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Write by Gioia


Vingt-cinquième partie 



Gisèle Mally 


Yeee je cours, je tombe, je me relève en attrapant mon pagne. Quelques gens du quartier sont venus me dire que ma fille est tombée en allant acheter l’arachide. J’avais dit quoi à cette enfant? Mais jamais elle ne m’écoute. C’est comme ça depuis son enfance. Elle n’a pas un peu pitié de moi! J’ai tout jeté par terre pour chercher l’argent. Heureusement elle m’avait donné tout ce qu’elle a ramené sur elle. J’ai pris et je suis partie avec les jeunes qui l’avaient vu. J’ai arrêté une moto et donné l’adresse de la clinique proche de chez nous. 


 Non non ma’a Belle, on l’a emmené à la clinique Barruet, un me dit 


Gisèle: barruet? C’est encore quoi ça? 


C’est une clinique vers Bè hein. À côté de la pharmacie Biova 


Gisèle: Loin loin là? Ils ne connaissaient pas la clinique de totsi ici seulement?


C’est que un a dit que comme elle saignait beaucoup il fallait aller là-bas 


Gisèle: bon allons vite, j’ai dit au zed (taximoto) tout en m’installant 



C’est comme ça que l’embouteillage aussi voulait déranger. Les taximen ne cessaient de klaxonner. Comme ça fait longtemps que je m’étais assise sur une moto, mon cœur tremblait quand le chauffeur faisait les zigzags entre les voitures. J’ai demandé qu’il fasse doucement. Il a crié que c’est moi qui lui ait parlé de vie ou de mort. Je n’ai plus argumenté. Seulement prié mon Dieu jusqu’à l’arrivée. 


Je suis descendue les jambes frétillantes et j’ai essayé de courir quand même pour entrer.


Gisèle: pardon tata on a emmené mon enfant ici. Ma fille Belle Mally. Elle saignait beaucoup. Elle est enceinte, j’ai dit à l’infirmière 


D’accord madame, allez vous asseoir je vais me renseigner pour vous 


Gisèle: s’il vous plaît c’est mon unique fille. Ce que vous pouvez faire il faut. J’ai l’argent pour payer ici


Madame donnez moi le temps je vais chercher pour vous s’il vous plaît. Allez vous asseoir. Elle a répondu 


Gisèle: oui oui merci. J’ai dit en reculant pour la laisser faire son travail 


Je faisais les tours sur moi tout en priant que Dieu laisse ma fille avec moi. Elle ne va pas venir me voir seulement et puis ça va devenir une affaire comme ça non? Hey Seigneur 


Madame? L’infirmière a dit 


Gisèle: oui ma fille, j’ai répondu en pressant le pas pour m’approcher 


Le docteur en charge d’elle arrive tout de suite pour vous voir 


Gisèle: merci oh. Dieu vous bénisse 


Oui. Asseyez-vous. Elle sera là dans quelques instants 


Je ne m’asseyais même pas qu’une belle femme s’approchait de moi en demandant si j’étais le parent de Belle Mally 


Gisèle: c’est moi même madame. Je suis Gisèle Mally. 


Bonjour Madame Mally. Je suis le docteur Coleman. Suivez-moi 


Gisèle: je suis derrière vous


Elle m’a conduit dans un bureau mais ce qu’elle m’a dit je n’ai pas compris 


Gisèle: s’il vous plaît docteur comment elle va accoucher? Elle m’a dit qu’elle n’a même pas fini son septième mois. On fait ça? 


Coleman: votre fille est arrivée ici en saignant énormément. Je venais juste de finir l’échographie quand l’infirmière m’a prévenu de votre arrivée. Le placenta s’est décollé prématurément et il nous faut la faire accoucher immédiatement si vous voulez la revoir en vie  


Gisèle: okay okay ce que vous devez faire faites le 


Coleman: nous allons procéder par césarienne par contre. Est ce que vous avez les moyens pour payer une partie de la facture maintenant? 


