<< CHAINES INVISIBLES >> Chapitre 3

Write by Le Kpetoulogue

Coucou à vous,

Un nouveau voyage érotique vous attend…

Mon nouveau livre est enfin prêt.

CHAINES INVISIBLES

Plus intense, plus immersif, et toujours avec ma plume que vous connaissez déjà. Je sais que vous aviez apprécié mes précédents écrits, alors je pense que celui-ci pourrait vraiment vous plaire.

Pour vous donner un avant-goût, je publierais les 5 premiers chapitres gratuitement. L’intégrale en contient 27 et est déjà disponible au prix de 2000 Fr CFA / 3 euros pour ceux qui le désire donc

Si vous êtes intéressé, faites - moi signe.

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CHAINES INVISIBLES



Naïa, 27 ans, était une jeune femme douce, au regard pur et à l’innocence presque naïve. Elle pensait simplement commencer une vie stable en devenant secrétaire dans l’une des plus grandes entreprises de la côte ouest-africaine. Mais dès son premier regard sur Alexandre, le vice-président charismatique et dominateur, tout bascula.

Cet homme, puissant et redouté, dégageait une aura sombre qui la troubla profondément. Plus elle travaillait à ses côtés, plus elle se sentait hypnotisée par son magnétisme, sans savoir qu’il avait un plan bien précis pour elle. Alexandre comptait utiliser Naïa pour atteindre ses objectifs, en la faisant plonger dans un monde empli de vice, de pouvoir et de secrets. Un monde si obscur qu’elle finirait par se demander si elle pourrait un jour y survivre… ou si elle y laisserait à jamais son âme et son innocence.


Chapitre 3


Cette nuit-là, elle fut effectivement son dîner. Tout s'enchaîna avec une rapidité étourdissante. La chambre aux rideaux tirés, ses doigts lourds sur la fermeture éclair de sa robe, son souffle chaud dans son cou. Elle aurait pu crier. Fuir. Mais son corps, traître, restait figé dans une étrange passivité.

M. Bathily ne fut ni tendre, ni patient. Comme un affamé devant un festin, il la dévora sans finesse. Ses baisers humides sur ses fesses, ses doigts maladroits qui fouillaient son sexe, tout en elle se rebellait, sauf cette chaleur sourde qui grandissait contre son gré.

M. Bathily : « Voilà, penche-toi bien comme ça... Mmh, ton cul est magnifique... Comme c'est chaud... «

Naïa : « AAAH ! Aaanh... Anh... mmh »

La confusion la submergea. Elle devrait avoir la nausée. Détester chaque seconde. Pourtant, sous ses assauts brutaux, son corps répondait, vibrant d'un plaisir coupable. Aucune technique, juste la force brute de ses coups de hanche, mais suffisant pour faire remonter en elle des vagues de sensations contradictoires.

Était-ce le stress des derniers jours ? Le souvenir des mains expertes d'Alexandre sur ses seins ? Ou simplement ce besoin viscéral, primitif, qu'on lui arrache enfin un semblant de contrôle ?

Une pensée fugace traversa son esprit embrumé : Alexandre. 

L'opposé absolu de cet homme qui la prenait sauvagement en ce moment… Alexandre lui, était charismatique, élégant, chacune de ses caresses était calculée. Pourquoi son image surgissait-elle maintenant ? Peut-être parce que, dans l'humiliation, se souvenir de lui était le seul moyen de ne pas sombrer complètement.

Après l’avoir longuement prise en levrette, Monsieur Bathily la bascula sur le dos, s’emparant de ses seins qu’il suçait avec avidité, tout en continuant de la pénétrer. Son bassin lourd martelait le sien avec une détermination brutale, comme s’il voulait que son gland remonte jusqu’au fond de son utérus. Le poids de son corps, légèrement obèse, l’écrasait presque, l’étouffait par moments.

