Il venait d'arriver à sa hauteur et se leva brusquement de la moto en dégainant son arme.

Il la pointa sur Amiral qui lui la pointait sur le petit qui était de dos a lui.

Il prit une grande inspiration. Il n'avait pas le temps de réfléchir convenablement. Il allait simplement faire confiance a son instinct.

- Laisse moi m'en aller ou tu dis...

Il n'eut pas le temps de finir que Máel lui avait tiré une balle en pleine tête. Il ne lui avait pas laissé le temps de faire pression sur lui et de voir la situation lui échapper.

En le voyant tomber raide mort sur le bitume et ne pu s'empêcher de pousser un hurlement de satisfaction. Enfin il l'avait eu !

- Putain enfin cria-t-il encore en faisant un saut de victoire. Les gars vous avez fait un bon boulot je vous en suis vraiment reconnaissant. S'il te plait peux-tu te charger de Akram ? J'ai vu qu'il avait été touché. dit-il a un des gars présents

Pendant de ce temps,lui allait se charger du petit qui bizarrement était resté dos a eux, assis près du corps de ce type.

Il avançait quand la voix d'Akram l'arreta dans son élan.

- Lieutenant Máel je savais que vous l'aurez. Je suis tellement content et fier de vous. Mais vous n'avez pas fini votre boulot,vous ne savez pas ce qui se passe sur l'autre champ. Vous avez peut-être eu celui-ci mais il reste encore un en cavale.

Akram avait raison'. Il appela ses hommes grâce a son talkie-walkie et alla vers le petit.

Il voulait s'assurer qu'il n'avait rien avant de le laisser dans les mains de ses collègues.

Il s'approcha de lui et essaya de l'appeler. Là il se rendit compte qu'il ne savait pas qui il était, Samir ou Kevin ? Tout ce qu'il savait c'est que Samir c'était le fils de Nadia et Kevin celui de Éric.

- Hey petit, regarde moi tu vas bien ? Tout est fini maintenant d'accord fit-il d'une petite voix destinée a le rassurer. Allez viens on y va,il ne faut pas rester là.

Mais il ne bougea pas d'un pouce. Máel le regarda se balancer lentement d'avant en arrière.

Que lui arrivait -il ? Était-ce un traumatisme ?

Il essaya une nouvelle fois et n'obtint aucune réponse. Il essaya de le retourner vers lui mais il eut un mouvement de recul et garda obstinément la tête vers le bas.

Máel ne savait vraiment plus quoi faire. Il pensait a le prendre de force quand la voix de Tania,une de ses collègues retentit derrière lui.

Il poussa immédiatement un soupir de soulagement. Elle allait prendre la situation en main et il espérait, faire parler le petit.

- Occupe de toi du petit s'il te plait. Il me semble qu'il est en état de choc alors il refuse de bouger complètement. Je ne sais pas si tu peux t'occuper de lui le temps que tout soit calme ?

- Oui ne t'en fais pas Máel. Je vais m'en charger. J'ai toujours adoré les enfants et je dois dire que je sais m'y faire avec eux. Tu peux y aller la conscience tranquille.

- Merci beaucoup, tu m'enleves une épine du pied. Et je t'en prie ne le bouscule pas. Même si tu vois qu'il ne répond pas,sois patiente avec lui. Je te révaudrait ça Tania dit-il en commençant a s'éloigner.

- Attends ! Il fit alors une pause et se tourna vers elle en harquant un sourcil. Euh je voulais te dire que j'avais vu de loin comment tu avais eu ce criminel et c'était très admiratif. Voilà je voulais juste te dire que j'admirais la façon dont tu t'y ai pris avec assurance.

Máel hocha simplement la tête et continua son chemin.

Il savait que Tania sa collègue avait des sentiments pour lui,depuis son arrivée d'ailleurs, arrivée qui remontait a trois ans déjà. Mais il ne ressentait rien pour elle si ce n'était de l'amitié et même de l'admiration. Elle faisait d'excellents travaux. Mais cela s'arrêta là. Il n'y aurait jamais rien entre eux et il avait toujours tout fait pour le lui faire gentiment comprendre. Mais impossible ! Elle semblait piqué et pas du tout prête a passer a autre chose.

