus me toucher maintenant tu ne veux plus me laisser. Awww gémît la jeune femme 

- C’était parce que j’allais te casser. Mais maintenant non.

Il y allait lentement si lentement qu’elle voulait fondre en lui. Elle le mordait, le griffait c’était le seul moyen de lui montrer son plaisir.

- Dis-le que tu m’aimes. Ordonna le jeune homme

- Aww je t’aime mon amour.

- Dis-le que tu es a moi.

- Oh mon amour je suis à toi. 

- Vraiment à moi ?

- Oui mon amour a toi et rien qu’a toi. Cria la jeune femme au portes de la jouissance. Mais il ralentit le rythme encore plus.

- Trouve une date maintenant alors. Exigea le jeune en lui pinçant le téton.

- Maleek s’il te plait va plus vite.

- Une date bébé. Dit-il en embrassant son dos. 

- Septembre. Dit-elle au supplice. 

- Ce n’est pas une date mon amour soit plus précise.

- Le 15 Aout.

- Voila. C’est très bien. Dit-il en la faisant finalement jouir.

Mel termina de s’habiller et alla rejoindre Maleek dans le salon. Il travaillait comme d’habitude. Même après une partie de jambe en l’air endiablée il trouvait toujours la force d’aller travailler. Elle déplaça son ordinateur et prit place sur ses jambes.

- Tu n’as pas eu ta dose toi ? Demanda-t-il en posant les mains sur ses fesses rebondit.

- Vu que tu as déjà perdu le pari et ce après a peine 30 du deal pourquoi me priver ?

- C’est parce que tu m’as ensorcelé. 

- Mais tu as même vérifié la date du 15 Aout ? Tu n’as rien de prévu ? Pas de…

- Je n’ai rien de prévu ne repousse pas si c’est ce que tu veux déjà faire.

- C’est que j’ai donné cette date juste pour que tu me fasse jouir bébé. Je ne peux pas organiser un mariage en deux mois Mal.

- Tu devras pourtant le faire mon amour. Dit-il en l’embrassant dans le cou.

- Mais Mal…

- Moins de bavardage plus d’action. Tu devrais commencer tout de suite. Dit-il en la chassant de ses jambes.

Mais ce type était un grand malade carrément c’était lui qui était pressé. Il ne lui accordait même plus un grand regard plongé dans son ordinateur comme si elle n’existait plus. Elle se resigna donc a prendre son ordinateur pour se renseigner sur les organisatrices de mariage.

Les deux mois qui suivirent, elle fut tellement a fond dans les préparatifs du mariage qu’elle ne remarqua pas les changements de son corps. En même temps tout se passait à l’intérieure. Son père essayait tant bien que mal de gagner la confiance de Maleek mais celui-ci ne lui rendait bien évidemment pas la tache facile surtout quand il voyait sa mère lui prendre la main. Finalement elle choisit d’organiser son mariage elle-même et pria le ciel pour que ce soit son premier et son dernier car vu l’état de stress immense dans lequel elle s’était retrouvé, elle ne le ferait plus jamais. Le jour J, elle se réveilla heureuse mais aussi avec le stress au ventre il fallait qu’elle s’assure que tout était parfait. Elle était tellement pendu au téléphone que sa belle-mère le lui arracha des mains elle était venue vivre a la maison pour l’aider depuis deux semaines cela faisait aussi deux semaines qu’ils n’avait plus fait l’amour et ils se chauffaient a la moindre occasion. Avec des messages salaces et des photos coquines. Ils s’étaient tellement chauffés un jour n’en pouvant plus, ils s’étaient retrouvés dans la salle de bain pour un coup vite fait mais maman Berthe était venue frapper a la porte leur disant qu’ils pouvaient tenir une semaine de plus. Elle avait vraiment eu honte ce jour-là. Mais aujourd’hui elle allait se marier elle allait lier sa vie a celle de l’homme qu’elle aimait. La porte de sa chambre s’ouvrit sur Ida qui sauta sur son lit en criant :

- Tu te maries aujourd’hui ma puce. Elle le disait en sautant sur le lit comme une enfant.

- Oui je sais et je vais mourir de stress.

- Si tu m’avais laissé organiser un enterrement de vie de jeune fille.

- Maleek n’a rien fait je me voyais mal faire quoi que ce soit. En plus il n’y aurait eu que toi et moi. On n’a pas d’amis

- Vrai. Oh je suis tellement heureuse pour toi. fit-elle en pleurant.

- Merci. Dit-elle en versant elle aussi des larmes. Et quand je pense que c’est avec l’homme que j’aime que je me marie. Je suis bénis je te jure. Tu as apporté ce que je t’ai demandé ? 

- Bien sur ma belle. Juste là dans mon sac.

- Si ce sorcier a vraiment réussi ce jour la je saurais qu’il a le vampire. Dit-elle en se levant.