Gisèle: oui oui ne vous inquiétez pas. L’argent est ici sur moi 


Elle a décroché son téléphone. Quelques minutes après, l’infirmière que j’avais vu venait me chercher. Le docteur elle même courait pour s’en aller. J’ai payé la consultation avec l’infirmière puis je suis retournée dans le hall pour faire les va et vient. 


Mon cœur a failli lâcher quand j’ai vu la dame revenir par après. Il ne s’était même pas écoulé une heure. 


Gisèle: Yeeeeeeee Belle Ooooohhhh, j’ai crié en me frappant la tête


Coleman: du calme madame. Elle est encore en vie ainsi que le bébé 


Gisèle: oh comment ça? Vous n’avez pas duré 


Coleman: c’était un accouchement d’urgence. Venez avec moi. Je vais vous expliquer la suite 


Je l’ai suivi encore une fois dans son bureau sauf qu’elle n’était plus seule. Un jeune homme se tenait avec elle. 


Coleman: je vous présente mon très bon ami le pédiatre néonatal Eli Laré Aw. C’est votre jour de chance parce qu’il était supposé être en congés mais je l’ai retenu ici pour qu’il m’aide un peu. 


Gisèle: non c’est ma grâce ça. Depuis le ventre de ma mère je suis bénie 


Eli: that’s right madame lol. Vous avez la bonne attitude. Enchanté. Il m’a dit avec un beau sourire en me tendant la main 


Gisèle: s’il vous plaît appelez moi maman Gisèle 


Coleman: c’est très bien que vous familiarisiez déjà parce que vous allez voir sa vilaine tête pendant un bon moment. C’est lui qui sera en charge de votre petite fille jusqu’à ce qu’elle ne soit libérée d’ici. 


Gisèle: une fille? Oh Gloire à Dieu. Merci beaucoup docteur  


Coleman: c’est notre travail, il n’y a a pas de quoi. En ce qui concerne votre fille, l’intervention s’est plutôt bien passé par contre elle a perdu énormément de sang à cause de l’hémorragie causée par le décollement du placenta donc elle est encore faible. Nous l’avons placé sous observation pour le moment mais pas de panique comme je vous dit on est sur son cas. Elle est transfusée actuellement et nous continuons à vérifier ses signes vitaux. Eli va vous expliquer ce qu’il en est de votre petite-fille 


Eli: donc maman disons que vous avez plusieurs chiots alignés pour une course et dans ce lot un est plus petit que les autres. Vous convenez avec moi que le plus petit aura de la difficulté à arriver au même niveau que les autres n’est ce pas? 


Gisèle: heuh oui oui 


Eli: c’est ce qu’il en est de votre petite fille. Pour le moment elle a été placée sous couveuse parce que son poids est faible, sa respiration difficile, son cœur bat lentement, le taux de sucre dans son sang aussi est faible et son cerveau ne communique pas assez rapidement à ses poumons l’information de respirer durant son sommeil. Nous allons essayer de corriger tout cela un problème à la fois mais ça va nous demander de la patience. Votre patience et la nôtre aussi pour aider votre petite fille......comment elle s’appelle? 


Gisèle: hum heuh Elikem 


Eli: oh un peu comme moi donc nous devrons travailler en équipe pour aider Elikem à s’en sortir. Alors on peut faire ça? Je peux compter sur vous? 


Gisèle: oui ce qu’on me dit moi je vais faire 


Eli: sounds good maman. Je savais que je pouvais compter sur vous 


J’ai souri même si je n’ai pas tout compris à cause de sa façon de parler. On dirait que ce n’est pas un togolais ou il n’a pas vécu ici. En tout cas il aime sourire. 


Gisèle: mais quand est ce qu’on va pouvoir rentrer à la maison alors? 


Eli: je ne saurais vous dire pour être honnête maman. Nous y allons un jour à la fois. Ça dépendra de comment Elikem répond aux différents traitements mais encore une fois pas de panique. On commence petit à petit et je promets de vous tenir informé au fur et à mesure. Sounds good? 