Il passa devant Akram et l'aida a se relever.

- Akram je t'en dois une. Je ne pourrai jamais assez te remercier tu sais ? Dès demain tu viens au commissariat et chose promise chose qui se tiendra. Je vois que tu as été touché. Tania, on a un jeune homme qui a besoin de soin ici cria-t-il a son endroit

- Oh ça ? Ça ce n'est rien de bien méchant j'ai connu pire. Je vous en prie lieutenant c'était la moindre des choses. Vous ne savez pas ce que vous, vous avez fait pour moi. Vous m'aviez fait confiance, vous m'aviez donné une deuxième chance ainsi qu'a tous mes amis que je considère comme ma famille. Pour cela je vous en suis éternellement redevable. Vous pourriez toujours compter sur moi affirma-t-il en lui touchant le bras

Máel était content de l'entendre lui dire ça. Il le prit rapidement dans ses bras et se retira après lui avoir envoyé un salut.

Il courut vers sa voiture qui était resté au début de la ruelle, de l'autre côté.

Quand il arriva là-bas il remarqua qu'ils n'avaient toujours pas réussi a dégager la voiture.

- Mais bon sang ! Nous sommes de la police. On ne peut pas se permettre cette panne technique en plein assaut. Il faut qu'on retourne là-bas.

- Hey lieutenant, c'est cadeau !

Il se retourna vers la voix d'Akram qui venait de résonner au loin. Il le regarda et celui-ci lui désignait son ami a gauche. Máel dériva son regard et le posa sur le désigné.

- Vous pourriez peut-être prendre ma moto lui dit-il en lui tendant le casque et en mettant le contact.

Il le remercia et prit rapidement place.

- Merci beaucoup mon frère et ne t'inquiète pas,je vais en prendre soin dit-il en voyant une petite lueur de panique dans ses yeux

- Vous avez plutôt intérêt lieutenant. Allez-y, nous allons donner un coup de main ici. D'ici quelques minutes, tout cela sera dégagé.

Il hocha la tête et démarra.

Il n'était pas très a l'aise avec la grosseur de cette moto mais bientôt il s'y habitua et comprit même pourquoi ces jeunes risquaient leur vie sur ces motos.

Il avait connu Akram et sa troupe alors qu'ils avaient été avertis d'une course qui se tenait dans un lieu qui devait être secret. Malheureusement pour les jeunes et fort heureusement pour lui, il y avait eu une fuite et quelqu'un les avait dénoncé.

Avec quelques membres de son équipe, il était venu sur les lieux afin de les arrêter. C'etait après ses aveux au poste de police que Máel avait été pris de pitié pour ce jeune orphelin de père qui ne cherchait qu'a exprimer son talent.

Mis a part le fait que cela était interdit dans la loi,ils avaient causé beaucoup de dégâts,énormément de dégâts pour dire vrai.

Il avait lui même payé leur caution qui était extrêmement chère et les avait libérés. Mais les charges etaient toujours retenues contre eux et ils devaient comparaître devant un juge de correction.

Il avait gardé contact avec lui et le conseillait beaucoup. Mais Akram lui avait clairement dit que si jamais ils étaient acquittés, ils allaient recommencé. Après ce que Máel avait fait pour lui et ses amis, il lui devait au moins la vérité. Selon ses dires, c'était en faisant ça qu'ils se sentaient vivres, qu'ils se sentaient a leur place, acceptés.

Avec leur brillante participation,non seulement ils seraient acquittés mais aussi immunisés. Ils auront le droit de faire leur course, a conditions que cela se fasse dans les règles de l'art et qu'aucun dégât ne soit répertorié. Et qui sait,ils auront peut-être beaucoup plus que ça. Faut quand même dire que sans leur intervention,les chances de l'attraper était infiniment minimes.

