4 ~ Personnalité du Cheveu ~ Petites Histoires à travers Mes Cheveux~ Types de cheveux
Write by ngengeti
4 ~ Personnalité du Cheveu ~ PHMCx~ Types de cheveux
Ok. On se calme… tout le monde obtiendra satisfaction.
Je poursuis donc sur le néologisme entendu récemment sur les reseaux sociaux: « cheveulogue » qui semble-t-il, désigne l’expert en cheveu. En tous cas, lui-même s’est présenté comme tel, en expliquant comment prendre soin de nos cheveux à ses interlocuteurs.
~ Types de cheveux ~
Quant aux types* de cheveux. Il
s’agit là du classement simplifié de la texture des cheveux existant à travers
le monde. Il va du type 1 à 4 avec leurs sous classification de a à c,
suivant le degré d’épaisseur, de sècheresse ou de tendance à la casse.
Partant du type 1-raide, lisse au type 4 - frisé – sont progressivement `classés des textures et structures différentes tels des tiges, ou des ressorts plus ou moins distendus ou serrées.
Le tout, suivant la région ou l’origine ou patrimoine génétique de la personne et son ascendance. * (Ref. l’abédécédaire Nappy ; Andre Walker Typping System ; Nappyprettygirl)
Cheveu-dans-la-soupe : « Donc, si je comprends bien : le type 1 est tout droit, le 2 lui est plus ondulé, le 3 plus bouclé encore, et enfin le type 4 tout frisé ? »
La mère crinière répond : « Eh, oui. Avec pleins de variations possibles entre ses types. Toute votre généalogie et histoire sinueuse y figure, mes enfants.» S’adressant aussi aux jeunes pousses, petites frises fraichement sortis de la tête mère.
By ©Ngengeti~Alavolee-Onafly***
Les cheveux des jeunes filles et
femmes sont généralement bichonnés et maintenus selon les habitudes culturelles
et sociales et les rôles qui leurs sont attribuées dans leurs environnements.
Différentes coiffures conviennent ou sont attribuées à différentes étapes ou circonstances de la vie. Surtout en zones encrées dans les traditions. En zone urbaine, le respect de ces règles, codes vestimentaire et capillaire est différente pour multiples raisons, dont principalement la modernité et l’influence occidentale. Mais il n’en demeure pas moins que leurs soins sont exigés quelque soit la condition sociale de la personne.
Tignasse pouffe d’agacement en ajoutant : « n’importe quoi. Que de Protocol pour pas grand-chose.»
Mère crinière : « Ah oui ! Ne vous attendez pas à être considérée, voire respectée sans une tête dite présentable, même s’il est question de se rendre au marché ou d’aller vider la poubelle ».
Les tifs toujours actifs profitent de la brèche pour demander: « même pour aller jouer ? Mais,… » Ils se posent d’abord, avec un air grave, histoire de déchiffrer ce problème existentiel, et se gratter le corps, perplexes.
On y ressent tout le poids de la réflexion sur l’utilité de la chose... laissons les à leur cogitation.
Jeunes-pousses chuchotent timidement à mère crinière en nous ramenant à notre sujet : « mais comment ils faisaient pour pouvoir les soigner et être présentables alors ? »
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