Gisèle: hum d’accord. Donc bon peut-être je vais aller chercher la nourriture pour ma fille alors


Coleman: Elle ne peut pas encore manger madame. Mais vous pouvez rentrer si vous le souhaitez. 


Gisèle: je peux voir Elikem au moins? 


Eli: bien sûr. Venez avec moi



Il m’a conduit dans une pièce qui nous a pris du temps pour atteindre. Il y’avait plein d’autres bébés dans les machines comme je vois à la TV. 


Eli: là voici votre battante, il a dit 


Je n’ai pas pu m’empêcher de laisser un cri de frayeur en la voyant. Mes yeux se sont remplis de larmes automatiquement. 


Eli: tout doux maman, je vous ai dit quoi? Il a demandé avec son bras autour de mon épaule 


Gisèle: mais.....


Eli: oui? On avait dit quoi? 


Gisèle: un....un jour à la fois 


Eli: that’s right. On reste concentré sur ça et on travaille ensemble. 



Farida Bouraima 



Je n’arrive pas à croire que les choses continuent sur cette lancée avec nos amis. Je croyais vivre un cauchemar et j’allais me réveiller bientôt mais non. J’ai entendu un soir Tao au téléphone avec Magnim et il parlait de mettre en vente la maison de Reims. Je suis allée chez Antoine pour voir Ciara mais sa maman refuse qu’elle voit du monde. Je n’ai pas aussi le numéro de sa belle sœur puis Belle ne m’a pas encore répondu. 


À notre niveau, Tao et moi on se parle mais je ne dirais pas qu’on s’est vraiment réconcilié. Les circonstances ont juste donné qu’on a commencé à se reparler. On n’a essayé qu’un exercice depuis la rencontre avec le docteur Remblais mais c’était nul. Au lieu d’avancer on a régressé. J’arrivais pas à être dans le bain et Tao s’est fâché. Il s’est juste levé sans prévenir puis il a dit on laisse tomber je vais faire un tour. Sans qu’on parle. 


Là je suis au travail chez Bershka. Il ne me reste plus beaucoup de jours à faire avant la reprise de la rentrée. Les gars de la seconde ont proposé une sortie ce soir. Sortie qui ne m’emballait pas vraiment mais avec l’ambiance à la maison je pense que je vais y aller. Et puis Lydie sera là. On ne s’est pas trop vu depuis le début des vacances. Je lui ai raconté hypothétiquement l’histoire de Ciara et elle même a confirmé que c’est Magnim le coupable. Elle a dit qu’un type avait refilé la chlamydia à sa sœur comme ça et jurait jusqu’aux larmes que ce n’était pas lui pour qu’on découvre après qu’il l’a trompé sa sœur en couchant avec une random (inconnue) à une soirée et c’est elle qui lui a refilé. Inconnue qui s’est avérée être une amie d’amie à la sœur de Lydie. Histoire trop longue et dramatique. Les choses que les gens font dans mon lycée me scandalisent moi. Je me demande si j’arriverai à en faire autant avec Tao. 


Pour l’heure je vais juste passer du temps avec mes amis. Je lui ai écris pour l’avertir. Il a juste répondu okay sans rien ajouter et ça m’a énervé. Je sais pas pourquoi il aime toujours faire ça quand il est en colère. Il fait comme s’il était au dessus de tout et me répond en monosyllabes. J’ai ôté mon alliance avant d’aller rejoindre Lydie à la maison. Je ne la porte pas quand je vais traîner avec les potes du lycée à cause de sa taille. Je veux éviter l’attention sur moi. 


Lydie était comme d’habitude devant Netflix à mon arrivée. Toutes ses vacances elle m’a avoué qu’elle ne faisait que ça ou aller à la piscine. Je m’étais promis d’apprendre à nager aussi mais tout ça c’était avant les drames qui se sont enchaînés sur nous. 


Je suis restée à ses côtés et nous avons fini le film ensemble en plus de nous faire quelques épisodes de série avant de rejoindre les gars à la supposée fête. Je ne m’attendais pas à ce que ça soit à la maison de Wayne par contre. 


