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Write by kony ariane
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La
cérémonie a été magnifique. Tout était parfait. J’ai
été comme dans un rêve. À un moment j’ai été tellement
mal à l’aise lorsque Georges et son épouse
sont venus donner des billets de
banque à Claudia. Je dansais avec elle
donc ils m’ont aussi gratifié de billets.
Pendant le repas
offert par les parents de Claudia,
j’ai surpris une conversation qui se tenait à la table des parents
de mon amie. Il y avait un couple
que je ne connaissais pas, Georges et sa magnifique épouse.
La
femme du troisième couple venait
demander qui j’étais
-C’est
Rita RODRIGUEZ, la meilleure amie de
Claudia. C’est une jeune femme adorable et brillante
-Elle
est vraiment très belle. Tous les hommes doivent
vouloir d’elle, venait de dire l’épouse de Georges. N’est pas chéri
qu’elle est belle ?
-
laissez-moi mesdames en dehors de vos histoires
-
Laisse-moi te dire qu’elle refuse toutes les avances. L’ami d’Édouard mon gendreest fou d’elle mais
elle l’a envoyé balader. Je crois que ça doit être une carriériste…
Tous
les hommes étaient restés silencieux jusqu’à ce que l’épouse de Georges s’exprime en ces termes ;
-
Présente-la nous. Je pourrais la mettre en
contact avec mon neveu. C’est ce que je vais
faire oui. Fais la venir.
C’est à ce moment là que son mari s’est levé comme quoi il avait
un appel urgent.
Effectivement,
j’ai été interpellée plus tard par un
serveur comme quoi le père de Claudia avait besoin de moi.
Après
les avoir tous salué une fois de plus, je me suis adressé au père de Claudia
-tu
m’as fait appel tonton ?
-Rita
dis moi, tu as fait mettre au frais les
bouteilles de champagne que je t’ai confiées
-oui
tonton, je n’attends que ton aval pour te les apporter
-parfait,
je crois qu’il est temps que nous
passions aux choses sérieuses
-
dis-moi ma chérie, tu as un fiancé ?
-Roxane…
Ne la met pas mal à l’aise. Excusez moi je reviens
Ça
s’était le HOUENOU.
-Ça
ne me met pas mal à l’aise. Je n’ai pas encore trouvé le bon.
-j’organise
une petite réception, je te ferai parvenir une carte
-c’est entendu merci. Veuillez m’excuser.
Mon
cœur résonnait dans mon oreille. La femme de mon amant qui veut me trouver un
homme. Quelle ironie…
Je
sortais des toilettes de la chambre d’amis
que j’occupais lorsque j’ai été
surprise de tomber sur Georges.
-Tu
es magnifique Rita…
-merci,
excuse moi je dois y aller
-
ok, vas-y
Je
me suis empressée sur la porte mais elle était fermée.
-tu
nous as enfermés ?
-apparemment,
donc comme ça tu n’as pas trouvé le bon ? Et moi dans tout ça ?
-nous
n’aurions pas dû
-
regrettes-tu ?
-…
-Georges
s’il te plaît ce n’est ni le lieu ni l’endroit.
-tu
as mis un stop à notre relation sans demander mon avis. Je ne l’ai pas accepté
tu le sais n’est ce pas ? J’attends
de voir jusqu’où tu es prête à
aller
Il
était trop près de moi. Son parfum, son souffle sur moi…
-ouvre
s’il te plaît
-tu
me rejoins à la maison demain ?
Il
m’avait coincé contre la porte.
J’étais prise au piège comme une mouche
dans une toile d’araignée qui, plus elle essaie de se libérer plus elle
s’enfonce.
-je
pourrais te prendre là toute suite. J’en ai tellement envie. Tu sens comme je
suis tendu ? Ça fait des heures que ça dure et je n'en peux plus
-pas
ici, Pas maintenant avais je murmuré
-demain
alors ? Sinon je te veux tellement que je serai rapide…j’ai trop envie de
toi
-je
viendrai, avais je fini par lâcher, afin de mettre fin à mon supplice.
Avant
de me lâcher, il m’avait embrassé.
Il
avait ouvert et s’était mis sur le côté
pour me laisser passer.
J’avais
du mieux que je pouvais fait comme si de rien n’était. Après ce qui
s’était passé dans cette chambre d’amis,
tout ce que je voulais s’était rentrer
chez moi. De toute façon Claudia s’éclipse. J’ai pris mon sac en direction de
la porte. Je comptais m’éclipser discrètement
car pratiquement tous les invités étaient partis.
-vous
voyez les jeunes là, ils vont faire leur fête entre eux. Venait de dire le père
de Claudia.
Ils
étaient dans le grand salon.
J’étais bien obligé de passer par là dire au-revoir. José
qui m'aidait à porter mon sac m’a suivi.
-tu
n’es pas venu avec ta voiture non ? Demande à mon chauffeur de te déposer.
-ne
vous inquiétez pas Madame, je la ramènerai chez elle.
José
venait de donner cette réponse et j'ignore
pourquoi j’ai fait cette mine de satisfaction,
qui déplut au plus haut point à Georges.
Les
festivités se sont poursuivies. Mariage à la mairie à huit clos et ensuite
cérémonie Religieuse.
Georges
est venu vers moi pendant la fête.
-tu
n’es pas venu chez nous…
-comme
tu peux le voir, ma meilleure amie se marie, je n’avais pas une minute.
-tu
brilles de mille feu mon amour. Quand je te regarde mon cœur se gonfle.
-
excuse-moi mais je dois y aller.
-d’accord…je
t’aime
-…