Des cris a l’extérieure attirent son attention. Des cousines proches et éloignés de Maleek étaient la pour le mariage au nombre de 10 âgés entre 20 et 30 ans. Elle se précipita sur la terrasse de sa chambre avec Ida. La voiture qu’elle avait demandé a Maleek était garée en bas avec un gros nœud rouge dessus la voiture elle-même était de couleur noire. Elle éclata de rire a travers ses larmes et se dirigea vers les escalier en courant. Mel ne voulait même pas savoir comment il s’était débrouillé pour que cette voiture arrive juste en ce jour mémorable pour eux mais elle s’en foutait car a l’heure actuel non seulement elle était heureuse a cause de son cadeau, mais parce qu’il devait être entrain de recevoir le sien aussi. Le type qui était venu avec la voiture lui tendit les clefs avec un large sourire tandis que les cousines admiraient et que Rachida se frappait les mains comme une petite fille, elle se concentra sur son téléphone et voulu lancer l’appel vers Maleek quand celui-ci sonna.

- Lia comment as-tu su que je voulais cette voiture ? Demanda Maleek avant qu’elle ait pu placer un mot. Elle sourit

- Chaque fois que je prenait le IPad il y avait toujours une page de Jaguar ouverte et souvent sur cette même photo.

- Et donc tu m’as demandé une voiture qui coutait deux fois moins que celle que je voulais parce que je voulais pour que tu puisses m’offrir celle que je voulais. Dit le jeune homme le rire dans la voix.

- Oui. Je savais que même si tu ne me l’offrais pas, tu allais te sentir trop coupable pour t’offrir la tienne. Merci mon amour. Dit-elle en tendant les clefs a Ida qui s’agitait à ses côtés. La voiture est magnifique.

- Merci a toi aussi mon cœur j’adore la mienne aussi en plus ma couleur que je voulais. Mais toi c’est juste la voiture qui te plait et pas le Birkin ? Je sais que ce n’est pas celui que tu voulais mais…

- Mais je l’ai même pas vu mon amour. Dit-elle en se tournant vers la voiture maintenant ouverte elle s’y dirigea et remarqua le Birkin orange sur le siège arrière. Oh merci mon bébé.

- Alors tu aimes vraiment ?

- J’adore. J’ai hâte de devenir ta femme d’être à toi officiellement.

- Et moi donc ? Et dire que j’ai du te forcer a prendre une date.

- Oh mais pas tant que ca hein. On se voit dans quelques heures. Je t’aime a la folie et tes enfants t’embrassent. Même si je ne suis pas encore partie les voire depuis que je me suis levée. C’est bizarre qu’ils ne soient pas venus baver sur moi ce matin. 

- Je t’aime aussi mon amour. Encore merci pour ton cadeau. Tes enfants ne sont pas venus baver sur toi parce qu’ils sont avec maman non ?

- Oui mais même les cris de tes cousines ne les font pas sortir.

- Ils ont dormis super tard hier tu as oublié ?

- Ah oui c’est vrai. Bon maintenant je te laisse pour de vrai. A dans quelques heures.

Elle alla s’extasier sur sa voiture avec les autres jusqu’à ce que la maquilleuse et la coiffeuse n’arrivent. Elle avait vraiment hésité a prendre une maquilleuse mais celle-ci l’avait conquise car elle était douée pour faire legé. Elle rentra dans la maison embrasser les enfants qui étaient déjà debout. 3h plus tard, les enfants et elle étaient prête pour la mairie. Elle avait porté une petite robe droite blanche s’arrêtant au-dessus des genoux. Quand elle vit son nom devant le maire, elle faillit courir se jeter dans ses bras. Elle ne l’avait pas vu depuis trois jours mais elle avança lentement au bras de maman Berthe son père la conduirait à l’église. La jeune femme vécu tout cela comme un rêve tellement elle était heureuse.

Pour l’église, ses petits chéris était tous en blancs. Yara était toute fière avec son panier de pétales de roses rouges et blanches. Ida avait une robe couleur or longue et près du corps qui lui allait a merveille. Elle était aux portes de l’église son père a ses cotés il était tellement émotif qu’il tremblait un peu. Jusqu’à la fin il avait cru qu’elle n’allait pas lui demander de la conduire devant l’autel mais elle avait vraiment pardonné et oublié en ce qui concernait son père car il ne savait vraiment pas ce qu’il faisait. Elle regard avec émotion Yara évoluer sur le tapis blanc au sol auprès de Darcy qui essayait de suivre le rythme tant bien que mal en imitant sa cousine. Elle jetait les fleurs tout en regardant les personnes assisent ci et la avec curiosité. Elle commença a avancer au cotes de son père vers l’homme de sa vie toute émotive maintenant. Elle n’avait pas ressenti ca en allant vers lui a la mairie la elle avait l’impression qu’elle allait pleurer.

- Prends bien soin d’elle fils. Dit son père en donnant sa main a Maleek.

- Je vous le promets. Il lui serra ensuite la main avant de retourner d’aller a sa place.