J’étais avec Lydie. Nous discutions avec les autres quand un gars que je ne connaissais pas s’est assis à mes côtés sans demander ma permission 


Farida: oui? 


Salut ma jolie. Tu te souviens de Moi? 


Farida: éloigne toi de moi déjà pour que je puisse bien voir 


Lol okay. Et comme ça? 


Farida: encore un peu 


Et là? 


Farida: voilà, va faire joujou ailleurs, j’ai dit en posant mon pied là où il s’était assis pour qu’il n’ait plus de place quand il viendra. Les autres ont commencé à le charrier et rire. Il s’est éloigné tout en nous insultant 


Farida: c’était qui ce con? 


Lydie: ahaha tu n’as pas reconnu Jérôme le petit frère de M Aymeric? 


Farida: il a un frère? 


Lydie: oui juste qu’il était pas dans notre classe


Farida: hum! Et c’est quoi il me voulait alors l’idiot? 


Lydie: lol faut croire que tu as du succès avec les Bekale 


Farida: toi encore avec ça? Pfff je vais aux toilettes. Wayne elles sont où tes toilettes? 


Sa tête était trop occupée à bouger entre les seins d’une fille pour me répondre. Tout d’un coup je ne l’aimais plus cette fête. Je suis allée pisser mon coup tout en sortant mon téléphone pour m’appeler un Uber et rentrer. J’ai crié de stupeur en voyant l’heure. Il était presque minuit et pourtant je n’avais pas l’impression d’être ici depuis si longtemps. Je suis revenue à côté de Lydie qui riait comme une folle. 


Farida: tu veux rentrer? Je pense que oui moi 


Lydie: rho Sois pas relou Ida. On s’amuse bien non? 


Farida: toi peut-être mais pas moi. Je préfère encore être dans mon lit 


Lydie: s’il te plaît reste un peu! Allez viens on va danser 


Farida: hum okay mais pas longtemps, j’ai dit en prenant mon coca pour le finir une fois avant de la rejoindre sur la piste 



Tao Adamou 


On me dit que je suis trop intransigeant comme gars. Du moins c’est ce que maman m’a toujours reproché. J’essaie donc de prendre du recul avec Farida et elle me remercie en agissant comme une vraie ado. Farida qui n’aime pas être touchée ou encore faire en public quelque chose qui lui paraît juste un peu sensuel se trémousse sur le snap de son amie Lydie. Si je l’ai c’est grâce à Farida quand elle a voulu que je l’aide à comprendre comment ça fonctionne donc elle sait que je connais le Snap de son amie et je peux la voir faire ses trucs là. Elle sait que je ne vais pas dormir tant qu’elle est dehors mais elle préfère se trémousser avec Lydie et s’appliquer au fur et à mesure que les applaudissements montent. J’ai appelé sa ligne mais elle n’a pas répondu. Je me suis lancé dehors avec pour seule information, la localisation que j’ai pu avoir d’Instagram quand Lydie avait posté sa dernière photo. Sur le chemin c’est maman qui m’a appelé.


Tao: tu ne dors pas pourquoi? 


Ma’a Tao: pourquoi Farida m’appelle dans un endroit où il y’a beaucoup de bruit et elle riait? 


Tao: elle t’a dit quoi? 


Ma’a Tao: j’ai pas tout bien compris mais elle a dit ouaine et ydi?


Tao: okay compris. Je te rappelle plus tard je vais la chercher 


Ma’a Tao: okay appelle moi tu l’auras ramené à la maison 


Je suis arrivé à l’endroit en question. C’était une vraie fête d’ado avec la porte ouverte, les gens entrants et sortants entrain de fumer de l’herbe ou boire. J’ai réessayé sa ligne et elle a décroché cette fois sauf que ce n’est pas sa voix que j’ai entendu mais celle d’un insolent


Ouais? C’est qui? 


Tao: et toi? Tu es qui? J’ai demandé tout en entrant dans la maison pour le trouver avec l’appareil 


Ta mère Ducon. T’appelle le num à ma meuf et tu me demandes qui je suis? 


Tao: ah bon? Okay. 