Il remarqua que le trajet était beaucoup plus rapide qu'à l'aller. Cette moto était sacrément pratique.

Il arriva quelques minutes après et l'agitation était toujours a son comble. Aux voitures de police présentes,c'était ajoutées celles des ambulances.

Il se gara précipitamment et rentra en trombe dans la maison.

Il ne trouva que ses hommes qui saisissaient les objets illégaux se trouvant dans cette maison. Aucune trace de Nadia,ni du deuxième enfant. Aucune trace de Hichem ni de sa soeur non plus.

- Officier, qu'est-ce qui s'est passé ? demanda-t-il a un officier qui passait

- Le criminel Hichem connu sous le surnom de H a malheureusement réussi a nous échapper. Mais plusieurs balles se sont logés dans son corps. Dans cet état il n'ira pas bien loin,les autres sont allés a sa poursuite.

- Je vois,et en ce qui concerne les otages ? demanda-t-il en redoutant sa réponse

- Voyez au niveau des ambulances lieutenant Máel.

Et sur ce il se retira.

Máel commença a se poser milles et une question. Qu'est-ce qu'ils feront dans une ambulance ? Ils devraient être dans une voiture de police qui aurait dû les ramener au commissariat où ils seraient en sécurité.

Il reprit le chemin inverse et entra dans la première ambulance. Là, il découvrit uniquement les agents atteints. Après leur avoir donné du courage et féliciter pour leur bravoure, il descendit pour rentrer dans la deuxième ambulance. Là aussi aucune trace de Nadia ni du petit.

Il ne comprenait plus ce qui se passait. La situation semblait lui échapper complètement. Ils ne pouvaient quand même pas avoir disparu !

Pendant ce temps,Nadia luttait pour rester en vie.

Elle était consciente mais elle n'arriva pas a ouvrir les yeux ni a parler. Elle entendait pourtant des voix a côté d'elle.

Après plusieurs minutes a lutter de tout son être, elle ouvrit les yeux mais les referma immédiatement a cause de la douleur.

Elle ne pouvait pas bouger tellement ses muscles étaient engourdis. Elle n'avait jamais ressenti une telle douleur. Même quand elle devait accoucher, elle n'avait pas ressenti cette douleur. À noter qu'elle avait donné naissance par césarienne.

Elle regarda autour d'elle et remarqua qu'elle était dans une grande voiture,couchée sur un brancard. Elle devina alors qu'elle était dans une ambulance.

Elle respirait grâce a un masque qu'on lui avait mis. Sans toucher ni voir,elle sentit un gros bandeau lui barrer le le dos et remonter par son épaule pour tourner autour de sa poitrine. Elle était enveloppée telle une momie.

Elle regarda encore une fois aux alentours et découvrit un corps près d'elle. Immédiatement elle se souvint qu'avant de perdre connaissance, elle était auprès de Yacine.

Elle fit un effort surhumain pour ouvrir la bouche et prononcer son prénom.

- Yacine dit-elle une première fois .

Mais elle n'obtint aucune réponse. Elle réessaya une nouvelle fois toujours sans réponse.

Elle se demandait ce qu'il était venu faire et elle pensa immédiatement a Amal. Peut-être parce qu'il ne pouvait lui même pas être présent,il avait demandé a son frère d'accompagner les policiers pour la sortir de là.

Elle se rendit alors compte qu'il pouvait avoir du bon dans ce personnage et qu'elle l'avait peut-être jugé beaucoup trop durement. Il avait quand même risqué sa vie pour elle alors qu'ils se haïssaient mutuellement.

Elle allait essayé de se lever quand elle sentit la voiture s'arrêter. Ils devraient déjà être arrivés.

Et cette pensée se confirma quand elle vit des corps médicals ouvrir rapidement la porte et venir vers eux. Ils se répartissent rapidement et les firent descendre.

Tous deux étaient simultanément pris en charge par une équipe médicale.

Pendant qu'on les emmenait, celui qui était avec eux se chargea de leur expliquer l'etat dans lequel ils étaient. Ils passa ses notes a la nouvelle équipe et se retira.

