<< CHAINES INVISIBLES >> Chapitre 2

Write by Le Kpetoulogue

Coucou à vous,


Un nouveau voyage érotique vous attend…


Mon nouveau livre est enfin prêt.


CHAINES INVISIBLES


Plus intense, plus immersif, et toujours avec ma plume que vous connaissez déjà. Je sais que vous aviez apprécié mes précédents écrits, alors je pense que celui-ci pourrait vraiment vous plaire.


Pour vous donner un avant-goût, je publierais les 5 premiers chapitres gratuitement. L’intégrale en contient 27 et est déjà disponible au prix de 2000 Fr CFA / 3 euros pour ceux qui le désire donc


Si vous êtes intéressé, faites - moi signe.


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CHAINES INVISIBLES



Naïa, 27 ans, était une jeune femme douce, au regard pur et à l’innocence presque naïve. Elle pensait simplement commencer une vie stable en devenant secrétaire dans l’une des plus grandes entreprises de la côte ouest-africaine. Mais dès son premier regard sur Alexandre, le vice-président charismatique et dominateur, tout bascula.

Cet homme, puissant et redouté, dégageait une aura sombre qui la troubla profondément. Plus elle travaillait à ses côtés, plus elle se sentait hypnotisée par son magnétisme, sans savoir qu’il avait un plan bien précis pour elle. Alexandre comptait utiliser Naïa pour atteindre ses objectifs, en la faisant plonger dans un monde empli de vice, de pouvoir et de secrets. Un monde si obscur qu’elle finirait par se demander si elle pourrait un jour y survivre… ou si elle y laisserait à jamais son âme et son innocence.


Chapitre 2


Quand ils arrivèrent enfin au parking souterrain du siège social, Naïa était au bord des larmes… de colère, d'humiliation, et d'autre chose qu'elle refusait d'admettre.

Alexandre en sortant de voiture, d’une voix impassible : « Enlevez votre chemise. Mettez votre veste et rejoignez-moi. Nous avons beaucoup à discuter... »

Haletante, le corps parcouru de frissons incontrôlables, Naïa resta recroquevillée sur le volant, ses seins douloureux et rougis, ses mamelons tuméfiés par les sévices d'Alexandre. La trace de ses doigts semblait s'être gravée dans sa chair. Elle sentait encore la brûlure de ses dernières pincées, si fortes qu'elles avaient fait jaillir des larmes au coin de ses yeux.

Et pourtant... quelque part au fond d'elle... une petite voix insistante lui murmurait qu'elle n'avait pas encore connu le pire...

Obéissant aux ordres d'Alexandre, Naïa ôta sa chemise d'une main tremblante, ne gardant que sa veste ajustée sur son soutien-gorge. Le tissu soyeux glissa contre sa peau encore moite de transpiration, révélant un décolleté profond qui exposait la courbe supérieure de ses seins. Chaque pas dans les couloirs de l'entreprise était une torture. Ses talons aiguilles claquaient sur le marbre, amplifiant la sensation de vulnérabilité, tandis que ses seins douloureusement sensibles oscillaient sous le tissu léger de sa veste.

Les regards des employés la déshabillaient lentement. Les hommes fixaient son décolleté avec une avidité mal dissimulé. Les femmes chuchotaient derrière leurs mains, certaines avec envie, d'autres avec pitié. Personne n'osait intervenir, tous connaissaient le prix de s'opposer à Alexandre

Arrivés devant le bureau vice-présidentiel, Naïa crut un instant pouvoir respirer. Elle se tint droite près du bureau, ses cuisses serrées pour contenir l'étrange chaleur qui persistait en elle depuis l'épisode de la voiture. Alexandre, avec une lenteur calculée, sortit un objet du tiroir de son imposant bureau en acajou.

Alexandre en tournant l'objet entre ses doigts : « Est-ce que vous avez déjà utilisé un truc comme ça, mademoiselle Naïa ? »

L'œuf vibrant scintilla sous les néons. Un petit bijou de technologie érotique, pas plus gros qu'un œuf de caille mais clairement conçu pour stimuler les zones les plus intimes.