Elle tendit son bouquet faites de rose rouges et blanches a Ida. Elle avait toujours le voile sur le visage donc Maleek ne l’avait pas encore bien vu. Elle avait lissé ses cheveux pour cette occasion mais les avait laissé libre. Il n’aimait pas trop ca mais c’était le seul moyen pour que ce voile ci lui aille bien. Quand il leva le voile. Il marqua un temps d’arrêt avant de lui chuchoter :

- Tu es magnifique. Les yeux brillant elle se contenta de sourire.

Ils se tournèrent vers le prêtre et tout pu enfin commencer. Il parlant longtemps faisant un sermon qui ému la salle avant de leur demander s’ils avaient préparé des vœux. Maleek répondît que oui et le prêtre lui donna la parole.

- Tu sais que je ne sais pas faire de longs discours mon amour je préfère les actes aux parole mais je tenais à te dire ceci : le bonheur que je connais auprès de toi je ne l’aurais jamais cru possible. Tu avais entièrement raison on s’est séparés il y a 8 ans mais c’était pour mieux nous retrouver pour mieux nous aimer. Merci pour les enfants que tu m’as donné. Je ne vais pas te promettre une vie parfaite mais je te promet avec assurance que je serai la a chaque coup a chaque chute pour t’aider a te relever a te fortifier. Tu es ma guerrière a moi. Je t’aime aujourd’hui plus qu’hier et moins que demain.

- Yeeeeeeeeeeeeeeeeeehhhhhhhhhhh. Cria la foule

Ils allaient déjà s’embrasser quand le prêtre les arrêta :

- On n’est pas encore arrivé a ce point-là. Dit-il 

La foule s’esclaffa et elle devint rouge de honte et porta la main a son visage avant de se rendre compte qu’elle pleurait. Heureusement que Rachida avait insisté pour du waterproof make-up. 

- As-tu des veux pour ce jeune homme ? Demanda le prêtre d’un air attendri. Elle hocha la tête avant de commencer :

- C’est moi la barde de nous mais cette fois-ci tu m’as vraiment cloué le bec et tout ce que j’avais prévu est sortie de ma tête.

- Eh Maleek tu m’as traumatisé l’enfant lança maman. La salle ria encore.

- Avant de te connaitre je ne savais pas ce qu’était l’amour ce qui signifiait être amoureuse. J’apprend de toi tous les jours. Tu m’as montré par bien des occasions, tu m’as montré qu’aimer voulait dire toujours mettre l’autre en premier, tu m’as montré qu’aimer c’est protéger l’autre même contre lui-même. Tu m’as montré que l’amour n’était pas censé faire souffrir. Tu m’as montré que je ne devais être en compétition contre personne pour t’avoir a moi toute seule. Avec toi j’ai compris que le mythe qui veut qu’une femme souffre le martyr avec un homme avant qu’il l’épouse est complètement faux. Pour reprendre tes mots, je t’aime plus qu’hier et moins que demain. Tu es l’homme de ma vie et j’espère que Dieu bénira notre union aujourd’hui et pour le restant de nos jours. Je te promet de mettre Dieu au centre de notre vie et de toujours le consulter pour chaque décision aussi bien grande que petite. Je t’aime ma vie.

- Mon amour. Dit-il voulant l’embrasser mais une fois de plus, le prêtre les stoppa.

- Il ne manque plus que les alliance et ensuite vous pourrez embrasser la mariée. Je pense que dans mon sermon j’ai parlé de patience.

- Oui mon père. Répondirent-ils en cœur honteux alors que les autres riaient encore. 

Ils échangèrent les alliances vite fait alors que le prête leur disait quoi dire. Puis avant même que le prêtre ne finisse de les autoriser de s’embrasser enfin, ils se mangeait déjà la bouche sous les applaudissements et les rires des invités. 

Maleek regarda sa femme danser avec son père tandis qu’il dansait avec sa mère. Ils avait ouvert le bal sur Photograph d’Ed Sheeran. Il était tellement heureux en ce moment qu’il se sentait aussi léger qu’une plume. Ils avaient trois magnifiques enfants ils allaient bientôt en faire d’autres donc il comprenait parfaitement Lia maintenant quand elle disait que Monica ne réussirait jamais a leur enlever leur bonheur leur amour et ca ne servait a rien qu’il garde rancune. Il allait donc faire comme elle avait dit. Lia alla prendre son fils dans ses bras et se mit a danser avec lui tandis que les filles tournaient autour d’eux avec une Malia qui tenait a peine sur ses jambes. Il alla les rejoindre un large sourire aux lèvres porta Malia tint Yara par la main et il se mirent a bouger tous ensemble.sa femme se pencha vers lui et lui chuchota :

- Je suis enceint Monsieur le Vampire.

- Vraiment ? Fit-il fou de joie

- Oui. Dit-elle entre deux baiser. Mais Mbah si ce sont des jumelles je te quitte.

Il éclata de rire car il savait très bien qu’elle ne le ferait jamais.

FIN.