- Madame vous m'entendez ?demanda une jeune infirmière près d'elle

Nadia ne pu répondre car sa tête commençait une nouvelle fois a tourner. Elle convulsa durant un court moment puis lutta pour ouvrir les yeux.

- Elle perd trop de sang les gars, en salle d'opération tout de suite cria la même infirmière. Madame restez avec nous s'il vous plait.

Mais quand Nadia convulsa une deuxième fois,elle ne revint plus parmi eux.

Du côté d'Amal.

-Quoi ? s'écria-t-il en repoussant brusquement Lisa son associée.

Il se releva a son tour alors que l'information avait du mal a monter a son cerveau. Nadia était a l'hôpital ? Comment ça Nadia était a l'hôpital?

- Je ne comprends pas ce que tu dis Boun. Aux dernières nouvelles, elle était avec sa mère et les garçons. Qu'est-ce qui s'est passé ?

Il entendit son ami soupirer avant de prendre la parole.

- Écoute mon frère tu dois te calmer la. Tu étais au courant qu'elle devait repartir parce que la première fois où elle y était là n'a pas été concluant, malheureusement cela s'est mal passé et Hichem a prit Nadia avec lui.

- Quoi ? Tu me dis que Nadia était aux mains de ce délinquant ? Mais comment aviez-vous laissé ça se produire? Et ce n'est que maintenant que je suis au courant ?

- Eh Amal ferme ta bouche parce que tu commences a m'enerver. Tu savais qu'elle devait repartir oui ou non? Est-ce qu'après ça tu as appelé pour prendre de ses nouvelles ? Pour savoir comment cela s'était passé ? Non pas que je sache. Maintenant si tu permets je vais continuer. Quand elle a été enlevé, Máel avec son équipe ont pu la localiser grâce a la puce de localisation qui était implantée en elle. Alors ils sont partis là-bas et c'est là qu'elle a reçu une balle alors qu'elle tentait de s'échapper avec le petit Kevin. Rassure toi Kevin et Samir vont bien, bizarres mais bien. Seul Nadia a été touché.

Amal passa une main dans ses cheveux. D'énervement il raccrocha. Rien n'allait là bas. De plus, il se sentait coupable. Sa place était là-bas, pas ici en bonne compagnie.

- Amal qu'est-ce qui se passe ? demanda Lisa en se rapprochant de lui

Elle passa sa main sur son torse et ses lèvres dans son cou sûrement dans l'optique de continuer ce qu'ils avaient entamé mais Amal n'était plus d'humeur. Il la repoussa une nouvelle fois.

- Prends tes affaires et pars s'il te plait.

Elle ouvrit grand les yeux,ayant du mal a croire a ce qui se passait. Amal la repoussait alors qu'il y avait quelques minutes, il gémissait sous ses caresses.

- Mais qu'est-ce qui te prends d'un coup Amal? Ah non je ne te permets pas de me traiter de la sorte. Tu n'aurais jamais dû m'inviter ici si c'était pour réagir comme ça finalement.

Amal la comprenait mais venait de réaliser quelle énorme erreur il allait commettre. Pendant que Nadia se battait pour sa vie, lui il prenait du plaisir dans les bras de son associée. Lui qui devait rentrer hier, avait prolongé son séjour juste pour conclure avec elle. Il n'avait pas pensé a Nadia et tous les tourments qu'elle rencontrait.

- Oui tu as raison je n'aurais jamais dû t'inviter a venir me rejoindre dans ma chambre. Nous aurions commis une grosse erreur. Et maintenant si tu veux bien m'excuser, il faut que je prenne l'avion pour retourner au pays, on m'attend là-bas.

- Tu n'es qu'un imbécile Amal dit-elle furieusement en ramassant son sac et en tournant les talons

Elle avait sûrement raison.

Il ramassa rapidement ses affaires qui trainaient et les jeta dans sa valise.