Naïa les yeux écarquillés : « ...?! »

Avant qu'elle ne puisse réagir, Alexandre l'avait pivotée brutalement et penchée sur le bureau, son ventre contre le bois froid. D'une main experte, il releva sa jupe, exposant ses fesses gainées de soie noire, puis fit glisser son string juste assez pour révéler son sexe déjà légèrement humide.

Naïa d’une voix étranglée : « EHHH ?! Arrêtez, Monsieur le Vice-Président, vous n'allez pas … »

Alexandre : « Chut... du calme …  »

La pénétration fut brutale. L'œuf glissa en elle avec une facilité troublante, comme si son corps trahissait ses protestations. Naïa poussa un cri étouffé, ses ongles s'enfonçant dans le cuir du bureau.

Naïa suffoquant : « C'EST... C'EST UNE BLAGUE ?! SORTEZ … L … AAAAAH !!! »

La sensation était insoutenable. L'objet pulsait déjà faiblement en elle, comme un cœur mécanique. Elle voulut le retirer, mais...La porte s'ouvrit.

Quelqu’un entra. Monsieur Bathily… C’était un des membres les plus hauts placés du conseil d'administration. En termes de hiérarchie, il était supérieur à Alexandre.

M. Bathily : « Oh, il se passe quelque chose ici ? »

Alexandre : « Absolument rien du tout, M. Bathily. Je vous attendais. Merci à vous de m'accorder un peu de votre précieux temps. »

M. Bathily : « Ce n'est pas grand-chose. Vous m'aviez dit avoir quelque chose d'important à partager avec moi. »

Jouant son rôle de secrétaire, Naïa s'avança vers M. Bathily pour lui faire ses salutations.

Naïa : « Bonjour, monsieur. »

M. Bathily : « Oh, tu t'appelles Naïa, c'est bien ça ? »

Naïa : « Oui, monsieur. »

M. Bathily : « Eh bien, tu m'as l'air encore plus attirante que dans mes souvenirs. »

Les yeux de M. Bathily s'étaient fixés sur le profond décolleté de Naïa, dévorant chaque centimètre de peau exposée avec une intensité obscène. Incapable de soutenir ce regard chargé de désir, elle détourna légèrement le visage tout en prenant place à côté d'Alexandre, ses mains tremblantes agrippant les bords du fauteuil. À peine ses fesses avaient-elles effleuré le cuir du siège qu'Alexandre actionna discrètement un bouton de la télécommande dissimulée dans sa paume.

Un violent sursaut parcourut le corps de Naïa lorsque les premières vibrations électriques jaillirent en elle. L'œuf, jusqu'alors inerte, s'était brusquement animé d'une pulsation mécanique, ses parois internes immédiatement envahies par des ondes de stimulation qui se propageaient comme une décharge électrique à travers son bas-ventre.

Naïa : « EEkkIII !! » 

Alexandre : « Hum ? » 

M. Bathily : « Qu’est ce qu’il y a Naïa ? »

Naïa : « Ah … »

Alexandre : « Haha je pense que ma secrétaire est sous le charme de votre apparence M. Bathily. Ce petit voyage aux Maldives semble vous avoir rajeuni « 

M. Bathily : « Hahaha »

Alors que les rires gras des deux hommes résonnaient dans le bureau, Naïa sentait l'œuf se déplacer insidieusement en elle. À chaque pulsation, l'objet gagnait quelques millimètres, glissant le long de ses parois intimes avec une lenteur calculée, comme un serpent remontant vers son ventre. Les vibrations créaient des vagues de stimulation qui irradiaient jusqu'à son clitoris, chaque oscillation plus insistante que la précédente.

M. Bathily, loin de dissimuler son désir, dévorait des yeux sa poitrine haletante. Ses pupilles dilatées suivaient le mouvement de ses seins qui se soulevaient au rythme de sa respiration saccadée, les pointes durcies dessinant des cercles visibles sous le tissu de sa veste. Naïa serra les cuisses avec une force désespérée, ses muscles tremblants tentant en vain de comprimer l'intensité croissante des sensations. La pression entre ses jambes devenait presque douloureuse, mais n'arrivait qu'à amplifier le plaisir qui montait inexorablement.