Naïa : « Anh Aannh OoNH Aaanh »

M. Bathily : « Ta chatte est trop bonne MmMH ooH Ouii Gémis comme ça »

Il tentait de l’embrasser, mais Naïa détournait doucement le visage, évitant ses lèvres avec une retenue timide. Les yeux mi-clos, elle s’efforçait de se détacher mentalement, de penser à Alexandre. Ne serait-ce qu’un instant. Juste pour rendre ce moment plus supportable, moins violent, moins réel. Mais plus elle pensait à lui, plus une chaleur inattendue montait en elle. Son sexe devenait plus humide, plus réceptif, et ses parois se resserraient autour de la queue de Bathily, malgré elle. Un plaisir insidieux s’immisçait dans ce qu’elle aurait voulu n’être qu’une épreuve à supporter.

M. Bathily : « Je sens que je vais jouir. »

Naïa : « Ne jouissez pas en moi, s’il vous plaît… »

Mais ses mots restèrent sans effet. Bathily poursuivait, comme s’il ne les avait pas entendus. Il passa ses mains sous ses fesses et la maintint fermement, accentuant ses coups de reins. Son rythme n’était pas rapide, mais chaque pénétration était lourde, ferme, profonde. Naïa sentit une panique croissante la submerger. Il ne comptait pas se retirer.

Naïa : « STOP ! AAAAH ! SORTEZ-LA ! AaAaaNNHH ! VOUS N’AVEZ PAS DE CAPOTE, ARRÊTEZ !!! »

M. Bathily : « Du calme… j’ai presque… Mmmh… UUUGGHHH !!! »

Il jouit en elle. Sans retenue. Et pas qu’un peu. Elle sentait encore, chaude et lourde, sa semence tapisser les parois de son sexe. Son corps frissonna, partagé entre le dégoût, la confusion, et une étrange sensation de complétude involontaire.

Elle ne savait pas qu’au même moment, en bas de l’hôtel, dans le parking, Alexandre se trouvait là. Appuyé contre sa voiture, il fumait une cigarette, savourant la douceur de la brise nocturne. Puis son téléphone vibra… un message de Bathily. Tout s’était apparemment passé comme prévu.

Il monta dans sa voiture, un sourire satisfait aux lèvres. Ce n’était qu’un début. Il avait encore bien des tâches à confier à Naïa, sa précieuse secrétaire.


Le lendemain, assise à son bureau, Naïa peinait à se concentrer sur le travail qu’elle effectuait sur son ordinateur. Elle croisait les cuisses avec force, tentant de contenir les secousses intenses qu’elle ressentait entre les jambes. Cela venait du vibromasseur qu’elle portait, profondément niché dans sa chatte. Les vibrations étaient si puissantes qu’elle avait l’impression que son bassin allait se disloquer.

Les yeux fermés, elle luttait pour penser à autre chose, pour détourner son esprit de cette sensation brûlante qui montait en elle. Mais rien n’y faisait. Les vagues de plaisir se faisaient de plus en plus pressantes. Elle avait chaud. Trop chaud. Et elle sentait qu’elle allait à nouveau jouir. Elle ne le voulait pas. Elle ne pouvait pas. Pas ici, pas maintenant.

Elle se battait contre le plaisir, refusait d’y céder, refusait d’être ce genre de femme qui jouit sur sa chaise de bureau, en pleine journée, dans un cadre aussi professionnel. Mais plus elle résistait, plus le désir devenait insoutenable. Jusqu’à ce qu’une ultime vibration, plus violente que toutes les précédentes, vienne briser sa volonté.

Naïa : « AAAAAAH !!! »

Son cri, à peine étouffé, attira aussitôt l’attention de Rachelle, l’autre secrétaire.

Rachelle : « Ça va, Naïa ? Tu te sens mal ? »

Naïa n’eut pas le temps de répondre. C’est à cet instant qu’Alexandre apparut, impeccable dans son costume, comme si tout cela faisait partie d’un plan minutieusement orchestré.

