Acte 8: Le bon combat

Write by LaJoyssie

Ma déjection chaude a imprimé son M. jusqu'à la bourse... Sa virilité se met à taper rageusement.  La pénétration se fait en une poussée puissante, d'autant qu'il colle puissamment mon bassin au sien. Le courant me transperce le con pour s'imprégner au sommet de mon crâne, c'est mon cerveau qui tambourine, mes poumons qui manquent d'air, mon cœur qui se coupe. Mes lèvres se délient dans une supplique délicieusement. Merde. Il me soutient pour que je ne tombe pas... Quand je reprends mes esprits je m’accroupis sans faire sortir son membre et je me tiens à ses épaules.

Commence alors une danse bestiale et décadente, menée par nos deux corps qui ne tardent pas à être en sueur. Chacun rivalise pour trouver l'angle qui donnera le plus de goût à l'autre, le coin qui ne laissera plus d'air ou de fluide s'échapper... Il me dit qu'il va jouir, je lui demande de se retenir. Je me relève et il glisse avec des coussins sur le tapis du salon. Il me couche sur le dos, me cale deux coussins sous les reins et me pose les talons sur son épaule et son torse... Puis il se réapproprie ma grotte qui s'est un peu rétractée.

La sensation est décuplée par son massage sur mes fesses qu'il maintient bien hautes. Il alterne les mouvements suaves, tantôt trempant le bout et élargissant l'entrée puis progressant à l'intérieur par des petits coups circulaires jusqu'à ma matrice. Puis en me pilonnant puissamment, ralentissant et accélérant au gré de ses envies.... Mes mains sur ma poitrine ne cessent de masser et étirer sauvagement mes tétons, dont le volume n'a d'égal que la sensibilité.

Les octaves de mes gémissements traduisent parfaitement l'intensité du plaisir ressenti à chaque mouvement. Quand c’est plus doux, le gémissement est plus du « Hummm Hummm Oui Oui » et quand c’est plus fort c’est une voix plus rauque et rocailleuse qui crie des « Putain… Tu veux me tuer… Je jouis »… Tout est imbibé de notre jus d’amour, dont le volume ne semble pas faiblir…

Il m'achève en commençant les Bidjakalas, veuillez comprendre, coups rapides, réguliers et aléatoires sur les parois de ma chatte... Mon corps est pris d'une frénésie qu'il contrôle en agrippant mes jambes désormais tendues à la verticale... Je me perds dans un verbiage incompréhensible, il me fait parler en langue le salaud… Et d’ailleurs, je l’ai dit à haute voix je crois. Ce qui le déchaîne jusqu’à sa jouissance, qu’il prend en missionnaire. Le sentir se vider en moi, déclenche un n-ième orgasme, qui cette fois ci est de l’ordre du black-out. Je le sais car nous sommes restés enchevêtrés sans qu’aucun de nous n’en ressente aucune gêne.

A contre cœur, nous émergeons tant bien que mal… alors qu’il est déjà 14 heures…


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