Une chaleur humide s'étalait entre ses lèvres inférieures, son excitation trahissant malgré elle l'effet des stimulations. Les vibrations prenaient maintenant un rythme saccadé, alternant entre de brefs repos et des séquences frénétiques qui la faisaient sursauter sur son siège. Elle percevait distinctement chaque parcelle de son chatte… les parois qui palpitaient, le point G martelé sans relâche, le clitoris électrisé. La tension en elle atteignait un paroxysme insoutenable, comme un ressort comprimé à l'extrême, prêt à libérer toute son énergie d'un seul coup.

Le souffle court, les doigts crispés sur les accoudoirs, elle sentait l'orgasme se construire vague après vague, inéluctable. Ses résistances mentales se dissolvaient dans la marée montante du plaisir, ne laissant qu'une conscience aiguë de chaque micromouvement de l'œuf en elle. La métaphore du barrage lui revint à l'esprit. Elle était désormais cette digue fissurée, incapable de retenir le torrent qui menaçait de la submerger.

Alexandre : « Ok, parfait, M. Bathily. Contactez ma secrétaire quand vous serez prêt à conclure l'affaire. «

M. Bathily : « Bien sûr, je le ferai. »

Dès que la porte se referma sur M. Bathily, Naïa fut submergée par une vague de sensations décuplées. L'œuf vibrant semblait avoir pris vie, ses pulsations s'accélérant jusqu'à créer l'illusion de doigts invisibles parcourant chaque centimètre de son épiderme. Dans le silence soudain du bureau, la voix rauque d'Alexandre résonnait comme un écho lointain, se mêlant aux battements affolés de son cœur.

Plus elle tentait de résister, plus les sensations gagnaient en intensité. Des paumes fantômes enveloppaient ses mollets gainés de nylon, remontant avec une lenteur torturante le long de ses cuisses tremblantes. D'autres mains imaginaires encerclaient ses poignets, les maintenant symboliquement écartés tandis que des pouces experts traçaient des cercles autour de ses mamelons durcis. La plus audacieuse de toutes glissait entre ses jambes, pressant avec insistance contre le tissu humide de sa culotte, suivant le rythme des vibrations internes.

Alexandre murmura quelque chose, une question sur ses préférences érotiques et immédiatement, les caresses spectrales s'adaptèrent, se concentrant sur les zones qui la faisaient le plus frémir. Ces mains invisibles devenaient de plus en plus réelles à mesure que son esprit se dissolvait dans le plaisir, obéissant aux suggestions murmurées comme si elles étaient téléguidées par la voix de son tortionnaire.

Son corps n'était plus qu'un instrument entre les mains d'Alexandre, chaque nerf, chaque terminaison sensible transformée en corde qu'il pinçait avec une précision diabolique. La frontière entre douleur et plaisir s'estompait, tout comme celle entre volonté et soumission. Un conflit déchirant l'habitait… la honte de cette jouissance imposée se mêlant à l'excitation incontrôlable qui irradiait de son bassin.

Soudain, comme émergeant d'un rêve fiévreux, elle se redressa brusquement, le souffle court et la peau moite. Les mains fantômes avaient disparu, ne laissant derrière elles qu'un corps hypersensible et une conscience troublée par cette expérience limite entre viol psychologique et extase forcée.

Naïa : « C’était un rêve ? »

La paume de Naïa s'enfonça dans le drap humide, la moiteur fraîche témoignant de l'intensité de ses rêves. Elle serra les dents en constatant l'étendue des dégâts. Tout le drap était imprégné du doux parfum de sa mouille. Les mains tremblantes, elle se leva d'un bond, horrifiée à l'idée d'être en retard. L'horloge murale indiquait 7h23 - juste le temps d'une douche glaciale pour dissiper les derniers vestiges de torpeur.