Alexandre : « Mademoiselle Rachelle ? »

Rachelle : « Oui, Monsieur le Vice-Président ? »

Alexandre : « J’ai un peu soif. Pourriez-vous aller me chercher une boisson bien rafraîchissante, s’il vous plaît ? »

Rachelle : « Oui, bien sûr. Je reviens tout de suite. »

Dès qu’elle fut partie, Naïa tenta de reprendre contenance. Elle avait la tête baissée, le souffle court, la peau en feu malgré la climatisation. Alexandre s’approcha lentement, se pencha vers elle, et murmura à son oreille 

Alexandre : « As-tu senti ce tsunami de plaisir ? »

Sa voix était d’un charme inquiétant. Envoûtante. Il y avait dans ses mots une sensualité glacée, presque hypnotique. Et il savait. Il avait su exactement à quel moment elle avait joui.

Tout avait commencé plus tôt, dès son arrivée au bureau. Elle fit comme si de rien n’était après la nuit avec Monsieur Bathily. Alexandre l’avait convoquée dès son arrivée. Sur le bureau, un paquet l’attendait. Il lui demanda de l’ouvrir.

À l’intérieur : un dessous en cuir noir, dans lequel était fixé un vibromasseur.

Naïa : « Vous… vous voulez que je porte ce truc au travail ?? Mais… NON, JE NE PEUX PAS FAIRE ÇA ! »

Alexandre : « Naïa, tu me déçois terriblement. »

Sa voix était glaciale, son ton chargé d’une déception si marquée qu’elle en fut désarçonnée. Elle ne comprenait pas. Jusqu’à ce qu’il fasse pivoter son ordinateur portable vers elle. Sur l’écran, une vidéo. Elle, nue. Avec Monsieur Bathily. En pleine action. En pleine soumission.

Naïa : « Ahii ??? SEIGNEUR… ATTENDEZ… C’est… c’est pas ce que vous croyez… »

Alexandre : « Quelle position indécente et vulgaire. »

Naïa : « ARRÊTEZ !!! NE REGARDEZ PAS ÇA !!! »

Elle tendit la main pour refermer violemment l’ordinateur, mais elle savait qu’il avait déjà tout vu. Depuis longtemps. Ce n’était pas une surprise pour lui. C’était un piège.

Alexandre : « Comment ça, ce n’est pas ce que je crois ? La vidéo est pourtant très claire. Tu sembles être le genre de femme prête à coucher avec les hauts placés de l’entreprise pour un meilleur poste… ou un meilleur salaire, je suppose. »

Naïa : « … »

Alexandre : « Ce genre de comportement pourrait nuire à l’image de l’entreprise. Si cela venait à se savoir, nos actions chuteraient… et les conséquences seraient terribles. Pour toi surtout. »

Naïa comprit. Elle était piégée. Complètement. Elle n’avait aucune échappatoire. Elle se retrouvait acculée, seule, avec la menace d’un scandale et l’ombre de ses responsabilités familiales qui pesaient lourd sur ses épaules. Une sœur mineure. Un père malade. Elle ne pouvait pas les laisser tomber.

Et Alexandre le savait. Il voyait dans son regard qu’il avait gagné. Il la tenait.

Il prit le dessous en cuir et le lui tendit.

Alexandre : « Allez, mets ça. »

Sans un mot, Naïa enleva lentement le sous-vêtement qu’elle portait. Puis, docilement, elle enfila celui en cuir. Elle introduisit délicatement le vibromasseur en elle, comme s’il s’agissait d’un geste presque rituel.

Naïa : « Et ensuite ?… »

Naïa se tenait là, debout, juste devant le large bureau d’Alexandre. Lui, confortablement installé dans son fauteuil en cuir, l’observait avec une attention impassible, presque clinique. Son regard la scrutait comme s’il déshabillait son âme, tandis qu’elle, en silence, luttait déjà contre quelque chose d’invisible.