Quand il finit de tout ranger, il appela le pilote de la compagnie pour l'avertir qu'ils allaient décoller.

Après leur entretien, Amal s'assit sur son lit. Il' allait encore passé toute la journée ici. Le pilote lui avait dit qu'il était impossible de décoller, a cause de la météo qui n'était pas favorable pour un voyage.

Il se coucha sur son lit et pensa a Nadia. La pauvre.

Elle avait reçu une balle et il ne savait même pas où.

Il n'avait pas pris de ses nouvelles depuis trois jours déjà et il le regrettait clairement. S'il avait été au courant de ce qui se passait, il serait descendu illico presto.

Présentement il serait aux côtés d'elle et qui sait,il aurait peut-être pu lui éviter ça.

Il n'y avait certes rien entre eux,ils ne s'étaient fait aucune promesse mais il se sentait bizarre, comme s'il l'avait trahi. Il avait uniquement pensé avec son entrejambe et avait oublié de penser avec sa tête et surtout avec son coeur.

En ce qui concernait ce contrat pour lequel il travaillait depuis des années,il l'avait décroché. Il n'arrivait pas a y croire et pourtant c'était vrai. Il l'avait eu !

Mais il ne pu même pas le célébrer comme il se devait parce qu'il n'était pas avec les siens. Quand il l'avait décroché la première personne a laquelle il avait pensé était Nadia. Il lui tardait de rentrer et de célébrer cela comme il se devait avec elle et le petit Samir. Comme une petite famille.

Son coeur se serra a l'idée de rentrer et de trouver tout de travers.

Il s'étendit sur son lit et s'empêcha de penser a ça. Tout ira bien, il en était sûr.

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Il venait d'arriver a l'hôpital où était Nadia. Il avait fait un bon vol et c'était la première fois de sa vie qu'il trouvait un vol si long,pourtant ils n'avaient fait que sept heures dans les airs. Quand il était descendu, il devait être aux alentours de 19h et quelques. La première chose qu'il avait ordonné, c'était qu'on le conduise près de Nadia.

A présent il entrait dans la chambre de Nadia.

Il s'approcha et la découvrit couchée entre les draps,reliée a plusieurs machines, le visage fatigué. Il avait l'impression qu'elle avait baissé sa garde et que ses tourments l'avaient englouti.

Pendant qu'Amal était au chevet de Nadia, Máel se dirigeait vers la zone pédiatrie pour s'enquérir de l'etat de santé de son petit rescapé.

Il ouvrit la porte de la chambre où il était censé être et trouva un petit être assis la tête dans un bol de céréale.

Il s'approcha de lui et le petit garçon releva la tête. Immédiatement il porta une main a sa bouche pendant que la porte s'ouvrit derrière lui.

- Ah Máel c'est toi ? Je suppose que tu es au courant que Nadia est tombée dans le coma ?

Éric et Karim s'avancèrent vers Samir. Quand ils furent devant lui, eux aussi eurent ce petit mouvement de recul. Éric regarda Samir puis Máel puis encore Samir avant de déposer son regard sur Máel qui était plus qu'etonné.

Quant à Máel lui même il ne savait pas quoi dire. Non seulement il venait d'apprendre que Nadia était dans le coma mais aussi il venait d'apprendre l'existence de son fils.

Parce que cela ne faisait aucun doute, ce petit garçon était son enfant.

EXTRAIT

- Mais y'a une chose que je ne comprends pas. Vous savez Kevin,le deuxième petit que vous avez examiné, lui il va bien a l'heure actuelle alors qu'ils ont vécu la même chose, cela est dû a quoi selon vous ? demanda Amal en s'asseyant sur l'accoudoir

- Je doute fort qu'ils aient vécus la même chose. Vous voyez mon petit protégé a des traces sur le corps qui sont absents sur celui de Kevin. Vous voyez ? Ici, ici,là et encore là-bas. Il a été a de nombreuses reprises étranglé, d'où les nombreuses traces irrégulières sur son cou. Approchez vous verrez ce dont je vous parle.