J’ai raccroché et rangé le téléphone quand j’avais localisé le con en soi. 


Je l’ai retourné et il arrivait à peine à tenir sur ses jambes. Plus stone tu meurs. La raclée que je prévoyais lui coller ne me disait plus rien. J’ai appelé la police avant de localiser Farida. Elle faisait un lap dance à un autre qui se plaisait à lui tripoter les fesses et boire directement à la bouteille de Grey goose (Vodka). 


Eh.....elle a dit quand je l’ai tiré de là 


Ho c’est ma....va te chercher une autre...., l’autre qui recevait la lap dance a essayé de dire en se levant 


Je l’ai poussé un peu et il est retombé sans force. J’ai pris une Lydie tout aussi pétée que Farida puis je l’ai déposé chez elle. 


Conduire avec Farida par contre fut l’une des épreuves les plus difficiles de ma vie. Quand elle ne criait pas sans raison, elle appuyait sur tous les boutons dans la voiture, enlevait sa ceinture et venait enfoncer ses doigts dans mes oreilles. 


Même la mettre au lit c’était un combat. J’ai essayé de trouver une solution sur internet pour lui faire passer rapidement ce qu’elle avait dans le système. Je n’ai rien trouvé sur le net résultat nous sommes couchés mais elle ne veut rien entendre. Elle attrape ma tête et me raconte n’importe quoi. 


Farida: le plus beau vilain c’est qui tu sais 


Tao: c’est toi 


Farida: non ce sont tes pieds lol. Tu es trop bête Tao. T’es même pas beau 


Tao: okay 


Farida: en plus je mange le soleil et tes poils sont.....oh la musique c’est ma préférée.....yeeeechhhh j’ai chaud! 


Tao: tu fais quoi? Reste tranquille, j’ai dit quand elle essayait de se lever du lit de façon très gauche 


Farida: j’ai chauddddddd. Tu fais chaud. 


Puis elle m’a giflé avant de rire et me gifler encore 


Tao: un jour tu vas me payer ça 


Farida: hey ouh regarde ça, elle a dit en me montrant ses seins nus après que je lui ai ôté ses vêtements 


Tao: tu dois dormir. Ça va te passer si tu dors un peu. Viens là, j’ai dit en la prenant dans mes bras 


Elle s’est laissée aller et je pensais que c’était fini mais c’est sa main qui s’est retrouvée sur ma verge.


Farida: ouh tu es vilain. Très vilain. 


Tao: aie arrête de tirer enfin tu me fais mal 


Farida: hum. Elle a dit en ralentissant ses mouvements 


J’essayais de lui retirer mais sa main était fermement autour. Je prenais du volume sans le vouloir. 


Tao: tu me fais mal Farida 


Farida: hum....tu manges les fesses. Il mange les fesses. Vous mangez les fesses. Tu manges mes fesses? 


J’ai mis sa berceuse préférée pour l’aider mais elle continuait à conjuguer d’autres actions maintenant. Elle est montée sur moi bien que je l’empêchais et maintenant c’est moi qui délirait avec ma verge baignant dans sa mouille. Verge qu’elle avait sorti préalablement par l’ouverture de mon boxer. 


Tao: ma puce ne fais pas ça....tu vas regretter après. Tu auras très mal 


Farida: tu es beau. Je t’aime Tao. Tu m’aimes? Ils s’aiment. Tu ne sens même pas bon. Oh I feel a lil rush....la la la 


Je l’ai porté doucement pendant qu’elle balançait les bras et je l’ai posé à sa place mais elle a attaché ses jambes autour de mes hanches puis ses bras autour de mon cou 


Farida: tu pars plus! Tu me baises. Je te baise. On se baise. Yes Yes yes. Tu es vilain je suis vilaine. 


Tao: mon ange 


Elle m’a embrassé avec une fougue que je ne lui connusses pas. Le sang se concentrait furieusement dans mon membre. Je ne peux quand même pas coucher une femme qui hallucine. Mais dans cet état elle n’aurait pas le temps de me bloquer l’entrée je pense. 

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