Elle pinçait les lèvres, les yeux mi-clos. Ses cuisses se serraient l’une contre l’autre, presque de manière instinctive, comme si elle cherchait à contenir une chaleur qui montait, doucement mais sûrement. Ses mains étaient posées sur son bas-ventre, sur le cuir du dessous qu’elle portait, pressant maladroitement le tissu comme pour étouffer les sensations qui commençaient déjà à l’envahir.

Et pourtant, l’appareil n’était même pas encore activé.

Naïa respirait plus fort, déjà troublée, comme si son corps anticipait ce qui allait venir, comme s’il réagissait à la simple tension du moment. Le regard d’Alexandre, ce silence lourd, cette mise en scène froide… Tout participait à créer une attente terriblement excitante.

Alexandre, sans ciller, murmura :

Alexandre : « Vois-tu le bouton d’activation ? »

Naïa cligna des yeux, surprise par la question, prise entre le trouble et la confusion.

Naïa : « Le bouton d’activation ? Vous voulez… vous voulez que je l’active ? »

Il ne répondit pas. Mais il n’en avait pas besoin. Son silence était plus parlant que n’importe quel ordre. Il laissait planer une pression insoutenable, une invitation déguisée en menace.

Naïa baissa lentement les yeux vers le discret boîtier fixé au cuir de son sous-vêtement. Elle hésita une seconde. Puis appuya.

La réponse fut immédiate.

Une décharge de vibrations violentes jaillit en elle, la traversant de part en part, comme une onde brûlante qui remonta tout son bas-ventre jusqu’à lui faire trembler les jambes. Ce jouet n’avait rien à voir avec le précédent. Ce n’était plus un simple œuf vibrant. C’était un séisme.

Naïa : « Aaah… IIIIIIIHHHKKKK !!! »

Un gémissement lui échappa malgré elle. Son corps chancela. Elle tenta de reculer, de se retenir au bord du bureau, mais ses mains glissèrent, impuissantes. Ses genoux cédèrent sous l’intensité de la vibration qui martelait son intimité, et elle s’effondra doucement sur le sol, haletante, incapable de garder son équilibre.

Alexandre l’observait toujours sans rien dire. Imperturbable. Maître absolu du moment.

Revenons à l’instant présent.

Naïa, encore tremblante d’avoir joui à son bureau, peinait à reprendre son souffle quand Alexandre était apparu comme un fantôme. D’un ton calme, il avait envoyé Rachelle lui chercher une boisson fraîche. Désormais seule avec lui, Naïa sentait des picotements la parcourir… pas seulement entre ses cuisses, mais sur toute la surface de sa peau. Chaque contact avec ses vêtements déclenchait une nouvelle décharge de plaisir.

Mais Alexandre n’était pas venu seulement pour la voir frissonner.

Il tendit à Naïa un dossier épais.

Alexandre : « Regarde ça. On a reçu des informations sur la personne que nous allons rencontrer ce soir. »

Naïa : « Des infos ? »

Alexandre : « Je compte sur toi pour préparer tout ce qu’il faut. »

Dans la soirée, ils arrivèrent devant une somptueuse villa nichée dans les quartiers chics de la Riviera. Le rendez-vous était prévu avec l’un des membres les plus influents du conseil d’administration… Monsieur Brou. Un homme arrogant, autoritaire, au regard méprisant et aux propos toujours condescendants. Il semblait prendre plaisir à écraser ceux qu’il considérait comme ses inférieurs.

À peine sorti de son imposant véhicule, il commença à gronder.

M. Brou : « Qu’est-ce que ça veut dire, Alexandre ? Pourquoi ce changement de lieu à la dernière minute ? Et c’est quoi cette villa pourrie ? Tu me fais venir de Paris pour ça ? »

Alexandre : « Excusez-moi pour le dérangement, Monsieur Brou. J’ai préparé une petite surprise. J’espère qu’elle sera à la hauteur de vos attentes. »

M. Brou : « T’as intérêt, oui. »

Alexandre dissimulait mal son agacement. Mais il avait besoin du soutien de cet homme odieux pour faire avancer ses projets. Et pour cela, il était prêt à tout. À suivre …


Vices et Perversions...