Dans la salle de bain, l'eau froide cingla sa peau comme une punition, faisant ressortir les marques rosées laissées par les menottes de la veille. Elle enfila son armure : un body en soie noire moulant, assez épais pour résister aux doigts indiscrets, avec une fermeture dissimulée dans le dos. 

"Pas moyen de l'ouvrir sans mon consentement cette fois" songea-t-elle en ajustant son pantalon à taille haute qui sculptait ses hanches sans rien révéler.

Le bureau d'Alexandre semblait différent ce matin. L'odeur de cuir et de cigare prenait des accents menaçants. Quand elle entra, son regard tomba immédiatement sur la télécommande posée en évidence sur le bureau, luisant sous la lumière tamisée.

Alexandre les yeux parcourant sa silhouette : « Tu m'as l'air... particulièrement armée aujourd'hui. »

Naïa d’une voix claire malgré le tremblement de ses genoux : « Monsieur, j'apprécie cette entreprise. Mais ce qui s'est passé hier ne doit plus ... »

Naïa se demanda où elle trouvait le courage de tenir tête à un homme aussi puissant qu’Alexandre. Un frisson lui parcourut l’échine quand elle réalisa l’audace de son geste… provoquer celui dont la réputation glaçait le sang des plus braves. Elle s’attendait à être foudroyée sur place, chassée sans ménagement. Pourtant, contre toute attente, la réaction d’Alexandre la surprit.

Sa phrase resta en suspens quand Alexandre se leva, faisant craquer le plancher sous ses chaussures en crocodile. Il tourna autour d'elle comme un prédateur, effleurant la fermeture dissimulée de son body.

Alexandre avec un souffle chaud dans son cou : « D'accord. J'ai peut-être... dépassé les bornes. Je m’en excuse. »

En sortant du bureau du vice-président, Naïa avait du mal à rester debout, tant ses jambes tremblaient. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle l’avait fait. Elle avait pris un risque énorme.  Si elle avait perdu ce boulot, les choses seraient devenues bien trop compliquées pour elle.

Alors qu’elle tentait encore de calmer le tourbillon d’émotions en elle, l’un des téléphones sur son bureau de secrétaire se mit à sonner. Son espace de travail était collé à celui de Rachelle, sa collègue, qui lui fit discrètement signe de répondre.

D’un geste précipité, Naïa décrocha. À l’autre bout du fil, la voix de M. Bathily résonna, aussi autoritaire qu’à l’accoutumée. Il l’appelait au sujet d’un dossier lié à son patron et lui demanda de venir récupérer des documents. Le rendez-vous était fixé à l’hôtel Ivoire.

Elle arriva aux alentours de 17h, mais ce ne fut qu’à 19h, après une attente interminable, qu’elle put enfin apercevoir M. Bathily.

M. Bathily : « Oh excuse-moi, je participais à un meeting qui a pris plus de temps que prévu. Vu l'heure... Et si on allait dîner ? »

Naïa sentit un frisson glacial lui parcourir l'échine. Le regard de M. Bathily, lourd de sous-entendus obscènes, la déshabillait déjà. Elle serra les dents, déterminée à décliner poliment mais fermement.

Naïa : « Écoutez monsieur, c'est très gentil de votre part mais... »

Sa voix mourut dans sa gorge lorsqu'il fit glisser vers elle son smartphone. À l'écran, une vidéo d'elle, les seins nus au volant d'une voiture, défilaient en boucle. Un coup de poing en pleine poitrine.

Naïa : « HEIN ?? Où... où est-ce que... vous... vous avez eu ça ? »

M. Bathily : « Je ne pensais pas que tu étais ce genre de femme. »

Le choc la paralysa. Ses pensées tourbillonnaient, trop rapides pour former une défense cohérente. Elle ne réagit même pas quand sa main large encercla sa hanche, l'entraînant vers l'ascenseur. Son parfum musqué, mêlé à l'odeur de pouvoir, lui soulevait le cœur.

M. Bathily : « J'ai l'impression que nous allons bien nous entendre. » À suivre …


Vices et Perversions...