Finis les jeux coquins, j’entre en mode Jaguar…. Sa virilité est déjà dans ses plus belles proportions, je la prends à pleine bouche et je m’en délecte proprement, je m’emploie à en faire disparaître plus au fond de ma gorge à chaque bouchée. Ma salive dégouline sur son petit trou. Dans un élan de folie, je prends ses cuisses pardessus mes épaules et lui déguste proprement l’arrière-train. Mon cerveau déconnecte quand ma langue l’explore… Je grogne, je tremble et je gémis à l’unisson avec l’intéressé et je me retrouve tremper. Il se retrouve dans une position que j’ose à peine décrire, et je le prends à nouveau en bouche jusqu’à ce qu’il soit aux bords… Je me remets en levrette et lui passe en silence un message qu’il capte parfaitement… Les minutes qui suivent, je pense que mes voisins s’en souviendront longtemps… Les cristaux de menthe ont parfaitement fondu quand il entre sa langue gourmande en moi… Il s’applique à me rendre l’appareil avec une passion dévorante et dévastatrice. Je ne sais pas comment je fais pour contenir les tremblements de mon corps. J’ai l’impression qu’il a entièrement colonisé ma peau... Il se positionne à l’entrée et je le sens s’ancrer avec force.

S’en suit  une chevauchée puissante, profonde et en maîtrise. Il y met tout son jeu de reins et je coule non-stop en grommelant tantôt en anglais, en espagnol, en italien et finalement en langue, car mon cerveau bug... Il me torture ainsi un certain temps, et il me sent progressivement perdre des forces. Il pose mon buste sur le tapis et poursuit son labeur. Il recueille la mouille de ma chatte et enduit ma rondelle. Il la masse en cercle dans un sens puis dans l’autre, ce qui la détend progressivement. Je peux sentir son pouce me rentrer à l’intérieur tandis qu’il ralentit la cadence plus bas, sa virilité est tout au fond de moi. Je me sens partir quand il fait rentrer chaque doigt de sa main, chacun à son tour. Il finit par en insérer deux toujours en les humidifiant, tandis que ses couilles claquent sur mon clitoris et que sa virilité m’élargit et me rend chèvre.

Il se retire et fait alterner sa langue entre ma ch… et mon petit trou. Elle entre profondément. Et je ne peux m’empêcher de contracter dessus. Il me laisse respirer et me porte jusqu’à mon lit, vu le mal que j’ai à reprendre mes esprits. Il se calle au fond du lit entre les coussins et me fait asseoir sur lui. Nos regards se soudent… Nos souffles se mêlent. Ils massent mes fesses avec douceur, puis l’une de ses mains remonte mon dos et s’en va masser ma nuque. Il me fait incliner la tête vers l’arrière et dévore mon cou. Il trouve de sa langue, l’endroit qui me fait perdre pied, je grogne, je gémis, je tremble, je soupire. Sa seconde main revient caresser mon sein en tirant sur la pointe, d‘abord en douceur puis comme pour me traire. Sa virilité à même mon sexe reprend aussi de sa superbe, ce qui me rend à nouveau humide. Il s’amuse à la tapoter entre mes cuisses largement ouvertes. Puis n’y tenant plus, il m’attrape les hanches et l’introduit en moi. Je me mets en position amazone, puis me met à aller et venir à un rythme lent et sensuel… Je le glisse en moi jusqu’à ce qu’il m’étire complètement le vagin et cogne contre ma matrice qui se gorge de sang, et que ses couilles menacent également de me rentrer dans le c..on. Il prend à nouveau son sein à pleine bouche et le baisse littéralement avec ses lèvres. Ce qui me fait accélérer la cadence de mes reins qui font désormais des cercles.  A Contretemps, je me rassois dessus pour m’apercevoir que je le loge au mauvais endroit… Je suis tellement détendue que cela entre tout seul. Oh My God!!! Oh My God!!! Je pars dans un nouvel orgasme, mais au moment où je me dégage vers l’arrière, il me poursuit dans le lit. Me soulève une jambe qu’il met sur son épaule et me pénètre à nouveau. Je lui dis juste « Doucement Bb, je n’en ai pas l’habitude ». Pendant qu’il progresse dans son avancée, il m’embrasse. Il me lime avec précision, il m’emplit tellement que j’ai l’impression qu’il est dans l’orifice normal qui s’est complètement ramolli. Je ne suis plus que soupirs, paroles décousues, reins en hyperactivité, jusqu’à ce que je le sente s’épanouir et grossir en moi. Sa main se pose à nouveau sur mon clitoris pour battre la mesure du doigt, de gauche à droite.

J’y suis, my mind going blank, je coule par jets et inonde le lit. Je me tends comme un arc puis me ramollit. Je le sens venir et se libérer en moi. Puis il me prend simplement dans ses bras quelques minutes, avant de revenir avec un gant chaud m’essuyer de partout. Il réussit à faire le lit avec moi dessus, preuve que je suis à peine consciente, puis nous recouvre d’un drap pour le pays de Morphée…

Il prend la route dès 04 heures pour attraper son Bus. Je sens qu’il m’étreint une dernière fois avant de se préparer… Puis son baiser sur mon front, et enfin les longues minutes qu’il passe sur le pas de la porte à me regarder puis à embrasser la pièce du regard. La porte se bloque automatiquement depuis l’extérieur.

Il me réveille et m’embrasse tout en douceur, puis colle son front contre le mien. Il nous fait promettre de s’appeler et de ne pas laisser la distance se creuser… Je souris mais je sais qu’il sait que cette distance… aura raison de nous.